CRONOS DARKSIDE - Héro malgré lui

A l’extérieur, Marcus avait rejoins les victimes de la gardienne du Tartare et mit Percy hors jeu rapidement, ce pendant, il n’arrivait pas à venir à bout de la manipulatrice qui avait remplacé Percy par les trois filles.

- Bon, que fait-on maintenant ?

D’un geste vif et puissant, une main vint se plaquée contre la tête du garçon et l’envoyer s’écraser à terre. Lorsqu’il regarda son agresseur, il vit Cronos entourer d’une aura monstrueuse et extrêmement hostile qui le paralysa. Devant le nouvel arrivant, les filles étaient tombée à genoux, les larmes aux yeux et un filet de bave leur coulant de la bouche.

- Cr…Crono…s…

Celui-ci tourna ses yeux toujours aussi exorbités vers Marcus qui en perdit la parole, puis il reporta son attention sur l’ennemi le plus proche, Yukina. D’un pas lent et sur, il se dirigea vers la proie et il l’écarta de sa route d’un coup de manchette.

La suivante fut Annabeth qui subit le même sort que Yukina, puis le fils de Zeus s’arrêta devant Serena qui était jusque entre lui et la servante d’Hadès. Il posa de chaque côté de la tête de la jeune fille et la souleva ainsi en exerçant une pression de plus en plus forte, lorsque les yeux de la grise se fermèrent, il la balança à côté de lui et il alla saisir sa véritable victime par la gorge afin de la soulever au-dessus de lui en grognant comme un animale enrager.

Ce pendant ce que Marcus et la manipulatrice remarquèrent c’était qu’il semblait maintenant insensible à la douleur, car il avait laisser une sacrée traînée de sang lors de son parcours jusqu’à sa proie.

/ Bon sang, mais il va y rester si il continue comme ça…il faut l’arrêter…/

Soudain su sang se mit à couler de la bouche, des yeux et des oreilles de Cronos qui lâcha l’autre avant de s’écrouler sur elle…

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Lorsqu’elle se réveilla, la première chose qu’elle vit, ce fut le plafond d’un bâtiment qui lui était inconnu. En se redressant dans le lit, elle eu un tel mal de tête qu’elle en eu le tournis, mais se ressaisissant, elle repéra Cronos allonger dans un lit non loin du siens, mais le taciturne était sous respiration artificielle et presque entièrement recouvert de bandage.

- N…non…c…ce n’est p…pas…

- Hoi Serena ! Comment ça va ?

La jeune fille se retourna brusquement devant calmer un nouveau mal de tête, puis elle se retrouva face à un groupe de personne qui lui était complètement inconnues.

- Je…qui êtes-vous ?

- Hein ?

- Tu plaisantes là ?

- Plus important ! Est-ce qu’il va bien ?!

- Qui ça ?

- Mais Cronos bien sur !

- Oh, Cronos. Il s’en remet difficilement.

- C…c’est à…à cause de l’ac…l’accident ?

- Quel accident ?

Soudain Cronos se redressa en hurlant et en arrachant par la même occasion tous les fils qui le reliés aux différentes machines.

- Boss ! Vous allez bien ?!

- Boss ?

- Qu’est-ce qu’elle raconte ?

Le taciturne tira d’un coup sec sur les tuyau qui lui rentrer dans le nez et,la gorge, puis il se pencha de l’autre côté de son lit pour vomir un peut de sang et de bile.

- Bon sang…vos médicaments sont affreux !

- Ah…

- Il te fallait au moins ça, sinon tu y serais rester c’est sur.

- Boss, que vous est-il arriver ?

- B…boss ?

Il se retourna vers Serena et lorsqu’il la vit avait ses bandages autour de la tête, sur les mains et sur son torse, un grand sourire s’afficha sur son visage, pas comme ceux que les autres avaient pus voir jusqu’à maintenant, mais le sourire d’un enfant qui découvre un nouveau jouet dans ses cadeaux.

- Tu es redevenue toi-même, enfin !

- Quoi ?!!!!!

- Temps mort !!

- Que se passe-t-il Yukina ?

- Qu’est-ce qu’il vous arrive tous les deux ?

- Oh, c’est vrai. Vous ne connaissez pas la véritable histoire.

- Que se passe-t-il exactement, Boss ? Et qui sont-ils ?

- Ah oui, vu que tu es revenue, les souvenirs de l’autre doivent avoir disparus avec elle…

- L’autre ? Qu’elle autre ?

- Pour faire simple, tu ne viens pas tout juste de te remettre de l’accident. Lorsque tu es revenue à toi, tu ne te rappelais pas de moi, ni de ce qu’il s’était passer et comme je ne pouvais pas supporter de te voir comme ça, j’ai expliquer aux médecins que tu étais dans la voiture de tes parents lorsque l’accident est survenu et je t’ai laissée entre leur main en espérant ne jamais revoir la nouvelle Serena qui me trouvait effrayant et détestable. Mais on s’est retrouver dans la même classe lors de notre entrée au lycée, c’est là que j’ai appris que tu avais perdu l’usage de tes jambes lors de l’accident et toi qui semblait te rappeler quelque chose à mon sujet, tu as commencer à me suivre partout alors que j’essayer de te repousser. Mais il faut croire que l’ancienne Serena était encore trop présente dans mon esprit pour que je me débarrasse définitivement de la nouvelle.

- …

- Dit, tu pourrais reprendre l’histoire du début ?

- Ah oui, je m’en doutais. Vous n’avez absolument rien compris, hein ?

- Exactement.

- Pour faire simple, la Serena que vous avez connus jusque là, n’aurait jamais dû existée, et celle qui est actuellement devant vous, c’est la vrai Serena. Celle que je connais depuis ma rentrée au collège.

- Et on peut savoir ce qu’il s’est passé exactement ?

- Ben, un jour alors qu’on faisait du vélo en montagne, un camionneur qui ne faisait pas attention à ce qu’il faisait, nous à percuter, enfin je pense que ce jour là, mais pouvoir nous on un peut sauver, parce que j’ai vu l’accident arriver au ralenti, j’ai sauté de mon vélo, je me suis dirigée vers Serena et je l’ai attrapée pour nous écarter du véhicule, amis le problème, c’est que nous sommes passés par-dessus la barrière de sécurité et on a dévala le pan du col montagneux, je m’en suis miraculeusement sorti indemne, mais pas Serena, la suite et bien, c’est ce que j’ai raconter plus tôt.

- Ah ouais…carrément…

- Heu…Boss, de quoi vous parlez lorsque vous dites «ã€€pouvoirs　» ?

- Ce genre de pouvoir là.

Le taciturne leva sa main droite et des éclaire crépitants y apparurent en formant une boule concentré et bruyante.

- Ouha !

- Yukina, emmène la avec toi, il va falloir qu’elle reprenne ses repères.

- Bien, tu me suis ?

- Mais…

- Vas-y, on se voit plus tard.

- Bien Boss.

Les deux filles s’en allèrent et lorsqu’elles furent hors de vue et que Cronos était sur qu’elles ne l’entendrait plus, il se leva et se dirigea vers l’armoire la plus proche pour y prendre son arme qui y était rangée, a peine eu-t-il poser la main sur le manche, que la chaîne vint s’enroulée autour de son poignet.

- Que fais-tu ?

- Je comptes sur vous pour lui refaire une mise à niveau. Moi je vais faire ce que j’avais dit, je me casse.

- Quoi ? Mais pourquoi ?

- J’ai aucunes raison de me justifié auprès de vous !

- …

Il plaça son arme dans on dos et parti tranquillement jusque dans la forêt où il disparut sans laisser de traces.

- Aie…

- Comment on va annoncer ça à Serena ?

- C’est vrai, elle a l’air de vraiment le vénérer.

- Disons lui simplement qu’il est parti sur une nouvelle quête.

- Pourquoi pas, ça pourrait marcher.