Tel père, Tel fils
Le groupe courait à travers les galeries souterraines. Leur chef, un adolescent blond leur demandait de se dépêcher et de suivre Clara, une fille brune qui devait avoir le même âge que lui. Le Chef fermait la marche. Il s'occupait des retardataires et regardait sans cesse en arrière. " Vite, cria-t-il, ça va explosé dans cinq minutes." Tous les monde se dépêchait. Les plus jeunes commençait à fatigué, pourtant il fallait faire vite. le Chef Pris l'un des plus jeune qui semblait avoir à peine quatre ans, - et couru aussi. Des hommes les poursuivaient. Il sorti un pistolet et tira trois fois. Chaque balles atteignit son but. Le bruit avait provoqué un panique dans le groupe. Les plus âgés se chargèrent de calmer les plus jeunes. Quand ils arrivèrent enfin près de la rivière, Il y eu une explosion géante. Clara compta les membres du groupe. Il ne manquait personne.
- Que fait-on maintenant Charlie, demanda-t-elle.
- On a de la route. Nous ne devons pas trainer. Nous devons atteindre la maison avant le lever du soleil. D'après Jen, il y aura tous ce qu'il nous faut là-bas.
- Les petits sont fatigués.
- Je sais, mais... D'accord... On campe ici, mais, on se lève tôt demain. La maison est dans une propriété perdu au milieu des bois. Bon, Kenvin, Shirley, David, Heidi allez vous coucher. Pas de feu. Marie et Dan vous faites le premier tour de garde. On se relaye toutes les deux heures. Marcy et Gwendoline vous prendrez la relève puis Claire et moi on terminera la nuit. Lever à cinq heure demain.
Tout le monde obéis. Depuis le départ de Jen, c'était Charlie qui s'occuppait de l'équipe. Durant une partie de la nuit, Charlie pensa à ses parents qui le croyait mort et qui l'avait déjà enterrer. Il pensa à la colère de son père quand ce dernier l'avait surpris avec un pistolet à eau dans les mains. A ce moment là, il avait trouver la situation si injuste. Pourtant, c'était bien à cause d'une arme qu'il s'était retrouver à l'hôpital, que le docteur avait du annoncer sa mort à ses parents. Il se demandait comment ils avaient surmonter ça. Il savait que son père n'était pas un homme extraverti. Militaire de carrière, il avait appris à enfermer ses sentiments et à ne jamais montrer ses sentiments. Sa mère était une femme d'une extrême gentillesse, mais elle pouvait se montrer très émotive. Non, Charlie savait que ses parents n'avaient pas surmonter sa mort avec sérénité. Bien sur, il avait déjà envisagé d'aller les retrouver après cette fugue mais il y renonça. Il savait que les rencontrer les mettrait en danger. Et c'était le cas pour chaque personne présente dans cette forêt..
Le lendemain, tout le monde fut lever à cinq heure. Les enfants criaient leur faim. Charlie sorti de son sac, des barres de céréales et en distribua à tout le monde accompagné d'une brique de lait. Après ce repas frugale, l'équipe reparti. Charlie suivait la carte laisser par Jen. A mis chemin, les petits avaient grimper sur le dos des plus grands. Ils arrivèrent enfin devant la maison. C'était une grande maison sur deux étages dont le propriétaire serai une certaine Jennifer Halley. Il trouva la clé exactement là où Jen l'avait indiqué. Ils rentrèrent. Il y avait une grande pièce à l'intérieur, et les chambres à l'étage. Au sous sol, Jen avait aménager une salle d'entrainement. Ca ramena Charlie à la réalité. Il se rappela soudain qu'ils n'étaient pas des gens dit normaux. Tous étaient destinée à devenir des tueurs. A dix-huit ans, Charlie avait déjà plus de vingt meurtre sur les bras, Claire, qui n'en avait dix-neuf ans avait un palmarès de dix assassinat. C'était pour fuir ce destin qu'ils se retrouvaient ici.
Une fois que tout le monde fut installer, Charlie donna le règlement interieur. Tous le monde accepta. Ils n'avait pas le choix. Ces règles avaient été monté avec Jen pour gérer le groupe. Dans le garage, une grande voiture permettait à Charlie d'emmener tout monde en ville.La plupart du temps à l'école. Pour brouiller les pistes, les plus petits n'iraient pas à la maternelle. Jen voulais embaucher une gouvernante. Il incombait donc à Charlie d 'en trouver une fiable et discrète. Ensuite, il y avait Heidi que devait impérativement faire son entrée en cm2 à la reprise des cours dans deux semaines, Dan et Marie irai respectivement en 5ème et en 3ème, chacun dans une école différente. Gwendoline et Marcy allait s'inscrire au lycée. Charlie avait prévu d'aller à l'université de Colorado Spring avec Claire. Dans un dossier, Jen avait tous prévu : Acte de naissances, bail, facture d'électricité. L'argent venait d'un compte en Suisse et était alimenté par la bourse. Charlie était heureux de voir que tout allait bien.
Shirley se mis à pleurer, suivi de David et de Kenvin. Ces trois là étaient les derniers arrivés et n'avait encore eu le droit à leur entrainement psychologique spéciale tueur. Ils étaient donc très vulnérable. Charlie voulait à tout prix les préservé de l'univers dans lequel il avait grandit. Pour Heidi et les autre c'était déjà trop tard. Marcy, Gwendoline et Marcy avaient déjà commis leur premier meurtre. Quand à Don et Marie, même si leur mains n'était pas encore souillé de sang, leur espris l'étaient déjà. Comme leur aînés, ils avaient déjà vue mourir leur camarade de leur propre yeux, exécutés parce qu'il n'atait pas assez rapide. Charlie s'approcha d'eux et les prit dans ses bras. Chacun d'eux voulait leur parents. « C'est impossible. Vous vous souvenez des méchants monsieurs et madames? Et bien, si vous retournez chez vos parents et biens les méchants viendrons leur faire du mal. Mais vous avez besoin de quelque chose, Charlie est là pour vous d'accord? » Ils hochèrent la tête.
Tous le monde alla se coucher tard, cette journée d'installation avait été un moment de pure liberté.
Jen vint les voir trois jours plus tard. C'était l'ainée de tout ce petit monde. C'était elle qui avait entrainé les plus agées. Elle les avait protéger du mieux qu'elle pouvait bien qu'elle en connaissait l'aboutissant. Elle les avait prévenu dès le départ. Leur entrainement au combat se terminerait dans le sang. Il ne devait en rester qu'un seul par classe. Charlie avait tuer un tier des ses compagnons pour avoir le droit de vivre. Claire avait tuer cinq de ses camarades. Jennifer avait reçu pour mission d'infiltrer le SGC et de servir d'espionne pour ses maîtres. Elle en avait profité pour prendre sa lib erté. C'est en goutant cette liberté qu'elle avait commencer à échafauder un plan pour délivrer les autres enfants. Elle s'aida de Charlie. Ce ne fut pas aussi facile que ça. Il avait d'abord fallu organiser le plan d'intégration avant d'imaginer le plant d'évasion. Il fallu six ans pour mettre le plan en place.
Charly l'accueillit avec soulagement. La vie s'était organisé au chalet. Charlie avait le sentiment qu'il devait tout faire. Il n'avait pas tord. Il se demandait comment sa mère s'en était sorti avec lui. Il avait Charger Marie et Gwendoline de s'occuper des enfants. Marcy devait se charger du ménage de vérifié que toute es les chambres était proprement rangée. Claire devait s'occuper du budget. Jen avait pris soin de faire mettre internet dans la cabane. Alors qu'elle était sur internet pour faire la compraison des prix, Charly s'occupait de la « Paperase » comme le disait souvant son père.
- J'ai rencontrer ton père, dit-elle enfin.
- Comment va-t-il?
- Je ne sais pas quel genre d'homme s'était avant mais... C'est un homme bien. Il pense toujours à ses hommes avant de penser à lui même. Il a dirigé la base dans lequel on m'a envoyée espionner avant d'être muté à Washington.
- Mais il va bien?
- Oui. Il est un peu idiot non?
- Je n'ai qu'un vague souvenir. Pourquoi tu dit ça?
- Et bien je crois qu'il se pase quelque chose entre lui et le colonel Carter.
- Un mec?
- Samantha Carter. Mais, il se planque sous le règlement pour ne pas en parler. La pauvre Colonel n'attend qu'un signal pour se jetter dans ses bras. Mais le signal n'arrive pas. Au contraire, elle a faillis se marié et il n'a rien fait l'en empêcher.
- Mais lui, il en pense quoi.
Le jour où on saura ce que pense le général de Brigade Jack O'Neill, il neigera en enfer. On sait en revenche qu'il a rendu une visite colonel Carter. A l'époque elle n'était que Major. Donc, alors qu'il était prisonnier d'un manteau d'invisibilité, il est aller rendre une visite à Carter sous la douche.
- C'était quoi ma question déjà?
- Comment va mon père?
- Et c'est ça qui m'a valu toute ce récit?
- Fait, j'ai penser que nous pourrions peu-être lui faire confiance. Il pourrai nous aider.
- Je ne veux pas le mêler à ça. En plus, je ne veux qu'il sache ce qu'est devenu son fils.
- Alors n'en parlons plus. Tu as trouver la baby-sitter?
- Non. Je les sent mal ses filles. Elle parle trop. Je pense que je vais voir chez les nourrice diplômée.
Jen passa la soirée avec ceux qu'elle considérait comme sa famille. Ce soir là tout le monde riaient. Ca ne leur était pas arrivé depuis qu'il avaient été séparer de leur parents. Jen les regardait vivre. Ces enfants vivait enfin. Elle ne savait pas combien de temps ça allait duré. Charly lui avait fait par de ses inquiétudes. Les plus petits semblaient oublier peu à peu la terreur qu'ils avaient eu en prison Par contre certains faisaient encore des cauchemars. Charly lui était blasé de tous. Il pouvait ôter la vie à une être humain sans le moindre remord. Durant sa formation, on lui avait fait tirer sur des photos de sa mère et de son père durant une année entière, dépecer des animaux à vif, regarder des film violents. C'était grâce à Démettra, son enseignante qu'il ne devint pas sociopathe ou psychopathe. Pourtant, Jen était sur d'une chose, Charly avait hérité des capacités militaire de son père. Elle donna à Charly les dernier conseille avant d'aller se coucher.
Le lendemain, Charly commença les entretiens. Il avait une liste des qualité impératives que devait posséder la futur employée. Ce fut Jen qui trouva la femme adéquate. Elle l'avait questionné sur divers sujet et lut qu'elle avait été infirmière avant de se mariée. Depuis son divorce, elle n'avait pas pu reprendre son travail. Bien sur, son ex-mari l'entretenait sans rechigné, mais elle voulait ne plus dépendre de lui. Elle s'appelait Sara Séranine. Charly fit confiance à Jen. Elle avait été son entraineur durant cinq ans. Tous ce qu'il savait, c'était elle qui lui avait appris.
Sara arriva donc à huit heure, le jours de la rentrée des classe. Tous les scolarisée était déjà dans « l' Espace ». Officiellement, il n'y avait que Charly, issus d'un premier mariage et les trois enfants qu'elle devait garder dans la maisonnée. Charly regarda un moment la femme. Il la reconnaissait. Qui n'aurait pas reconnu la femme qui l'avait mis au monde, élever jusquà ses dix ans, dont la photo avait illustré sa cible au stand de tire durant un ans complet. Il lui sourit en espérant qu'elle ne le reconnaitrait pas. Il lui présenta les enfants et lui donna des instructions à ne pas déroger. Après ça il parti déposé les enfants à l'école avant de prendre lui même le chemin de l'université avec Claire.