Recueil de one Shot

I.IV. Satan

J'étais dans la grande bibliothèque du manoir cherchant un stupide livre qui me permettrait d'avancée dans mon étude. Merde, je pensais pourtant qu'il y avait un livre traitant de ce sujet à cet endroit. Je ne suis pas folle. C'est pour ce putain d'examen en plus mais ... Attends s'il n'est pas là, je ne connaît qu'une personne qui aurait pu le prendre pour ce misérable examen aussi ... Satan ... Je range alors en vrac mes affaires restée sur le bureau de la bibliothèque et me dirige vers sa chambre. S'il étudie bien, je peux lui proposer à ce que nous étudions ensemble. Autant s'entre-aider. Je frappe alors trois coup à sa porte et j'entends un mouvement et l'accès s'ouvre devant moi laissant un Satan que l'on aurait dit manquait de sommeil.

« MC ? »

« Heu... Le livre sur la constitution de Devildom, tu ne l'aurais pas emprunter à la bibliothèque par hasard ? »

« Ah toi aussi. » Il regarde mon sac accroché à mon épaule et se recule alors pour aller s'asseoir sur son fauteuil. « Entre. »

« Merci ! »

Il a comprit, il comprend toujours comme ... un sixième sens. Je m'installe alors sur l'autres fauteuil et sort alors les feuilles sur le sujet de l'examen de mon sac et regarde alors Satan.

« Tu en es où dans l'étude du sujet ? »

« A la syntaxe comprenant les divers édits concernant la vie de la communauté. Et toi ? »

« Celle de la sorcellerie d'antan et de maintenant. »

« Ah ! C'est vrai qu'il y avait cela aussi, tiens le livre. »

« Merci. »

Nous continuons alors en calme à étudier. Je le vis alors du coin de l'œil trembler légèrement ce a qui m'alarma. Je le regardais alors et lui posais simplement la question de savoir s'il avait manger. Il me regarda avec étonnement et regarda l'heure, c'est vrai que je ne l'ai pas vu au repas hier soir ni ce matin mais c'était le cas de quelques uns d'entre eux surtout en période d'examen mais de lui rarement pour ainsi dire jamais. Je compris alors et soupirais disant que je vais chercher des sandwich et du thé dans la cuisine. Il me regarda et sourit alors me remerciant. Je lui rendit son sourire non sans lui passer mes notes concernant ce qui le faisait buté. Et sortit chercher ce dont j'avais parlé. Lorsque je revins il me regarda en souriant.

« Merci grâce à toi je comprends mieux. Tes notes sont bien fournies. J'ai bien comprit ce que je ne comprenait pas moi même. » Je lui souris.

« Mais de rien, tu sais j'ai beaucoup simplifié ce que le professeur disait en cours. Cela m'aide de réécrire mes notes une fois rentrée en les simplifiant tu devrait tester. Maintenant, je ne dis pas que c'est la seule solution. »

« Peut-être mais elle est bonne. Oh merci pour les sandwichs, j'ai vraiment faim. »

« Tu as de la chance Beel n'est pas encore passé par là. »

Nous rions alors en cœur et continuons d'étudier. Une fois cette partie d'examen bien dans nos têtes je rangeais mes affaires et je le remerciais à nouveau. Alors que je me dirigeais vers sa porte d'entrée, je me retournais vers lui en lui proposant de ramener la vaisselle à la cuisine mais il me dit qu'il n'y avait pas besoin. Je soupire alors, j'aurais bien aimé restée plus longtemps mais je n'avais plus d'excuse au final. Je lui souris, lorsque j'entendis la porte derrière moi s'ouvrir à la volée et une poussée dans mon dos avec un cris.

« Satan ! Aide moi pour l'exa... Oh je dérange ? »

Taquin. J'ai été propulsée littéralement à l'avant et me disant que j'allais tombée Satan fut plus rapide et me voilà dans ses bras. Et bien si je ne m'y attendais pas mais un mélange de joie et de soulagement se mêlait en moi. Je l'aimais c’était indéniable et même accidentel, j'aimais être dans ses bras. Mon dieu que je sois damnée, je dois être rouge comme pas possible. Et un coup d'œil m'appris que je n'étais pas la seule. J'étais plutôt satisfaites au final qu'Asmo soit rentrée en si grande vitesse. Ce dernier se fit réprimander alors que lui s'en amusait comme à son habitude dans ce genre de cas se délectant de me voir rougir ... Celui là, je le remercierai en lui offrait une palette de maquillage car grâce à lui j'étais dans les bras de l'homme que j'aime sans que ce dernier ne sache rien de mes sentiments et malheureusement je n'avais pas encore le courage de lui avouer mais cela n'était rien en ce moment je m'en contentais.