Tel père, Tel fils

Chapitre 3 : Le SGC

Catégorie: T

Dernière mise à jour 10/11/2016 09:15

 

Le SGC


Cassandra avait enfin mis la main sur Charly. Elle avait bien remarquer qu'il l'évitait depuis qu'ils s'étaient embraser. Elle voulait savoir ce qu'elle l'avait fait de mal. Il ne savait pas quoi répondre. Comment dire à une fille qu'elle lui faisait perdre ses moyens. Comment lui dire qu'il était dangereux de le fréquenter, qu'il était la mort en personne et que les gens - qui l'approchaient était vouer au malheur. Elle le regarda. Elle voyait bien qu'il était troublé. Il n' y avait rien à dire. Il ressemblait vraiment au Général O'Neill. Elle l'embrassa. Elle ne voulait pas que Charly lui échappe comme je général faisait avec le Colonel Carter.

- Je ne sais rien de toi Charly. Mais ne me rejette pas uniquement parce que tu as peur d'aimer. Ne me rejette pas à cause du lendemain.

Charly la regarda. Il la trouvait adorable. Il déposa un baiser sur les lèvre de la jeune fille. Sa mère lui avait dit un jours que fuir le bonheur c'était fuir la vie. Depuis qu'elle vivait de façon permanente au chalet, il avait pris autre rythme de vie. Sa mère avait apporté plus qu'une présence adulte, elle avait adopté officieusement tous les fugitifs. Elle leur avait apporter le réconfort maternelle qui leur faisait défaut. Il avait même surpris Jen se faire calinée par Sara. « Un jour, pensa-t-il, je leur présenterai Cassandra ». Mais pour cela il fallait préparer. Il ne l'était pas lui. Il continua à se promener avec Casandra. Ensuite, il devait passer chercher Claire au travail et rentrer.

Au chalet, Sara préparait le diner quand elle entendit des voitures arriver. Les enfants s'étaient décendu en vitese. Il n'était pas courant de voire venir des gens et surtout en nombre. Gwendoline et Marcy avait pris leur armes au cas où ils devait s'en servir. Un homme frappas à la porte. Sara alla ouvrir.

- Bonsoir madame, dit l'inconnu. Nous ne vous voulons aucun mal. Nous voulons juste récupérer les enfants.
- Et vous êtes?
- Personne. On dira que vous ne nous avez jamais vu.
- FERMEZ LA PORTE, hurla Gwendoline.

Mais Sara n'en eu pas le temps. L'inconnu l'attrappa et les menaça de la tuer s'il ne se rendait pas. Gwendoline hésita. Sara leur ordonna de suivre la prosédure d'urgence. Les enfants se ruèrent à l'extérieur et allèrent se cacher dans les bois. Seule Gwendoline était restée pour tenter de sauver Sara. Mais Sara lui ordonna de partir. Sinon, leur sacriffice, leur fuite et les plan de Charly et de Jen n'aurai servis à rien. Gwendoline hésita puis s'enfuit comme les autres. L'inconnu, envoya ses hommes vider la maison et la fit bruler. Il emmenèrent Sara dans leur Voiture. « Dite à Charly que vous devrez tous rentrer au bercail Bêta, puisque vous avez détruit l'Alpha sinon, c'est elle qui mourra. Vous avez quarante huit heure à partir de tout de suite. Il est neuf heure, dit il ». Puis les voitures repartirent.

Jack était enfin revenu de Washington. Il y passait le plus claire de son temps, mais il avait réussi à récupérer quelque jours de congé Il était heureux de retrouver sa cabane. Il avait remarquer en arrivant que la grande maison, de l'autre côté du lac, était à nouveau habité et qu'il y avait des enfants. Il se promis d'aller les voir le lendamin. C'est à ce moment là qu'il la vit prendre feu. Il téléphona au pompier pour qu'il viennent éteindre l'incendie et pris son 4x4 pour aller voir si tout le monde allait bien. Il n'y avait personne. Il espèrait que personne n'avait périt dans l'incendie. Soudain une autre voiture arriva. Elle s'arrêta dans un crissement de frein. Un jeune homme en descendit. Il était catastrophé. Il voulait tenter d'entrer, mais deux jeunes filles l'en empêchèrent, lui disant qu'il était trop tard. L'une d'elle, Jack la connaissait. Il l'avait sauvé lors d'une mission et aujours d'hui, elle était devenu un très grande manipulatrice quand il s'agissait de se faire offrir des cadeaux par le gentil g énéral qu'il était. Elle s'appelait Casandra Frasier.

- Cassandra, s'étonna-t-il?
- Général O'Neill? C'est vrai que vous habiter de l'autre côté du lac.
- C'est ton ami?

Elle tenta de ramener Charly à la réalité. Quand elle y parvint, elle lui présenta Jack qu'elle considérait comme un père. Charly le salua. En temps normal, il aurait été content de revoir son père, mais là, il y avait urgence. Il appela tout le monde. Ils sortirent de la fôret, un par un. Sara manquait à l'appel. Les enfants lui firent un rapport sur ce qu'il s'était passé et sur le message de l'envoyé de l'organisation dans une langue inconnu, mais jack avait lui, déjà l'impression de connaître cette langue, sans pour autant comprendre ce qu'il se disait. Le camion des pompiers arriva. L'incendie fut maitrisé rapidement. Jen, qui devait passer, arriva à son tour pour constater le désastre. Charly lui expliqua, toujours dans leur langue, ce qu'il s'était passer et les menaces qui pesaient sur Sara. Ils furent interrompu pas Jack.

- Lieutenant Halley, interpella Jack. Que faite vous ici?
- Mon Général? Je vais vous expliquer mais je dois d'abore parler à ce jeune garçon.

Elle voulait avertir Charly qu'ils n'avaient plus le choix. Il leur fallait de l'aide. Ils ne pôuvait pas organiser une opération sauvetage en laissant les petits tout seul et sans toit. Charly accepat à contre coeur. Ce qu'il redoutait venait d'arriver. Le temps était venu de tout dire à son père.

Jen se tourna vers Jack et lui promis de tout lui raconter, mais qu'il fallait d'abord mettre les enfants au sécurité au SGC. Elle mis en avant que les enfants s'était enfuits d'un batiment appartenant à la Confrérie. Jack réfléchi une instant, puis accepta. Il avait confience en elle. Après tout c'était la protégée de Sam. Il contacta Hank Landry pour l'avertir qu'une dizaine de personne allait être téléporté dans l'infirmerie dont des enfants et qu'il fallait organiser un briefing d'urgence avec SG-1. Puis il contacta l'Odysé pour ordonner le transfère.

Le transfert avait amusé les enfants. Ca les avait divertis et surtout, ça leurs avait changer les idées. Jack avait donner l'ordre de ne les laisser sortir sans aucun prétexte sauf pour aller aux toilettes et ils devaient être accompagné. Charly, qui semblait être le chef de la bande, le lieutenant Halley et Claire furent conduit dans la salle de conférence. Charly vit tout de suite qu'un rideau de fer camouflait quelque chose. On les installa à la table. Jack s'était assis à sa place favorite.

- Mon équipe préférée n'est pas là, plaisanta-t-il?
- SG-1 n'est revenu pas de mission. On attend une communication dans trois heures, répopndit Landry
- Lieutenant Haley, c'était quoi ce langage avec ce jeune homme, tout à l'heure?
- Du Goaul'd, Général O'Neill.
- Vous êtes entrain de me dire que tous ces gosses parlent le Goaul'd?
- Oui mon Général.
- Et si on pasait àl'étape suivante, s'impatienta Charly. On quarante huit heures pour la sauver.
- Mon général. Comme on n'a pas beaucoup de temps, je vais vous raconter notre histoire en version accélérée. Je vais vous demander de ne pas trop poser de question. Comme le dit Charly, nous avons moins de quarante huit heure où ils vont la tuer.
- Je vous suis.
- Il y a un peut plus de quarante ans, le Docteur Mandes...
- Le types des échecs?
- Non, mon Général, Le Docteur Dan Mandes C'est un médecin psychiatre reconnu par la profession. Il...

L'alerte de la porte retenti. On entendit quelqu'un dire « Ouverture de la porte non autorisé ». Charly râla. Il demanda à aller voir les enfants. Jack le rassura en lui disant que ce n'était pas eux les responsables. Le Général Landy était parti voir à l'étage du dessous. Charly ressenti les secousses et entendit le son de l'ouverture de la porte. Jack vit tout de suite que le jeune Charly semblait réfléchir. Jen s'en aperçu. Elle l'interrogea. Il révéla qu'il avait déjà entendu ce son.

- C'était lors d'une mission, dit-il. Nous étions dans un garage pour avion. Il m'ont bander les yeux pour que ne sache pas où il m'emmenait. J'ai entendu ce bruit. Et on m'a fait avancer. J'ai ressenti une drôle se sensation. J'étais frigorifié.
- Et votre mission, demanda Jack?
- Je devait tuer une femme du nom de Sha'ree. Je n'ai pas eu le courage de tuer cette femme et je l'ai fait prisonnière.
- Tu as désobéis à un ordre, s'écria Jennifer.
- Et j'en ai payer le prix. A mon retour, ils on prit six des nouveaus enfants qui venait de nous être livré. Et les ont abattu devant moi. Je n'ai jamais revu la femme. Je pense que Heidi se souviens encore de ce jours.

Le Général Landry revint accompagné de quatre autre personnes. C'était SG-1. Ils étaient revenu de P4x 952 en vitesse. Un volcan venait de se réveiller. Tout le monde s'installa au tour de la table. Jen repris son récit.

- Donc le Docteur Mendès pensait qu'il fallait commencer l'éducation des futurs super soldats très tôt. Je faisais partit de la première génération. Je suis née dans l'un de ses laboratoires. Ma mère possédait un pouvoir de télékinésie puissant mais qu'elle savait pas contrôler. Elle avait été emmenée dans ce laboratoire pour servir notre maître.
- Et elle faisait quoi comme boulot, demanda Jack?
- Assassinat. Il avait fait pression sur elle pour qu'elle obéisse.
- En vous menaçant.
- Oui et sur celui qui aurai dut être son mari. A cette époque l'organisation s'appelait le NID. C'est SG-1 qui a mis fin à ce programme.
- Je sais, j'étais là.
- Le NID a du se faire plus discret et prendre le nom de Confrérie.
- Quel rapport avec ses gosses dans l'infirmerie?
- Le professeur Mendes faisait venir des enfants ayant des capacités disons spéciaux.
- Du genre, demanda Sam.
- Charly a été choisi parce...
- J'ai battu l'un des meilleurs joueur du monde. Je n'avais que douze heures de jeux au compteur et dix ans d'age.
- Vous avez été sélectionné parce que vous étiez bon aux jeux vidéos, s'étonna le Général Landry?
- Il s'agissait du jeu Intrusion.
- Ha oui, je connais, répliqua Jack. C'est jeux élaborée par l'armée de terre. Mon Fils y jouait. Mais tes parents ont accepter que tu ailles dans cet endroits?
- Ils pensent que je suis mort.
- Et les autres?
- Claire peut contrôler les flux. Il lui juste un support. Par exemple... Tu es sûr que je peut leur faire confiance Jen?
- Oui.
- Donc claire peut se connecté à internet par exemple, rien qu'en regardant un écran de calculatrice. Jen...
- Je contrôle les éléments et les objets.
- Bon et comment vous entrainent-t-il, demanda Jack.
- Ca se passe en trois Partie. Le conditionnement. Il nous font oublier qui nous étions. J'ai passé une année entière à tirer sur la photos de mes parents. La parti deux c'est la plus longue. On apprend notre futur métier, si je puis dire. La partie trois, c'est l'examen final que je peus résumer par. Il ne doit en rester qu'un.
- On mon dieux, s'écria Sam. Et combien des votre avez vous tuer?


Sam regardait Charly. Il ne semblait éprouver aucun remord. C'était surement du à son entrainement. A bien des égards, il ressemblait à Jack, et elle ne parlait que de ses yeux. Charly la regarda à son tour. Il compris tout de suite la question.

- Non, Colonel, je n'éprouve aucun remord à avoir enlever des vies. J'ai été élever pour devenir un assassin. Comme chacun des enfants qui son dans l'infirmerie. Aujourd'hui, ma seule priorité ce sont ses enfants et leur Baby sitter qui, je vous le rappelle, est prisonnière de la confrérie.
- L'étape deux, repris jen. C'est à dire l'entrainement est très éprouvants. - Les enfants doivent suivre ou mourir.
- C'est dire, demanda jack?

Monter le plus vite possible une arme imposé. Elle change tout les temps. Ils ont un temps imparti. Au delà, leur gardien, leur plombe les cerveaux. Charly en a vus trois mourir ainsi. Pour l'entrainent de terrain, c'est pareil. Celui qui reste à la traine est exécuté. De toute façon, ceux qui survivent à l'entrainement finisent par mourir à l'examen final. Il ne doit en rester qu'un.

Sam sorti dans le couloir. Elle avait mal supporté le récit de Charly. Jack l'avait suivit. Il la consola comme il pouvait. Il 'était lui même révolté qu'on puise faire autant de mal à des enfants. Le regard vide du jeune Charly ne lui avait pas échappé. Quand elle fut enfin calmée, ils retournèrent dans la salle de réunion.

- Donc, si je comprends bien, vous vous êtes enfuit pour fuir votre destinée, repris Jack.
- Oui, mon général, répondit Jen. Il y a six ans, vous vous souvenez que je suis rentrée au SGC?
- Oui, vous aviez le soutien de carter.
- J'avais été envoyée par la Confrérie. Je devais vous espionner. Puis nous avons eu ce problème avec les êtres électriques.
- Justement vous pouviez nous débarrasser?
- Et révéler que je peux contrôler l'électricité?
- Pas faux.
- Je les ai juste tenu à l'écart en changeant la charge électrique. Je vous ai vu vous sacrifié pour nous sauver. J'ai pris sur moi de faire de la désinformation. J'ai mis sur place avec Charly un plan d'évasion. Ca m'a pris six ans pour tout organisé.
- Qu'attendez vous de nous exactement.
- De l'aide pour sauver Sara, la baby sitter. Il l'on enlever pour nous récupérer.
- Vous n'avez pas l'intention de vous rendres, déduisit Landry.
- Nous voulons aller la sauver, dit Charly. Il y a un autre problème Général O'Neill. Elle sera totalement en danger s'ils découvrent qu'elle s'appelle Sara O'Neill.
- QUOI!!! C'est Sara qui a été enlevée?
- Oui. Je ne sait pas d'où viens la fuite, mais...
- Dit lui tout Charly, dit Jen.
Qu'est ce qui t'a pris de mêler ta mère à cette histoire Charly, gronda Jack.
- Tu le savais?
- Dès que tu as raconté ton histoire... Des gosses. C'est dingue, à chaque fois que je me dit que Kinsey ne peut pas faire pire, il nous en ressert une.

Jack était hors de lui. Kinsey lui avait voler sa famille, gâché la vie de son fils ainsi que celle de beaucoup d'autre. Sam s'était levé pour le calmer. Et le seul moyen s'était de réussir à capter ses yeux. Quand elle y parvint enfin, Jack se calma. Tout le monde où presque savait qu'elle était la seule à pouvoir le calmer de cette manière.

- Hank, Je mobilise SG-1 pour le sauvetage de Sara. C'est une opération.
Personnel?
- Oui. Je suppose que tout le monde à faim. Allons au Mess. En plus les enfants doivent vous attendre. Jen, vous savez que vous êtes bonne pour la cours martial?
- Je sais mon général.
Heureusement, je suis en vacances et je ne peux donc pas avoir eu cette conversation.

Il la regarda dans les yeux avec un petit sourire qu'il réservait en général à Sam. Celle-ci en fut blessée. Tout le monde sorti et allèrent à l'infirmerie. Les enfants,le reste du groupe était resté assis sagement. Ils regardaient l'infirmier Goldish qui faisait le pitre pour les amuser. Jack resta un moment à regarder son officier jouer avec les enfants. Il demanda à un des gardes de faire préparer des chambres pour tout le monde puis alla au Mess.

- Charly, je peux te parler, demanda-t-il?
- C'est un peu tard pour me punir non?
- Très drôle, j'essaierais de la replacer à un débriefing.
- Je veux veux bien manger avec toi Papa.

Jack voulait en savoir plus sur son fils. Mais une jolie blonde lui refusa ce moment d'intimité en s'essayant sur les genoux de Charly et en l'embrassant. Ce dernier était gêné et tenta par tous les moyens de se débarrasser de Cassie. Elle ne céda pas. Sam, qui les regardait, se demandait pourquoi elle ne faisait pas pareil avec l'idiot de service. Jack sourit. Malgré la vie qu'il avait vécu, Charly avait trouver le moyen de tombé amoureux. Après le diners, tout le monde alla se coucher. Le lendemain serai une longue journée.

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