Tel père, Tel fils

Chapitre 2 : Sara découvre le pot aux roses

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Dernière mise à jour 19/03/2009 01:31

Sara découvre le pot aux roses.



Cela faisait plus d'un mois maintenant que l'équipe était arrivé dans la maison de Jen. Les enfants allaient de mieux en mieux. Les cauchemars avait disparut chez les petits. Sara y était pour beaucoup. Elle avait sut les rassurer. Beaucoup commençait à se faire des copains et Charly en fut heureux. Lui même avait rencontrer un fille. Une jolie fille blonde aux yeux vert. Comme lui elle n'avait plus de parents. Ce n'était pas vraiment exacte. Elle avait perdu ses parents biologiques et sa mère adoptive, mais elle avait des amis de sa mère qui s'occupaient d'elle. Elle n'avait pas l'air malheureuse et sa joie de vivre était communicative. Il aimait bien être en sa présence. Elle s'appelait Cassandra Frasier. Plus il restait avec elle, plus il avait envie de l'embrasser.

- Qu'est-ce que t'attend, demanda-t-elle?
- Quoi?

Elle avait enrouler ses bras autour de son cou. Elle avait mis ses lèvres en avant et fermer les yeux. Charly était paniqué. Il ne savait pas comment réagir. Il n'avait jamais embrasser de femme de sa vie. Il s'approcha et lui effleura les lèvres avec les siennes. « Je n'ai jamais... ». Comme pour répondre à ses interrogations, Elle l'embrassa. Il se laissa guider. Après ce baiser. Il lui fallut un temps avant de réaliser ce qu'il s'était passer. Cette fille l'avait envouté, il avait perdu le contrôle. Ca ne devait plus jamais arriver. Dès le lendemain, il tenta de l'éviter. Plus il l'évitait, plus elle lui manquait. Cassandra, de son côté, ne comprenait pas son attitude. Elle en avait parler à Sam. « Tu me décrit le général là. Je fait un pas, il recule deux. A ce train là, il va bientôt me percuter dans le dos ». Cassandra avait bien ressenti une part du Général O'Neill Dans Charly. Comme le Général il semblait disimuler une douleur profonde. Il camouflait ses faiblesses sans doute pour rester vivant. Il pouvait se montrer impatient et avoir très mauvais caractère. Mais à la différence du géréral, il prenait toujours tout au sérieux. C'était sans doute à cause de la mort de sa mère et de sa belle mère, de l'absence de son père qui travaillait pour que tous le monde ne manque de rien. Bien sur Claire, sa soeur avait un travail de serveuse. Mais ca ne ramenait pas son père avant neuf heures du soir. Tout ce que voulait Cassie pour l'instant, c'était de lui apporter le réconfort que son esprit réclamais.

Sara était inquiète. En un mois, elle n'avait toujours pas vu l'homme qui l'employait. Pour tout les détails, elle n'avait toujours eu affaire qu'à Charly. Et puis, elle ne comprenait pas pourquoi la plus part de salle lui était interdit. Un jour, alors, que les enfants faisait la sieste, elle entrepris de visiter la maison. Elle en avait rapidement conclus que six autres personnes vivaient dans cette maison. Daprès les affaires qui trainaient, ils étaient tous des mineurs. « Seigneur, pensa-t-elle, des enfants livrée à eux même. » Un instant, elle avait pensé à appeler l'aide à l'enfance, mais y renonça. Chacun vivait les un pour les autres. Elle entra enfin dans la chambre de Charly. C'était la mieux ranger. La plus remplie. Elle retrouvait tout ce qui concernait la maison, les gens qui y vivait, un journal pour chacun d'eux. Sur le chevet, elle trouva une photo. Elle la connaissait cette photo. C'était l'une des dernières qui fut prises avant la mort de Charly, son fils. Elle lui avait été volé un mois plutôt.

- Notre accord contenait les pièces interdites, dit une voix masculine.
- Charly c'est toi, demanda-t-elle, incrédule?
- Nous devons avoir un conversation... Je vous serre un thé?
- Merci.
- Un sucre, un nuage de lait.
- Mais comment...

Chary lui servi son thé. Il pris un bière. Maintenant qu'elle le regardait de plus près, c'était vrai que Charly avait le regard de Jack. Charly ne savait pas par où commencer.

- Je pense que tout commencer avant ma...mort. Comme papa ne voulait pas que je touche aux armes à feu, je suis allé chez Nelson. Nous avons jouer à Intrusion. Un jeu en ligne où on incarnait un soldat. J'avais battut le meilleur joueur en ligne. Je n'ai su que très récemment que ce jeu était un système de recrutement de l'armée de terre. Quand je me suis tuer avec l'arme de papa. Je ne suis pas mort. Le Medecin Chef avait débrancher les appareils de mesure. Il ne lui rester plus qu'à vous annoncer ma mort.
- Et toi, qu'est tu devenu?
- T'es sur d'être prête à le savoir? Bien. Je me suis réveiller dans une cellule. On m'a vite expliquer les règle. Ils commandent, j'obéis. J'avais demander à te vous papa et toi. Ils M'ont dit que j'avais eu droit à un belle enterrement. L'entrainement à commencer deux jours plus tard. Jen, qui t'a embauchée, était mon entraineur. Elle était née dans ce sous sol. Elle m'a seulement dit de ne jamais me perdre. Que si je m'oubliais, alors, je ne serai plus qu'une gâchette. Pendant un ans, on m'a forcé à tirer sur ta photo et celle de papa. Puis, il sont passés à la phase deux. Monter et démonter le plus vite une arme. Je crois que j'ai pas mal hérité de papa. Mais si on dépassait le temps imparti, on nous tirait dans la tête. J'ai perdu trois de mes compagnons comme ça. On a reçu un entrainement militaire. Si nous ne suivons la cadence... Une balle dans la tête. Je pensait plus qu'à ma survit. Petit à petit, j'avais appris m'isoler, m'enfermer. Seule Jen et sa mère savait trouver où se cachait l'ancien Charly. L'épreuve final consistait à une chase à l'homme. Nous étions tous à la fois chasseur et gibier. Il ne devait en rester qu'un. Ce jour là, sept de mes camarades sont mots sans que je n'éprouve se remord. Ce jours là quelque chose en moi s'était brisé. Un soir Démétra Maybourne est venu me chercher, elle voulait que je parte avec elle. Mais elle fut abattu par un homme de main de l'organisation. Il m'a fait comprendre que tous ceux qui m'aideront, mourront. Jen ne m'en a pas voulu. A treize ans, on m'a envoyer exécuter toute une famille qui devait témoigner contre le sénateur Kinsey. Jen venait d'intégrer un groupe secret de l'air force. De là, elle avait préparé tout ce qu'il fallait pour sauver tout les enfants.
- Vous avez réussi.
- Il nous a fallu six ans de préparation.
- Combien d'hommes as-tu-tué de sang froid.
- Une vingtaine.
- Doux Jésus.

Sara pris son fils dans ses bras. Elle était loin de penser que son fils était encore vivant. Pourtant il était là, devant elle. Elle était loin d'imaginer l'enfer qu'il avait vécu. Elle comprenait à présent pourquoi ce jeune homme ressemblait à Jack.

Dans le restaurant Gabardine, où travaillait Claire, un homme venait de faire irruption. Il semblait nerveux. Il avait une arme à la main. Il menaçait les clients. Son objectif était la caisse du restaurant. Il désigna Claire pour prendre le sac et le remplir. Elle exécuta les ordres tout en regardant l'arme. Elle ne voulait pas intervenir sans être sûr que l'otage ne serait pas en danger et que son identité soit révélée. En avançant vers lui elle fit semblant de tomber. Pour se rattraper elle bouscula l'otage et tomba sur l'homme. Elle lui arracha l'arme et abattit sur lui une pluie de coups de poings. Quand elle se releva, il était KO. Tout le monde fut soulager. Son patron lui même la remercia. Il fallait maintenant appeler la police.
Claire espérait que tout irait bien. Ses papiers était faux.

Au poste de police, l'agent se montra gentil avec elle. Il savait qu'elle avait provoquer accidentellement ce sauvetage. C'était un coup de chance. D'ailleur elle tremblait encore de peur. Il regarda sur l'écran l'identité de Claire. « Claire Lune, dix-hui ans. Pas de Casier, vit au chalet de vivitan. ». Elle acquiesça. « Finalement, pensa-t-elle, Jen avait tout fait. Elle avait même penser à créer de vrais identité. Jen était fantastique ». « C'est drole, il n'y a pas d'infos sur vos parents ». Comme pour contrer les dires de l'agent, une femme demandait à voire Claire. Elle prétendait être sa mère. Claire se leva, elle se demandait qui pouvait la demander. Elle connaissait pas cette personne, mais en revanche, elle reconnu Charly derrière lui. Il lui faisait signe de faire confiance. Elle embrassa alors la femme en l'appelant maman. Sara serra l'étreinte. Après avoir signé les papiers. L'agent lui fit remarquer que Claire ne portait pas le même nom qu'elle. « Son père l'a reconnu avant de fuir ses responsabilités, répondit-elle ».

Une fois dans la voiture Claire demanda des explication à Charly. Il lui raconta tout ce qu'il savait, qui était Sara et ce qu'elle faisait là.

Ce soir là, Sara ne rentra pas chez elle. Elle préféra rester au près de ses enfants livrés à eux même. Elle resta une bonne semaine. Elle voulait apporter du réconfort à ces enfants qui avait vu l'enfer avant même d'avoir appris à connaître la vie. Et puis, il y avait Charly qu'elle voulait garder au près d'elle.

Jen arriva en fin de semaine. Elle apprit les prises de positions de Sara. Sara avait vaguement compris que Jen travaillait avec son ex-mari sur un programme ultra secret et qu'il s'en sortait bien. Sara se trompait peut être mais Jen sembalit avoir une certaine admiration pour Jack. Charly l'avait remarquer aussi. Il ne s'en offusquai pas. Son père avait toujours eu un certain succès au près des femmes. Sara avait proposé à Jen de veiller sur les enfants pour que Charly, Claire et Gwendoline puisse vivre normalement. « Normalement? C'es trop tard pour eux Sara, répondit-elle ». Mais elle accepta.
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