Dreams
Chapitre 2 le néant
Je revoyais la scène où pendant des heures je suis restais devant le corps sans vie de Zero qui virait au le blanc pur, son visage semblait serein voir presque heureux... Son torse ne dégagerait plus jamais cette douce chaleur que j'aimais tant... Il ne lancerait plus de regards meurtriers à Kaname-sempai, je ne pourrais plus l'embrasser ni toucher son visage. Il ne me restait plus que mes yeux pour pleurais la personne que j'aime, la personne que j'ai tué de mes propres mains. Je n'ai plus à rien à faire en ce monde où, mon future n'est plus que le néant, un néant sans fin ni retour. La fenêtre de ma chambre m'appelé, au travers de la vitre je pouvais apercevoir le crépuscule rouge sang, sauté d'une fenêtre semblé facile, court et efficace ; le vent s'engouffra dans mes cheveux puis...
Je me suis réveillé dans un hôpital, à mon chevet il y avait Kaname-sempai qui n'a pas arrêté un instant de blablater de choses qui n'avait aucun sens pour moi, les quelques pensées qui me restait, étaient toutes tournées sur comment en finir pour de bon. Partir de ce monde était mon rêve, mon désir le plus profond. Les jacassements incessants de Kaname-sempai commençaient à me donner un sérieux mal de tête, tout à coup une douleur aiguë à mon cou attira mon attention. Je touchais mon cou, il y avait une morsure de vampire, mais pas à l'endroit où Zero avait bu mon sang... Je regardais Kaname-sempai avec des yeux ahuris.
- Quand tu as sauté (le mot lui arracha une grimace) Aïdo t'a sauvé la vie en te rattrapant de justesse, et il en a profité pour boire ton sang. Heureusement je suis arrivé avant qu'il ne te tue pour de bon.
Le mot heureusement était inapproprié, la seul et unique chose que je voulais étais mourir le comment m'importait peu, l'important était le résultat. Après ce qui m'a semblé des heures Kaname-sempai se décida enfin à partir, alors qu'il se trouvait juste devant la porte il s'arrêta, il semblait hésité, puis après un lapse de temps indéfini il ouvrit la porte et parti. Un soupir de soulagement m'échappa, mais mon contentement fut de bien courte durée. Quelqu'un toquait déjà à la porte, un nouveau soupir m'échappa. La personne qui se dressait devant moi était Aïdo.
- Bonjour Yuki, je viens m'excuser de cette attitude inadmissible, je n'aurais...
- La seul chose que tu as à te faire pardonner, et le fait que tu m'aies sauvé la vie en me rattrapant, et qu'ensuite tu ne m'es pas tué en me vidant de mon sang.
Aïdo me regardait d'une façon bien étrange, un mélange de stupeur d'angoisse d'envie et ... Plongé dans mes pensées je n'avais pas remarqué qu'Aïdo c'était rapprochait de moi, et qu'à présent il me tenait la main, il la lécha puis il y introduit ses crocs, après ma main il se rapprochait de mon cou, quelle chance que les vampires aiment tant mon sang, il me lécha le cou mais...
- Yuki je ne suis pas venu ici pour te vider de ton sang, mais plutôt pour te dire quelque chose.
Je le regardais perplexe, que voulait-il ? Il plongea son visage vers le mien puis il m'embrassa. J'essayais de le repoussé mais peine perdu, il était bien plus fort que moi. Je me laissais donc faire telle une gentille fille, dans son hélant il était monté sur mon lit, sa respiration était irrégulière et il semblait surexciter. Puis il s'arrêta, il semblait frustré, une personne toqua à la porte qui s'ouvrit, c'était une infirmière venu prévenir Aïdo que les visites étaient fini. Ils partirent, enfin la paix. Je sombrais déjà dans un sommeil profond.
Je revoyais la scène où pendant des heures je suis restais devant le corps sans vie de Zero qui virait au le blanc pur, son visage semblait serein voir presque heureux... Son torse ne dégagerait plus jamais cette douce chaleur que j'aimais tant... Il ne lancerait plus de regards meurtriers à Kaname-sempai, je ne pourrais plus l'embrasser ni toucher son visage. Il ne me restait plus que mes yeux pour pleurais la personne que j'aime, la personne que j'ai tué de mes propres mains. Je n'ai plus à rien à faire en ce monde où, mon future n'est plus que le néant, un néant sans fin ni retour. La fenêtre de ma chambre m'appelé, au travers de la vitre je pouvais apercevoir le crépuscule rouge sang, sauté d'une fenêtre semblé facile, court et efficace ; le vent s'engouffra dans mes cheveux puis...
Je me suis réveillé dans un hôpital, à mon chevet il y avait Kaname-sempai qui n'a pas arrêté un instant de blablater de choses qui n'avait aucun sens pour moi, les quelques pensées qui me restait, étaient toutes tournées sur comment en finir pour de bon. Partir de ce monde était mon rêve, mon désir le plus profond. Les jacassements incessants de Kaname-sempai commençaient à me donner un sérieux mal de tête, tout à coup une douleur aiguë à mon cou attira mon attention. Je touchais mon cou, il y avait une morsure de vampire, mais pas à l'endroit où Zero avait bu mon sang... Je regardais Kaname-sempai avec des yeux ahuris.
- Quand tu as sauté (le mot lui arracha une grimace) Aïdo t'a sauvé la vie en te rattrapant de justesse, et il en a profité pour boire ton sang. Heureusement je suis arrivé avant qu'il ne te tue pour de bon.
Le mot heureusement était inapproprié, la seul et unique chose que je voulais étais mourir le comment m'importait peu, l'important était le résultat. Après ce qui m'a semblé des heures Kaname-sempai se décida enfin à partir, alors qu'il se trouvait juste devant la porte il s'arrêta, il semblait hésité, puis après un lapse de temps indéfini il ouvrit la porte et parti. Un soupir de soulagement m'échappa, mais mon contentement fut de bien courte durée. Quelqu'un toquait déjà à la porte, un nouveau soupir m'échappa. La personne qui se dressait devant moi était Aïdo.
- Bonjour Yuki, je viens m'excuser de cette attitude inadmissible, je n'aurais...
- La seul chose que tu as à te faire pardonner, et le fait que tu m'aies sauvé la vie en me rattrapant, et qu'ensuite tu ne m'es pas tué en me vidant de mon sang.
Aïdo me regardait d'une façon bien étrange, un mélange de stupeur d'angoisse d'envie et ... Plongé dans mes pensées je n'avais pas remarqué qu'Aïdo c'était rapprochait de moi, et qu'à présent il me tenait la main, il la lécha puis il y introduit ses crocs, après ma main il se rapprochait de mon cou, quelle chance que les vampires aiment tant mon sang, il me lécha le cou mais...
- Yuki je ne suis pas venu ici pour te vider de ton sang, mais plutôt pour te dire quelque chose.
Je le regardais perplexe, que voulait-il ? Il plongea son visage vers le mien puis il m'embrassa. J'essayais de le repoussé mais peine perdu, il était bien plus fort que moi. Je me laissais donc faire telle une gentille fille, dans son hélant il était monté sur mon lit, sa respiration était irrégulière et il semblait surexciter. Puis il s'arrêta, il semblait frustré, une personne toqua à la porte qui s'ouvrit, c'était une infirmière venu prévenir Aïdo que les visites étaient fini. Ils partirent, enfin la paix. Je sombrais déjà dans un sommeil profond.