CRONOS DARKSIDE - Héro malgré lui

- Putain de Clebs ! Je vais le castrer !

A peine Cronos fut-il relever qu’il se reçut un coup de poing magistrale venant de Percy.

- Percy, qu’est-ce que tu fais ?

- Je ne sais pas, mon corps a…il a…

- Tu veux te battre minable ?

Cronos se releva rapidement entourer d’une aura meurtrière et la main sur le manche de sa fau. De son côté Percy venait de dégainer son arme.

- Percy, arrête !

- Je ne peux pas, mon corps ne m‘ob…

- Percy, tue tes amis pour moi, s’il te plait.

Le regards de Percy s’éteignit de toute présence et il parti à l’assaut de Cronos qui était toujours en place, immobile et de son visage, seul un sourire dément était visible.

- Percy ! Arrête ça !

Cronos leva son poing gauche à hauteur de son épaule pour stopper la lame de Percy qui s’enfonça d’au moins cinq centimètres dans son avant bras tendis que la puissance du choque fit souffler une sacrée rafale entre les deux combattant.

- Cronos ?

- C’est tout ce dont tu es capable, Jackson ?

Le sourire du faucheur s’agrandit révélant toutes ses dents, puis son aura s’intensifia pour se concentrée sur la fau avec laquelle, Cronos renvoya le fils de Poséidon tout en l’électrocutant.

- Parfait, ça marche.

Percy se releva comme si rien n’était, mais il avait une fine plaie au niveau du cou.

- Cronos, tu ne pourras pas le blesser plus que ça, il…

- Tiens ta langue toi.

Sortie de nulle part, une personne cachée dans un long manteau marron a capuche, surgit devant Annabeth et posa deux doigts sur son front, la jeune fille se retrouva alors paralysée et elle ne pouvais rien faire d’autre que regarder les deux garçons se battre.

- Reste calme et admire le spectacle.

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Ils était presque sortis de l’Élysée lorsqu’une voie les interpellas. Le voix d’une femme pour être plus précis.

La personne qui se tenait maintenant devant Marcus et Thalia était une femme élégante dont l’aura intimer le respect et la crainte, elle était vêtue d’une armure finement travaillée par des mains d’experts, ses longs cheveux était d’un rouge flamboyant, ses yeux plus sombre encore que celui de Marcus et elle avancée d’un pas à la fois majestueux et sur.

- Némésis…que nous veux-tu ?

- Dis-moi Marcus Zygler. Tu crois vraiment tous ce que t’a raconter ce déchet de Rhadamanthe ?

- Comment ça ?

- Vous faisiez pourtant partis de ceux qui avaient rejoins Cronos lors de la guerre, comment pourrait-on vous faire confiance ?

- Il est vrai que j’ai eu cette envie de me venger de Zeus, mais pas au point de le supprimer. Après tout, si il disparaissait, un autre dieu plus puissant que moi prendrait sa place et une fois le monde sous ses ordres, la vie n’aurait certainement plus était aussi tranquille.

- Alors tu vas me dire que tu n’es pas de mèche avec lui ?

- C’est bien ça.

- Tu m’excusera, mais son histoire tiens plus debout que la tienne.

- Et toi fille de Zeus, qu’en dis-tu ?

- On devrait se méfier oui, mais ça ne nous coûte rien de tenter quelques chose avec elle de notre côté.

- Bon, et que proposes-tu alors ?

- Vous montrer la vérité, ainsi mon innocence sera prouvée. Mais pour cela, vous devrez accepter de me suivre.

- Allons-y Marcus, je suis sure que Cronos et les autres s’en sortiront très bien sans nous.

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Cronos marquer une pause dans le combat en maintenant Percy au sol en étant assis sur lui.

- Alors, t’es qui toi ?

- Je suis la gardienne de porte du Tartare, mon maître, Hadès, m’a ordonné de vous empêcher de passé. Il ne faut en aucuns cas que les deux Cronos entre en contacte. Il m’a aussi révéler que Percy s’était renforcer physiquement, alors je l’ai prit comme pantin afin de vous éliminer et vous empêcher de passer.

- D’ailleurs, maintenant que j’y pense, elles sont où les deux autres ?

- Disons qu’elles ne vous seront d’aucuns secoure.

- …

- Bien. Percy, ce n’est pas l’heure de la sieste, remets-toi au travail !

Dans un effort surhumain, le fils du maître des océans dégagea de sous Cronos et il reprit son assaut, mais Cronos ne compris que trop tard que ce n’était pas lui qui était visé, mais Annabeth.

L’arme de Percy fendit l’air tendis que son visage fut asperger de sang.

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Marcus se tenait à genoux dans l’herbe, une main sur son épaule qui saignée, devant lui se tenait Thalia, le regard vide et un poignard ensanglanté à la main, tendis que derrière la jeune fille, se trouvé Rhadamanthe qui riait comme un idiot devant l’incompréhension qui s’affichée sur le visage du jeune guerrier.

- On dirait que tu es perdu mon pauvre.

- Que se passe-t-il ? Où est Némésis ? Et qu’as-tu fais à Thalia ?

- Oh, cette chère Némésis n’a jamais mit les pieds ici.

- Une illusion ? C’est ça, hein ?

- Exactement et actuellement, ta chère camarade te voit comme son ennemis moi son allié qu’elle fera tous pour protéger et soutenir.

- Sale lâche !

La taciturne se releva rapidement et couru droit sur son ennemi, mais Thalia s’opposa à lui et lui envoya un autre coup de poignard qu’il parât avec ses griffes avant d’éviter une attaque venant de Rhadamanthe.

- Il ne faut pas hésité Thalia, il est très fort. Ne retiens pas tes coups.

- …

- Bon sang !

Marcus se plaqua à terre et un éclaire siffla au-dessus de sa tête.

- C’était juste…

- C’en est fini de toi !

Rhadamanthe se tenait derrière lui son épée levée, mais l’autre esquiva en s’éjecta en l’air, mais là fut son erreur, car il ne fallu que quelques second à Thalia pour lui décoche rune flèche qui attira un puissant éclair sur lui en l’électrocutant et le laissant tomber lourdement sur le sol.

Marcus était immobile et il ne respirait plus, l’homme en noir alla alors vers Thalia.

- Tu as fais du très bon boulot, maintenant, je n’ai plus besoins de toi.

D’un geste simple et naturel, il lui enfonça sa lame dans l’estomac, ce fut en même temps qu’elle cracha une gerbe de sang, que Thalia revint à elle. Son regard se posa alors sur la lame noir, puis remonta jusqu’au visage de Rhadamanthe pour finir par aller se poser sur le corps de Marcus.

- Encore merci de ton aide, fille de Zeus.

Le meurtrier retira son arme et il s’éloigna de la jeune fille qui s’écroulée sur le l’herbe maintenant rougit par son sang.

/ Mais que s’est-il passé ?/

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Les gouttes de sangs coulés lentement de la lame en bronze de Turbulence, face au propriétaire de cette arme, Annabeth qui avait retrouvée sa mobilité était en état de choc. Entre eux deux se tenait Cronos, les bras écartés faisant barrière devant Annabeth, une plaie béante été ouverte sur son torse qui libéré des flots de sang sur le sol rocailleux.

- C…Cronos…

- Oh ? Il l’a fait.

- P…Pourquoi ?

- La ferme…

Les bras de Cronos retombèrent, mais il resta debout sur ses jambes.

- Cronos ?

- Ce n’est pas la peine, il n’est plus conscient. Et avec un tel saignement, je me demande même si il n’est pas mort.

Pour conclure les paroles de l’inconnue, les chaînes de la fau de Cronos se détachèrent de Cronos et son arme tomba par terre dans un cliquetis métallique.

- N…no…non…

- CRONOS !!

Sortie de nulle part Serena colla son pied dans le visage de Percy qui disparut dans un stalagmite, puis un stalactite s’effondra sur lui, tendis que Yukina venait de retaper Cronos qui s’écrouler.

- Mais que t’arrive-t-il Cronos ?

- Le pauvre garçon est mort, mesdemoiselles.

Serena rejoignit Yukina et Annabeth autour de Cronos.

- Annabeth, que s’est-il passé ici ?

- C’est elle la responsable. Elle a prit le contrôle de Percy et…et…

Serena remarqua alors la fau détachée de Cronos, elle se releva en ramassant l’arme et se mit face à leur ennemie.

- Toi, tu vas regretter ce que tu as fais ! Je vais venger Cronos !

Les mains de la jeune fille commencèrent à fumée au contact de l’arme.

- Ça brûle !!

- Serena !!

La grise venait de lâcher l’arme et elle fixée ses mains rougies par des traces de brûlures.

- C’est la fin pour vous…

Percy émergea enfin des décombre rocheux et il se mit en garde face à ses amies.

- Cronos est vaincu, Marcus et Thalia sont maintenant hors jeu eux aussi, quand à vous trois, aucunes ne peut manier cette fau qui est la seule arme capable de blesser quelqu’un ayant obtenu la bénédiction du Styx. De plus, vous n’oserez pas vous en prendre à l’un des vôtres. C’est une victoire totale !!

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Enfin ressortir de chez son père, Nico tomba sur Rhadamanthe qui nettoyer son épée.

- Oh, le fils du patron. Alors comment ça va mini croquemort ?

- La ferme.

- De mauvaise humeur à ce que je vois.

- Si tu n’as rien d mieux à faire que dires des idioties, va donc me tondre cette pelouse.

- Je vais avoir du mal avec les deux cadavre qui y traînent.

- Des cadavres ?

- Oui, par là-bas.

Le garçon parti en courrant dans la direction indiquée par l’homme et après un petit moment de course, il trouva Marcus penché sur Thalia couchée dans l’herbe rouge.

- Marcus ! Que se passe-t-il ?

- Oh c’est toi Nico.

Le fils du maître des lieux se stoppa net lorsqu’il vit la blessure de la jeune fille.

- Que lui est-il arriver ?

- Je ne sais pas, c’est certainement Rhadamanthe. Moi j’ai été assommer par son éclaire, alors…

- Tu t’es battu avec Thalia ?

- Rhadamanthe la contrôlée grâce à une illusion, elle me prenait pour son ennemi.

- Cet idiot…je vois, ça devait être ce dont mon père m’a parler. Il disait qu’il ne permettrait plus jamais à un vivant de rentrer dans son royaume sans en avoir été prévenus à l’avance. Je suppose donc que de nouvelle défense ont été programmer pour les arrêter, voir les tuer.

- Nico, tu ne pourrais pas l’amener à un hôpital en utilisant ta technique de déplacement ?

- Je m’en occupes, toi dépêches-toi d’aller retrouver Cronos.

- Cronos ?

- Oui, des ordres très spécifiques ont été donner pour lui.

- Quels genres d’ordres ?

- L’abat vue ainsi que toutes personne l’accompagnant.

- On est dans la merde là…

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Les trois filles faiblissaient face aux assauts répétitifs de Percy et de la manipulatrice encapuchonnée. Mais aucunes ne voulait baisser les bras, ce pendant tous avaient oublier deux choses capitales : Cronos et l’entrée du Tartare.

[ Serena ? Tu as vu Cronos depuis tout à l’heure ?]

[ Il n’était pas…]

Le garçon n’était plus là où ses amies l’avait laisser, ni sa fau, ce pendant, cela ne sembler pas avoir frapper leur agresseur.

[ Ne me dit pas qu’il est…]

[ Si, ça ne fait aucuns doutes, il est passer pendant que nous faisions diversion.]

[ Ah, le salop !]

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Il se tenait face au gouffre, se servant du manche de son arme comme d’une canne

- Tu es dans un état bien pitoyable, Gamin.

- Oh, la ferme toi…

- Maintenant que tu es là, laisse-moi prendre ton corps et ensemble détruisons l’Olympe.

- Hé, c’était pas dans mon contrat ça…

- Tu ne croyais quand même pas que je pouvais quitter cet endroit aussi facilement ? Depuis que mon vrai corps est devenus inexistant, seul mon âme survie et ce grâce à ton existence

- Mon existence ?

- Oui, tu es né pour me donner ton corps afin qui j’exerce ma vengeance !

- Oh, vraiment ?

- A ton avis, pourquoi ais-je fais en sorte que tu sois toujours seul et hais par le monde entier tendis que toi tu le haïssais en retour ? C’est très simple, il me fallait quelqu’un incapable de vivre et qui me donnerai son corps sans hésitation ou remords.

- Laisse-moi te proposer un jeu dans ce cas, voyons lequel de nos esprit prendra le dessus sur l’autre afin de déterminer qui mérite ce corps et qui mérite le trou.

- Tu as perdu d’avance, misérable !

Cronos ferma les yeux et lorsqu’il les rouvrit, il flotter dans un univers tout blanc avec quelques taches rouges par endroits, puis il repéra quelqu’un devant lui, il s’agissait d’une homme due une cinquantaine d’année qui lui ressemblé beaucoup, sauf que ses yeux étaient complètement dorés.

- Enfin on se rencontre face à face.

- Que le meilleur gagne.

- Exactement.

Ils tendirent tous les deux une main devant eux et chacun matérialisa un exemplaire de la fau que Cronos utiliser habituellement.

Le premier à attaqué fut le jeune Cronos, mais sa feinte fut facilement bloquée par l’autre, trop facilement d’après lui.

- Comment…

- J’ai fais pour t’arrêter ? Très simple, tu utilise exactement la même manière de combattre que moi, je connais chacune de tes bottes secrètes et chacun de tes mouvement au combat.

- …Toutes tu dis…

- Toutes en effet.

Le jeune eu un petit sourire machiavélique qui se dessina sur son visage et il fit disparaître sa fau.

- Tu abandonne déjà ?

- …

- Hum ? Tu as perdu ta langue ?

- …

Devant le silence de son futur corps, Cronos avança vers lui calmement mais lorsqu’il ne fut plus qu’à deux mètre de lui, le taciturne releva la tête, ses yeux étaient exorbité à un tel point qu’on aurait dit qu’ils allaient explosés, le plus effrayant, c’était ses cernes noirs qui faisaient ressortirent ses iris rouge sang et beaucoup plus petite qu’a l’ordinaire et encadrer d’injection de sang dans globe oculaire.

- Toi t’es mort !

A une vitesse sans pareille, Cronos enfonça sa main dans la poitrine de l’autre Cronos pour serrer sa main sur le cœur de l’homme qui battait entre ses doigts. Le jeune serrait légèrement petit à petit, forçant ainsi l’autre à se mettre à genoux, puis au bout d’un moment l’organe cessa toutes activités.

- Cronos Darkside, tu ne fera qu’être manipulé par les dieu et lorsqu’ils n’auront plus besoins de toi, il t’enfermeront ici avec moi. Tu regretteras alors ce geste alors que tu aurais put devenir un héro en libérant ce monde de leurs tyrans.

- Je ne suis pas un héro !

Il sorti sa main ensanglantée et après que l’autre Cronos eu touché le sol, tout devint noir autour de lui.

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A l’extérieur, Marcus avait rejoins les victimes de la gardienne du Tartare et mit Percy hors jeu rapidement, ce pendant, il n’arrivait pas à venir à bout de la manipulatrice qui avait remplacé Percy par les trois filles.

- Bon, que fait-on maintenant ?