One Piece Ancestors. Arc 2.
Chapitre 8 : Direction vers l'île inconnu.
1645 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 08/11/2024 05:49
Note de l’auteur : Notre procédé d'écriture sortant de l'ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d'éviter toute confusion dans la lecture.
Pour rappel :
Paragraphes en italique : Le narrateur est l'un des personnages. (le plus souvent Seth)
Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S'applique aussi dans les dialogues.
Dans les dialogues :
Phrase entre des astérisque : exemple * J'ai l'impression qu'on m'observe * : Le personnage réfléchit ou pense.
Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.
Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Amiral de la Marine (Escargophone) : donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, L'amiral parle à l'Escargophone.
Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture.
Nous vous souhaitons des à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.
L’équipe Brotherhood Corp.
Ecriture : Leakee/Skymailleur.
One piece Ancestor. Arc 2.
Chapitre 8 : Direction vers l'île inconnu.
Sur le pont de l’Odyssée, tandis que le navire fendait les eaux tumultueuses de Grand Line, Pauly, fraîchement recruté par Seth, se tenait près de la rambarde, un escargophone en main. Il respirait profondément, un mélange d’excitation et de nervosité. Il allait devoir annoncer son départ à son ancien patron, Icebarg. Ce dernier, un maître charpentier respecté et son mentor de toujours, n’allait probablement pas accueillir cette nouvelle avec des applaudissements.
Après quelques tonalités, une voix sévère, mais familière, se fit entendre.
Icebarg : Pauly ? Qu’est-ce que tu fous, gamin ? Tu sais combien de travail tu laisses en plan ici ?
Pauly : Icebarg, écoute… je sais que ça paraît précipité, mais je devais partir. C’était le bon moment, la bonne opportunité.
Icebarg poussa un long soupir, son exaspération traversant l’escargophone.
Icebarg : « Le bon moment, hein ? Tu pars en laissant tes camarades et des chantiers inachevés. Et pour quoi ? Suivre un pirate dans les eaux les plus dangereuses du monde ?
Pauly jeta un regard à l’horizon, où les vagues se dressaient comme des murs liquides. L’Odyssée fendait les flots avec puissance, mais il savait que le voyage ne ferait que se compliquer à partir de là.
Pauly : Ce n’est pas juste un pirate, Icebarg… C’est Seth Blackhall. Il m’a proposé de faire partie de son équipage, de découvrir le monde, et peut-être même de réaliser quelque chose de grand.
Il y eut un silence à l’autre bout du fil. Pauly savait qu’Icebarg comprenait, au fond. Ils avaient souvent parlé de cette envie d’aventure qui brûlait en lui, cette curiosité insatiable pour les mécanismes et la navigation.
Icebarg : Et tes promesses, Pauly ? Tous ces projets qu’on a imaginés ensemble, tout ce qu’on devait construire…
Pauly : J’ai pas oublié, patron. J’ai laissé des plans… quelque chose de grand, que je voulais te montrer. Un train… un train des mers. « Sa voix se fit plus vive, emportée par l’excitation. » Imagine, un train capable de naviguer sur les eaux !
Icebarg soupira de nouveau, mais cette fois avec un ton plus résigné, presque amusé.
Icebarg : Un nouveau train des mers, hein ? Tu sais, gamin, ce genre de rêve, ça se réalise pas tout seul. Si tu pars, qui va diriger le projet ?
Pauly : C’est pour ça que je te le confie, Icebarg. Toi, et les gars du chantier… vous êtes les seuls qui puissiez le rendre réel. J’ai tout dessiné, chaque détail. Toi seul peux comprendre mes idées et les concrétiser.
Un autre silence suivit, plus long cette fois, comme si Icebarg pesait chaque mot.
Icebarg : T’es vraiment prêt à tout laisser derrière, pour une vie de vagabond sur les mers ?
Pauly : « Oui, je suis prêt. Mais ce n’est pas un adieu, patron. Je compte bien revenir un jour, et quand je reviendrai, je veux voir ce train en action.
Icebarg laissa échapper un rire léger, un rire qui contenait autant de fierté que de frustration.
Icebarg : Bon, va pour ton train des mers. Je vais voir ce que je peux faire. Mais attention, gamin : ne te fais pas tuer pour autant. Ce serait bien dommage que tu ne vois jamais ce que deviennent tes idées.
Pauly : Merci, Icebarg. Tu ne sais pas combien ça compte pour moi. Et… prends soin des gars. Je sais qu’ils sont entre de bonnes mains avec toi.
Icebarg : Ça, t’en fais pas. Mais toi, essaie de ne pas trop te mettre dans le pétrin.
Pauly : Compte sur moi pour faire de mon mieux… mais je te promets rien. « Répondit-il avec un sourire, sachant pertinemment qu’il se jetait dans une aventure dangereuse. »
Ils échangèrent encore quelques mots, puis l’escargophone se tut, ne laissant que le bruit des vagues et du vent sur le pont. Pauly resta un moment immobile, fixant l’horizon avec un mélange de nostalgie et de détermination.
Seth, qui observait de loin, s’approcha avec un sourire en coin.
Seth Blackhall : Tout va bien, Pauly ? Tu semblais sur une autre planète pendant un moment.
Pauly : Ouais, ouais… juste un au revoir à mon ancien patron.
Il tourna la tête vers Seth, son visage empli d’une nouvelle résolution.
Pauly : Allons-y, Capitaine. Montre-moi ce que cette mer a à offrir.
Seth tendit l’Éternal Pose à Pauly, un sourire éclatant aux lèvres et les yeux brillants d’une excitation presque enfantine.
Seth Blackhall : Dans cette direction, Pauly ! J’ai hâte d’y être ! « Ses yeux pétillaient, presque hypnotisés par la boussole cristalline qui indiquait leur prochaine destination. » Découvrir cette île, l’explorer de fond en comble, apprendre les histoires qu’elle cache, comprendre les cultures de ses habitants…
Pauly observa Seth avec étonnement, notant chaque expression de son capitaine, l’enthousiasme débordant qui transparaissait dans ses mots et dans ses gestes. Il plissa légèrement les yeux, s’interrogeant.
Pauly : Est-ce que j’ai vraiment rejoint un… pirate ? « Murmura-t-il, comme si cette question pouvait trouver sa réponse dans l’attitude de Seth. »
Il n’avait jamais vu un pirate aussi captivé par la découverte, si loin des stéréotypes des brigands brutaux et avides qu’il avait en tête. Seth, entendant la remarque de Pauly, se tourna vers lui avec un sourire en coin.
Seth Blackhall : Un pirate, moi ? Je ne me considère pas comme tel, mais… avec mes aventure sur Ancestor, mon allégeance avec le vieux et avec ce qui vient de se passer, on peut dire que la Marine ne me laisse pas vraiment le choix. Alors oui, peut-être qu’on va me coller cette étiquette de pirate.
Il marqua une pause, son regard se durcissant légèrement.
Seth Blackhall : D’ailleurs, il paraîtrait que ma tête est mise à prix… 255.555.555 Berry, pour être précis… peut-être même qu’elle a augmenté avec ce que j’ai fait avec le Cipher Pol…
Pauly, déjà en train de sortir une cigarette de sa poche, s’arrêta net en entendant le montant. La cigarette glissa de ses doigts et tomba au sol tandis que ses yeux s’agrandissaient de stupeur. Il bafouilla, incapable de dissimuler son incrédulité.
Pauly : Quoi ?! 255 millions ? * Comment un type comme lui peut avoir une prime pareille alors que… « Il se mordit la lèvre, jetant un regard en arrière comme pour s’assurer que personne d’autre n’entendait leur conversation. »… alors qu’il vient de battre son propre père ? *
Pauly murmura cela presque pour lui-même, ses pensées en désordre. Il comprenait désormais que l’homme qui se tenait devant lui n’était pas n’importe qui ; c’était quelqu’un de redouté, dont la simple existence était devenue une menace aux yeux du gouvernement mondial. Il ramassa sa cigarette, la ralluma d’une main tremblante, et prit une profonde inspiration avant de reprendre, l’air un peu plus calme mais toujours sous le choc.
Pauly : Écoute, Capitaine… une prime pareille, ça attire du monde. Des chasseurs de primes, la Marine elle-même, peut-être même d’autres pirates.
Seth haussa les épaules, l’ombre d’un sourire amusé sur les lèvres.
Seth Blackhall : Ça fait partie du jeu, Pauly. J’ai battu un nombre incalculable de soldats de la marine et d’agents du Gouvernement Mondial, un Contre-Amiral, un Vice-Amiral et j’en passe… Ceux qui sont fascinés par l’inconnu doivent accepter d’attirer la lumière sur eux.
Pauly, soufflant un nuage de fumée, le regarda en silence, absorbant ces paroles pleines de calme et de détermination. Peut-être avait-il rejoint un pirate, mais c’était un pirate bien différent de tout ce qu’il aurait pu imaginer.
Pauly : « Souffle de la fumée. » Bon… ce n’est pas tout ça, mais j’ai du travail sur ce navire… Prête moi ton singe…
Seth Blackhall : Eh ! Ce n’est pas un objet Cinq d’accord !
Cinq : Whoow !Whooo ! « Gesticule avec les outils de Pauly. »
Pauly : Tien regarde !
Fin du chapitre 8 : Direction vers l’île inconnu.