One Piece Ancestors. Arc 2.

Chapitre 9 : L'île en vue !

Chapitre final

2261 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 09/11/2024 06:37

Note de l’auteur : Notre procédé d'écriture sortant de l'ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d'éviter toute confusion dans la lecture.

Pour rappel :

Paragraphes en italique : Le narrateur est l'un des personnages. (le plus souvent Seth)

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S'applique aussi dans les dialogues.

Dans les dialogues :

Phrase entre des astérisque : exemple * J'ai l'impression qu'on m'observe * : Le personnage réfléchit ou pense.

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Amiral de la Marine (Escargophone) : donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, L'amiral parle à l'Escargophone.

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture.

Nous vous souhaitons des à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.

L’équipe Brotherhood Corp.

Ecriture : Leakee/Skymailleur.


One piece Ancestor. Arc 2.

Chapitre 9 : L'île en vue ! 


Les jours en mer avaient été rythmés par le travail acharné et les éclats de voix de Pauly, toujours en mouvement, guidant Seth et Cinq à travers les dernières réparations de l’Odyssée. Martelant, clouant, ajustant chaque pièce du navire, Pauly n’avait cessé de démontrer ses talents de charpentier. Seth, de son côté, observait son équipier avec une curiosité mêlée d’admiration, apprenant à chaque geste précis, à chaque conseil qu’il donnait. 

Pauly : Cinq ! Attention à la corde là-bas ! « Lança-t-il en ajustant le grand mât. » Tu sais, si ça tient pas bien, le premier coup de vent va t’envoyer dans la mer !  

Cinq, concentré, hocha la tête et serra le nœud avec détermination. Il tenait à bien faire les choses pour Pauly, mais aussi pour Seth. 

Seth Blackhall : C’est bien, Cinq, continue comme ça !  « Ajouta Seth, tout en aidant Pauly à ajuster une planche récalcitrante. » 

Chaque jour, Seth avait aidé Pauly à consolider l’Odyssée, unissant l’équipe autour de l’objectif commun de renforcer ce navire qui les mènerait à des aventures plus grandes encore. Ils avaient rempli la cale de vivres, empilé des barils de nourriture, d’eau douce, et quelques réserves de matériaux de réparation, le tout sous la supervision précise de Pauly, qui n’avait rien laissé au hasard. L’Odyssée n’était plus seulement un bateau ; elle était leur refuge. 

Alors qu’ils approchaient de la destination indiquée par l’Eternal Pose, un objet que Seth gardait précieusement dans sa cabine. 

 Le vent se faisait plus fort, et les eaux changeaient, prenant des teintes d’un bleu plus profond, presque mystique. Seth se tenait à la proue du navire, son regard perçant scrutant l’horizon où une ombre d’île se profilait peu à peu. 

Pauly : Alors, Seth… « Dit-il en s’approchant, essuyant la sueur de son front avec le revers de la main. » Tu es vraiment sûr que ce vieux de Barbe Blanche t’a donné cette Eternal Pose pour quelque chose de sûr ?  

Seth esquissa un sourire en coin, l’air de quelqu’un qui n’avait jamais eu l’intention de choisir la sécurité. 

Seth Blackhall : Barbe Blanche m’a dit que ce lieu renferme des secrets, des choses qui dépassent notre imagination. C’est tout ce qu’il me fallait entendre. 

Pauly poussa un soupir, tout en croisant les bras, un sourire moqueur aux lèvres. 

Pauly : Figures-toi que ce genre de réponse ne me rassure pas du tout. Mais bon, si on doit mourir, autant que ce soit en accomplissant un rêve.  

Un léger rire s’échappa de Seth. Puis il posa une main amicale sur l’épaule de Pauly. 

Soudain, l’Odyssée s’engouffra dans un brouillard dense. La brume était si épaisse que la lumière elle-même semblait s’y perdre, créant une obscurité étrange et silencieuse. Seth qui est à la barre, plissa les yeux, tentant de discerner le moindre détail dans cet océan de nuages qui les enveloppait comme un piège. Les vagues clapotaient contre la coque, mais le monde extérieur paraissait s’évanouir dans cette épaisse couche de vapeur, isolant totalement le navire et son équipage. 

Seth Blackhall : Pauly ! Ce brouillard… on dirait qu’il veut nous avaler tout entier ! C’est du jamais vue ! 

Le charpentier, s’était rapproché du mât principal, observant le navire et l’étrange mer qui les entourait. Il comprit vite que ce brouillard n’était pas naturel. Les instruments de navigation de l’Odyssée tournaient, incapables d’offrir la moindre indication. Tout dépendrait de leurs compétences. 

Pauly serra les dents, vérifiant les cordages et fixant chaque voile d’un œil expert. 

Pauly : Seth, ce n’est pas une simple brume… c’est comme si elle cherchait à nous piéger. On doit rester concentrés. On va se fier aux voiles et aux cordes, et compter sur la force de nos bras. Tour de corde ! Gestion du Navire ! 

Seth hocha la tête, l’air déterminé, et resserra sa prise sur la barre, prêt à affronter chaque tourmente. Il fit signe à Cinq, le singe, qui s’empressa de grimper vers les voiles pour aider Pauly à ajuster les cordes. Le singe, agile et rapide, se déplaçait, anticipant les mouvements de son maître et réagissant avec une précision instinctive. 

Alors qu’ils progressaient, le calme inquiétant fut soudain rompu par une rafale violente qui frappa les voiles de plein fouet. L’Odyssée trembla sous l’impact, inclinant dangereusement sa proue. Pauly réagit instantanément, ses mains agiles maniant les cordes pour stabiliser les voiles et contrôler la pression. Chaque corde, chaque nœud répondait à sa volonté, ajusté avec précision pour contrer la force du vent. 

Pauly : Cinq ! Accroche-toi et relâche cette corde ! On va alléger la pression sur le mât !  

Le singe s’exécuta, libérant une des cordes au bon moment, sous l’œil vigilant de Pauly. En synchronisation parfaite, leur capitaine ajusta la barre pour aligner le navire avec le courant, luttant contre la mer agitée qui menaçait de les déséquilibrer à chaque seconde. 

Les éléments, cependant, ne leur laissèrent aucun répit. À peine avaient-ils ajusté les voiles qu’un tourbillon marécageux apparut devant eux, tentant de les aspirer dans un vortex. Les courants magiques se renforçaient, déchaînant des vagues puissantes qui tentaient d’emporter l’Odyssée. Pauly se redressa, luttant pour garder l’équilibre, et vérifia la tension des cordes. 

Pauly : Capitaine, on va devoir dévier ce courant, ou il va nous entraîner au fond ! Garde le cap, et on sortira de là !  

Seth ne répondit que d’un signe de tête. Il se pencha sur la barre, les muscles tendus, cherchant à contrer chaque force dévastatrice avec une maîtrise redoublée. Cinq, obéissant aux moindres gestes de Pauly, relâcha les voiles lorsque les vents les tiraient trop, allégeant ainsi la pression sur la coque. 

Une lueur étrange apparut alors dans le brouillard, zébrée de fulgurances d’éclairs violet sombre, annonçant une tempête imminente. Le ciel se déchira sous leurs yeux, crachant des rafales et des éclairs de manière imprévisible.  

Sous ce déluge d’éléments naturels, l’Odyssée était ballotée comme un jouet, mais Pauly, imperturbable, calculait chaque mouvement. 

Pauly : Encore un effort ! Une dernière rafale et on s’en sortira. Garde le cap !  

Blackhall s’appliquait à maintenir la barre en place malgré la violence des éléments.  

Finalement, Pauly détacha une dernière corde et fit un signe à Cinq, qui relâcha un nœud important. L’Odyssée, libérée de la pression, glissa hors du tourbillon dans un dernier fracas. Le navire s’éloigna des courants traîtres, laissant la tempête derrière lui. 

Alors qu’ils émergeaient des derniers bancs de brume, une île immense se révéla devant eux, comme un mirage sur l’horizon. Une plage de sable doré s’étendait au bord de la forêt luxuriante.  

Les arbres, d’une hauteur vertigineuse, défiaient toutes les lois de la nature, s’élevant bien plus haut que les cimes habituelles et s’ancrant dans des formations rocheuses en lévitation. Les racines, épaisses comme des troncs, s’enroulaient autour des pierres flottantes, créant des motifs complexes et des entrelacs naturels.  

Des plateformes arborescentes reliaient les arbres entre eux par des ponts en lianes tressées avec une habileté qui semblait presque humaine, formant un réseau de passerelles suspendues dans les airs. 

Malgré cette beauté imposante, une atmosphère sinistre planait sur l’île. L’air portait un parfum inhabituel, un mélange de terre humide et de quelque chose de plus métallique, presque corrosif. 

Seth Blackhall : C’est… c’est incroyable ! Je n’ai jamais vu une île pareille, Cinq ! Regarde ça !  

Cinq émit un cri excité, ses yeux pétillant de curiosité. Il sautilla jusqu’à l’épaule de Seth, fixant avec fascination les étranges formations rocheuses et les arbres suspendus. 

Pauly : « Scrutant attentivement le rivage et cherchant un endroit sûr, lança d’un ton prudent. » Seth, j’ai repéré un endroit parfait pour ancrer le navire. Ce petit espace entre les arbres là-bas… Le navire sera partiellement caché et bien protégé des regards.  

Seth hocha la tête en signe d’approbation, prenant la barre et guidant l’Odyssée jusqu’au recoin que Pauly avait désigné. Le navire s’approcha lentement, manœuvrant habilement entre les racines massives qui surgissaient du sol et les pierres flottantes. 

Une fois l’ancre larguée, l’équipage se retrouva dans une atmosphère à la fois fascinante et oppressante. Les cristaux, éparpillés à travers la végétation, émettaient une lueur malsaine, teintée de violet et de vert, qui illuminait les alentours d’une étrange lumière spectrale. Les arbres projetaient des ombres longues et sinistres, leur feuillage vibrant sous l’effet d’une magie invisible qui semblait ronger la beauté naturelle de l’île. 

Pauly : « posant un regard inquiet sur les cristaux corrompus, murmura. » Quelque chose cloche ici… Ces cristaux, cette lueur… Ce n'est pas naturel…. 

Seth Blackhall : « Loin d’être effrayé, esquissa un sourire en coin, ses yeux brillant d’excitation. » Justement, c’est ce qui rend cette île si intéressante, non ? Découvrir des lieux étranges, des mystères cachés… Voilà pourquoi on est ici !  

À peine ces mots prononcés, un rugissement profond secoua la forêt, comme si la terre elle-même venait de gronder. Avant que l’équipage ait le temps de réagir, un faisceau d’énergie jaune jaillit soudain d’entre les arbres, déchirant l’air dans un sifflement intense. Le rayon, d’une force colossale, se dirigeait droit vers l’Odyssée, arrachant sur son passage un fossé de terre et de racines qui se déversèrent en morceaux tout autour, projetant des éclats de lumière aveuglants. 

Pauly : À couvert !  

Il se précipita vers Seth et Cinq pour les protéger derrière l’épaisseur d’un tronc renversé. Cinq se recroquevilla derrière eux, les yeux écarquillés, ses instincts de survie en alerte. 

Mais quelque chose semblait retenir ce rayon. Alors qu’il perdait progressivement en puissance, l’énergie jaune se dispersa dans un souffle, laissant derrière elle une traînée de lumière faiblissante qui s’évanouit.  

Là, dans le sillage laissé par cette étrange attaque, une silhouette émergea, presque irréelle. Une créature se tenait debout, scrutant l’équipage avec un regard perçant et indéchiffrable. 

L’être semblait appartenir à une race inconnue. Il se tenait sur deux jambes comme un humain, mais son apparence était un curieux mélange entre homme et un corbeau.  

Seth Blackhall : « Le souffle court, se redressa, la curiosité brillant dans ses yeux. » Eh bien, je ne m’attendais pas à une telle rencontre… 

La créature poussa un cri strident, un son étrange mêlant l’appel d’un oiseau et la voix d’un homme, puis se redressa de toute sa hauteur, ses plumes frémissant légèrement. Le regard intense qu’elle posa sur Seth et ses compagnons laissait deviner une intelligence aiguisée, presque calculatrice. 

Pauly : « Légèrement méfiant, murmura à Seth. » Ce type… c’est pas juste un oiseau géant. Il sait exactement ce qu’il fait. Fais attention.  

Seth Blackhall : « Hocha la tête, le regard rivé sur la créature. » Qui es-tu ? « Demanda-t-il. » 

??? : Croaak… des Humains et un singe ici ! « Gémit-il tout en bougeant sa tête de gauche a droite. » J’ai besoin de votre aide Croaak… 

Fin du chapitre 9 : L’île en vue !

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