Vampire for ever
La jeune femme fut réveillée par son réveil, elle poussa un juron et tira sur la prise, ce qui eu pour effet d'éteindre complètemment le bruit qui lui cassait les oreilles. Elle enfouis sa tête plus profondément dans la couverture et ferma les yeux, préssée de retrouver le monde des rêves. Malheureusement pour elle, sa camarade de chambre se leva et alluma la lumière.
- Debout Yuki ! lui dit-elle en enlevant la couverture du lit de son amie, tu vas être en retard en cours !!!!
Yuki, qui avait désormait 16 ans, poussa un grognement.
- Je vais sécher les cours aujourd'hui, Yori, alors je peux bien me rendormir ! dit-elle.
Yori se campa devant elle, mains sur les hanches et décidée.
- Mademoiselle Yuki Cross ! cela fait trois jours que vous n'êtes pas allée en cours, et que vous restez là la journée à comater et la nuit à partir je ne sais où ! Alors maintenant vous allez vous lever, vous laver, vous habiller et vous allez aller en cours !!!!!!
Yori ne se fâchait pas souvent, et quand elle le faisait, mieux fallait-il écouter se qu'elle disait. Yuki se leva et traînant des pieds, alla dans la salle de bain où elle pris une douche brûlante, se lava les cheveux les dents et mis son uniforme. Elle se regarda dans le mirroir, et entrepris de se brosser les cheveux. Ils étaient lisses, fins, doux et très facile à démêlé, ils lui arrivaient jusqu'à la taille et elle en était fière.
Elle sortit de la chambre avec son amie, de meilleur humeur, et se dirigea vers la salle de cours. Elle marcha calmement, n'affichant aucune émotion, les yeux dans le vague. Elle croisait quelque élèves dans les couloir et surpris une de leur conversation.
- Tu savais que shadow avait encore frapé ? demanda une petite brune à son amie.
- Oui, répondit la blonde, le regard brilland, il parraît qu'ils ont essayé de l'attraper, mais ils n'ont pas réussis !
Yuki se tourna vers Yori, ses yeux l'un violet et l'autre rouge exprimaient de la surprise.
- Qui est Shadow ? lui demanda-t-elle.
Yori pris son air sérieux, celui qu'elle prennaît quand elle était inquiète ou soucieuse.
- Eh bien, commença-t-elle, certain disent que c'est une justicière et d'autres disent que c'est un démon venus pour faire régner la terreur, mais tu sait ce que j'en pense des gens qui disent ça.....enfin bref, cette fille est toute vêtu de noir et opère généralement la nuit, elle va chez des riches avares et cruels, leur vole leurs biens et les apporte à des gens dans le besoin, comme des orphelinats, des hopitaux etc.....Mais, les riches se sont tous ligués contre shadow et ont engagés des personnes surentraînés qui tentent de la capturer ou de la faire disparaître.
Yuki réfléchis les yeux dans le vide, puis au bout d'un certain temps se tourna vers son amie.
- Je ne pense pas que Shadow soit une mauvaise personne, conclut-elle en souriant.
Yori ouvrit grand les yeux : depuis combien de temps n'avait-elle pas vue Yuki sourrire ainsi ! elle lui sourit à son tour, heureuse que son amie ai cette expréssion.
Elles arrivèrent devant la salle de classe un peut avant le professeur et quand Yuki entra, toutes les voix se turent et Zero, leva la tête. Quand il l'a vit il se leva et la toisa de son pupitre de ses yeux gris. Yuki soutint son regard sans broncher, et se dirigea à sa place comme si de rien était. Elle s'assit, prennant bien soin d'enlever toutes les punaises que l'on avait mis sur sa chaise et resta bien droite, impassible. Elle n'avais pas peur des autres, elle les regarda avec dédain jusqu'à ce qu'une voix retentit dans la classe.
- Oh ! mais voilà donc Yuki Cross ! la fille qui sous prétexte est la fille du directeur, sèche les cours pendant trois jours ! elle n'a pas peur des heures de colle ? Non puisque c'est la fille du directeur !
Yuki savait exactement qui avait parlé, elle se tourna vers le délégué de classe et lui lança un sourire narquois.
- Au lieu d'ennuyer toute la classe avec tes petits gémissements, vas voir dans la night class si Ruka y est, lui dit-elle en détachant bien chaques sylabes.
Il la fusilla du regard, et elle lui adressa un sourire froid et effrayant. Le sang du délégué se glaça dans ses veines et il se retourna en proie à une haine, une peur et une honte terrible. Yuki sourit, satisfaite puis reprit son air impassible.
La journée passa très lentement. Toute la journée, Yuki avait sentit le poids des regards du délégué et de Zero dans son dos, mais elle continuait à se tenir droite et forte. Puis à la fin des cours, le directeur l'avait fait appellée. Elle était arrivée, en proie à un malaise étouffant. La jeune femme toqua trois coups bref, avait entendu un "entre" lent et grave qui en disait long sur ce que voulait le directeur, et s'était engoufrée dans la salle.
Le directeur était assis devant son burreau, la mine grave et les traits tirés, les mains croisées devant son nez les coudes posés de chaque côtés d'une fissure sur le burreau. Si les circonstances n'avaient pas été si dramatiques et sérieuse, Yuki aurait sourit. Elle se posta juste devant le burreau du directeur, soutenant son regard, droite comme un "I" le regard peçant. Le directeur ne tint pas longtemps, il enleva les lunettes de son nez et se frotta vigoureusement le front, et passa une main sur son visage avant de remettre ses lunette, il souffla bruyamment et leva les yeux vers sa fille adoptive.
- Que vais-je faire de toi, murmura-t-il.
La remarque fut pire qu'une gifle et la colère commença peut à peut à envahir la jeune femme. Elle ne laissa pas une seule expression transparaître se contenta seulement de soupirer et de s'asseoir sur un fauteuil, en proie à un vertige. Elle se massa les tempes, et devant l'inquiétude de son père elle haussa les épaules.
- Ce n'est rien, je réfléchis c'est tout, murmura-t-elle.
Le père de Yuki parrut se rasséner puis Yuki ajouta avec sérieux.
- Je ferais les tours de gardes, puis la transitions des deux classes, ce seras ma punition...
Il la regarda, essayant encore une fois de percer l'ésprit de Yuki à jour, mais n'y parvint pas, puis il se leva et alla regarder par la fenêtre, de là, il voyait toute l'académie.
- Vas pour cette fois, mais la prochaine fois tu seras très sévèrement punis, lui dit-il, me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui monsieur le directeur, répondit-elle.
Elle s'apprettait à repartir quand le directeur la stoppa, elle se retourna et il lui dit, en la regardant dans les yeux.
- Je serais toujours là pour toi, si tu as besoin de me parler où quoi que ce soit d'autre, n'hésite pas, je suis là pour ça.
Elle lui offrit un pauvre sourire.
- Oui, papa.
Elle partis sans rien dire d'autre. Le directeur attendit qu'elle soit assez loin, puis, il fondit en larmes.