CRONOS DARKSIDE - Héro malgré lui

L’air semblait plus frais dans ce coin et il était allonger dans de l’herbe douce et un peut humide, mais soudain il se rappela qu’une telle chose ne pouvait pas être possible, puisqu’il était en Enfer.

Marcus se releva alors dans un grand terrain de verdures avec quelques fleur, il y avait même un lac, mais le reste à l’horizon était le décors habituel de l’Enfer.

- Les champs Elysées…ça ne peut être que ça. /Mais qu’est-ce que je fais ici ? Tiens, c’est pas…/

Le garçon s’approcha de Thalia qui était étendu un peut plus loin et il la remua du bout des pieds.

- Hé, t’es morte ?

- Attention !!

Le cri de la jeune fille fit sursauter l’autre qui regarda de tous les côté avec méfiance, puis lorsqu’il regarda de nouveau sa camarade, il la vit assise en train de se masser le cou tout en râlant comme quoi elle avait mal.

- C’est pas ça qui t’empêcher d été lever quand même ?

- On est où là ?

- Tu devine pas ?

- Marcus Zygler, Thalia Grace. Qu’est-ce que deux vivant comme vous font sur mon territoire ?

- Rhadamanthe…

Un homme à la carrure de combattant puissant, s’approcha. Ses cheveux blond voletés dans une fine brise, tendis que ses yeux ambrés dévisager Marcus qui ne se montrer pas du tout impression mais plutôt prêt à combattre si cela s’imposer, ainsi que Thalia qui venait de se relevée précipitamment.

- Seigneur Rhadamanthe, nous…

- N’utilise pas ce terme devant moi, Thalia. Ce type ne mérite pas d’être appeler Seigneur.

- Marcus, fils de Thanatos, aurais-tu une dents contre moi ?

- Il faut croire. Après tout, c’est toi qui a fait disparaître Cronos et notre mère de l’hôpital lorsque nous somme nés, n’est-ce pas ?

- En effet.

_____________________________________________________________________

- J’en ai marre !! Pourquoi on doit s’occuper de ce clédar ?!

- Surveille ton langage Serena, tu va le vexer. Hein mon petit Cerbère, elle est méchante la fifille, hein ?

Yukina et Serena étaient au petits soins avec l’énorme chien à trois têtes, tendis que 30 soldats morts et armé de fusil les surveillées de près.

La rose s’était rapidement attaché à l’animale, mais la grise préférée prendre ses distances avec lui.

- Au fait Serena, tu te souviens de ce que disait la prophétie toi ?

- La prophétie ? Tu veux dire ce que nous a dit cette Rachelle en utilisant une voix bizarre et en essayant d’étrangler Cronos ?

- Oui, ça.

- La première phrase était quelques chose du genre «ã€€Le précieux du félin a été dérober à son gardien　»

- Ensuite je crois que c’était quelques chose comme «ã€€Au fond du gouffre, les épreuves devrons être accomplies, mais deux seront perdu.　»

- J’espère qu’il ne faut pas avoir réussit un certain nombre d’épreuve avant d’arriver au Tartare…

- Je pense plutôt que ça veux dire que nous allons perdre deux membre de l’équipe.

- …

- …

- Bon, la suite je m’en rappelle par contre «ã€€Par son butin, le voleur sera sauver. Mais si la vérité il refuse, la mort il obtiendra.　»

- Dis-moi, tu n’as rien prit qui n’était pas à toi depuis qu’on est partis ?

- Non, et toi ?

- Non plus.

- J’espère que ce n’est pas Cronos…

- Il y a des chance, après tous, il est venus ici pour trouver la vérité et comme on parle de vérité dans ce vers, peut-être que…

- …

- …

- Et la fin, tu t’en souviens ?

- «ã€€Pour sa survie, un sacrifice devra être donné.　»

- Cette voix…

- Cronos !

Une pluie d’éclaire terrassa les soldats tendis que Cronos atterrissait à côté de Cerbère, en compagnie de Percy et Annabeth.

_____________________________________________________________________

- Explique-toi ! Pourquoi as-tu fais ça ?

- Va savoir.

- Espèce de…

- Tiens, je sais. Si tu arrive à me battre, je te le dirais. Ça te va ?

- Hum ! Tu ne crois pas si bien dire.

Marcus matérialisa son gant à griffe et

Rhadamanthe sorti une épée faite du même fer noir que celle de Nico.

- Aller, c’est parti !

L’homme ne perdit pas un instant et il attaqua, son arme fendis l’air et trancha le torse du fils du dieu de la Mort sa vitesse les avait tellement pris de cours que le regard d’incompréhension Marcus et celui terrorisé de Thalia, fit naître un sourire narquois sur le visage de l’attaquant.

- On dirait que tu n’es pas à la hauteur.

- Que tu dis.

Le visage de Marcus se transforma pour laisser place à un sourire digne de Cronos tendis que la lame de son adversaire se brisée en deux.

- Quoi ? Mais c’est impossible ! Je t’ai découper, j’en suis sur !

- Oh oui, tu as toucher quelques chose, mais pas de chance pour toi, juste avant de venir ici, je me suis procurer une armure impénétrable.

- Ne me dit pas que tuas prit…

Le taciturne arracha sa veste déchirée pour révéler son torse recouvert d’un pelage soyeux bien qu’un peut abîmer par endroit.

- La fourrure de Némée.

- Thalia, tu me feras penser à remercier Cronos une fois qu’on sera rentrés. Cette protection est vraiment formidable.

- Je vois…tu m’as un peut surpris. Mais n’espère pas t’en tirer juste comme ça !

 Rhadamanthe jeta le reste de son arme à terre et il fit apparaître une épée encore plus grosse et plus sombre que la précédente.

- Cette épée…non, tu as…

- Oui, elle est composée de Bronze Céleste, d’Or Impériale et de Fer Stygien. Ces trois métaux ont été parfaitement fusionné pour donner cette arme unique et indestructible.

- Rhadamanthe, j’ai une question.

- Si c’est pour clamer mon pardon, il est trop tard, morveux.

- Non ce n’est pas ça, je voulais juste savoir, c’est «ã€€indestructible　» ou «ã€€invaincue　» le bon mot ?

- Idiot, les deux vont ensemble !

- C’est bien ce que je pensais.

- Hu ?

- Vois-tu si je suis ta logique, mes griffes son aussi indestructible que ton épée, puisque jusqu’ici, elles sont invaincue.

/ Ouais, si on zappe l’épisode du combat avec Cronos…/

- Petit morveux…tu vas arrêter de te foutre de moi ?!!

_____________________________________________________________________

- Hop là ! Doucement mon beau, ne cours pas si vite, on va finir par tomber.

- J’arrive pas à croire que Cerbère lui obéisse comme ça…

- Hé, c’est pas n’importe qui notre Yukina.

Installés sur les têtes du chien, le groupe de Cronos était en route pour le Tartare. Yukina était installée sur la tête du milieu avec Percy et elle dirigée l’animale selon les indication du fille de Poséidon. Pendant ce temps Cronos était installer sur la tête de droite, assis en tailleur et les yeux fermés, tendis que sur la tête gauche, Serena et Annabeth discuter de tout et de rien.

/ On y est presque, je peux sentir sa présence…il n’est pas au fond du gouffre comme le pense les autres, non c’est comme si son âme et son esprit était sorties hors de son corps mais que celui-ci les empêchée de partir. Qu’est-ce qui nous attends là-bas ?/

[ Hé, Cronos m’a l’air bien calme. Tu ne trouve pas ?]

[ Il a du le sentir lui aussi.]

[ Sentir quoi ?]

- Yukina ! Stop !!

- Hein ?

La jeune fille n’eu pas le temps de stopper leur monture, car elle bascule en avant les faisaient voltiger et atterrir lourdement par terre.

_____________________________________________________________________

/ Marcus est plutôt endurant, ça va bientôt faire plus d’un quart d’heure qu’ils se battent, mais il commence à fatiguer, alors que son adversaire…/

 Rhadamanthe contra une attaque de Marcus et l’obligea à reculer, le jeune en profita alors pour reprendre un peut son souffle.

- Tu es impressionnant mon garçon, très impressionnant, mais tu ne m’auras pas comme ça.

- Hé Rhadamanthe, j’ai une bonne nouvelle pour toi.

- Quoi ? Tu abandonnes ?

- Non, cet assaut sera mon dernier et si je le réussit, je remporte la victoire, mais si j’échoue…enfin tu comprends.

- Évidement, aller attaque !

Marcus ferma son œil rouge et des flammes noirs emplirent celui qui était encore ouvert, puis les même flammes apparurent sur son gant griffu.

- Les flammes de l’âme, je comprends maintenant…

Le demi-dieu attaqua, mais les griffus furent déviées par la lame de son ennemi qui utilisa sa main libre pour lui saisir le poignet.

- C’est fini, tu as perdu, Gamin !

- Parle pour toi, Abruti !

- Hein ?

La main libre de Marcus était posée sur le torse de l’autre, mais avant qu’il n’est pu faire le moindre geste, le feu s’alluma sur cette main et l’homme s’écroula a terre avant une respiration lente et difficile tendis que le jeune se tenait devant lui avec un air hautain et complètement en forme.

- Maintenant parles !

- Très bien…écoute moi bien, fils de thanatos…

Thalia, qui était curieuse de savoir quel tragédie avait séparé les deux frère, se rapprocha d’eux pour écouter.

- En fait, ce lui qui a été séparer de sa famille, ce n’est pas Cronos comme tu peux le croire…c’est toi qu’on à éloigner de ta famille.

- On ? C’est qui «ã€€on　» ?

- Moi et Némésis.

- Mais pourquoi ?

- Parce que Cronos s’est vu influer les ADN du vrai Cronos ainsi que celui d’Héphaïstos…ce que l’on ignorer, c’est que cette femme attendait deux jumeaux, tu as donc reçut une partie de l’ADN d’Héphaïstos, mais par chance, seul ton frère à eu les gènes du Titan…

- Quel était votre but à la fin ? Pourquoi nous avoir fait ça ?

- Notre but est pourtant simple…on voulait se venger, se venger de l’Olympe…et si tu avait grandi avec ton frère, alors il ne serait jamais devenus ce qu’il est aujourd’hui…grâce à votre mère qui est devenue ma marionnette, j’ai put le façonner de façon à ce qu’il soit solitaire et n’ai besoins de personne pour survivre…ainsi il est devenue une vraie machine à tuer…éliminant un à un le monstres que je lui envoyer, il renforcer sa rancœur envers ce monde et ceux qui le peupler…en grandissant il a alors commencer à tuer des mortels, puis Cronos à commencer à l’observer de près, lui soufflant ses idée de vengeance et les notes…tous ce qu’il nous rester a faire, c’était le faire venir ici…mais entre temps il a rencontrer cette Serena, il a donc fermer son esprit à Cronos et il l’a oublier, mais finalement, après qu’il se soit persuadé que la gonzesse était bien intégrer à la colonie des sang-mêlé…il lui a fermé son cœur et l’a rouvert sur Cronos qui l’a conduit jusqu’ici…maintenant, il ne lui reste plus que la dernière étape à franchir…

- Marcus !

- Oui, dépêchons nous !

Alors que les deux jeunes partaient en courrant, Rhadamanthe se mit à rire comme un dingue.

- C’est trop tard ! Vous ne pouvez plus rien pour lui !