Black Templar Tome III

Chapitre 5 : D’acier Ma Foi Est Faite

3538 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 04/02/2022 19:27

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Brüner se cola contre le ferrobéton des arches dans un réflexe surhumain alors que les tirs pleuvaient sur lui. La céramite de son épaulière frotta contre la pierre, alors qu’il ripostait de tirs précis. Son bolter hurlait à la mort, expédiant un flot de bolt en semi-automatique à une cadence infernale. Les cibles s’alignaient dans son viseur et disparaissaient aussitôt, fauchées par un de ses tirs. Brüner mit genoux à terre, et procéda à un rechargement d’urgence, envoyant valdinguer son chargeur vide non loin de lui. Ses hommes progressaient eux aussi avec aisance malgré la féroce résistance que menait les Orks. La poussière retombait à peine. Un énorme roc d’une circonférence incroyable avait perforé le toit de cette partie de la cité Ruche comme s’il ne c’était s’agit que de papier avant de s’écraser en son cœur. Peu de temps après une marée verte en sorti, et les guerriers Orks, directement débarqués dans la cité commencèrent le massacre.


Les Astartes avaient vu ce débarquement brutal et avaient aussitôt accouru pour tenter d’endiguer le flot de guerriers monstrueux Orks. Les Astartes combattaient maintenant depuis presque trois heures complètes pour tenter de se frayer un chemin vers les niveaux supérieurs de la Ruche, vers le plus gros des combats, le chef Ork devait s’y trouver, mais peur progression était difficile.

Ils avaient croisé bon nombre de Gardes Impériaux qui combattaient encore, dans des semblants de noyaux de défenses, ou d’autres qui fuyaient par tous moyens possible la cité en flamme.

Brüner avait fini de recharger, et épaula son arme. Deux silhouettes Orkoïdes apparurent dans son viseur. Sans une once d’hésitation il expédia deux bolts sur elles. Une s’effondra face contre terre, la poitrine explosée par l’engin explosif perforant, et par miracle, l’armure faite de bric et de broc de l’autre la protégea contre le projectile béni. Elle sembla aussi surprise que le sergent par l’efficacité de son armure alors que Brüner envoya un unique bolt droit sur ta tête qui disparut dans une bruine d’os et de cervelle.

Brüner voyait déjà des Orks tenter de le charger sur sa droite, il fit un pas de retrait alors qu’une rafale rasante passa au-dessus de sa tête, perçant des trous gros comme le poing dans le béton autour de lui, expédiant une épaisse couche de poussière de maçonnerie sur son armure éraflée.


Brüner continua sa progression sous les arches, partiellement à couvert, alors que de l’autre côté de la rue, le reste de son escouade elle aussi progressait. L’affichage tactique de leur armure de combat les aidait grandement dans ses moments de chaos, leur apportant une vision claire et détaillée de la situation en temps réel et surtout l’emplacement de ses hommes et des alliés dans la zone.

Une dizaine d’Ork surgirent devant Brüner qui s’attendait à une poussée ennemie. Il épaula son bolter, légèrement tourné vers la gauche, pour ne pas à avoir son viseur dont le grossissement l’aurait gênée dans un engagement aussi rapproché et il ouvrit le feu. Il expédia bolt après bolt. L’Ork de tête encaissa le feu vengeur du sergent Black Templar. Trois ou quatre bolts vinrent le hacher menu, démembrant son cadavre en plusieurs tronçons horriblement mutilés. Ses congénères furent les suivant. Mais c’est alors que l’arme de Brüner s’arrêta de tirer.

Le sergent surprit, dans un réflexe conditionné, examina en un éclair son antique bolter. La chambre d’armement était ouverte de moitié et alors qu’elle aurait dû être entièrement fermée et prête à tirer, une douille vide et brulante de bolt déjà tiré venait la bloquer. Une seule pensée vint poindre dans son esprit.

« Incident de tir, armement secondaire ».


Dans un mouvement de transition parfait, il amena de la main gauche son bolter sur sa hanche alors que de la main droite il dégaina son pistolet bolter de son holter et commença à ouvrir le feu. Les Orks qui auraient pu penser que le sergent était sans défense après cet incident furent tous brutalement fauchés, alors que frère Lyderic arriva lui aussi au trot dans le dos de son sergent et ajouta sa puissance de feu. En quelques secondes les arches furent noyées dans le sang et la fureur. Lyderic sans demander son reste enjamba les cadavres et continua la progression alors que Brüner, maintenant derrière lui, venait de rengainer son pistolet et s’escrimait sur le levier d’armement. Deux fois Brüner tapa sur le cul de son chargeur et ramena le levier d’armement au fond de sa course. Rien ne se passa. Il enleva le chargeur à moitié plein, et refit la manœuvre. Enfin la douille éclatée tomba au sol, libérant la chambre de l’arme. Il inséra l’ancien chargeur en fit introduire un bolt neuf dans la chambre de l’arme d’une pression sur le bouton de relâchement de l’arrêtoir de glissière.

Il réalisa que son arme et son équipement étaient dans un état lamentable. Les incidents de tirs seraient de plus en plus fréquents jusqu’à ce qu’ils puissent enfin oindre des huiles consacrées ses armes et son armure et qu’il puisse s’en occuper convenablement. S’ils arrivaient à sortir vivant de cette ville qui menaçait de leur tomber sur la tête.

Des rafales puissantes le sortirent de ses pensées, alors que dans son dos arrivait à toute allure Karl, lance flamme allumée pour venir prêter main forte à son officier. Brüner se retourna pour voir que trop tard une roquette Ork foncer vers eux entre les arches. Elle avait été tirée depuis les toits, mais de l’autre côté de la rue. Le cri de mise en garde Brüner mourut alors que la roquette explosa juste à côtés de Karl qui courait. Karl disparu dans un nuage de poussière et de flammes, avant de réapparaitre, chancelant avant de reprendre sa course pour dépasser son sergent. Il venait de faire comme si de rien était, et malgré l’épaisseur de son armure, Brüner pu entendre les insultes et les grossièretés crier par Karl dans son harnois. Brüner ne put que sourire avant de reprendre le tir vers les départs de coups au-dessus d’eux.

 

Karl s’arrêta devant une porte latérale de bois. Brüner, malgré la fusillade, l’interrogea du regard. Karl lui répondit simplement par un coup de tête vers l’intérieur. Si les sens surhumains de Karl lui indiquaient qu’une menace ou tout autre chose était à l’intérieur de ce bâtiment, et qu’elle attendait qu’ils ne passent pour leur couper la route, alors la menace devait être éradiquée. Brüner se mit de l’autre côté de de la porte, Karl en face de lui. Au signal, ils l’enfonceraient, et purifierait la zone, Karl en tête, lance flammes hurlantes.

Brüner hocha de la tête alors que la fusillade dans la rue redoublait de violence. Karl enfonça le bois sans aucune difficulté d’un coup d’épaule puissant. Il pénétra en premier avant de crier dans le vox :


-Halte au tir !


Brüner entra une demie seconde plus tard, pour y trouver un parterre de femmes, d’enfants et de vieillards, les yeux écarquillés de peur. Ils s’attendaient surement à voir entre des brutes Orks prêtent à les massacrer, les manger ou même les réduire en esclavage. Mais au contraire, ce fut les Anges de l’Empereur qui entrèrent. Certaines femmes pleurèrent en voyaient leurs armures, l’Aquila d’argent de l’Imperium brillant sur leurs armures. Certains vieillards tombèrent à genoux, priant avec une fois redoublée devant le spectacle de ces géants tout droit sorti des contes que les mères racontaient à leurs enfants pour les endormir.

Brüner prit délicatement la première femme qu’il vu en dessous de l’aisselle et la mit sur ses pieds sans un effort, et s’adressa à elle directement, il tenta de prendre la voix la plus rassurante qu’il put malgré les hauts parleurs de son armure :


-Levez-vous, vous devez partir. Rejoignez les portes de la cité, les Gardes les défendent encore. Evacuez les lieux, c’est un ordre.

La femme tenta de le regarder dans son entièreté, mais il était trop grand. Elle ne faisait qu’effleurer les sceaux de pureté de son armure, comme si elle ne croyait pas ce qu’elle voyait. Un tir malheureux vint perforer un mur adjacent, et un homme déjà blessé tomba à la renverse, fauché par le tir au niveau du coup. Il s’effondra dans une gerbe de sang qui ramena tout le monde à la dure réalité. Brüner sorti par l’encadrement de la porte et ouvrit le feu sur les cibles au-dehors. Il tirait avec parcimonie, plus pour assurer un tir d’appuis qu’autre chose.

-Allez-y courrez ! Ordonna-t-il de sa voix puissante qui fit sursauter toutes les personnes dans la pièce.


Karl lui aussi commença à pousser les habitants vers la sortie. S’ils restaient cachés ici, leur destin était scellé. S’ils fuyaient, alors ils auraient peut-être une chance. Les civils commencèrent à prendre le chemin inverse qu’avaient ouvert les Astartes, s’éloignant ainsi du Roc Ork écrasé en plein milieu de l’artère. Les femmes portaient les enfants à bout de bras et sur leurs dos, aidant aussi les vieillards, les blessés et les malades. Comme un signal invisible avait été donné, des civils apeuré, blessés et souvent en sang, émergèrent de toute part pour suivre la procession qu’avait créé Brüner avec l’aide Karl. La rue était maintenant emplie de civils qui couraient dans le sens inverse des combats qui faisaient encore rage. Un homme, trop vieux pour combattre, boitait du plus vite qu’il pouvait pour s’éloigner quand un tir Ork vint le faucher au niveau des jambes. Elles furent sectionnées et broyées comme si ce n’était que du papier. Il tomba à terre et se vida de son sang en quelques secondes.

Konrad sembla viser quelque chose au-dessus de l’arche sous laquelle se tenait le sergent Brüner. Il tira deux fois de son bolter stalker. Deux Orks tombèrent de cinq mètres, mort avant de toucher le sol. Il venait d’éliminer la menace qui tirait sur les civils désarmés qui fuyaient la zone de guerre.

 

Soudain, en bas de l’artère, une clameur retentit. Une masse imposante d’acier en émergea, tirant de toute ses armes. Brüner la reconnut immédiatement, sa forme remarquable ne pouvait passer inaperçu. Un char Leman Russ. Son canon de bataille tonna, envoyant un obus explosif droit sur le dispositif Ork qui continuaient de résister aux assauts en force des Astartes qui tentaient de passer. Par l’écoutille de la tourelle, un chef de char maniait une mitrailleuse lourde sur pivot, marquant de tirs traçants les cibles pour son tireur. Le canon tonna une nouvelle fois. Les trois bolters lourds de caisse envoyaient régulièrement un feu soutenu pour protéger l’avancée inattendue mais bienvenue d’un peloton de Gardes Impériaux.

Le Leman Russ s’arrêta non loin du sergent Brüner, au milieu de la rue, une bombe qui avait explosée avait soulevé les pavés et la terre pour former un remblai naturel, que le chef de char impérial allait exploiter comme couvert pour son engin. De part et d’autre, des escouades de Gardes tentaient de protéger le char de leurs tirs de fusils laser et quelques rares tirs d’armes spéciales. Ils fixèrent leurs positions autour du char ancré, posant un bolter lourd et un autocanon sur leurs trépieds.

Les civils continuaient d’affluer des rues adjacentes, et se dirigeaient vers les Gardes prit au dépourvu. Ils tentaient de les contenir et les diriger vers les postes de campagnes en arrière des lignes de batailles.

Brüner sorti de son couvert, à moitié baissé derrière le remblai de gravats. Les Gardes autour de lui, malgré les combats, écarquillaient les yeux et restaient bouche bée. Ils n’avaient jamais vu un des Anges de l’Empereur, certains même pensaient qu’ils n’étaient qu’un mythe.


-Qui commande ici ? Demanda Brüner de sa voix autoritaire.


Personne ne répondit, tous trop occupé à lâcher tir sur tir vers le fond de l’avenue, ou à guider les civils vers l’arrière. Un seul Garde fit un pas vers le sergent, la tête basse et mit genoux à terre :


-C’est le capitaine…Commença-t-il.

-Où est-il ? le coupa sèchement Brüner.

-Aucune idée, il nous suivait, mais je ne l’ai pas vu depuis plus d’une demie heure. Essaya de répondre courageusement le Garde maintenant à genoux dans une position de contrition.


Brüner remarqua du mouvement de l’autre côté du talus. Profitant de l’agitation des civils qui fuyaient en tous sens et l’arrivée de la Garde, un groupe de Nobs immonde et massifs venaient de charger droit devant. Leurs grotesques armures les protégeaient avec une efficacité indéniable. Ils brandissaient hache et scies circulaires, massacrant tout sur leur passage.

Brüner se redressa d’un bond et ouvrit le feu. Dans sa lunette il put discerner distinctement les gueules garnies de croc, presque heureuse du massacre en cours, alors que des civils tentaient de les fuir en courant vers les impériaux démuni.


Brüner tira cinq bolt à une vitesse très rapprochée. Tirer par doublette était reconnu dans tous les régiments et même chez les Astartes pour toucher et fracturer les protections pare-balles classique. Le premier bolt venait s’écraser contre la surface, le second profitant de l’impact du premier venait perforer et détruire la cible. C’était une tactique simple mais efficace.

Brüner amena de nouveau son optique dans son viseur pour voir sa cible continuer son avancée inexorable. Le Nob Ork, n’ayant semble-t-il, subit aucun dommage après la douche de bolts, armes hurlantes se ruait vers une femme qui peinait à courir, un tas de chiffon dans les bras, une enfant au crâne rasé et sale accroché à sa robe elle aussi en lambeau. Brüner, grâce à son acuité visuelle accrue distingua un bras chétif dépasser du tas de linges contre la poitrine de la femme. L’enfant ne pleurait pas, il était mort depuis longtemps. Submergée par le chagrin la mère fuyait avec ses deux enfants, l’un ayant déjà succombé à la guerre et ses ravages.

L’Ork arma son bras, à une seconde de trancher sa mère et son enfant dans leur course vers un abris relatif. Karl émergea de la gauche, ses frères sur ses talons. Son heaume brûlé depuis longtemps regarda avec dégoût le Nob qui remarqua lui aussi sa présence. Karl n’avait pas son lance flamme dans ses mains blindées mais le lance plasma qu’il avait reçu comme relique d’un frère depuis longtemps mort. Même à cette distance, Brüner entendit le cri de rage de Karl qui disparut dans le vacarme d’aspiration et de surchauffe de l’air en dépressurisation par le réacteur du lance plasma.

Le tir surgit comme un soleil miniature, envoyant une boule bleutée, presque blanche, d’un gaz si surchauffé qu’il c’était transformé en plasma incandescent. Frère Karl sembla lâcher d’un coup son arme qui rebondit contre son armure. Elle refroidissait déjà, le tir surchargé avait amené l’antique engin au bord de la rupture.

Karl avait sûrement les mains roussies voir même brulées, même à travers les couches de céramite de son antique harnois. Mais tels étaient les souffrances qu’enduraient frère Karl. Il se purifiait par le feu et dans les brasiers de ses ennemis vaincus.


L’Ork fut touché au sternum. Même son armure bricolée par sa sous race ne put le protéger. Le métal avait fondu sous l’impact, mêlant le métal en fusion avec la chair calcinée. Le tir l’avait perforé de part en part, si bien que son thorax ressortait dans son dos. Pourtant il continuait d’avancer, les servomoteurs archaïques lançaient son porteur sur la même trajectoire qu’il avait eu de son vivant, fonçant droit sur la femme et ses deux enfants.

Dord sorti de derrière Karl, en silence comme à son habitude, pavois en avant, cotte de maille cliquetante. Dans une charge puissante et courageuse il percuta l’armure et le cadavre de L’Ork dedans. La céramite impact l’acier dans un choc sonore. Le Nob mort toucha enfin le sol, face en avant, défait. Dord escalada son cadavre et commença à faucher ceux qui approchaient de lui pour en découdre. Juché sur le monticule de cher en train de se vider de son sang, il défiait quiconque de l’approcher et de le défaire dans un combat singulier. Il décapitait, estropiait et tuait tous ceux qui venaient à sa rencontre, complètement à découvert. Le chapelain Markus, et Karl, de nouveau son lance flammes en main, venaient l’appuyer. Les Gardes derrières le talus tiraient à volonté, le bolter lourd sur pieds venaient lui aussi raser de rafale courte le fond de l’avenue gorgée d’Orks hurlants.

Dord était un pilier, un phare dans la nuit pour ceux qui cherchait la puissance de l’Imperium. Sans un regard derrière elle, la femme finit sa course vers la ligne impériale en courant et trébuchant sur les gravats de la rue alors que les canons du Leman Russ hurlaient eux aussi.

 

Brüner retourna à couvert, il avait vu tout ce qu’il venait de se passer. La scène était d’une beauté froide et sourde mais saisissante. Ses hommes retenaient pour l’instant l’avancée ennemie mais ils devaient faire mouvement, leur combat ne se trouvait pas ici.


-Monseigneur, une force impériale demande une assistance d’urgence, ils rapportent un engagement avec des troupes d’élites Ork, et un chef de guerre inconnu. Hurla un radio derrière le lieutenant.

-Où ça ?! Explosa de rage Brüner.

-Treize kilomètres, sud sud-est monseigneur. Lui répondit le radio terrorisé par l’excès de violence verbale du sergent Astartes. Puis il pointa un index vers le plafond du niveau de la cité Ruche. Au-dessus de nous, ajouta-t-il.

 

Brüner n’avait pas d’autre choix. Il devait s’y rendre le plus vite possible. Il regarda le tout jeune lieutenant devant lui et prit sa décision :


-Lieutenant, vous êtes maintenant en charge de cette ligne de bataille. Tenez vos positions aussi longtemps que vous le pourrez. Renforcez vos flancs et ne vous laissez pas déborder. Vous devez évacuer le maximum de civils de la zone de guerre, mettez en place vos couloirs de tirs et une colonne d’évacuation vers les portes de la ville, il en va de votre honneur.

Le lieutenant abasourdi ne put que hocher de la tête.


-Ça sera fait monseigneur. Jusqu’à la mort.

 

Konrad pressentant un mouvement du reste de l’escouade était déjà parti en avance repérer un chemin sûr vers les niveaux supérieurs. Alors qu’il annonça qu’il avait trouvé un chemin, Brüner regarda vers le ciel pour ne voir qu’un plafond de béton et d’acier, littéralement le sol du niveau supérieur de la Ruche. Les combats au-dessus devaient être âpres, les explosions, les cris et les débris qui tombaient par grappes venaient s’écraser au sol, deux cent mètres plus bas. Quoi qu’ils trouvent au-dessus d’eux, là-bas était leur destin. Comme un écho à ses pensées, le jeune lieutenant ordonna un tir de couverture, alors que l’escouade d’Astartes sortirent à découvert, pour rejoindre les niveaux supérieurs, alors que dans leurs dos, la bataille faisait rage.

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