Une course contre le temps

Bayar se releva, il avait mal à respirer, mal au côtes et mal aux bras, le Démollose d'Hélio lui avait blessé beaucoup, son veste était tout déchiqueté. Il mit son main autour de son cou, il eu un choque, il avait une grande cicatrice en forme de X, c'était assez bas presque sur son poitrine. Il entendit un ruissellement, il s'approcha du fleuve, il se regarda. Le grand cicatrice sur son cou, ses bras étaient à moitiés déchirés, ses côtes étaient presque visibles à certains endroits. On disait que le nombre de cicatrices représentaient la sagesse, en ce cas il était un grand savant! Il prit un rocher et le jeta dans sa réflexion, les ondes dissipèrent son visage. Mais comment il s'était retrouvé ici? Quelqu'un avait du lui emmener! Il se tourna un magnifique Arcanin complètement blanc se tenait devant lui, Arcanin est un legendaire...Mais...Dans toutes les illustrations il était rouge, avec un crinière blancs et des traces noirs. Celui-la était tout blanc, ses yeux étaient verts, il avait vu ces yeux quelque part...

-Je vois que tu t'es réveillé. Dit le Pokémon, Bayar tomba dans l'eau tellement qu'il fut surpris.
-Tu...Tu parles...Bafouilla t'il.
-Hein bien sur que je causes! Exclama t'il.

-T'es qui? Demanda t'il.

-Moi? Je suis toi! Dit t'il en riant.

-Hein t'es fou, moi je ne suis pas un Pokémon!

-Moi non plus...

-Alors comment ça se fait que...Je dois rêver c'est ça. L'Arcanin lui pinça sur la main, il cria.

-Non ce n'est pas un rêve. Dit le Pokémon.

-C'est quoi ton nom alors?

-Mon nom?! Mon nom c'est Bayar! Dit t'il, en buvant un peu dans le fleuve.

-Ce n'est pas vrai, j'ai tombé sur un Pokémon légendaire qui parle, fou! Exclama Bayar. Regardes! Toi tu marches à quatre pattes moi à deux! T'es un pokémon, je suis un humain. T'es malade, jusqu'à présent j'étais complètement sain! Son raisonnement ne semblait pas faire le Pokémon changer d'avis.

-Si c'est seulement mon apparence qui te troubles...Dit t'il.

L'Arcadin disparut, transformé en substance grise, la substance pris une silhouette humaine, puis se coloria. Bayar était très surpris, c'était lui! C'était comme se regarder dans un miroir, en plus bizarre...Il avait les mêmes vêtements déchirés, les mêmes yeux verts et même les mêmes cicatrices.

-Bon content à présent? Demanda son clone, il avait même la même voix!

-T'es un métamorphe! Dit l'original Bayar.

-Hein? Non! Les métamorphes font des clones qui ressemblent aux pokémons! Ils n'ont pas leurs souvenirs, exemple je sais que t'es Bayar, que t'as 42 ans et demi et que t'avais un fils adopté nommé Pierrick, qui a été tué et que à présent tu veux le venger. En plus les métamorphes ne peuvent que prendre l'aspect des Pokémons! Dit Bayar2.
-Alors, si t'es pas un métamorphe, t'es qui? Demanda t'il vraiment très confus à présent.

-JE-SUIS-TOI! Dit lentement et simplement l'autre Bayar.

-Mais comment il peut y avoir deux moi! Exclama Bayar. Et pourquoi peut-tu changer de forme?

-C'est dur à expliquer...Dit son clone. Pour un raison où un autre quand t'es devenu vraiment stressé ou dans un genre de transe. Je existais, la première fois c'était quand Pierrick est mort...Mais c'était vraiment pas pour longtemps, pas assez de temps pour me faire sortir...

-Sortir d'où? Demanda Bayar.

-Laisse-moi finir! Aboya t'il. La deuxième c'était quand tu te noyais sous l'eau...
-C'est toi qui m'a sauvé! Compris Bayar, l'autre hocha la tête.

-Cette fois j'ai réussis à rester un peu plus longtemps...Et la dernière quand le Démolosee d'Hélio te touait et la je suis resté!

-Mais t'es qui?

-Je suis ton côté joyeux, blagueur, joueur...

-Vraiment?! Je ne savais pas que j'en avais un. Blagua t'il.

-Je me suis séparé de toi! Et donc...Me voilà! On part où?

-On? Il n'y a pas de nous dans cette histoire...Tu ne viens pas! Dit Bayar.

-Et pourquoi donc? Dit l'autre Bayar.

-Parce-que tu me ralentiras et aussi...

Il s'arrêta son poché brillait, c'était l'orbe, ''Pas cette fichu chose!''pensa t'il. L'orbe vola dans les aires, les deux Bayar le regardaient, il brilla encore plus fort. Puis ils ne se trouvèrent plus au même endroit. Bayar vit un grand montagne, puis un rayon de lumière le frapper, la scène se changea c'était des planètes qui s'alignèrent. Ça se concentra sur un, la sienne, il brulait. Il vit des villes entiers disparaître, les forêts tomber, les océans disparaître. Puis tout changea, il se trouva avec l'autre Bayar dans le blanc et il entendit un voix. ''Quand les planètes s'arrêteront...Quand tout brûlera....Quand le ciel et la mer tomberont...Quand tout sera sans espoir...Unissez l'âme et le cœur et redonnez...Ce que l'ombre à pris...''Ils se retrouvèrent dans le grotte.

-Je commence à détester cette boule magique! Dit l'original Bayar.

-Moi je l'aimes bien! Dit l'autre.

-De toute façon tu ne peux pas haïr!

-Peut-être...

''Il est un peu comme Pierrick...'' Pensa tristement Bayar. Soudain l'endroit où que Bayar avait reçu son plus grand cicatrice brula, il tomba par-terre et cria, du sang en jaillit, mais c'était bizarre...La blessure c'était refermé, alors normalement ça ne devait pas saigner. La douleur c'était comme être brulé, mais aussi à l'intérieur de lui. Il continuait à rouler sur le sol, l'autre Bayar le regardait inquiet. La douleur continuait pendent une dizaine de minutes. Bayar pensait qu'il allait mourir tellement que la douleur était grande. Aussi vite que il était arrivé la douleur repartit, laissant Bayar allongé par-terre, il était sale. Il baissa les yeux vers son cicatrice, du sang était la mais...Comme il avait pensé la blessure était fermé.

-Ça Va? Demanda le clone.

-Je...Je crois...

-Mais il faut faire quelque chose! Exclama l'autre Bayar. Les empêcher de tout détruire! Il faut que nous arrêtons Hélio! Bayar s'énerva.

-En premier il n'y a pas de nous! En deuxième même si on travaillait ensemble, il faudrait que tu ne ressembles plus à moi et que tu changeais de nom. Bayar2 baissa la tête. Et...Il me faut des nouveaux vêtements....

Bayar sourit à son clone, qui lui rendit le sourire en changeant d'apparence, il prit la forme d'une fillette de 15 ans, aux cheveux noirs.

-A présent appelles moi Espoir. Dit t'elle.