Une lumière parmis les ténèbres
Sans s’en rendre compte, William était déjà à son niveau, regardant sa cicatrice.
« Ce n’est pas joli à voir »
Par peur, Louka le repoussa brusquement, le faisant tomber par terre.
« Part je te dit ! Sinon je vais te tuer ... »
Crack. La douleur s’est transformé en fracture ouverte. Louka cria de douleur, suite à ça, son kagune jaillit.
« Tue-le »
« C’est une menace »
« Tu vas le regretter »
La voix emplit son esprit et pris le contrôle de Louka. Mais il put articuler quelques mots : « sauve-toi »
William compris que ce n’était pas de la plaisanterie, et se remit debout avant de courir. Tout cela était irréel, pourtant la menace était bien là. Il fut éraflé par les griffes envoyé par cette immonde chose qui sortait de son corps. Il ne pouvait pas que courir. Déjà qu’il commençait a être essoufflé, la créature ne ressentait pas le moindre effort, détruisant les arbres de la forêt avoisinante dans laquelle William c’était réfugié. Il devait faire quelque chose.
Il s’arrêta, et fit face au Louka possédé, dont le visage se barra d’un rictus terrifiant, comme pour annoncer le début de sa mort.
« As-tu donc compris qu’il ne servait à rien de courir ? Tu es plus intelligent que ce que je ne pensais »
La voix émise par le corps de Louka n’était pas la voix de Louka. Cette chose était ce que cachait Louka ? N’empêche, ce ne fut pas le moment de penser à cela. Ce n’est pas comme si une créature possédant un de tes amis avait envie de te tuer !
‘‘Louka” fonça sur William, qui se décala à temps pour ne pas être lacéré par les dents pointues qu’arborait le monstre. Mais un coup traire le mit à terre, mais par chance, sans trop de blessure grave.
« Je me demande si tu supporterais la torture » ricana la voix
Louka n’était qu’un piètre spectateur qui regardait cette scène horrible. Malgré le rejet qu’il faisait envers les autres, William fut le seul à l’accepter et à lui parler. Il ne voulait pas qu’il ait une fin comme celle-ci. Il commença à lutter, empêchant la voix de faire ce qu’elle voulait faire de William. Celle-ci cria, dans sa tête tout comme à extérieur, mais il ne lâcha pas. Il put reprendre un maximum de contrôle pour s’éloigner et partir rentrer chez lui.
« Ta prochaine torture sera pire »
Ce fut les derniers mots de la voix avant de se taire. Louka, encore sonné par cette expérience, s’endormit tout habillé, sans vérifier s’il avait bien fermé la porte de chez lui.
Quand il se réveilla, des médecins en blouses noires l’entouraient. Il était attaché par des bandes de cuir aux mains, pieds et cou. Il voulut se débattre, mais rien n’y faisait, resserrant juste de plus en plus ces étaux.
Ces étranges hommes l’observaient. Ou plutôt, l’examinait.
« Tu crois qu’on pourrait ... ? » demanda un des médecins a son collègue.
« Bien sûr » répondit celui-ci, un sourire sadique barrant son visage.
Louka eu des sueurs froides. Ces hommes n’ont pas l’air d’être les médecins, mais des chercheurs fous ! Il se débattit encore plus, la peur guidant ses mouvements. La douleur a son bras s’accentua, et ses membres devinrent violets tellement l’étau serrait fort.
Ils firent amener l’objet de sa torture quotidienne : la seringue remplie d’une substance verdâtre. Louka cria à l’approche de celle-ci. Les chercheurs la plantèrent dans son cou, puis laissèrent couler la substance à l’intérieur de lui, qui le paralysa de douleur.
Il ne se contrôlait plus. Son œil valide devint aussi noir que ses cheveux, et sa pupille devint rouge comme le sang qui giclait de son dos au moment où son kagune sorti de force. Il s’affola, et tout devint trouble devant lui. La voix était assourdissante
« Tue-les »
« Massacre-les »
« Nourrit-toi »
« Venges-toi »
Un étrange sentiment de colère dévastatrice s’empara de lui, le plongeant dans le noir complet. Les chercheurs avaient disparu, remplacé par ses peurs. Ses ombres.
Elles abordaient encore ces mèches longues et mal coiffés sur ce visage souriant terrifiant, mais elles ne parlèrent pas, ni ne bougèrent. L’ambiance était glauque.
Il reprit le contrôle de lui-même. Il était toujours taché de sang.
Ben s’avança sans prévenir, arrivant rapidement à la hauteur de Louka. Celui-ci le regarda avec un air interrogatif. Soudainement, le gamins sorti cette maudite seringue de ses cauchemars.
« Crève douloureusement connard ! » cria-t-il avant de rabattre la seringue sur le pauvre jeune homme.
Louka attendit que la douleur arrive. Mais elle ne vint pas. A la place, une main le tira par l’épaule, faisant manquer sa cible au gamin, qui jura. Il voulut alors se retourner pour savoir à qui appartenait cette main ...
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suspence suspence ! haha ^^ ce chapitre est plus court que d'habitude, mais la suite est en cour d'écriture ! courage :D
comme je vous le dit tout le temps, j'adore le fait que des gens lisent ma fic *^* et j'espère que celle-ci vous plais bien ^^ (ah et ne soyez pas timide, et lâchez un petit commentaire :D)