Descendance Pirate

Chapitre 17 : l'ile du passé

3759 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 15/02/2021 22:11

Bonsoir à tous ! Me voici avec un nouveau chapitre, allons explorer quelques souvenirs de Kalia, ce petit passage aura de l'importance plus tard dans la fanfiction. Bonne journée à tous et merci pour votre soutient ! N'oubliez pas de laisser une petite review, ça me permet de me MOTIVER ! :D

Aujourd'hui, ils étaient allés un peu plus loin. Ils avaient passé rapidement le village pour se diriger vers une grande foret de pins avant d'arriver jusqu'à un immense pré de fleurs sauvages. Ils avaient mangé, couru à en perdre haleine avec Ace et s'étaient finalement écroulés sur le sol pour observer le ciel et donner des noms stupides aux nuages. Ace s'était rapidement endormi et Marco et elle discutaient.

- Regarde celui-là, on dirait un lion. Finit par dire le Phoenix.

Au départ elle sourit puis un souvenirs lui vient à l'esprit, elle se releva un peu brutalement se qui réveilla le poing ardent en sursaut. Marco, lui n'avait pas louper une seconde de se changement d'attitude. Il l'observa, sans commentaire se lever et regarder autour d'elle avec crainte. Elle prit un peu plus de hauteur, sous les yeux de ses deux accompagnateurs qui se jetais des coups d'œil pour savoir ce qu'ils devaient faire. Quand elle aperçu un bout de l'océan, la pression qu'elle ressentit disparu immédiatement. C'est tellement stupide, bien sur que rien de tout ça n'aurait put arrivée sur cette ile. Elle sursauta pourtant en sentant les bras d'Ace venir serrer doucement sa taille et la tête de son petit ami se poser sur son épaule.

- Qu'est ce qu'il se passe Kalia ?

- Je… ça m'a rappeler de mauvais souvenirs. Je n'aime pas perdre l'océan de vue… je trouves qu'on est loin.

Ace la fit tourner doucement vers lui et plongea son regard dans le sien.

- Qu'est ce qui s'est passée Kalia ? Pourquoi tu as peur de perdre l'océan de vue ?

- C'est ma maison ! répliqua-t-elle avec force. Puis elle reprit avec une pointe de mélancolie :

- C'était ma maison.

- C'est toujours ta maison. Mais ce n'est pas toi qui voulait visité l'ile de fond en comble ?

Ils se mirent en marche rejoignant Marco qui s'était simplement lever pour monter la garde.

- Si, mais je ne pensais pas que perdre de vue l'océan me ferait autant paniquée. Ça ne m'arrivait pas avant.

- Avant ? demanda alors Marco d'une voix douce. Ace aussi avait cette expression intriguée. Elle se raidit alors que sa voix se bloquait dans la gorge. C'était surement le moment de tout leur raconter. Elle avait peur de leur réaction, peur de ce qu'ils allaient lui dire. Mais elle savait aussi qu'ils ne la jugerait pas. Elle se rassit sur la couverture et ils l'imitèrent.

- J'étais jeune, à cet époque, mon grand père m'amenait partout avec lui, j'allais rarement à la surface, je restais avec les gardes et je jouais avec les monstres marin du coin pour passer le temps. Ça me convenait bien, mais sur cette ile là, après le premier jour, mon grand père m'a proposé de l'accompagner sur terre. J'ai sauté de joie. C'était une mission d'une grande importance, il m'en avait parler de long en large, mais je n'avais pas compris grand-chose. Tout ce que je savais c'était que l'ile avait besoin d'aide et que beaucoup de personnes étaient malade et mourraient. Ce n'était pas contagieux, il avait insister sur ça et sur le fait que le roi s'était enfuit. Il négociait avec un couple qui avait deux enfants, des médecins je crois… et il pensait que me faire sociabilisé avec les humains étaient une bonne idée. Comme il me l'avait dit il y avait beaucoup de malade, la jeune fille du couple était malade. On a beaucoup jouer ensemble, avec son frère. Mon grand père tentait de négocier, le médecin était plutôt réputer dans la ville, et ils voulaient qu'ils se soumettent à son autorité. Il a essayé de les convaincre que le gouvernement mondiale allait leur faire du mal. Les médecins l'ont cru, mais le reste de l'ile non.

- Kalia… commença Ace mais Marco secoua la tête et elle reprit :

- Mon grand père a proposer ensuite au medecin de mettre sa famille en sécurité, mais il a refusé, il ne pouvait pas abandonner ses habitants à leurs sort et sa femme et ses enfants refusaient de le quitter. Moi je ne comprenais pas réellement de quel dangers mon grand père parlait. Je savais qu'il y avait une guerre de territoire entre lui et Tiamat mais je ne comprenais pas son sens ni même son importance.

- Tiamat ? demanda Ace. Marco aussi semblait aussi perdu que son ami. Kalia reprit :

- Il y a deux anciennes divinités des océans, mon grand père Poseidon, et Tiamat, chacun à un camps assez définit avec des alliers plus ou moins puissant, En gros, Tiamat contrôle la marine et mon grand père est plutôt du coter des pirates. Tiamat veut instauré l'ordre et le pouvoir, mon grand père veut instauré le cœur et la force.

- Le cœur ? Parmi les pirates ? reprit Ace amusée. Elle répondit :

- Il penses que chacun peut faire ce qu'il souhaite, avoir ses propres objectifs a atteindre, il prône l'équilibre de la vie, alors que Tiamat s'en soucis peu, tout ce qu'il souhaite c'est plus de pouvoir et se débarrasser de mon grand père une bonne fois pour toute. Depuis la mort de ma mère, les combats sont devenu beaucoup plus intenses c'est elle qui régnait sur grand line et maintenant, c'est un territoire à conquérir pour Tiamat, mon grand père lui s'en fiche bien, il dit que l'océan choisira son propre allier et que même si Tiamat pense gagner, il ne fait que perdre son temps… mais tout ça ce n'est que de la politique sous marine…

- Tu veux dire pendant que nous on se bats contre la marine, les dieux se battent aussi sous l'eau ?

Elle hocha doucement la tête et reprit :

- Bien entendu, depuis ma naissance il n'y a pas eut de bataille à proprement parler, mais les divinités influences de grandes décisions, de grands moment.

- C'est ce que tu faisais sous l'océan ! Tu influençais le sens de la bataille ! s'exclama Ace les yeux écarquillés. Elle soupira mais hocha doucement la tête. Marco lui reprit :

- Les hommes poissons était envoyé par Tiamat, pour t'éliminer avec… un fruit du démon. Finit Marco. Kalia le regarda et soupira :

- oui… mais tous ça n'a rien à voir avec l'histoire que j'essaye de vous raconter… du moins pas la partie ou j'interagis avec vous.

Marci sourit et Ace reprit :

- D'accord, on posera les questions plus tard. Vas-y continue.

Elle reprit une grande inspiration et dit :

- Le soir, mon grand père m'avait dit que je ne retournerais pas sur terre et qu'il irait négocier une dernière fois le lendemain. Je me retrouvais à nouveau surveiller par des gardes qui ne voulait même pas que je m'amuse, j'ai fini par réussir à leurs échappée.

Alors qu'elle parlait, petit à petit les souvenirs lui revinrent en tête, plus réel que jamais.

Flash back

Elle avait réussie à s'éloigné des gardes de son grand père grâce à un banc de dauphin qui passait par là. Bien vite cependant, ces animaux aquatique l'avait rapidement distancée et elle s'était retrouver avec d'immenses baleines noires qui avait interrompu leur voyage pour discuter et jouer avec elle. A ce moment la elle ne se doutait absolument pas du danger. Ils n'étaient pas très loin de la surface, encore assez prêt pour voir la lumière du jour éclairé l'eau tout autour d'eux.

Quand d'un coup la lumière s'obscurcit elle leva la tête choqué. Elle avait déjà vu des navires sur le port de sous l'océan, mais jamais elle n'en avait vu de si gigantesque. Il était même plus imposant que les animaux marin avec qui elle s'amusait. Ils avançaient rapidement et droit sur l'ile ou son grand père devait pour la dernière fois négocier. Mais ça ne l'inquiétait pas plus que cela, son grand père lui avait dit qu'il y aurait beaucoup d'humain et qui d'autre que des humains naviguait sur des bateaux ? Alors qu'elle allait retourner s'amuser, des éclats de lumières flamboyants illuminèrent la surface et de nombreux débris tombèrent à l'eau, déréglant le courant qui devient violent et désordonné, faisant fuir ses amis. Quand elle reprit le contrôle de sa trajectoire elle remonta à la surface pour comprendre ce qu'il se passait. Alors qu'habituellement l'odeur de sel et de plantes lui venait au nez, ce ne fut qu'une odeur acre et brulante qui lui parvient. Le ciel qui avait été bleu auparavant était couvert de gros nuages gris, noirs qui montait de l'ile. Elle toussa cherchant de l'air à respirer mais tout ceci ne fit qu'aggraver la situation. Au loin, elle vit le village portuaire ou des immenses flammes avait balayées les maisons et les rues. Elle entendit des cris, des coups de canons, de fusils, des pleurs. Elle ne réfléchit pas réellement. Elle savait juste que ses amis étaient en danger que son grand-père l'était peut-être aussi. Elle plongea à nouveau sous l'océan, s'approchant du port pour remonter à la surface quand elle entendit des pas précipités sur le béton.

- Abattez les tous ! Aucun survivant ! hurla la voix d'un homme dans la troupe qui courrait presque au-dessus de sa tête. Elle s'était plaquée contre le mur pour que personne ne puisse l'apercevoir.

Une fois les pas assez éloignés, elle jeta un œil à l'endroit devenu désert. Elle grimpa sur le bitume et couru jusqu'à la maison des médecins ou son grand père avait rendez-vous. Mais les hommes en blancs, armés jusqu'aux dents étaient déjà la et défonçait la porte.

- Ce n'est pas contagieux ! Je suis médecin ! Lâchez ma fille !

Il eut ensuite un hurlement strident et un coup tiré qui lui donna un haut de cœur. Puis il eut des bruits de combat, des fracas d'armes, de meubles brisés. Elle se laissa tomber dans les buissons le plus proche, alors que le couple était poussé dehors, la femme tirée par les cheveux par un homme en uniforme et le mari poussé violement par deux autres. Ils tombèrent tout les deux à genoux, la femme serrait contre elle un corps inanimé que Kalia mit un moment avant de le reconnaitre. L'homme serra son épouse contre lui alors que la femme pleurait à chaude larme secouant le cadavre de l'enfant.

- Tuez-les ! dit un homme plus en retrait.

Certains hésitèrent, mais d'autres armèrent leurs fusils et tout deux furent exécutés en tenant leur fille dans les bras. Elle ne comprenait pas. Pourquoi son grand père n'intervenait pas ! Pourquoi personne n'aidait ses pauvres gens ! Ils n'avaient rien fait ! Ils n'avaient même pas enfreint la lois. Est-ce ainsi que l'on traitait des hommes loyaux dans ce monde ?

Un autre homme sorti de la maison en tenant un jeune garçon qui portait un chapeau qui lui couvrait une grande partie du visage. Il hurla ,se débattit, en voyant les morts devant chez lui. Ils étaient juste devant elle, tournant le dos aux fourrées ou elle était cachée. Les autres étaient occupés à confirmer la mort des deux médecins. Elle en profita. Elle sorti le poignard que son grand père lui avait offert et taillada l'arrière de la cheville, le talon d'Achille comme lui avait dit son maitre d'arme. L'homme s'effondra en hurlant, cherchant la source de cette douleur. Le plus rapidement possible elle se releva et entailla l'homme entre les omoplates qui lâcha l'enfant. Elle attrapa la main du garçon qui pleurait et couru aussi vite qu'il lui était possible. Bien vite elle fut essoufflée, mais le port était encore loin et ils n'avaient pas d'autres endroit ou se cacher alors que les balles fusaient autour d'eux et que les hommes semblaient se rapprocher. Le garçon peinait à la suivre, la respiration haletante entre les sanglots. Elle aperçu alors le port non loin, elle vit l'océan et tira un peu plus sur le bras de l'enfant.

- Allez ! Allez ! Encore un effort !

Mais l'enfant était épuisée et il était devenu un poids pour elle. Il lâcha sa main mais elle s'arrêta le poussant vers l'océan.

- Vas-y ! Mon grand-père te protègera ! Dépêche-toi !

L'enfant la regarda les yeux ronds et elle courut vers les hommes, armée d'un simple poignard. Elle ne savait pas d'où lui venait cette folie, on lui avait toujours appris à fuir le danger des que possible, que le combat frontal n'était pas la solution. Mais c'était son ami ! Le seul qu'elle avait eut depuis toute ses années !

Les hommes ralentirent surpris par se brusque changement de trajectoire de l'enfant. Elle ne s'assura pas que l'autre partait vers le port, elle l'espérait. Ils n'étaient plus si loin, il ne restait que des bâtiments et la digue de béton entre elle et la mer. Elle entendait d'ailleurs l'appel de la mer, beaucoup plus fort et pressent que d'habitude, comme si elle la suppliait de ne pas commettre cette folie. La première balle frappa son épaule et l'arrêta nette dans sa progression. Jamais elle n'avait ressenti une telle douleur. Elle tomba au sol en hurlant. Ceux qui avait hésité au cottage des médecins intervinrent :

- Elle n'est pas de l'ile ! Elle n'est pas malade !

Mais ils furent bien vite écartés et les armes furent de nouveau pointés vers elle. Avec un effort démesuré pour son jeune âge elle se releva serrant le poignard avec sa main saine et regarda le chef dans les yeux. Il était encore en retrait, mais cette fois-ci elle aperçut cet éclat de joie malsaine dans son regard. Aucun remords, aucune pitié, il était heureux de cette situation. La colère s'empara d'elle et elle reprit sa course vers lui en hurlant de rage. Les premières balles la ratèrent et elle réussit grâce à une vitesse inhumaine à passer le rang de protection. Elle sauta comme à l'entrainement et trancha la gorge du chef alors qu'une balle lui traversait la poitrine. Elle retomba lourdement sur le sol roulant sur plusieurs mètre et s'arrêta contre un baril de la digue de béton. Elle eut un sourire satisfait en voyant le chef s'effondrer, perdant une quantité de sang inouïe. Le béton gris autour d'elle virait au rouge vif et sa vision se troubla alors qu'elle sentait toute énergie quitter son corps. Elle espérait tellement que ce garçon avait réussie à rejoindre la mer, à se cacher. Elle haleta, tentant de reprendre sa respiration mais rien ne semblait fonctionner. Dans un dernier souffle elle murmura :

- Aidez… moi.

Elle ne sut jamais comment, mais à ce moment la alors que les marines allait tirer une seconde fois sur elle, la mer l'engloutit.

Ce fut ensuite le trou noir, elle se rappelait de la douleur, du sable brulant, du soleil étouffant, d'une voix qui lui demandait de tenir bon et surtout de l'odeur de l'océan qui l'accompagnait à chaque seconde. Quand elle reprit réellement connaissance, la nuit était tombée et elle était allongée près d'un petit feu de camps au bord d'une plage qui lui était totalement inconnu. Elle se redressa posant une main sur sa poitrine bandée. Un bruit sourd la fit paniquer et elle se leva cherchant son poignard qu'elle ne trouva nulle part. Mais elle se retrouva nez à nez avec le garçon qu'elle avait sauvé.

- Tu es enfin réveillée ! lui dit-elle avec une pointe de joie.

Elle regarda autour d'elle paniquée. Ses vêtements était déchirée, son pantalon tenait à peine et elle ne portait que des bandages pour haut et tout ce paysage de plage et de foret tropicale ne lui disait rien du tout.

- Ou… ou sommes-nous ?

- J'en sais rien… c'est toi qui nous a amener ici.

Elle le regarda surprise. Elle les avaient amener ici ? Elle ne s'en rappelait absolument pas. Tout ce dont elle se souvenait s'était le port ou son sang s'étalait…

- ou est mon grand-père ?

Il ramassa le bois qu'il avait fait tomber pour le jeter dans le petit feu et reprit :

- Je sais pas… il n'est pas venu, ça fait trois jours que j'essaye de te réveiller. Tes blessures sont déjà guérit, c'est fou ce que tu guéris vite…

- Trois jours !

les larmes lui vinrent aux yeux. Jamais son grand père ne l'aurait laissé trois jours seule. Est-ce que lui aussi était mort dans le feu ? Le jeune garçon vient poser une main sur elle et ils s'installèrent tout deux près du feu.

- ça va aller, je suis là.

- Non… mon grand père est un dieu, il ne peut pas mourir.

- Il te cherche peut être encore ! Tu sais il y a beaucoup d'ile par ici.

Elle secoua doucement la tête. Le garçon la regarda et reprit :

- Merci… de m'avoir sauver. Tu aurais pu mourir.

Elle essuya ses larmes et le regarda :

- Je n'ai rien pu faire pour tes parents… si j'ai pu t'aider… Qu'est-ce qu'ils voulaient ?

- ils disaient que notre maladie était… était contagieuse, trop mortels, qu'on était un danger pour les autres… ils voulaient tous nous tuer pour qu'on ne la répande pas.

- Mais c'est…

Soudainement le temps sembla s'arrêter. L'océan s'était immobilisé, les flammes ne vacillaient plus et le bruit de la foret s'était tu. Une forme aqueuse se forma alors sur le sable et quand elle le reconnu elle se leva :

- Grand père !

Elle serra l'homme dans ses bras et celui-ci la fit reculer sèchement :

- Kalia !Qu'est ce qui t'es passer par la tête ! On m'a raconter tout ! On te cherche depuis des jours entier ! J'ai cru que tu étais morte ! On n'intervient pas dans le monde humain ! Ils ont refuser notre aide tu n'avais pas à les aider !

Elle resta silencieuse le regardant choquée. Il était si furieux qu'elle n'avait qu'une envie se terrer dans le sable et ne plus bouger.

- Mais grand père…

- Il n'y a pas de mais Kalia ! Nous sommes des divinités ! Nous préservons l'équilibre de nos océans ! Si tu interfères dans les décisions humaines tu rompt cet équilibre !

Il aperçu alors le garçon qui les regardaient sans bouger. Les yeux bleus de son grand père s'illuminèrent de pouvoir :

- Tu as fais ça pour une seule vie humaine ! Regarde ce qu'ils ont fait à leurs semblable, ce garçon deviendra peut-être comme eux ! Des monstres qui se fiche de la vie des autres ! Ils en ont tuer des centaines sur cette ile !

- C'est mon ami !

- il n'y a pas de sentiments chez les divinités tu vas devoir t'y faire jeune fille ! Tu n'auras plus de contact avec la surface jusqu'à ce que tu comprennes cette leçon !

- Non ! Grand père !

- Ne discutes pas ! Jeune homme tu vas devoir te débrouiller seul.

il l'attrapa par le bras la tirant vers l'océan sans ménagement. Elle jeta un dernier regard à son ami choqué sur l'ile alors que les profondeurs de l'océan l'engloutissait.

Fin du flash-back.

Elle tremblait à la fin de cette histoire et se leva en sursaut quand elle sentit la main d'Ace sur son épaule. Les deux membres de l'équipage de Barbe Blanche la regardait sans bouger attendant la suite de sa réaction. Elle se contenta de secouer la tête pour retrouver ses esprits.

- Je … cette expérience m'a marqué à vie. Mon grand-père à tenue parole ensuite, j'ai vu mon père une dernière fois puis je n'ai plus approcher la surface ou même un humain jusqu'à la mission avec Barbe Blanche et Big Mom.

- Ce n'était pas ta faute Kalia. Tu les as aidés.

- Non ! Ce garçon, il est peut être mort sur cette plage ! Je ne sais même pas ou c'est ! Je ne lui ait pas sauver la vie, je lui ais juste fait endurer plus de souffrance. C'est mal de changer le cours de l'équilibre.

- Pourtant tu l'as fait sur le bateau non ? reprit Ace. Elle lui jeta un regard sombre et reprit :

- J'ai été punis ! J'ai été empoisonnée par un fruit du démon Ace ! On ne change pas le cours de l'équilibre.

Ace ce tut mais elle vit une expression qui l'intrigua. Elle l'avait blessé. Comment ? Elle n'en avait aucune idée mais ces paroles lui avait fait mal. Il avait juste découvert qu'elle n'était pas aussi parfaite qu'il le pensait. Marco se leva époussetant son jeans et reprit :

- Tu oublies le reste Kalia. Certes tu ne peux plus vivre comme une divinité, mais si tu n'avais pas été en contact avec ce fruit du démon, tu ne nous aurais jamais rencontrer.

Elle se figea et regarda Ace.

- Ce n'est pas ce que je voulais dire… Ace…

- J'ai compris, tu devrais garder l'équilibre en place Kalia. Reprit-il sèchement en se levant et redescendant vers la foret. Elle le regarda partir désemparée. Elle ne savait pas quoi faire, en réalité elle ne comprenait pas pourquoi ça avait finit comme ça.

Voila, c'est la fin de ce chapitre, si vous avez des questions n'hésitez pas ! Laisser un petit message pour une critique positive ou négative( tant qu'elle est construite ) merci de votre soutient et à la prochaine !



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