Une lumière parmis les ténèbres
Il devait être... 23H ?
William avait un peu trop bu, lors de la fête de bienvenue que son oncle policier avait organisé pour lui. Il avait dût les quitter plus tôt, pour cause de mal de tête, mais il aurait dût demander ou se trouvait la maison de son oncle. Il ne connaissait rien ici et ne trouva pas un chat quand il voulu chercher quelqu’un pour l’aider a se repérer. Mais un bruit attira son attention. Il provenait de la ruelle a gauche a même pas 100 mètres de lui. Il y alla et ce qu’il trouva le paralysa :
Un homme tenant un bras ridée de vielle dame entre ses dents, le mâchant pour ensuite l’avaler tout cru avec les os. Au sol, un corps de grand-mère dépecé et du sang partout. L’homme portait un sweater noir rayé de blanc ( et accessoirement taché de rouge ) avec un pantalon noir et les chaussures assorties. Il avait la capuche rabattue sur sa tête. Même sans voir celle-ci, il devina qui était ce personnage : le tueur cannibale, plus connu sous le nom de l’estropié du fait de son absence de globe oculaire et de l’horrible cicatrice qui a remplacé celui-ci. Il ne sembla pas qu’il ai remarqué la présence du jeune homme.
Malgré la possible chance de fuite, William ne bougea pas, pétrifié, la main sur son portable hésitant a appeler son oncle policier.
Une fois que le cannibale eu finit de manger, ne laissant rien hormis une flaque de sang, il remarqua enfin le jeune qui le regardait. Il se mit face a lui et le regarda sans trop intérêt, lui dévoilant son œil estropié.
William n’en croyait pas ses yeux. Il pensait sur le moment qu’il en était finit de lui, mais au lieu de ça, l’homme parti sur le toit voisin en grimpant au mur d’une façon sur-humaine.
“cela ferait une bonne creepypasta” pensa William tout haut, n’ayant pas encore réalisé l’importance de ce qu’il a vu.
Mais il aurait juré qu’une flamme rouge inquiétante flottait dans la cavité de sa cicatrice, et que le blanc de son œil valide était noir.
* * *
Louka courait dans les rue. Il était poursuivi par des ombres. Des ombres sans formes.
”tu ne mérite pas la vie”
“meurt”
“crève”
“les goules n’ont aucun droit de vivre !”
Il les fuyait, ses ombres. il devait a tout prix s’en débarrasser
“je te renie !”
Cette phrase le fit se retourner. Cette voix lui était familière. C’était la voix de sa mère. Elle se tenait devant lui, les cheveux en bataille cachant son visage
“tu n’est pas mon fils”
Cette phrase le laissa interdit. Cette phrase était sa plus grande peur.
“tu n’est qu’un meurtrier”
Cette voix venait de derrière lui. Il se retourna et vit le petit garçon qui était son meilleur ami a l’école primaire, Ben, qui avait perdu la vie.
“nous sommes mort a cause de toi”
Cette voix appartenait à l’autre enfant mort avec Ben. Jessica, qui était une beauté a en devenir.
Tous avait le visage caché parmi leur mèches de cheveux anormalement longues. Puis ils se multiplièrent, l’encerclant alors.
“dégage”
“crève”
“suicide-toi”
“fils de chien”
“pisseux”
“meurtrier”
“meurt”
“souffre”
“disparait”
“tu ne sert a rien”
Les ombres qui l’encerclaient répétaient sans cesse ses phrases. Une migraine l’envahie, ses mots prononcé résonnèrent dans sa tête, ce qui le força a prendre sa tête entre ces mains et a se mettre en boule. Il vit alors les visages de ses tourment : noir avec deux boules blanche a la place des yeux, et un sourire effrayant ornant leur visage. Il cria de douleur, de peur, de haine, de tristesse. Tout cela, il le devait a son père, qui lui avait donné cette “faculté” de seulement se nourrir de chaire humaine, de l‘impossibilité de se suicider et cet œil estropié.
A cette pensée, ses migraines disparurent, les ombres autour de lui avec. Il se releva et regarda autour de lui. Un homme en noir, le visage caché par un chapeau et un long manteau cachant toute description physique, se tenait devant lui. Il sentait qu’il l’épiait.
Un frisson lui parcourra le dos quand il vit l’homme sortir une seringue et un drôle d’instrument ressemblant a une tige de fer. Sa blessure a son œil droit le lança soudainement horriblement, comme si elle avait été en feu et il du se tenir le visage avec les mains, espérant stopper la douleur. Il cria a s’en arracher les cordes vocales, et des images de torture lui revinrent a l’esprit.
Après quelques minutes, qu’il croyait des heures, de souffrance il releva la tête et vit le jeune homme qu’il a épargné le soir même lorsqu’il l’a surpris pendant qu’il mangeait. Il lui tendait la main. Il tendit alors le bras, et la seringue de l’homme noir s’enfonça dans son bras, lui arrachant un dernier cris de souffrance.
* * *
Louka se réveilla en sursaut. Il se tenait le bras gauche et son œil droit. Il ressentait encore la douleur causée par ces souvenirs douloureux. Néanmoins, il devait se douter de l’homme qu’il a épargner, s’il ne voulait pas se retrouver avec une seringue plantée dans le bras. Il prenait ses rêves très au sérieux. Il se calma, et se décida d’aller prendre une douche pour se changer les idées. Une fois cela fait, il fit sont lit, ouvrit les rideaux et s’imbiba de la douce lumière du matin.
Louka pensait déjà a ce qu’il allait faire dans la journée : écouter les cours, éviter les autres, être seul. Il devait se le répéter chaque matins pour ne rien oublier. Il le faisait pour son bien.
il partit déjeuner, avec encore quelques images de son cauchemar passé. Il vérifia ensuite son sac, puis partit sans oublier de fermer la porte de son petit appartement bon marché. Il partit sur la route menant a son lycée.
La journée commença normalement.
“nous allons accueillir un nouvel élève aujourd’hui, déclara M.Rathier le professeur de maths et principal, il vient de Paris et a dût changer de lycée et de région pour cause personnelles. Veuillez être gentil avec lui”
Louka détourna les yeux du prof et regarda le nouveau venu. Pendant une fraction de secondes, il devint blanc comme un linge, et la douleur de la seringue refit surface.
“je présente William Lewis, reprit le prof, va t’assoir là où il y a de la place s’il te plais, tient devant Louka”
Il montra du doigt la place vide de l’ancien camarade de classe de Louka qui a été déclaré disparut depuis le début de l’année.
William s’installa alors, ignorant les regard admiratifs des filles de la classes ( sauf la déléguée, mais elle est un cas a part ). Louka se força a garder son calme et à contrôler la douleur qui lui lacérait le bras. Il se fit le plus petit possible
“tu ne devrait pas aller a l’infirmerie ?”
Raté
“pourquoi? Lui répondit Louka, je vais bien”
“je ne pense pas, ton bras a l’air de ne pas aller très bien”
Effectivement, son bras saignait.
j’ai du me lacérer le bras en voulant contrôler ma douleur,pensa-t-il
“c-ce n’est rien, répondit Louka”
“moi je dit que tu devrait aller a l’infirmerie”
“Monsieur Lewis, veuillez vous retournez et suivre mon cours, et arrêtez de déranger Louka !”
Il se retourna en grognant, suivi par les regard exorbité des camarades de classes.
“il lui a vraiment parlé ? Demanda une fille”
“il n’était pas au courant, il faudra le prévenir, répliqua un des garçons”
“cessez ses bavardages ! Cria M.Rathier”
La classe se tue alors et le cour repris sont court normal. Du fait de sa nature goule, les lacérations de Louka furent guérie, et le sang sur sa manche disparut.
La pause déjeuné arriva, et comme a son habitude, Louka se dirigeait à la bibliothèque pour réviser pour l’examen final de fin d’année, le bac. Il s’installa a son endroit habituel, mais eu une étrange impression
“tu ne va pas manger ?”
Louka sauta de sa chaise. Mais qu’est-ce qu’il fou ici !
“désolé je t’ai fait peur, s’excusa William, je ne voulait pas”
“ je n’ai pas faim. Et qu’est-ce que tu fait ici ? Tu ne devrait pas aller manger ?”
Ce n’est pas que Louka n’avait pas faim, mais il ne peut pas manger la nourriture humaine, au risque de tout rejeter après.
“je n’ai rien pour manger”
Et ils demeurèrent ici, dans le fond de la bibliothèque, là ou personne n’allait pendant quelques minutes. Mais Louka, supportant peu la compagnie, encore moins de ce gars parce qu’il ressentait a chaque fois qu’il le voyait cette foutue douleur dans son bras, se leva rangea ces affaires et parti a la fontaine a eau où il buvait un peu puis parti pour la prochaine salle de court.
William regarda avec étonnement Louka se lever, lui faussant compagnie. Ah ça ! il n’était pas habitué ! Mais il lui rappelait trop quelqu’un pour qu’il laisse tomber..
“même cheveux, même taille, même allure..” pensa-t-il a voix haute.
“... Et que cache cet étrange bandeau sur son œil droit ? “
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voila pour le premier chapitre ! j'espère qu'il vous a plu ! rendez-vous au deuxième alors :D gros bisous sur vos joues :3