Tel père, Tel fils
Malgrès l'heure tardive du couché, tous les enfants était levés à six heure. C'était le rythme imposé au Bercail. Sam vint les chercher pour le petit -déjeuner. Malgrès le choix qui s'imposait à eux, elle remarqua qu'ils avaient tous choisit la même chose, Charly compris. C'était aussi le même que prenait le lieutenant Halley à ses début au SGC. « Doux Jésus, pensa-t-elle, ils sont tous conditionnée. Ils ne savent même pas choisir ».
Jack vint les rejoindre à sept heure. Il avait passer deux heure à aménager un coins jeux pour les enfants. L'infirmerie n'était pas un lieux, pour les enfants. Charly mourrai d'envis de parler à son père et d'autre chose que de ses dix dernière années. Dans les couloirs, il avait vaguement entendu parler d'un histoire de coeur entre son père et le Colonel Carter. Il se demandait ce n'était que de simple rumeur ou si c'était vrai. Il en avait parlé à cassandra. Elle lui appris que c'était Jack qui semblait reculer et fuir. C'était pour lui une triste histoire alors que lui même cherchait le plus souvent la présence de sa Belle.
SG-1, les Généraux O'Neill et Landry, Charly, Jennyfer et Claire se rasemblèrent à nouveau. Sam avait fourni à Claire un ordinateur au cas où elle en aurait besoin. C'était un portable peu récent, mais utilisable.
- Bien, dit jack, je résume ce qu'il s'est passé hier. Des Salopard enlèvent des enfants à leur parents pour en faire des machines à tuer. Charly, Claire et le lieutenant Halley en font parti. Ils se sont échappés, ont Employé une nourrice pour garder les plus jeunes et maintenant elle entre les mains de vos anciens maîtres. Je me suis tromper quelque part?
Charly était impressionné par la capacité de sont père à résumer une affaire. C'était la première fois qu'il le voyait travailler.
- Bien. Quelqu'un sait où elle est?
- Au Bercail Béta, répondit Charly... Gwendoline peut nous dessiner les plans. Claire pour les modifiés.
- Et qu'est ce que votre groupe cache encore dans son chapeau, demanda sam?
- Je peux recréer mentalement un plan en 3d après avoir vue un plan.
- C'est à dire, demanda Jack?
- Après avoir vu un plan, je peux le visualisé évoluer à l'intérieur mentalement. C'est pratique. Jen... Ben vous le savez. Heidi peut redessiner tout ce qu'elle a vu à l'identique.
- Et je suppose qu'elle connait les plans du Bercail...
- Bêta mon Général, compléta sam.
- Je suppose, répondit Charly. Elle a plus de trois cents cinquante plan en tête.
- On est d'accord. La petite Heidi nous dessine les plans de ... machin là. Claire nous les modifie. Et si On peut me fournir un max d'infos sur ce site.
- Je vais voir dans mes dossiers, mon général, proposa Jennifer.
- Très bien. Je lève la séance. On reprend à treize heure. Je ne vous cache pas que j'aimerai intervenir cette nuit. Rompez.
Au mess, Charly trouva enfin un moment pour parler à son père. Il s'assis devant lui. Il voulait s'excuser d'avoir désobéïs. Jack le regarda. « Je crois que tu as suffisement payer Charly, lui avait-il répondu ». Il était difficile de rompre la glace. Surtout quand on s'appelait O'Neill. Sam vint s'assoir à coté d'eux. Elle avait moins de barrière à abattre.
- Alors Carter, pourquoi être rentrer aussi tôt, demanda jack?
- Erruption Volcanique. Mon général, je suis entrain de travailler actuellement avec la petite Claire, c'est fascinent. Elle a pue accéder au réseau de la confrérie. J'ai penser à un truc concernant Charly. Vous vous souvenez de Avatar?
- Je vous arrête tout de suite Carter, ils est hors de question que je branche mon fils sur cette engin de malheur.
- Mais nous pourrions voir ce qu'il vois?
- La dernière fois que nous avons brancher quelqu'un sur cette chose, Teal'c a faillit passer l'arme à gauche.
- On ne le branchera pas en mode jeu mais exploration. On pourrai aussi brancher un accompagnateur.
- Alors je marche. Mais ce sera moi le second.
A treize heures, on fit monter Avatar. Charly regarda les plans, puis fut brancher à l'appareil, suivit de son père. Il se retrouvèrent tous les deux dans un monde virtuel et était en contacte avec Sam. Ils avancèrent tous les deux guidé pas sam qui leur donna plus d'information fourni simultanément par Jen et Claire. Ils entrèrent dans un espèce de SAS.
- Colonel Carter, demanda Charly, pouvez-vous nous envoyer des lunettes infrarouge, s'il vous plais?
- Bien sur.
- Merci.
Elle exécuta. Sur l'écran apparut alors des lignes horizontales rouges. Jen précisa à Charly que les lumières était orientée 19/13. A présent, les rayons s'entrecroisaient en ne laissant que peut de place pour passer. Claire chercha le disjoncteur. Elle le trouva. Il était coincé dans la salle de contrôle de l'autre côté de la salle.
- Claire s'est une vitre blindée?
- Oui.
- Il nous faudra un Un sur mille où non, je ne veux même pas y penser, il est trop jeune.
- Il a déjà un meurtre sur le dos, il...
- Si je les ai délivré ce n'es pas pour les ramener sur le terrain. Après lui c'est moi le meilleur tireur. J'aurai besoins du un sur mille.
- Je peu tirer moi proposa Jack.
- Tu peu tirer deux fois dans le même trou à cent mètre?
- Non, mais c'est impossible .
- Claire, j'aurai des course à faire au répère.
- J'y enverrai Gwendoline.
Durant tour l'a près midi, Charly évolua dans ce complexe virtuel. Jack avait fini par ce connaître par coeur. Quand ils furent débranchés, ils passèrent à la technique. Gwendoline fût envoyée au Repère avec Teal'c. C'était un endroit où Jen avait stock des armes en cas de besoin.
Il fut décidé que le groupe serait divisé en deux. L'équipe que Jack surnomma le Bercail et l'autre serai SG-1 avec lui à sa tête. Le Bercail serai dirigé pas Jen puisqu'elle en avait l'habitude. D'après les renseignement de Claire, des enfants étaient prisonnier au second sous-sol. Là, c'était le travail de Charly de les délivrer. SG-1 se chargerait de Sara. Une fois les prisonniers hors de danger. Jack se chargerait de détruire le complexe.
Après la réunion, il fut décidé que tout le monde retrouverai dans la salle de conférence à vingt et une heure. Ils devaient intervenir la nuit.
A présent, Jack voulait connaître les capacité des jeunes du Bercail. Il les emmena dans la salle d'entrainement. Il proposa un combat à main nu avec Charly. Il était vif, précis. Il n'y avait aucun geste inutile. Ce qui embêtait Jack, c'était que chaque gestes de Charly n'avait pour but que de tuer. Et c'était le cas pour Claire et Gwendoline. Jen avait appris à tempérer au SGC. Au tire, tout le monde était précis. Six balls au centre, un trou. Il n'y avait aucun doute, Ses gosses avait été élevés pour tuer. Jack pris son fils à partie. Il voulait connaître ses intentions après que toute cette affaire serai terminé. Il ne savait pas. A dix ans, il voulait être comme son père, militaire. Aujourd'hui, il ne cherchait que la paix. Cassandra, qui avait entendu la conversation vint se blottir dans les bras de Charly.
- Après, il voudra faire l'amour toute la journée et faire plein de bébé, dit-elle en plaisantant.
- C'est ça oui, répondit Jack. Ne dit pas ça à Carter, elle va t'enfermer à double tour.
- C'est pas de ma faute si elle n'est pas capable de se faire son général idiot que je devrait faire pareil.
Elle sortit de la salle accompagner de Charly qui n'avait rien de la conversation. Son père n'avait pas su quoi répondre. Elle semblait satisfaite d'avoir réussi clouer le bec du Général, mais en même temps elle réalisa qu'il allait sans doute être difficile de se faire offrir la nouvelle robe qui était sorti chez Galby. Elle grinça des dents. Il lui fallait trouver quelqu'un d'autre. Elle savait que Sam refuserai catégoriquement. Elle pensa aussitôt à Daniel, mais elle se le gardait sou le coude pour les chose plus importante, comme les place de cinéma. Il ne restait plus que Teal'c. Tout à sa réflexion, Charly lui avait fait remarqué que le général O'Neill l'avait fait demander dans le bureau du général Landry. Elle s'y rendit en prenant soin d'emmener Charly avec elle Elle pensait, sans doute à tord, que Jack n'oserai pas la disputer devant son fils. Elle pénétra dans la salle. Jack l'accueillis avec un grand sourire. « Tu es partie si vite tout à l'heure que je ne t'ai pas offert ton cadeau ». Il y avait un paquet sur la table. Elle le regarda et regarda le général. Ce n'était pas la première fois qu'il lui offrait des présents sans raison apparente. Sa mère, autrefois et Sam, maintenant, le disputait souvent en lui reprochant de trop la gâter. La réponse était pourtant si simple, Cassandra était un peu l'enfant de la base, et Jack avait reporter sur elle tout l'amour qu'il n'avait pas donner à son fils. Elle défit le paquet et sorti la belle robe noire. Elle le regarda.
- J'ai demander à Manuelli Galby s'il voulait bien crée un petite collection rien que pour toi.
- Le couturier Manuelli Galby? Jack c'est génial.
- Papa tu parles de oncle Manuelli ?
- Oui, Charly. Il est devenu un couturier très en vogue depuis presque cinq ans maintenant.
- C'est ton oncle, Charly, demanda Cassandra.
- En fait, Papa et mam...
- Charly essaie d'aborder ce sujet avec elle et je te promet que je jette dans la ka truc.
- Mon général c'est un Kawoosh et vous n'avez pas le droit d'en dévoilé son existence, dit une voix qui fit bondir Jack.
Le colonel Carter était venu voir ce que voulait l é général O'Neill à cassandra. Elle ne s'était pas trompée. Elle avait vue le paquet sur la table. Elle soupira. Elle avait renoncer depuis longtemps à raisonner Jack et les autres militaires de la base. Cassie était sans aucun doute l'enfant le plus gâté de colorado spring. La chambre de cette jeune fille ressemblait à la caverne d'Ali baba. Elle avait souvent les mêmes cadeaux, mais avait mis un point d'honneur à tout garder. Elle vivait sur le principe qu'un cadeaux offert de bon coeur et sans arrière pensé ne se refusait pas, ne se jetait pas, ne se donnait pas et ne se revendait pas. C'était irrespectueux vis à vis de l'offrant.
- Ne vous étonnez pas que si elle devient... comme vous.*
- Comme moi, demanda Jack qui ne comprenait pas où elle voulais en venir.
- Capricieux.
- Moi je suis capricieux?
- Oui,
- Non
- si
- non
- si
- hey, s'écria Daniel, c'est ma réplique.
- Daniel, un problème?
- Tout le monde est prêt.
- On arrive.
Il était temps d'aller à l'armurerie.