Une lumière parmis les ténèbres
La sonnerie sonna. Il fut assaillit par un groupe de garçons
“hé William ! Si j’ai bien a conseil a te dire, c’est de rester loin de ce gars, dit un des gars en montrant Louka du menton,
tu voit la place libre que tu as prise ? C’était la place d’un des nôtres, et il est disparut depuis qu’il a persécuté Louka. Fait gaffe, frère”
Et ils partirent. Il regarda Louka, qui regardait par la fenêtre, et la place libre. Pas de doute, ces propos se confirment de plus en
plus. Juste a savoir qu’est-ce qu’il se cache sous ce bandeau...
“Monsieur Lewis, veillez aller à votre place” lui fit une petite voix derrière lui. Mme Catin, la professeure d’histoire , bloquée par la taille imposante de William, essayait de passer.
“excusez moi” lui répondit-il en allant a sa place.
Et la journée passa normalement pour Louka. Il avait entendu les garçons dire a William de ne plus lui parler, ce qu’il enchantait ! Il ramassa ses affaires et partit le plus vite possible pour éviter d’être pris dans le troupeau d’élève qui rentrait chez eux.
Arrivé sur le palier, il chercha ses clés dans son sac, quand une main se posa sur son épaule. Il fit un bond et se retourna
“m-mais tu es fou !”Cria-t-il sans faire exprès,
“désolé, mais j’habite a côté, toi aussi ?”
“hein ?”
William pointa la porte voisine qui était ouverte
Fils de policier hein? pensa Louka en voyant la porte de son voisin policier ouverte.
“t-très bien”
Louka s’empressa de trouver, ses clés, et d’ouvrir la porte. Il s’empressa d’entrer.
“pourquoi tout le monde veux que je t’évite ?” dit-il, se qui arrêta Louka dans son l’élan
“et qu’est-il est arrivé a ce gars dont j’ai pris la place ?”
Louka se retourna, et le regarda avec un air sérieux :
“je ne te conseille pas de savoir”
Il rentra alors dans son appartement sans rajouter un mot.
William sourit. Il tenait le bon bout. Mais un étrange sentiment s’insinua en lui. Il commençais a bien l’apprécier, Louka, malgré qu’il est quand même un type bizarre.. Mais il doit aider a l’enquête que mène son oncle avant tout. Il veut la résoudre sans a avoir besoin d’aide de la police, c’est le défit qu’il c’était mit dans la tête quand il est tombé sur l’Estropié hier soir.
Louka balança son sac sur son lit, et frappa le premier mur a porté. Un beau trou se forma, étant donné qu’il a une force sur-humaine.
“merde”
Il commençais a regretter de lui avoir répondu. Il est le rejeton du policier voisin, il est sûrement en train d’enquêter sur l’Estropié, et il doit le tenir en tant que suspect. La douleur de son bras lui arracha un cris étouffé.
“je t’avais prévenu”
Cette voix ne sortait de nul part, mais Louka la connaissait très bien
“fou moi la paix”
“tu doit rester seul, Louka.”
“....lâche-moi”
“tu aura cette douleur tout le temps que ce type existera. Tue-le, et tu sera libéré”
Il eu un blanc
“... Je ne peux pas faire ça”
La douleur s’accentua, le faisant tomber par terre dans un lourd fracas.
“... J’ai promis... de ne pas... tuer les jeunes... seulement ceux qui... sont en fin de vie...”
Son kagune, son organe de goule commençait a sortir de son dos, cette chose que chaque goule possède, qu’il a hérité de son père, il la détestait tant.
Louka était une goule que les colombes au japon qualifieraient d’ailée, du fait que son kagune ressemble a une énorme aile noire au veines rouges monstrueuses, lançant des sortes de griffes rougeâtres transperçant tout.
“que les vieux ? Et les deux enfant que tu a tuer la dernière fois ? Et ta mère ?”
“...je ne les...ai pas t...”
“Si tu les as tous tué Louka !! Tous !!”
La voix se déchainait dans la tête de Louka. Il se recroquevilla sur lui même, luttant contre la douleur de son bras, des voix dans sa tête et de son kagune qui lui transperçait le dos. Il poussa un cri de douleur au moment ou son celui-ci sorti entièrement. Son envie de chair fraiche s’accentua. Il se leva, contre son grès, la voix le contrôlant. Il sortit de chez lui, laissant des empruntes de griffes terrifiantes sur le papier peint. Et se rendit chez William. La porte fut défoncée. Personne a l’intérieur. La voix étant désorientée, Louka repris un peu le dessus sur son corps. C’était un vrai champs de bataille dans a tête. Il se cogna contre tout les murs, créant des crevasses a chaque percussion.
La voix perdit de sa force, et Louka redevint maître de son corps. Son Kagune commença a retourner d’où il venait.
“tu ne t’en sortira pas aussi bien, Louka. Souvient toi, la douleur persistera tant que tu ne l’aura pas tué”
Puis la voix se tue, pour ne plus revenir, laissant place a de faibles migraines. Son T-shirt était foutu, et les cicatrices d’où était sorti son organe furent vite guérie. Le sang répandu sur le sol fut vite dissipé, et la douleur au bras s’estompa. Louka se laissa tomber sur son lit. Il était fatigué de ce combat.
Il dormit paisiblement cette nuit là.
Il se leva, fit sont lit, le lava, s’habilla.. Toute les choses quotidiennes du matin.
Un fois l’heure de partir arrivé, il sorti de chez lui. Les crevasse qu’il avait créés n’étaient pas très grande, on pourrait croire que quelqu’un avait cogné le mur avec un meuble.
“ ‘lut”
Voilà qu’un William sauvage apparaît.
“bonjour”
Et après cette réponse, il parti aussi vite qu’il est venu.
La douleur du bras lui faisait mal, mais il s’en habitua assez vite.
“tu savais qu’en rentrant chez moi, j’ai retrouvé ma porte d’entrée a l’autre bout de l’appart’ ?”
“raconte pas de connerie” grogna-t-il, énervé qu’il l’ai suivi.
“je ne raconte pas de conneries ! Je te jure que c’est vrai ! Même que des traces de griffes sur le papier peint ont été retrouvé sur le palier et chez moi, ainsi que des sorte de trous dans les murs !”
Mais c’est qu’il avait l’esprit qui détectait chaque petit changement le bougre !
“je croyais a un déménagement”
Ils ne s’échangèrent pas plus de mots. Pour William, il était sûr que Louka avait quelque chose a cacher. Et il voulait a tout prix le découvrir. Mais au moment où il pensa cela, une sorte d’étrange sentiment désagréable s’installa en lui. Regrettera-t-il après avoir su ? Mais sa détermination pris le dessus.
“Louka ?”
“hum?”
Il hésita avant de lui poser la question
“tu ne saurais pas ce qu’il se serais passé, hier soir, par hasard?”
Louka posa sa main sur son bras douloureux et regarda ailleurs.
“pourquoi me poses-tu cette question ?”
William le regarda longuement avant de répondre
“... Comme ça”
Ils furent arrivés peu de temps après.
La journée se passa comme une journée habituelle pour Louka, heureux que William l’ai laissé tranquille toute la journée. Ce fut comme cela jusqu’à la fin de la semaine.
Il avait prit l’habitude de rentrer avec William, même s’ils ne se parlaient pas vraiment. William avait arrêté de lui poser des questions bizarre sur le dernier incident, à croire qu’il a abandonner son suspect.
Nous sommes vendredi, et ce jour est le jour ou Louka doit partit a la recherche de sa proie. Il passa une soirée normale, jusqu’à ce que minuit vient. Il s’habilla avec ses vêtement de chasse, enleva son bandeau puis sorti par la fenêtre.
L’air glacé en cette nuit de janvier lui fit du bien. Il aimait prendre l’air dehors comme ça. Il se mit a courir sur les toits en direction d’une maison de retraite près avoir prit un bol d’air frai. Contrairement a ce qu’on aurait pu penser, les personnes âgées sortaient la nuit imprudemment, ce qui évitait a Louka de rentrer dans les maison. Il repéra facilement un vieillard faiblard dans une rue déserte. Il observa ses mouvement, très lent, avant de descendre a sa rencontre. Le vieillard, en voyant la blessure de l’Estropié commença a paniquer, mais ces mouvement lents laissèrent le temps a Louka de rédiger une prière envers l’âme de ce vieux monsieur, avant de se jeter a son cou. Le repas fut rapide, étant donné que le vieillard n’avait plus grand chose sur les os...
Il s’essuya la bouche, prit les restes du monsieur qu’il n’avait pas put manger (vêtements, certains os...) , et les emmena hors de la ville, les enterra et récita une prière.
“c’est ainsi que tu procède”
Cette voix pétrifia Louka. William. Mais comment a-t-il su...!??
Mais Louka resta dos a lui, ne voulant pas montrer son visage.
“tu me tutoie comme si on se connaissait”répondit Louka, essayant de tromper William. Mais ce n’était pas chose facile !
“Louka”
La réaction de l’Estropié fut nette et visible. Il se raidi, et fut parcouru de frissons, la douleur à son bras enflant. Ce n’était pas bon signe.
“retourne-toi, s’il te plais”
“part”
“non”
“je risque de te tuer”
“m’enfou”
A contre coeur, Louka se retourna. Il n’arborait pas encore son oeil noir, mais cela ne tarderait pas a revenir, la voix commençant a reprendre du volume
“tue-le”
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voiilaaa pour le 2ème chapitre !! j'espère que cela vous plais *3* si ça vous plais, ça me fait extrèmement plaisir ! bref, rendez-vous a prochain chapitre !