Ceux qui brûlent dans la lumière
Chapitre 29 : Acte V – Bataille de Lordearon : À rude épreuve
3821 mots, Catégorie: M
Dernière mise à jour 11/09/2020 22:25
Acte V – Bataille de Lordearon : À rude épreuve
Depuis combien de temps nous battons nous ? Je l’ignore. Je suis dans l’incapacité de répondre à ma propre question. Je ne sens même plus la douleur des coups qu’on me porte. Mon corps est tendu et meurtrie par l’effort constant, sans relâche, sans répit. Mon esprit est comme hors de mon corps, je suis détachée des assauts que j’assène alors que je prends des vies. Combien de fois j’ai lacéré, démembré avec Shalamayne. Combien de personne j’ai réduit en cendre avec la lumière sacrée. Tous ceux qui se trouvent sur mon chemin disparaissent un à un. Je ne sais pas, je ne m’en souviens pas. Le temps a comme cessé de s'écouler, je ne sens même plus l’odeur du sang, de la chair brûlée, de ma propre sueur. Je suis comme spectatrice de mes actes. Une seule chose compte, survivre et vaincre !
C’est uni sous la même bannière, l’espoir et la foi comme moteur, sans oublier notre acharnement, que nous renversons le cours de la bataille. La Horde est en déroute et se replie vers les murs de Lordearon. Les retardataires sont achevés proprement et notre armée se rapproche des portes de la cité.
• Toutes les unités aux portes ! La victoire appartient à l’Alliance ! Exclame Anduin.
Les soldats de la Horde se sont réfugiés à l’intérieurs des épais murs de Lordearon, ne laissant que l’Alliance à ses portes. Ça serait imprudent d'être sous leurs murs, on ne sait jamais ce que l’ennemi nous réserve, on pourrait se prendre toutes sorte de projectiles, de la poix, du souffre ou de l’eau bouillante. En tout cas, dans mon monde, ce serait le cas, mais dans celui Azeroth, ils ont peut-être des choses bien pire et meurtrière. Du haut des remparts, la silhouette sinistre d’une elfe grisâtre encapuchonné fait son apparition. À ses côtés, un humain, enfin plutôt un réprouvé bien conservé vêtu d’un long manteau sombre. Anduin, monté sur le dos de Révérence, s’avance en traversant nos rangs.
• C’est fini, Sylvanas ! Les murs de Lordearon s’effondreront bientôt autour de vous. Clame Anduin avec force.
• Vous ne savez pas à qui vous avez affaire, jeune Roi. La partie ne fait que commencer. Rétorque la cheffe de guerre d’un ton menaçant.
Les immenses portes de la cité se mettent à grincer. Brusquement, elles s’ouvrent avec fracas. Une terrifiante machine rugissante faite de bois et de métal et surmontée d’un immense canon fumant s’avance dans son encadrement. Une détonation assourdissante suivit du bruit d’une puissante explosion attire tous nos regards vers une des tours de siège qui s’effondre comme une vulgaire brindille. Par la lumière, qu’est-ce que c’est que cette horreur ?! Mes oreilles sifflent à m’en donner mal au crâne et mon cœur ne fais qu'un quart de tour lorsque que son canon se pointe sur nous. Les lourdes portes se referment dernière cette machine cauchemardesque. Elle tire à nouveau. Le souffle de l’explosion me fait perdre l’équilibre et je tombe à terre. Anduin me saisit par les aisselles pour me remettre rapidement sur mes pieds. Je ramasse mon épée que j’ai laissé tomber au sol. Je lève les yeux là où se trouvaient de valeureux soldat. Il ne reste qu’un cratère fumant…
• Par la lumière… Murmuré-je, terrifiée.
• Je n’ai jamais rien vu de tel ! Gronde le vieux loup.
Comme abattre une telle machine ? Est-ce possible ? Je doute que des épées et des flèches puissent égratigner sa carapace, la magie peut-être ? Si la magie est impuissante alors nous sommes condamnés, leur arme destructrice va raser notre armée à elle toute seule. Le cliquetis du canon m’alerte qu'il va encore tirer !
• Anduin ! l’interpellé-je. On doit les protéger !
Anduin tends son bras vers l’avant et la lumière jaillit de ses doigts, créant un mur lumineux. Je me joins à lui pour étendre ce dernier. L’impact du projectile me fais vaciller. Yaedrel intervient et utilise sa lumière pour renforcer notre sort. Notre protection subit un nouveau choc, même avec mon bouclier à la rescousse mes mains tremblent.
• Tiens bon, mon amour ! Intervient Anduin.
• Toi aussi, idiot ! Répondé-je, un sourire sur les lèvres.
Il me rend mon sourire alors que nous encaissons un violent coup, on ne va pas tenir éternellement. Dernière nous, des pas se rapprochent et des bras se lèvent. Leurs mains s’illuminent. Le mur de lumière scintille et s’agrandit encore plus.
• Laissez nous vous venir en aide, mon Roi. Interpelle une prêtresse de la lumière.
La poignée de prêtres de la lumière qui sont présent sur le champ de bataille nous viennent en aide, joignant leur magie à la nôtre ne faisant qu’accroître notre protection.
• Votre mur est bien beau votre Altesse, mais il faut détruire cette chose ! Grogne le vieux loup.
• Tout ce qui est fait peut-être défait ! Rétorque Anduin. Soldat avec moi ! Nous allons distraire cette machine pendant que les mages la détruisent !
Anduin grimpe à nouveau sur son percheron pour mener l’assaut. Lydran se faufile derrière moi est remplie mon carquois de nouvelle flèches. Je le regarde, pantoise, mais je lui suis reconnaissante, je suis bien plus à l’aise avec mon arc qu'avec une épée. Sans prévenir, il reprend sa forme druidique, restant à mes côtés. Anduin donne le signal et nous baissons tous nos bras pour faire disparaître le mur. Puis, une pluie de plomb, de magie et de flèche d’abat sur la machine. Révérence se cabre avant de filer à toute allure vers l’avant. Je coince la moitié de Shalamayne dans ma ceinture et prends mon arc dans mon dos alors que Lydran s’élance à son tour dans la mêlée et que mon protecteur couvre mes arrières. J’imprègne mes flèches de lumière et les décochent dans les interstices de notre ennemi mécanique. Les tours de sièges restante continuent à bombarder les murs de Lordearon. Malgré tout, rien ne semble arrêter cette chose. Les mages restent à l’arrière, incantant leur sort, s’ensuivit d’un étrange glyphe apparaissant sous la machine. Dans le ciel, juste au-dessus du glyphe, une immense météorite enflammée tombe et s’écrase de façon spectaculaire sur la machine infernale. Le jeune Roi invoque la magie, créant un dôme de lumière qui contient l’impressionnante explosion qui aurait fait d’énorme dégâts sur nos troupes. Hommes et femmes de l’Alliance crient victoire, agitant leurs armes vers le ciel. On a réussi, plus rien ne peut stopper notre avancée, la victoire est à portée de main.
Nos troupes se reforment, prête à abattre les portes de la cité avec un bélier, lorsque d’étranges projectiles provenant des remparts de Lordearon s’abattent en se brisant à l’impact du sol. Un nuage verdâtre se répands dans nos lignes. Nos hommes se mettent à tousser sans s’arrêter, s’effondrant dans la boue, prit de violente convulsion avant de rendre l’âme brusquement. Ils tombent les uns après les autres. Horrifiée, je me pétrifie sur place, regardant les gens mourir autour de moi. J’ai parlé trop vite, je pensais qu’il ne pouvait rien se produire de pire que cette machine infernale, j’ai eu tort… Ce brouillard meurtrier se déplace dans ma direction, Yaedrel me tire par le bras avec brutalité pour me sortir de ma transe.
• Courez, Madame ! Ne respirez ce nuage sous aucun prétexte ! Nous devons nous éloigner le plus vite possible. M’ordonne mon bouclier.
• Qu’est-ce que c’est…
• Fuyez ! Gronde à nouveau Yaedrel.
Sans réfléchir une seconde de plus, je prends mes jambes à mon cou. D’autre fioles de ce nuage s’abattent sur le champ de bataille. On n'est pas les seuls à essayer de se mettre à l’abri de ce poison. Tout le monde se bouscule pour sauver sa vie. Notre armée est désorganisée, c’est la cohue générale. Dans notre dos, des bruits de sabots retentissent, le cheval nous passe devant, mais s’arrête subitement devant nous.
• Anduin !?
• Monte, Lynawen, vite ! M’ordonne-t-il.
• Mais Yaedrel… Dis-je inquiète.
• Ne vous en faite pas pour moi, Madame.
Mon protecteur me saisit les hanches et me soulève pour me faire monter sur la croupe du percheron. Mes bras encadrent la taille d’Anduin. Sans perdre une seconde de plus, il s’élance loin de se nuage tueur. Mon regard se tourne vers mon ami qui court tout en aidant des soldats à se relever sur son passage, mais à force de nous éloigner, je fini par le perdre de vue.
• Rassure-moi, mon amour, tu n’as pas inhalé la toxine ? Me demande Anduin, inquiet.
• Non, je ne crois pas. Qu’est-ce que c’est que ce nuage ? Questionné-je mon amant.
• On l’appelle la “peste“. C’est un gaz toxique qui tue tout ce qui le respire. Il est assez puissant pour tuer les non-mort.
• Ce nuage peut tuer ce qui est déjà mort…
Mon cœur se serre imaginant tous ces innocents piégés, suffocant à en mourir dans ce gaz abject. J'en souffre encore plus en sachant que Lydran et Yaedrel sont en danger… J’espère qu’ils ont pu échapper à cette chose. Je resserre mon étreinte, même si l’homme que j’aime ne peux la sentir à cause de son armure. Pourtant, une de ses mains gantelets se pose sur la mienne. Nous nous mettons en sécurité sur une petite butte où se trouve des soldats rescapés, d’autres survivants se hâtent pour nous y rejoindre. Parmi eux, l’insupportable druide, il soutient à bout de bras une Draenei amochée.
• Lydran ! Crié-je.
Je saute à terre pour le rejoindre. Je les aide à monter le reste de la butte avant d’asseoir la femme. J’utilise la lumière pour soigner ses blessures ainsi que celles de Lydran. Elle me remercie avec un léger sourire avant de s’allonger sur le sol pour récupérer ses forces.
• Toujours au petit soin avec moi, ma beauté au yeux d’argent, j’adore sentir ta magie, ça me fais frissonner… Exclame Lydran de façon aguicheuse.
D’habitude, je l’enverrai cordialement se faire voir, mais cette fois je me suis sentie gênée, pas parce que cette remarque à suscitée quelque chose en moi, bien au contraire, il est toujours aussi désespérant, mais simplement parce qu'Anduin l’a entendu et qu’il nous regarde bizarrement. Anduin tire les rênes de Révérence et s’approche de nous.
• Cet Elfe vous importune, ma douce ? Demande Anduin.
• Allons votre Altesse, je n’importune guère votre charmante dulcinée aux yeux cristallins. Après tout, c’est elle qui s’est jetée sur moi, vous l’avez vu de vos yeux. Dit-il le sourire au lèvre sur le ton de la provocation.
• Pardonne-le, Anduin, c’est mon ami il est un peu spécial, ne fait pas attention à ses âneries, il est comme ça avec tout monde. Expliqué-je à mon amant.
• Vraiment !? Vous blessez mon petit cœur, ma belle, nous avons passé de si beau moment à Darnassus sans parler de sous la tente. Renchérie Lydran charmeur.
Les deux hommes se fixent droit dans les yeux, l’un avec son sourire hautain et amusé et l’autre le regarde d’un mauvais œil, ne cachant en aucun cas sa contrariété.
• Je vous prierai de vous exprimer de façon plus convenable, je ne tolère guère ce genre de comportement déplacer envers ma compagne. Rétorque calmement Anduin, mais ses yeux trahissent son agacement.
• Mille excuses votre grandeur. Continue-t-il dans le sarcasme.
• Suffit Lydran, cessez de déblatérer des bêtises ! Grondé-je. Vous êtes insupportable.
Alors que cet idiot de félin est sur le point de nous gracié à nouveau de son talent de beau parleur, une aura violette provenant des remparts de Lordearon attire notre attention. Cette émanation malsaine entoure subitement les cadavres sur le champ de bataille. Les dépouilles de la Horde comme de l’Alliance commencent à bouger de façon étrange. D’un coup, leurs peaux se lacèrent et le squelette s’extrait de son enveloppe de chair dans une effusion de sang et des craquements horrifiant. Mon estomac se retourne devant se spectacle macabre, je tourne le dos pour m’épargner davantage cette vue ignoble, mettant ma main devant ma bouche pour m’empêcher de rendre mes tripes sur le sol. Je sens une main familière sur mon épaule, je me retourne pour faire face à Yaedrel. Son visage réconfortant m’emplie de joie. Avec lui arrive Grisetête, accompagné du reste de l’armée rescapée.
• Les morts se relèvent Sir. Alerte le vieil homme.
• Nous devons évacuer les blessées. Ordonne Anduin.
• La peste est bien trop dangereuse, nous devons nous…
• L’Alliance n’abandonnera aucun de ses soldats ! Insiste Anduin.
Anduin me tends la main pour remonter sur le dos Révérence, je grimpe à nouveau sur la croupe du cheval. Les combats ont repris de plus bel contre les morts fraîchement relevé par la reine Banshee et de surcroîts les soldats de la Horde sont revenue à la charge. Avec les prêtres de la lumière encore valide et à l’aide de barrières magique pour nous protéger de la peste, nous extirpons les soldats meurtris jusqu’à la bute, malheureusement et malgré les bonnes attention d’Anduin nous n’avions pas d’autre choix que d’abandonner certains dans des endroits trop dangereux à cause du gaz toxique. Autour de nous, les hommes et les femmes de l’Alliance tombent sous les coups incessants des macchabées.
D’un coup, de nouveaux bruits d’explosion retentissent. Le percheron se met à cabrer. Je m’agrippe à la taille d'Anduin pour ne pas basculer en arrière. Sous nos yeux, les dernières tours de sièges s’écroulent. Je ne vois pas son visage, pourtant, même avec son armure, je sens Anduin se raidir.
• Mon Roi, nous avons perdu les tours de sièges et accusons de Lourde pertes ! Informe le vieil homme, ne cachant pas son anxiété.
• Père, venez moi en aide. Guidez-moi. J’ai besoin d’aide. Murmure-t-il.
• Mon amour, ça va aller, je suis là, tu n’es pas seul. Dis-je en le serrant dans mes bras.
La horde balance de nouveaux barils de peste sur le champ de bataille, le nuage devenant plus épais est dangereux, nous avons d’autre choix que de fuir à nouveau.
• Rappelez les troupes ! Il faut se replier ! Ordonne Grisetête.
• Très bien, sonner les cors ! Finit par accepter Anduin, à contrecœur.
Les cors retentissent et notre armée tourne les talons le plus loin possible du gaz qui s’est encore plus étendu dans les pleines, nous forçant à nous éloigner de la cité. Il tire brusquement sur les rênes de Révérence qui fais un demi-tour pour faire face au nuage. La vue est terrifiante de là où on se trouve. On peut apercevoir les guerriers de l’Alliance tout comme de la Horde mourir dans le brouillard.
• La corruption à disperser nos troupes ! grogne Grisetête.
• Notre attaque n’a servi à rien… Exclame Anduin, abattu.
• Mais nous sommes en vie et tu as sauvé beaucoup de gens. Essayé-je de lui monter le bon côté.
• Beaucoup d’autres sont mort, nous avons perdu cette bataille et ça pourrait avoir de grosse conséquence.
Je ne sais pas quoi lui répondre, il n’a pas tort. Nos troupes sont dispersées, le nuage de peste nous empêche de nous approcher de la cité. Le seul point de réconfort c’est qu'il empêche également l’ennemi de sortir des murs de Lordearon, au risque de mourir de leur propre arme. La retraite est la seule solution, je ne vois pas comment retourner à nouveau la situation à notre faveur, même la lumière, aussi puissante soit elle, ne nous viendra pas en aide une deuxième fois. Je suis sortie de mes pensée par une soudaine bourrasque qui fouette le vent sur nos visages. Anduin fais tourner Révérence dans l’autre sens pour scruter le ciel. Le vent est suivi du bruit de trombe d’eau provenant de la voûte. Pourtant, aucune goutte d’eau ne s’écoule sur la terre ferme. La proue d’un navire force le passage à travers les nuages, sa coque glisse sur de l’eau à la teinte bleu violacé. Mes yeux s’écarquillent de merveille, un bateau volant qui navigue sur de l’eau magique ! C’est incroyable ! À son bord, la silhouette d’une femme. Lorsque cette dernière s’avance, son visage, malgré la hauteur, se dessine un peu et elle m’est très familière.
• Jaina !? S’exclame Anduin, me donnant la réponse par la même occasion.
Jaina lève légèrement ses bras au-dessus de la mer verdâtre et un gigantesque glyphe bleuté en forme de flocon de neige se crayonne avant d’exploser dans une puissante vague de givre magique qui annihile totalement la peste meurtrière.
• Alliance, en avant ! Ordonne le jeune Roi, revigoré par l’espoir.
Anduin fait cabrer Révérence ce qui m’oblige à m’agripper à lui farouchement avant de filé à toute allure vers les murs de Lordearon. Sur nos talons, les troupes de l’Alliance. Anduin s’arrête de nouveau, tournant son regard vers le ciel brumeux.
• Jaina, le mur ! Crie-t-il pour que sa voix porte jusqu’à elle.
Sur ses ordres, le navire bouge, se positionnant sur son flanc. Les panneaux d’écoutilles s’ouvrent et des canons magiques apparaissent, tirant des salves de projectiles magiques qui s’abattent avec violence sur les murs. La fumée se dissipe, laissant un trou béant dans le rempart. Une porte d’entrée pour nos troupes. Anduin bondit de Révérence et me tends la main pour m’aider à descendre. Il retire sa moitié de Shalamayne de son fourreau, l’air déterminer à en découdre et à mettre fin cette mascarade.
• Maintenant, finissons-en ! Dit-il en trépignant de rage.
Je l’attrape par le poignet pour le forcer à me faire face et je pose ma main sur sa joue pour adoucir sa colère.
• Ensemble.
• Ensemble. Rétorque mon amant en posant son front contre le mien.
Il pose ses lèvres sur mon front avant de reculer et de balayer l’armée du regard. Je sors à mon tour mon épée de ma ceinture et c’est ensemble, accompagner de Grisetête, de Lydran et de mon fidèle Yaedrel, que nous enjambons les gravats. Avec eux, il ne peut rien nous arriver. Prépare-toi, Reine Banshee, cette fois, tu vas répondre de tes crimes, pour Teldrassil mais aussi pour les morts de Lordearon.
/ Les événements de la bataille continuent de s’enchaîner. Encore une fois j'ai modifié un peu les événements de la bataille d'origine. Comme ça, vous êtes prévenue ( héhéhé). J'espère encore une fois que vous avez apprécié mon récit et je ne vous remercierez jamais assez pour vos encouragements et votre intérêt pour mon histoire. ça me touche vraiment beaucoup. Merci pour vos retours et vos commentaires qui font toujours très plaisir./