Star wars épisode 10: Le Nouvel ordre Jedi
Chapitre 14 : Révélation dans les piques
3330 mots, Catégorie: T
Dernière mise à jour 16/05/2024 22:40
Sédu, après s'être penché sur le petit corps inerte d'Elio et l'avoir examiné, sentit son cœur battre. Il se retourna pour faire face à Meywine et Coleman. Avec un soupir de soulagement leur annonçant la bonne nouvelle
– Elio est vivant ! Il est juste inconscient !
Ses deux amis avaient des visages empreints d'inquiétude, tandis que Braum, ne cessait de rire frénétiquement. Agacé par l'attitude du Jedi renégat, Coleman lui asséna un violent coup de poing au visage. Il s'apprêtait même à le rouer de coups quand Meywine s'interposa.
– Détache-le ! Ordonna-t-elle d'un ton ferme. On n'a vraiment pas le temps pour ça. On doit se mettre en marche, les syndicats ne vont pas tarder.
– Je te le répète, tu as besoin de nous si tu veux rester en vie. Tu vas nous suivre gentiment, sinon c'est moi qui vais m'occuper de ton cas. Lança-t-elle avec un ton plein de menace au Nautalon
Braum, avec un regard démoniaque, ajouta
– Oh, mais je vais vous suivre. Je ne raterai ça pour rien au monde. Je vais peut-être mourir, mais je veux vous voir souffrir avant de rendre l'âme
Au vue de l’humeur de l'héritière Brightstar, Coleman s'exécuta, mais se menotta immédiatement au prisonnier, tandis que Sédu portait Elio sur son dos. Le groupe sortit du transporteur. Une grande montagne se dressait devant eux. Meywine prit sa direction avec conviction, alors que ses deux compagnons semblaient perplexes.
– Pourquoi allons-nous dans cette direction, Meywine ? Demanda Sédu.
– Pendant notre chute, je n'ai pas lâché le radar des yeux et j'ai mémorisé l'endroit où il signalait une présence intelligente. C'est dans ses pics là-haut. Cela tombe bien, ils nous serviront comme couverture naturelle. Par contre, il va falloir courir si on veut mettre de la distance entre eux et nous. Répondit Meywine avec clarté
Le trio entama son ascension dans une course effrénée, avec Coleman en queue de peloton, obligé de suivre le rythme imposé par Braum, qu'il pensait délibérément ralentir. Pendant toute une demi-journée, ils gagnèrent du terrain, suivant la Jedi qui ouvrait la marche. Sédu remarqua que le petit Elio sur son dos s'était réveillé, il tourna la tête et lui offrit un sourire rassurant. Le jeune enfant ne semblait pas souffrir, mais affichait quand même un air triste dans la vue aurait fondit le cœur de n’importe quelle personne qui le croiserait. Sédu décida de le réconforter
– Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer. Tu ne cours aucun danger. Regarde, nous sommes en train de grimper cette montagne, puis nous trouverons des gens pour nous aider. Tout ira bien, tu rentreras vite chez toi.
– Je n'ai plus de chez moi. Les gens en noir ont pris ma maman et mon papa. Rétorqua Elio toujours la mine désolée, rempli de chagrin. Cette révélation brisa le cœur de Sédu, faisant remonter en lui des souvenirs douloureux de son enfance, lorsqu'il avait été séparé de sa propre famille par un mercenaire avide de ses compétences. Incapable de trouver les mots adéquats, il tenta néanmoins de continuer de réconforter l'enfant.
– Je suis convaincu qu'ils vont bien et qu'ils t'attendent. Murmura-t-il doucement.
– Les gens en noir m'ont dit que ce n'était pas la peine de m'enfuir, qu'ils étaient morts et que je ne les reverrais jamais. Que bientôt, j'aurai un nouveau père. Dit Elio continuant à raconter ses malheurs.
Ces paroles glaçantes firent frémir le jeune Jedi. Il ressentit une colère sourde envers ceux qui avaient fait subir de telles atrocités à ce petit être innocent. Mais il s'efforça de garder son calme pour apaiser Elio.
– Quoi qu'il en soit, ne t'en fais pas. Nous te protégerons et nous te ramènerons là où tu seras en sécurité, je te le promets, parole de Jedi.
– Est-ce que les Jedi sont mauvais ? Les gens en noir m'ont dit que je les aiderais à les vaincre. Demanda l’enfant timidement.
– Non ! Lui affirma Sédu. Les Jedi ne sont pas mauvais. Au contraire, les Jedi sont les protecteurs de la vie, de la paix et de la justice dans la galaxie. Ne crois pas tout ce que les gens en noir t’ont dit. Ils cherchaient à te manipuler.
– Oui, je le savais ! Ce sont eux les méchants. C'est eux qu'on doit combattre ! Déclara Le petit Mirialan fièrement.
Les paroles d'Elio émurent Sédu. Il décida de lui poser d'autres questions .
– Tu sais ce qu'ils voulaient, les hommes en noir ?
– Non, au début, il y avait des gens riches qui sont venus chez nous. Ils n'arrêtaient pas d'embêter mon papa, je les ai vus lui donner des crédits, mais il n'a pas voulu les prendre. Puis un jour, quand j'étais avec ma maman à la maison, j'ai entendu des cris et elle m'a caché dans l'armoire, mais les gens en noir m'ont trouvé. Ils m'ont emmené dans un grand vaisseau, comme celui qui rassemble les colis à l'astroport, et après j'étais dans la mine. Et là, j'ai vu ton amie… Le petit continua le reste de l'histoire que Sédu connaissait déjà.
Pour le jeune capitaine de mission, il était clair que cet enfant ne comprenait pas ce qui lui était arrivé.Il n’était qu’une nouvelle victime dans les machinations sordides de groupe mystérieux cherchant à exploiter ceux au don extraordinaire. Ayant lui-même passé sept ans dans les arènes, à lutter pour sa survie jusqu'à ce que la Force lui envoie Haris Brightstar pour le sauver, Sédu était persuadé maintenant que la Force à son tour l'avait choisi pour venir en aide à cet enfant. Il voulait éviter au petit de vivre les mêmes souffrances que lui. Cette mission s’est transformé dans son esprit en serment de sauver tous les êtres qui se retrouvaient arrachés à leurs foyers par des fanatiques ou des brigands qui voulaient exploiter leurs talents. Elio était le premier de ses enfants, avec lui commence une nouvelle quête pour Sedu pour rendre la galaxie plus sûre et juste pour ceux incapables de se défendre. La pluie commença à tomber, rendant le terrain rocheux glissant et boueux. Ils devenaient de plus en plus difficiles à avancer sous cette averse. Sédu entendit le petit ventre du Mirialan gargouiller. Il se rappela qu'il n'avait rien mangé depuis deux jours à présent. Accélérant la cadence pour rattraper Meywine qui ouvrait la marche, il lui proposa
– Je crois qu'on devrait faire une pause. Afin de se réhydrater et de trouver quelque chose à manger.
– Avec ce temps, c'est notre chance de mettre une vraie distance entre nous et les syndicats. Eux qui ne connaissent que les Spideurbike n'ont pas les capacités physiques pour ses pics rocheux et la pluie va les ralentir encore plus. Conseilla Meywine, toujours soucieuse de la sécurité de son groupe.
Sédu acquiesça, mais campa sur sa position
– Je suis d'accord, mais nous aussi, nous atteignons nos limites. Si nous ne prenons pas de pause, nous risquons de perdre notre lucidité et de ne pas anticiper les dangers.
Au moment où Sédu répondit, Coleman, derrière, trébucha sur une pierre et s'effondra dans la boue, entraînant avec lui son prisonnier menotté. Face à cette situation, Meywine, n'ayant d'autre choix, décida de suivre la suggestion de Sédu. Après un bref examen de la région, elle repéra une petite grotte en hauteur qui servirait de refuge pour la nuit. Elle désigna l'endroit à ses deux compagnons
– Coleman, Sédu, allons nous réfugier là-bas pour la nuit.
Une fois la grotte atteinte, la Jedi entra la première pour inspecter les lieux et s'assurer qu'il n'y avait aucun danger. Elle constata que la grotte était vide et suffisamment spacieuse pour que le groupe y tien sans se serrer. Invitant ses amis à la rejoindre, Coleman trouva dans les parois un espace auquel il pourrait faire passer la main de Braum pour l'attacher à l'autre. Soulagé enfin d'avoir de nouveau sa main libre. Pendant ce temps, Sédu déposa délicatement Elio sur le sol.
– Reste ici. Lui indiqua-t-il. Elio s'agrippa à sa robe de Jedi pour lui signaler qu'il ne voulait pas être séparé de lui. Tendrement, Sédu lui chuchota
– Je reviens, je vais chercher de l'eau et essayer de trouver quelque chose à manger.
Le Mirialan acquiesça d'un geste de tête et accepta de rester gentiment assis à attendre son sauveur. Sédu se dirigea vers les deux autres qui étaient déjà en pleine discussion à l'entrée de la grotte. Coleman résumant la situation.
– Nous n'avons pas eu le temps de prendre nos sacs donc pas de nourriture, je n'ai qu'une barre sucrée sur moi. La nuit approche et il risque de faire froid, mais nous ne pouvons pas faire de feu pour ne pas attirer l'attention. Ça se présente mal, très mal.
Après un court instant où le trio se dévisageait attendant chacun que l’autre trouve une solution miracle pour leur sortir de ce traquenard. Meywine proposa deux stratégies.
– Les rangers ont probablement déjà alerté le temple. Le grand maître enverra la cavalerie. Les syndicats, eux, nous enverrons des troupes au sol, mais ne resteront pas en orbite pour ne pas alerter la flotte Jedi. Nous devons donc trouver un moyen de contacter nos forces pour signaler notre position. Nous avons deux options : soit avancer pour trouver de l'aide auprès des habitants de cette planète, soit tendre une embuscade aux syndicats et prendre leurs communicateurs.
– Une autre bataille ? Nous ne sommes pas au meilleur de notre forme, et cela représenterait un gros risque. Nous ne connaissons ni leur nombre ni leur puissance de feu. Avancer semble être la meilleure solution. Même si les habitants de cette planète n'ont pas de communicateurs longue distance, ils peuvent au moins nous offrir de quoi regagner des forces. Ensuite, nous pourrons envisager de passer à l'attaque. Dit Sedu.
Coleman lui regardait son capitaine avec un air de mépris comme si la décision de son chef d’avancer l’offenser personnellement.
– Ils doivent déjà savoir dans quelle direction nous nous dirigeons grâce à leurs propres radars. S'ils nous rattrapent à découvert, ce sera fini pour nous. Ce qu’il faut faire plutôt c'est de les attendre ici. Quand ils arriveront, nous réglerons nos comptes. L'élément de surprise est de notre côté, ils ne s’imagineront pas à ce qu’on les attaque. Non, ils penseront que nous allons juste nous contenter de fuir jusqu’à l’arrivée de nos renforts. On a pas d'autre choix, il faut prendre notre destin en main, et leurs imposer le combat selon nos condition.
Meywine, gênée de prendre le parti de Coleman, déclara.
– Je suis plutôt d'accord avec Coleman. Si nous avions pu avancer plus rapidement, j'aurais été en faveur de continuer. Mais notre situation actuelle ne le permet pas. Le fait de traîner un prisonnier nous fait perdre trop de temps. D'ici, nous pouvons les voir arriver et mettre en place une embuscade.
Sédu, habituellement plus calme, commença à perdre son sang-froid en haussant la voix.
– Alors laissons Braum ici et continuons à nous trois, je porterai Elio. On avancera plus vite.
– Braum EST la mission. Je ne rentrerai pas sans lui ! Affirma Coleman en montant également le son de sa voix, prêt à défier quiconque se mettra sur le chemin de sa gloire.
– Arrête avec ton ego et tes idées de grandeur. Redescends un peu, c’est la réalité pas un jeu. La mission a échoué, il est temps de changer de plan. Notre priorité est de survivre et de sauver Elio. Cria Sedu rempli de colère sur son ami.
– La mission reste la même, on nous a confié une tâche et je compte bien l'accomplir. Quitte à tout sacrifier. Riposta Coleman se rapprochant de Sédu de tout son poids avec un regard intimident.
Sédu lui ne pouvait croire les paroles de son camarade, il lança d'un ton furieux
– Tu parles comme un chasseur de prime, tu ne penses qu'à toi. Nous sommes des Jedi, nous protégeons ceux qui ne le peuvent pas. As-tu oublié notre propre histoire, d'où nous venons ? Ou peut-être, tu veux marcher dans les pas de ton père !!!.
À cette accusation, Coleman perdit toute raison et s'apprêtait même à sortir son sabre lorsque Meywine les fustigea d'un regard d’une force glacial qui figea ses deux compagnons sur place. Son aura écrasante remplissait la grotte en signe d’avertissement, et après s’être assurée que ses deux amis s'étaient calmés, elle prit la parole.
– Peu importe ce que Coleman et moi pensons. Sédu, en tant que capitaine de cette mission, c'est à toi que revient la décision. Et toi Coleman, ton premier devoir est de soutenir ton capitaine. Si tu as des désaccords, mentionne-les dans ton rapport au conseil. Mais jusqu’à notre retour sur Scarif c’est Sédu qui décide, resteà ta place.
Devant se déferlement de puissance que Coleman savait au combien impossible à rivaliser, il avala sa salive tout en baissant la tête, les remontrances de Meywine n’étaient pas fausses, d’un point de vue purement technique le code Jedi donne au capitaine d’équipe ou au maître les pleins pouvoir durant une mission. Face à un autre capitaine, il n’aurait pas eu le droit d’exprimer son opinion, en tout cas pas avec autant d'insubordination, mais comme c’était son meilleur ami, il avait abusé de leur lien pour se faire entendre.
– Effectivement, la décision me revient, et je choisis de poursuivre vers le village. Dit Sedu d’une voix posée, signe qu’il avait repris son calme. Voyant Coleman baisser la tête, sachant que lui aussi avait fauté en mentionnant son père, Sédu ajouta
– Braum nous accompagnera également. Nous ferons de notre mieux pour mener notre mission à terme.
Après un échange les yeux dans les yeux entre les jeunes hommes, ou sans le dire les deux s’étaient demandés pardon du regard, Sédu se dirigea vers l'extérieur, prit une grande feuille et utilisa la Force pour rassembler suffisamment de gouttes de pluie pour en faire une bonne bouchée. Pendant ce temps, Coleman sortit sa barre sucrée qu'il avait gardée dans sa ceinture Jedi et la tendit au jeune Mirialan. Sous le yeux rempli de tendresse d'affection de Meywine, Ce geste apaisa définitivement la tension dans la grotte, laissant place à la quiétude de la nuit.
Les trois Jedi se tenaient proches au fond de la grotte pour se réchauffer. Bien qu'ils n'aient rien avalé, ils étaient suffisamment hydratés grâce à la pluie. Meywine avait donné à boire à Braum, et bien qu'il ne l'ait pas montré, il semblait aussi avoir satisfait sa soif. Elio s'endormait paisiblement, sa tête reposant sur leurs genoux de Sédu qui se tenait à gauche du groupe, alors que le trio faisait face au Jedi renégat.
Coleman rompit le silence qui s'était installé depuis un moment et demanda au prisonnier
– Donc, ce que tu déblatérais tout à l'heure dans le transporteur, ça voulait dire quoi ?
– Eh bien, au moins, toi, tu oses poser la question au lieu de faire semblant de n'avoir rien vu ni entendu comme les deux autres.
Tu sais, je crois que tu es celui que je préfère dans ce groupe. Tu es direct, franc, brut, c'est rafraîchissant. C'est mieux que le reste des Jedi qui se la jouent omniscients, mais en réalité ne savent rien. S’exclama Braum arborant un sourire narquois.
Il poursuivit avec un rire sinistre
– En revanche, même si j'ai renié le nouvel ordre, je garde mon honneur. Si tu veux des informations, tu devras venir me les faire cracher.
– Pas besoin de te faire cracher quoi que ce soit. Quand tu as grandis comme moi chez les Brightstar, tu apprends quelques astuces en matière d'interrogatoire, comme fouiller la mémoire de quelqu'un grâce à la Force. Dit Coleman avec un sourire en coin.
Le Nautalon abandonna son sourire arrogant pour une expression inquiète, pendant que le Jedi levait la main pour scruter son esprit. Meywine intervint soudainement pour le stopper.
– Je vais m'en charger, je suis la plus compétente dans ce domaine.
Elle plongea profondément dans l'esprit de Braum, qui se débattait comme pour chasser un insecte agaçant.
Meywine, les yeux fermés, se concentrait intensément. Elle semblait explorer les méandres de la mémoire du renégat, et plus elle avançait, plus celui-ci se débattait vigoureusement. Braum fut pris par des convulsion qui ,puis soudainement, il s'immobilisa, lassant tomber sa tête dans le vide.
Sédu et Coleman sous le choque se tournèrent vers leur amie, qui venait de rouvrir les yeux et semblait ne plus savoir ou elle est.
S'il y avait une chose que Coleman et Sedu n'avait jamais vu sur le visage de Meywine c'était la peur.
Après des années à la côtoyer, ils étaient persuadés qu'ils ne la verraient jamais. Il faut dire que Meywine n'était pas n'importe qui, elle est l'héritière de la famille Brightstar, descendante directe de la grande Rey, fille de la prophétie, Jedi la plus puissante du nouvel ordre. Mais ils se trompaient, cette nuit là dans cette grotte lugubre sur une planète inconnu, Meywine venait pour la première fois de faire l’expérience de la peur.
OooooooooO
Dans un repaire obscur de la galaxie, la silhouette mystérieuse fouillait frénétiquement de ses mains squelettiques son lit lorsque son serviteur apparut devant lui.
– Comment puis-je vous aider, maître ? Lui demanda-t-il.
– Mon masque, où est mon masque? Répéta la silhouette avec agoni.
– Le voici, maître. Lui indiqua son serviteur, tendant un masque noir orné d'accents de rouge vif, avec des lignes angulaires et des motifs ciselés.
Le serviteur frissonna en le touchant. La silhouette mit le masque sur son visage et se redressa.
Le serviteur, toujours sur un ton soumis, déclara
– C'est l'heure de votre dîner. Maître.
Il claqua des mains, et une porte fit son apparition, éclairant faiblement la pièce. Deux hommes vêtus de noir firent leur entrée accompagnée de deux enfants : un garçon tusken et une jeune fille Twi'lek. Les hommes poussèrent les enfants jusqu'au lit où se tenait la silhouette.
– Approchez, mes enfants, approchez. Aujourd'hui, vous connaîtrez l'absolution! La silhouette les invita.
Les deux enfants semblaient pris de panique, mais demeuraient immobiles. Ils observèrent la main squelettique sortir de la manche de la robe, tendue vers eux. Là main se transforma comme un aspirateur qui avalait une aura de force émanant des enfants qui dans leurs regards se voyaient incompréhension la plus total .
En quelques secondes, les enfants disparurent, ne laissant derrière eux que leurs vêtements abandonnés sur le sol. La main, autrefois squelettique, paraissait maintenant revigorée. La silhouette s'adressa à son serviteur
– Cela ne suffira pas longtemps. J'ai faim. Toujours faim. Tout le temps faim. Nous n'avons plus de temps.
Le serviteur d'un ton sinistre répondit
– Bientôt, maître. Soyez patient, et je vous offrirai le meilleur des festins. Vous ne connaîtrez plus jamais la faim, Au grand
Darth Nihilus.