Une course contre le temps

Pierrick se retrouvait dans le noir, il n'entendait aucun bruit, il n'y avait pas d'odeur et bien qu'il marchait il n'allait nulle part. Où est-ce que il était? Il tomba à genoux quand soudain une douleur aigu accourut son crane, il sentait un autre présence essayer d'envahir ses pensés. Il se débattait mentalement mais l'autre force était trop forte, il entendit la voix de Hélio dans ses pensés ''Ne te bats pas cela ne rendra que la souffrance plus grande'' , Pierrick obéit ''Bien, on va pouvoir commencer maintenant'' dit la voix.

Pierrick se retrouva dans des plaines, il regarda une femme venait vers lui avec un bébé dans les bras. La femme ne s'arrêtait pas et au grand étonnement de Pierrick, elle passa à travers lui comme une fantôme. Cette scène était très familière, la femme aussi et le bébé. La femme parla:

-Es-ce que tu t'amuse Pierrick? Demanda t'elle.

Le bébé répondit en riant. Pierrick comprenait soudain, il était dans ses mémoires, cet femme était sa maman et le bébé c'était lui! La femme continua sa voyage quand quelque chose bougea dans les hautes herbes. La mère de Pierrick s'arrêta pour regarder. Les herbes descendaient soudain et quelque chose fonça sur eux. Sa maman se mit à courir aussi vite qu'elle put. Sans s'arrêter. Pierrick aurait voulu l'aider mais tout cela était déjà arrivé. Sa mère le déposa dans l'entrée d'une grotte et dit:

-Je vais revenir te chercher.

Elle partit en courant. Pierrick savait qu'elle ne reviendrais jamais, car il ne l'avait jamais connu. La même douleur qu'il avait eu avant lui déchira la tête. La scène se dissolue, lui laissant dans le rien. Ensuite tout autour de lui changea il était dans une pièce, il se voyait bébé, une femme qui avait le nez crochu parlait avec son père (qui était beaucoup plus jeune):

-Vous êtes sure de ne pas pouvoir le garder? Demanda t'elle.

-Je ne peux pas, je suis le chef de l'arène de Joliberges et je n'ai pas le temps. Répondit Charles.

-Dommage... Nous allons lui trouver une bonne famille, tu peux le croire. Dit la femme.

-Merci.

C'était comme ça qu'il s'était trouvé dans un orphelinat. Pas pour longtemps par contre, une bonne femme qui vivait à Charbough l'avait adopté.

Il se retrouva dans le vide.

-Pierrick, c'est ça ton nom. Pauvre petit Pierrick, pas de maman, un papa qui l'aime pas... Voilà l'histoire qui se déroule. Dit méchamment la voix de Hélio.

-Comme t'as mon nom, tu peux partir maintenant. Répliqua Pierrick.

-Pourtant... Je ne sais pas encore tout ton histoire. Non, non Pierrick c'est loin d'être fini.

-Je ne te laisserais pas rentrer dans mes souvenirs!

Hélio essaya de renter, Pierrick tenta de l'arrêter, il pensait que sa tête allait exploser, il se roula parterre en la tenant. Hélio était trop fort pour lui... ''Ne résiste

pas, tu ne pourras jamais me battre, seule chose que tu fais c'est de t'épuiser et si tu t'épuises de trop...Tu meurs.'' Encore une fois Pierrick fut contraint d'obéir.

Cette fois-ci, il devait avoir trois ou quatre ans, le petit garçon courait dans des grottes . Il regarda en arrière puis lança:

-Tu ne pourras jamais m'attraper! Il continuait sa course en riant.

Une veille mémé avec une cane apparut à l'entrée de la grotte. Effectivement, elle n'allait jamais pouvoir l'attraper!

-Pierrick reviens c'est dangereux! Exclama t'elle. Il y a souvent des chutes de pierres!

Bien sur, il ne l'écoutait pas, il courait partout, en sautant et en criant de joie. Soudain ses cris de joie devenaient des cris de terreur, une parti du plafond venait juste de se détacher du reste. A présent une roche énorme tombait doit où qu'il se tenait. Avec une vitesse incroyable pour une mémé, la veille dame poussa Pierrick hors du danger. Mais elle ne pouvait pas faire le même pour elle, les rochers tombèrent sur elle. La deuxième personne que Pierrick avait perdu. Il resta la en train de pleurer, pour longtemps. Quand un ombre apparut au but du grotte, l'ombre de l'homme recouvrit Pierrick qui l'observait tout en pleurant.

La scène changea encore. C'était le mémoire du moment qui lui changea la vie pour toujours.

Dans l'orphelinat l'homme qui l'avait trouvé était la avec lui. La dame au nez crochu aussi, elle dit:

-Je suis vraiment désolé monsieur. Je ne sais pas pourquoi ce gamin et son parent adoptif étaient allés dans un grotte. Mais le garçon se montre très... Problématique.

Il pleurait dans une coin, l'homme le regarda.

-Son père est t'il au courant? Demanda t'il.

-Charles? Oui il devrait être la bientôt. Mais c'est loin d'être sur qu'il voudra s'en occuper d'un gars pareille...

Même tout jeune Pierrick connaissait la réponse. Non, il n'avait jamais le temps., c'était pour ça qu'il pleurait. L'homme posa sa main sur son épaule, ça le calma. Plusieurs minutes plus tard, Charles arriva :

-Monsieur. Dit la femme. Votre fils à eu un accident et... La dame qui s'en occupait de lui est mort et...

-Et vous voulez savoir si je peux le prendre. Coupa Charles. J'ai déjà dit que non, j'ai pas le temps en étant le chef d'arène de Joliberges! Cet réponse sembla troubler le sauveur de Pierrick.

-Mais comme même! Tu peux t'en occuper de lui! Pendent des années, il y a eu des centaines de chefs d'arènes, sur tout les continents, et ils ont bien pu s'en occuper de leurs enfants! Exclama celui-ci, Charles le regarda.

-Si tu ne venais pas juste de sauver mon fils, je t'aurais donné le plus grand coup de poing de ta vie. Menaça t'il. Mon décision est finale! Je ne peux pas le prendre!

La dame s'en approcha de Pierrick, qui s'agrippa aussi fort à la main de l'homme qu'il put.

-Attendez! Dit l'homme,Charles se tourna vers lui. Je... Je prendrais le garçon.

Les Charles et la dame semblaient étonnés, Pierrick était lui aussi étonné, surpris et peut-être le plus joyeux qu'il n'avait jamais était de la vie. L'homme lui sourit.

Plusieurs heures plus-tard, Pierrick et son récemment nommé ''père adoptif'' rentrait, à un petit chalet à Charbourg. Pierrick regardait les yeux de son ''père'' qui brillaient il demanda:

-Monsieur...Est-ce que vous êtes un mineur?

-Quoi? J'ai beaucoup plus de 18 ans!

-Non, est-ce que tu travailles dans les mines?

-D'une certaine façon un jour, je te montrerais.

La scène changea. Pierrick se retrouva dans les mines avec son ''père''. Qui regardait une mur avec 26 symboles gravé dessous.

-Pierrick, reste par ici! Dit son père sur un ton amical.

Pierrick revient au-près de lui, c'était la seule personne qu'il écoutait, grand, fort et intelligent c'était un père génial pour un garçon de son age.

-Je ne sais pas Pierrick, je n'arrive pas à comprendre ces symboles. Dit t'il.

-Je peux essayer? Demanda t'il.

-D'accord. Dit son père après considération. Tu sais Pierrick? C'est écrit en Zarbi, on ne sait pas si notre langue ou celle des Zarbis est venu en premier.

Pierrick observa les symboles...Mais c'était simple! Il commença à chantonner.

-ABCDEFGHIJKLMNOPQR...Er...Papa que vient après R.

-S Pierrick. Répondit son père après un petit rire.

-STUVWXYZ.

Son père adoptif le regarda puis les symboles. Une sourire se traça sur son visage. Puis il dit:

-Pierrick, tu viens juste de trouver la réponse! A présent rentrons on a beaucoup de travaille.

Même dans le néant qu'il venait juste de se retrouver dedans, Pierrick rit car ces jours avait étaient les meilleurs. Tout le monde à Charbourg était gentil. Il aimait tout le monde. Puis ses premiers jours à l'école avaient commencés, il s'étaient retrouvé seul, il n'avait pas d'amis à Charbourg et pas d'école non plus. Alors il devait aller à Unionpolis c'était la où se trouvé la seule école de Sinnoh. La douleur le prit encore il poussa un hurlement puis il se retrouva dans son ancien école.

La pluie tombait, il devait avoir 8 à 10 ans et il fuyait une bande de gars. Il était ami avec beaucoup des gens de Charbourg mais en se retrouvant dans une école il s'était surtout fait beaucoup d'ennemis. Un gros gars lui barra le passage, il lui fait un croche-patte. Pierrick tomba par terre dans la boue, les enfants s'étaient assemblés autour de lui, le plus grand lui dit:

-Hé, l'orphelin il est où ton papa maintenant hein? Il lui donna un coup de pied.

-Il est nulle part lui aussi, est parti. Ricana un autre.
-Et ta mère où est t'elle? Quand son petit enfant est en train de se faire tabasser.

Cette fois-ci, c'était trop on n'insultait pas sa mère. Il se releva d'un bond et frappa le plus proche, qui tomba parterre en jurant. Ses deux compagnons se jetaient sur Pierrick le frappent de tout leur force. Soudain une fille sortit de la foule, elle avait les cheveux roux et une Tortipouss à son côté.

-Laissez-le! Cria t'elle. Il n'a rien fait.

La foule partit, laissent Pierrick couché dans le boue et la fille à côté de lui.

-Ca va? Demanda t'elle.

-Oui, je crois... Moi c'est Pierrick et toi?

-Moi c'est Flo.

La scène disparut et une autre réapparut.

-Papa! Cria Pierrick qui devait avoir 15 ans.

-Pierrick! J'ai cru que tu n'allais pas venir me dire au revoir!

-Ne pars pas...Dit t'il.

-Je le dois, j'ai dépensé 10 ans ici! Alors que je devais être à Kanto.

-Mais...

-Pierrick t'es grand maintenant et t'as Flo.

 

Son père marcha vers lui et lui donna un de deux joyaux bleus. Pierrick le regarda.

-Comme ça si jamais t'as besoin de moi ou moi de toi l'autre sauras.

-Au revoir Papa.
-Au revoir.

Les deux derniers souvenirs que Hélio extrait de sa mémoire était son deuxième ami, Tanguy et comment il était devenu chef d'arène de Charbourg. Pierrick n'aimait pas être dans le vide, '' Alors Pierrick, voilà ton histoire'' dit une voix qu'il avait entendu de trop à son goût ''La douleur de perdre 2 de tes proches, la tristesse, la haine, la rage finalement on est pas si différents toi et moi.'' Cet phrase fit peur à Pierrick, ''On n'a rien de pareille!'' Cria t'il dans ses pensés. ''Oh, que si...Vous et moi on est deux faces du même pièce'', ''Non, on n'est pas pareille! NON!'' Pierrick sentit une fureur incontrôlable le consumer, il utilisa cette fureur et il sentit la présence d'Hélio le quitter. Il était libre.