Once Upon A Time ~ Livre 1

Chapitre 2 : Chapitre 2 - Le sort noir

3350 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour il y a presque 7 ans

Il existe une ville dans le Maine… Ou tous les personnages des contes de notre enfance sont piégé entre deux mondes. Ils sont tous sous l’emprise d’une malédiction et une seul personne pourra la rompre…

 

Mary Margaret et Beth prenaient leur déjeuner près de leur fenêtre quand ils remarquèrent que l’horloge avait bougé. Dans sa chambre, Emma s’était réveillée et pendant une minute, elle avait oublié où elle était. Elle se leva et observa les habitants de la ville par la fenêtre.

 

Emma est assise au bar du Granny’s Diner en train de lire le journal. Elle est sur le point de croquer une pomme, mais Ruby lui sert un chocolat chaud.

 

- Merci, mais j’ai pas commandé ça. Dit Emma

- Oui, je sais. Vous avez un admirateur. Expliqua Ruby

 

Emma se retourna et voit Graham assit à une table. Elle le rejoint pensant que c’était lui. Ils ont une petite discussion et celui-ci lui dit que ce n’est pas lui qui lui a offert le chocolat chaud.

 

- Ça vient de moi. J’aime la cannelle moi aussi. Annonça Henry en s’approchant d’eux.

- T’es pas à l’école, toi ? Demanda Emma

- Si, j’ai dix ans. Accompagne-moi.

- C’est pas Regina qui s’en occupe ?

- En fait, c’est moi. Dit Beth qui venait d’entrée chez Granny’s Diner.

 

Emma, Beth et Henry marchèrent dans la rue.

 

- Alors, c’est quoi le souci entre vous et votre mère ? Demanda Emma

- Ce n’est pas à propos d’elle, mais du sort qu’elle a jeté. Il faut le rompre et vite. Heureusement, j’ai un plan. Étape numéro un : l’identification. J’ai décidé d’appeler ça l’Opération Cobra. Répondit Henry

- Cobra ? Ça n’a aucun rapport avec les contes. Dit Emma en regardant Beth d’un air interrogateur. Cette dernière répondit avec un haussement d’épaule.

- Justement, c’est un nom de code. Pour mettre la Reine sur une fausse piste. Expliqua Henry

- Alors tous les gens d’ici sont des personnages de contes, mais ils sont pas au courant. Dit Emma

- Ils sont ensorcelés. Dans cette ville, le temps s’est arrêté. Jusqu’à ce que t’arrives. Dit Henry

 

Emma était en train de manger une pomme quand Henry s’en aperçut.

 

- Hey ! Où t’as trouvé ça ? Demanda Henry

- C’est votre mère qui me l’a donnée. Répondit Emma

- La mange pas ! S’exclama Henry qui prit la pomme et la jeta derrière eux.

 

Emma regarda Beth, celle-ci lui fit signe de pas demandé et de passer à autre chose.

 

- D’accord, euh… Alors, ils ne se souviennent pas de leur passé.

- Ils n’ont pas de souvenir. Tout est très confus pour eux. Demande à n’importe qui de te raconter sa vie et tu verras. Dit Henry

- Donc, depuis des décennies, ces personnes ignorent tout de leur identité, ne vieillissent pas et ne peuvent pas quitter la ville, tout ça à cause d’une malédiction qui leur a fait perdre la mémoire. Récapitula Emma

- Tu vois ! T’as tout compris. C’est pour ça qu’on a besoin de toi. T’es la seule personne à pouvoir rompre le sortilège. Dit Henry en souriant

- Parce que je suis la fille de Blanche-Neige et du Prince Charmant ?

- Oui. Et maintenant, nous avons un énorme avantage. Notre mère ne sait pas qui tu es parce que j’ai déchiré la fin du livre. La partie qui parle de toi.

 

Henry sortit une feuille de son sac et la donna à Emma. La feuille représente un dessin du Prince Charmant blessé, tenant un bébé nommé Emma dans ses bras.

 

- Tu vois, c’est forcément eux tes parents.


Emma regarda Beth en soupirant avant de se retourner vers Henry.

 

- Écoute, petit…

- Au départ, le héros veut jamais croire qu’il en est un. S’il y croyait, ça ferait pas une très bonne histoire, hein ? Si t’as besoin de preuves, garde ces pages. Lis-les tranquillement, mais fais très attention. Ne laisse surtout pas la Reine les voir. C’est trop dangereux, si jamais elle découvre qui tu es… Ça finira très mal. Dit Henry

 

Ils sont arrivés à l’école et Henry a commencé à partir.

 

- Bon, il faut que j’y aille, mais on se rejoint tout à l’heure et on pourra commencer. Je savais que tu finirais par me croire !

- Qui a dit que je te croyais ? Demanda Emma

- Pourquoi tu serais encore là sinon ? Dit Henry en souriant.

 

Henry partit en cours. Mary Margaret s’approcha d’Emma et de Beth et les salua.

 

- Ça fait du bien de le voir sourire. Dit Mary Margaret

- J’ai rien fait du tout. Dit Emma

- Tu es restée. Ma mère, elle sait que tu es encore là ? Dit Beth

- Oh oui, elle le sait. D’ailleurs d’où elle sort ? Elle est carrément odieuse. Comment elle a pu être élue ?

- Elle est maire de la ville depuis aussi longtemps que je m’en souvienne. Personne n’a jamais eu le courage de se présenter contre elle. Répondit Beth

- Et je suis en train de me demandais si j’ai pas aggravé le problème en donnant ce livre à Henry. Maintenant, il pense que c’est la Méchante Reine. Dit Mary Margaret

- Et vous, pour qui il vous prend ? Demanda Emma en regardant Mary Margaret et Beth.

- Oh, c’est… C’est ridicule. Dit Mary Margaret

- Ça peut pas l’être plus que ce qu’il m’a raconté. Dites-moi. Dit Emma

- Blanche-Neige. Dit Mary Margaret

- Amelia. Dit Beth

- Apparemment, on serait demi-sœur. Ajouta Mary Margaret.

 

Emma se perdit dans ses pensées pendant une minute, selon Henry Mary Margaret serait sa mère et Beth serait sa tante.

 

- Et toi, il croit que tu es qui ? Demanda Mary Margaret.

- Je suis pas dans le livre. Dit Emma

- J’ai un service à vous demander. Regina m’a dit qu’Henry voyait un psy. Vous savez où je pourrais le trouver ? Demanda Emma en regardant Beth.

 

Plus tard, Beth a appris par Henry qu’Emma avait été arrêtée par le Shérif. Beth et Mary Margaret ont décidé d’aider Henry à faire sortir Emma de la prison.

 

- Coucou ! Dit Henry en entrant dans le commissariat.

- Henry ? Mais qu’est-ce que tu fais là ? Demanda Graham

- Notre mère lui a dit ce qu’il s’était passé. Répondit Beth qui suivait Henry et Mary Margaret

- Henry, je sais pas ce qu’elle t’a raconté… Commença Emma

- Franchement, t’es géniale ! S’exclama Henry

- Quoi ? Demanda Emma

- Je sais ce que t’as essayé de faire. T’es partie à la pêche aux infos… Pour l’Opération Cobra. Dit Henry

- Attendez, je… Je suis un peu perdu, là. Dit Graham

- C’est un truc entre nous, shérif. Tout ce que vous devez savoir, c’est que Mademoiselle Mills et Mademoiselle Blanchard vont payer sa caution. Expliqua Henry

- C’est vrai ? Pourquoi ? Demanda Emma en regardant les deux jeunes femmes d’un air étonnée.

- On vous fait confiance. Répondit Beth

- Bon, vous pouvez me retirer les menottes. Il faut que j’aille faire un truc. Dit Emma en souriant.

***

Des souris étaient en train de manger une pomme puis on voit Rumplestiltskin dans son cachot.

 

- Nous sommes seuls, très chers. Tu peux te montrer. Dit-il

 

Une des souris se transforma en fumée laissant apparaître La Méchante Reine.

 

- Le sort que tu m’as donné, il n’a pas marché. Déclara-t-elle

- Oh. Tu es soucieuse. Tellement, tellement soucieuse. Comme Blanche-Neige et son charmant nouvel époux. Annonça Rumplestiltskin

- Plaît-il ?

- Ils sont venus me rendre visite, eux aussi. Ils vivent dans l’angoisse… Ils ont peur de toi et du sort. Expliqua-t-il

- Qu’est-ce que tu leur as dit exactement ? S’interrogea-t-elle

- La vérité. Que face aux ténèbres, nul ne peut rien. Excepté, bien sûr, leur enfant à naître. Car, aussi puissant qu’ils soient, tous les sorts peuvent être rompus. L’enfant est la clé. Bien entendu, le sort doit d’abord être jeté.

- Dis-moi pourquoi j’ai échoué. Exigea la Reine

- Pour ça, il y a un prix à payer.

- Qu’est-ce que tu veux ?

- C’est simple. Dans ce nouveau monde, je veux une vie confortable. Je veux une vie agréable.

- Très bien. Tu auras des terres. Tu seras riche. Assura-t-elle

- Attends, je n’ai pas terminé. Il y a autre chose.

- Avec toi, il y a toujours autre chose. Dit-elle avec agacement.

- Oui, c’est vrai… Dans ce nouveau monde, si je viens te voir pour quelque raison que ce soit, tu devras satisfaire à la moindre de mes exigences. Tu devras faire tout ce que je te demanderai. À condition que je dise… « S’il te plaît ».

- Tu es conscient que si je réussis, tu ne te rappelleras pas cette conversation.

- Oh. Et bien dans ce cas, vas-y. Qu’est-ce que tu risques ?

- Accordé. Que dois-je faire pour que la malédiction s’accomplisse ? Demanda la Reine

- Tu dois sacrifier un cœur. Répondit-il

- J’ai sacrifié celui de mon fidèle destrier.

 

Rumplestiltskin était furieux. Comment la Reine osait-elle utiliser le cœur d'un simple cheval. À travers les barreaux, il attrapa la Reine par le cou et lui parla avec colère.

 

- Un cheval ? Je te donne le sort qui anéantit tous les autres, et toi, tu crois qu’un cheval va suffire ? Un pouvoir aussi grand demande un grand sacrifice. Le cœur dont tu as besoin devra venir d’un être beaucoup plus… beaucoup plus précieux. Colère en l’aggripat par le cou

- Dis-moi ce qui suffirait.

- Le cœur de l’être que tu aimes le plus au monde.

- Celui que j’aime le plus au monde est mort à cause de Blanche-Neige. Dit-elle avec haine.

- Oh. Et il n‘y a personne d’autre que tu aimes sincèrement ? Jeter un tel sort ne sera pas facile. La vengeance ne l’est jamais, ma douce. C’est pourquoi il y a une petite question que tu dois te poser. Jusqu’où es-tu prête à aller pour te venger ?

- Aussi loin qu’il le faudra. Affirma la Reine

- Dans ce cas, prouve-le, au lieu de nous faire perdre notre temps. Fais ce que tu as à faire. Tu sais très bien qui tu aimes. Alors va lui arracher le cœur. Dit Rumplestiltskin


***

Emma venait de rentrer dans sa chambre à l’hôtel quand Granny arriva juste derrière elle.

 

- Mademoiselle Swan ? Comment vous dire ça ? C’est affreusement gênant. Je vais devoir vous demander de partir. En fait, nous avons l’interdiction d’héberger des délinquants. Apparemment, il s’agit d’un arrêté local.

- Laissez-moi deviner. Le bureau du Maire vient de téléphoner pour vous le rappeler. Dit Emma en soupirant

- Vous pouvez prendre le temps de faire vos valises, mais je dois reprendre la clé de la chambre. Dit Granny avec un air désolé.

 

Emma lui donna les clés.

 

Emma se trouvait dans le bureau de Regina, car cette dernière lui propose de faire une trêve.

 

- Avant toute chose, j’aimerais vous présenter mes excuses. J’y tiens. Dit Regina

- Pardon ? Demanda Emma

- Il va falloir que j’accepte la réalité. Vous voulez rester ici.

- Oui, c’est ce que je veux. Affirma Emma

- Et vous voulez me reprendre mon fils. Dit Regina

- Attendez, que ce soit bien clair. Je n’ai jamais eu l’intention de le reprendre à qui que ce soit.

- Alors, qu’est-ce que vous venez faire ici ? Demanda Regina

- Je suis pas faite pour être mère, ça me parait assez évident. Mais j’ai eu cet enfant, et aujourd’hui je m’inquiète pour lui. Alors je veux m’assurer qu’il va bien. Plus vous essayez de m’éloigner, moins j’ai envie de partir. Surtout, quand je vois à quel point, il est perturbé. Expliqua Emma

- Vous le trouvez perturbé ? Demanda Regina

- Oui, il est suivi par un psy. Et j’ai eu le temps de lire quelques pages de son dossier avant que vous me fassiez arrêter. Mais ça, c’est un autre problème. Il croit que tous les habitants de cette ville sont des personnages de contes.

- Et vous, non ?

- Soyons sérieuses une seconde. Ce pauvre gamin fait pas la différence entre l’imaginaire et la réalité. Et ça empire de jour en jour. C’est complètement dingue.

 

Beth et Henry qui avaient tout entendu, se tenaient à présent derrière elle.

 

- Tu crois que je suis dingue ? Demanda Henry d’un air triste

- Henry…

 

Henry s’enfuit en courant. Beth partit le rejoint, après avoir jeté un regard rempli de tristesse à Emma. Cette dernière baissa la tête avant de se retourner vers Regina.

 

- Ils étaient là depuis combien de temps ? Demanda Emma

- Suffisamment longtemps. Répondit Regina

- Vous saviez qu’il allait venir. Dit Emma qui venait de comprendre qu’elle était tombée dans un piège.

- Est-ce que je sais que mes enfants viennent me voir au bureau à 17 heures précises tous les jeudis pour que je les emmène diner avant la séance d’Henry chez le Docteur Hopper ? Bien sûr que je le sais. Je suis leur mère. À vous de jouer. Expliqua Regina avec un sourire satisfaisant.

- Vous n’avez pas de cœur. Qu’est-ce qui vous a rendu aussi odieuse ? Demanda Emma

 

Emma s’en alla.

 

Mary Margaret et Beth étaient chez eux. Beth se trouvait dans les bras de son petit-ami, le Docteur Victor Whale. Ils discutaient de tout et de rien. Tandis que Mary Margaret faisait de la couture quand elle entend quelqu’un frapper à la porte. Elle partit ouvrir et trouva Emma. Beth se leva quand elle vit qui s’était et rejoignit Mary Margaret.

 

- Salut. En fait, je suis venue pour vous remercier et… Vous remboursez pour la caution.

 

Emma donna une enveloppe à Mary Margaret et une autre à Beth.

 

- Et je tenais aussi à m’excuser à propos de ce qui s’est passé chez ta mère. Dit Emma en regardant Beth

- C’est bon, c’est pas à moi que tu dois des excuses, mais à Henry. Dit Beth

 

Beth regarda Emma pendant un moment, puis soupira.

 

- Tu as l’air d’avoir besoin de parler.

 

Victor qui vit l’échange, décida de partir, mais pas avant d’embrasser langoureusement Beth. Les trois femmes étaient maintenant installées dans le salon. Mary Margaret apporta trois tasses de chocolat chaud avec de la cannelle et des biscuits.

 

- De la cannelle ? S’étonna Emma après avoir bu le chocolat.

- Oh, oui pardon. Ont auraient dû vous demander avant. Ont à des goûts un peu bizarres. Ça vous dérange ? Demanda Beth

- Pas du tout. Quand vous avez payé ma caution, vous avez dit que vous aviez confiance en moi. Pourquoi ?

- C’est très étrange. Dès que tu es arrivée, j’ai eu l’impression qu’on se connaissait déjà depuis pas mal de temps. Je sais que ça peut paraître dingue, mais…Dit Mary Margaret

- Je commence à réviser sérieusement ma définition du mot « dingue ». Dit Emma

- En tout cas nous, ont croient que tu es innocente. Annonça Beth

- Vous parlez du vol de dossier, ou en général ? Demanda Emma

- Je sais pas, comme vous préférez. Répondit Mary Margaret

- Finalement quoi que les gens d’ici croient ce que j’ai fait ou pas, je m’en vais. Je vous remercie pour tout, mais, je crois que ça vaut mieux. Si je reste, Henry risque de souffrir par ma faute. Dit Emma

- Qu’est-ce qu’il fera si tu pars ? Demanda Mary Margaret

- Je crois que la raison pour laquelle tu veux partir devrait au contraire t’inciter à rester. Dit Beth

- Tu tiens beaucoup à lui. Qui va protéger Henry si toi, tu ne le fais pas ? Demanda Mary Margaret

 

Emma se leva et mit sa veste.

 

- Sais-tu où est Henry ? Demanda-t-elle à Beth

- Il est avec Archie. Répondit cette dernière en souriant

 

Emma et Henry sortirent ensemble de chez Archie et marchèrent dans la rue. Dans son jardin, Regina nettoie encore son pommier. Mr. Gold arriva vers elle.

 

- Quelle pagaille.

- Plus pour longtemps. Je peux faire quelque chose pour vous, Mr. Gold ? Demanda Regina

- J’étais dans le quartier. Je me suis dit que j’allais passer. Ça fait plaisir de vous voir d’aussi bonne humeur. Répondit-il

- La journée a été excellente. Je viens de débarrasser la ville d’une nuisance indésirable.

- Emma Swan. À oui ?

- Oui. J’imagine qu’à cette heure-ci, elle n’est plus très loin de Boston.

 

Mr. Gold cueilli une pomme de l’arbre.

 

- Oh. Ça, ça m’étonnerais. Je viens de la voir flâner dans le centre-ville avec votre fils. Ils ont l’air de s’entendre à merveille, ces deux-là.

- Quoi ? Demanda Regina choquée.

- Vous auriez peut-être dû venir me voir. Si Mademoiselle Swan s’avère être un problème que vous ne pouvez résoudre seule, je serai ravi de vous offrir mon aide. Pour un bon prix, bien entendu.

- Vous ne me ferrez plus jamais conclure un marché avec vous. Dit Regina

- À quel marché faites-vous allusion ? Demanda Gold

- Vous le savez très bien.

- Oh, oui, c’est vrai. Vous parlez du garçon que je vous ai procuré. Henry. Je vous ai déjà dit que j’aimais beaucoup ce prénom ? Comment vous l’avez choisi ?

- Vous vouliez qu’elle vienne ici. Vous vouliez que tout ça se produise. Avouez-le. En réalité, vous n’avez pas choisi Henry par hasard. Dit Regina qui commençait à comprendre.

- Qu’insinuez-vous ?

- Où l’avez-vous trouvé ? Vous savez quelque chose ?

- Je ne vois pas du tout de quoi vous parlez. Répondit Gold

- Moi, je crois que si. Qui est cette femme, sa mère, cette… Emma Swan ?

- Je suis sûr que vous croyez savoir avec certitude qui elle est. Maintenant, je vais devoir vous laisser.

 

Mr. Gold commença à s’en aller, mais Regina se mit devant lui pour l’arrêter.

 

- Dites-moi ce que vous savez à propos de cette femme. Exigea-t-elle

- Je ne vais pas vous répondre, très chère. Alors je vous conseille de me laisser passer. S’il vous plaît. Dit Gold en insistant bien sur les derniers mots.

 

Mr. Gold croqua la pomme qu’il avait dans sa main et quitta le jardin de Regina. Il laissa tomber la pomme derrière lui et Regina le regarda partir, visiblement choquée.

 

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