Tel père, Tel fils

Pendant que tout le monde se préparait. Gwendoline ramena à Charly son "Un sur mille". Jack se demandait ce que cette arme pouvait avoir de spéciale. Gwendoline donna aussi une visière à chaque membre de l'expédition. Charly la posa sur son nez. l appuya plusieur fois sur un bouton et les enleva satisfait. Il expliqua à SG-1 que cet appareil leur permettre d'avoir le plan du Bercail Bêta, de voir dans le noir, les rayons infrarouge. Jack trouva l'appareil cool. Il joua un moment avec. Il y découvrit pas mal de mode. Charly le regardait amusé. Comme d'habitude, Sam souriait au singerie de son Général. Les enfants vinrent dire au revoir à Charly. Ils savaient qu'il ne reviendrait peut-être pas. Jack les rassura. "Ne vous en faites pas les mômes, c'est un O'Neill. La mort n'en veut pas, déclara-t-il en faisant un clin d'oeil".

La voyage se passa dans le calme. A bout, Jack demanda à Charly ce qu'était le fameux "un sur mille". Charly sembla réfléchir puis il fini par dire : " Même dans la fabrication en série, il est difficile de faire une arme parfaitement précise. Il arrive que sur mille armes, il y en une qui soit parfaite. C'est le "Un sur mille." Ils arrivèrent dans la nuit.

Le groupe se sépara mais resta en contacte. De toute façon, Jack n'aurai jamais laisser Charly partir tout seul sans pourvoir l'appeler. SG-1 arriva devant la salle où techniquement Sara devait être retenue prisonnière. Durant la simulation, il leur fallait des badge de sécurité pour ouvrir les portes. Ils passèrent donc par les conduits d'aération. A travers la grille, jack vit son ex-épouse posé sur un lit médical. Elle était en chemise de nuit et endormie. Jack n'osait même pas imaginer ce que ces fous de scientifique avait bien pu lui faire. Il mis sa visière et cliqua sur un bouton. Il activa ainsi l'option "jumelle". La visière fit un gros zoom sur tous les protagoniste. Jack adorait son nouveau jouet qui finalement fonctionnait comme un jeu vidéo. Il activa le mode "infos". Il réussi ainsi à identifié les medecins. D'après les données de la visière en contacte permanent evec Claire, tous avaient été renvoyée pour leur manque d'éthique. Sara avait des fils qui sortait de ses bras, de sa poitrine. Jack était de plus en plus nerveux. Sam lui chuchota qu'il valait mieux attendre que la salle se vide. Une demie-heure plus tard, les medecins sortirent. L'un d'eux était rester à contempler Sara. Il la trouvait à son gout visiblement puisqu'il lui caressa le visage. Jack se promis de s'occuper personnellement de ce docteur. La lumière s'éteignit. SG-1 activèrent le mode vision nocturne. Ils descendirent tous en se laissant tomber. Jack arriva enfin au niveau de Sara. Elle était couverte d'ecchymoses. Elle avait du être torturer pour qu'elle dise ce qu'elle savait. Sam ne décela aucun symbiote dans son organisme. Jack secoua Sara doucement puis plus fort. Elle se réveilla enfin, Mais dans le noir total elle s'affola. Jack la saisie et lui parla. Elle identifia la voix de son ex-mari. Après lui avoir donner une visière, ils se dirigèrent vers la porte d'entrée. Cette dernière s'ouvrit et les lumières s'allumèrent. Le medecin qui avait portée son dévolu sur Sara était revenu pour profiter d'elle dans son sommeil. Jack lui posa son arme sur la nuque et lui demanda sa carte magnétique. Alors qu'il allait lui asséner un coup pour l'assommer, un tir de Zat toucha le docteur suivit de deux autre. Jack se retourna. C'était Charly. " Pas de témoin, dit-il simplement". Ils repartirent tous en suivant Charly. Sara regarda son fils, attérée. Elle l'avait vu tirer sur un homme de sang froid et ne semblait pas pour autant troublé. Charly les emmena à travers des galeries. Jack lui demanda ce qu'était devenu Gwendoline et Jennifer. Charly ne répondit pas tout de suite. Il semblait peser ses mots. "Elles sont aller chercher mon seul échec. Nous allons chercher les enfants". jack lui reprocha ce changement de plan d'action sans l'en informé. La seul excuse de Charly fut que le Bercail agissait tout seul. Jack se fâcha. Une altercation eu lieu entre le fils et le père. Jack lui faisait remarquer que le Bercail n'était pas seul dans cette affaire et qu'il devait informer tout le monde des changements, ça évitait les morts inutiles. " C'est comme ça que marche un groupe, pas autrement, termina-il". Charly boudait, Jack faisait l'enfant et Sam soupirait. il était déjà difficile de gérer un O'Neill mais deux c'était du sport. Ce fut Sara qui pris la gestion famillialle. " Charly écoute topn père, il est sur le terrain de bien plus longtemps que toi et jack soit plus indulgent avec ton fils, il a l'habitude de travailler seul". Ils arrivèrent devant le dortoir. La Porte s'ouvrit et un soldat en sorti. D'après les infos, il était devant le dortoir. A l'intérieur, il y avait une dizaine de gamins âgés de sept à quinze ans. En les voyant, tout le monde se leva et se mirent au garde à vous. Le plus âgée reconnu Charly.

- Je sais qui vous êtes, dit-il.
- Tiens donc?
- Vous êtes Charly du Bercail Alpha.
- Et vous êtes?
- Nils. J'ai appris votre évasion. Vous venez nous chercher?
- Ce n'est pas mon objectif premier, mais dans la foulée on vous emmène.
- On vous suis. Vous savez qu'il existe sept Bercail?
- hum.
- Dès qu'il s'est su que Alpha a été détruit, cinq autres ont suivit votre exemple. Les enfants de Delta ont été tués pour servir d'exemple, mais s'était déjà trop tard. Les autre avait déjà fuit.
- Alors j'ai encore tuer des enfants.
- Tu ne les a pas tuer, c'est la fraternité. Toi tu en sauvé plein d'autres.
- En route.

Jack savait pourquoi son fils ne disait rien. Il lui toucha l'épaule. " Ce n'est pas ta faute, lui dit-il simplement".

Ils furent rejoins par Jen et Gwendoline. Elles avaient avec elles une femme, une très belle femme. Daniel la reconnu, mais méfiant, ne s'approcha pas d'elle. Elle du le convaincre qu'elle était bien là. Il ne dit mots en attendant que Sam lui confirme qu'elle n'était plus Amonhet. Il se hasarda à embrasser sa femme. Elle lui promis une explication quand ils seraient en sécurité. L'autre nouveauté c'était que maintenant elle savait tirer.

Sur le route ils furent stoppé par des gardes. SG-1 se mit devants les enfants alors que les membres du Bercail tiraient sur les gardes par dessus l'es épaule de SG-1. Encore une fois, Jack ne pue qu'admirer l'excellent niveau au tire de ses protégés et déplorer leur politique "une balle, un mort". Sara s'occupa des enfants pour qu'il ne dérangent pas le Bercail et son ex-mari. Ils arrivèrent devant de Sas de sorti. Charlie sorti son "Un sur Mille". Il demanda le silence pour se concentrer. Il tira une fois et tira aussitôt une seconde fois. la première avait créer un trou dans la vitre blindée, la seconde profita de cette orifice pour atteindre son but : l'interrupteur des capteur. Tout le monde traversa la pièce, mais arrivé au milieu, il furent encerclés par les gardes. Charly demanda à sa mère et aux enfants de ferner les yeux. Le Bercail et SG-1savaient que la partie était plus ou moins perdu, mais en bon O'Neill qui'ils étaient, Ni jack ni son fils n'abandonna la partie. Jen avait créer un tourbillon autour des rescapés pour empêchée les balles perdues de la fusillade qui s'anonçait, ne puisent passer.

Charly donna le signale pour commencer la fusillade. Devant le talent au tire de Charly, Jack se senti plutôt vieux. Charly commençait à manquer de munitions. Alors que les balles commençaient à manquer, Il eu une détonation qui surpris tout le monde. Une autre équipe venait d'intervenir. Le Garçon, le chef visiblement, s'avança vers Charly.

- C'est toi Charly, du Bercail Alpha?
- Oui. Je sais qui tu es. Brindille.
- Et accessoirement, Damian Cox.
- On raconte que tu t'es enfouit du NID. Oui, j'ai des amis bien placé... Et Jenny m'a prévenu de tes intentions. Nous sommes venu en aides.
- vous?
- Bercail Delta et moi.

D'autre têtes apparut. Charly comprit seulement qu'il avait des renfort, mais resta sur ses gardes. C'était peut-être un piège.

- On doit sortir d'ici.
- Vous y êtes presque. Bonsoir Jen.

Jennyfer et Brindille s'embrassèrent. Ce dernier donna des munitions à tout le monde. En sortant, le chef de Bercail Bêta tenait Claire entre ses mains. Il ordonna que Charly et ses amis ses rendent. Jack ne pouvait pas risquer le vie des autres et s'apprêtait à rendre les armes. Mais Charly était d'un tout autre avis.

- C'est vous qui nous m'avez former, dit-il, vous s'avez que Claire est une perte acceptable.
- Qu'est ce que tu racontes, dit Jack.
- Toi tu es militaire, moi je suis tueur. Toi tu sauves, moi je tue.
- Je n'es pas élever mon fils pour qu'il devienne un asasin.
- rassure toi, c'est pas toi qui m'a élevé.

La discussion semblait s'envenimer. Calvin à bout leur demanda d'arrêter de se disputer. Sam connaissait son Général et elle savait qu'il ne s'arrêterait pas comme ça. Calvin cria plus fort. Jack et Charly tirèrent en même temps sur Calvin. Il tomba, inerte, mort. " Ha ouai, ça marche, dit seulement Jack. Il était grand temps de rentrer au SGC. Alors que SG-1 faisait grimper les rescapée, il y eu une grande explosion, encore plus spectaculaire que pour le Bercail Alpha. C'était un cadeau de Brindille pour leur souhaiter bonne chance. Charlie fixait son " un sur mille". D'ordinaire, il détruisait son arme dès que sa tâche était accomplie, pour ne rien laisser trainer derrière lui, mais là, il hésitait. Il se demandait finalement s'il n'avait pas déclarer la guerre à ses anciens maître et s'il ne valait pas mieux garder cette ar'mes qui lui était si précieuse. Comme pour le sortir de ses sordide pensées, sa mère se contenta de le prendre dans ses bras, comme quand il était petit et qu'il avait fait un cauchemard.

De son coté, Daniel s'occupait de sa femme qu'il croyait morte. Elle avait énormément maigri et restait choqué de ce que lui avait fait subir " La Confrèrie". Elle ne voulait pas en parler et se contenta de se lover dans les bras de son mari. Tout au long du chemin du retour, il reigna dans l'arrière du camion un grand calme. Arrivés au SGC, tout le monde fut acueilli pas les enfants qui n'arrivait pas à dormir sans savoir revu Sara et Charly.