L'argent ne fait pas le bonheur
Pov normal (lundi 28 décembre 2008 : 12h10)
Sur la sixième avenue, dans un restaurant ''le Wasabi''. Un jeune lycéen, aux cheveux blond, attendait patiemment la venu de sa ''copine'', s'il pouvait l'appeler encore ainsi. Il était 12h10 et elle n'était toujours pas là. Il commençait à se dire que c'était elle qui ne viendrait pas. Il avait cogité une bonne partie de la nuit après les dires de son meilleur ami et avait finalement accepté de venir.
Il avait même fait un effort sur la tenue et avait mit une chemise blanche avec un pantalon noir. Il paraissait même plus âgé qu'il ne l'était. Il souffla d'ennui et buvait une gorgée de sa limonade. Bon sang !! Qu'est ce qu'il foutait là ? Et qu'est ce qu'elle allait lui dire? Cela se trouvait, elle allait rompre avec lui. Rien qu'à l'idée, il fit une grimace.
- Naruto, entendit-il soudain.
Elle avait certes du retard, mais elle avait une très grande explication. Elle était entrée dans le restaurant, avec quand même une certaine appréhension. Celle de ne pas voir celui qu'elle aimait. Mais, il était là, assis à une table, buvant une limonade et sur son trente et un.
Il s'était retourné à l'appel de son nom. Elle lui offrit un sourire et le remerciait d'être venu.
- J'ai quelqu'un à te présenter Naruto.
Il se leva d'un coup, se retourna pour faire face à un homme d'au moins 1m90, les cheveux long noir et les yeux transparent, comme ceux de Hinata.
- Naruto, voici mon père, Hiashi Hyuga. Papa, voici Naruto, mon petit ami.
Ah ben s'il s'attendait à ça!! Et bien non !! Il se sentait maintenant tout bête devant la prestance de cet homme.
- Enchanté jeune homme, disait Mr Hyuga en tendant sa main.
- Euh... Enchanté, répondit notre blond en la lui serrant.
- Excuse nous pour le retard.
- Oui, il y avait de la circulation.
- Oh c'est pas grave !!
Soudain, un gargouillis se fit entendre et Naruto commençait à rougir de honte. Oh la, cela commençait mal.
- J'entends que vous avez faim, alors installons nous et commandons.
C'était Sasuke qui avait raison en fin de compte.
(lundi 28 décembre 2008 : 12h20)
Dans un quartier de banlieue de Tokyo, un scooter roulait à allure raisonnable et se gara devant un immeuble. Il enleva son casque pour laisser libre sa coupe ananas. Il se demandait pourquoi Sasuke l'avait forcé à venir chez Sakura ? De plus, il ne lui en avait pas donné de raison. Avait-il une surprise pour lui ?
Il monta les deux étages et toqua à la porte. La surprise fut très grande, lorsqu'il vit celle qui venait de lui ouvrir.
- Salut Shikamaru.
- Temari !!
- Reste pas comme ça, entre!
Il se fit entraîné à l'intérieur et retrouvait Sasuke, Sakura et Yumi dans le salon.
- Mais qu'est ce que tu fais là ? Demanda le Nara.
- Et bien, je voulais te faire une surprise.
- Je vois ça, d'après notre dernière conversation d'hier, tu devais rester à Hokkaido pour la fin d'année.
- Non, j'avais prévu depuis longtemps avec Sakura que je venais ici, mais elle ne devait le dire à personne, même pas à Sasuke.
- C'est clair, je ne l'ai su que hier, appuya le brun.
Il affichait un sourire et se défit de sa veste. Il s'installait à table avec ses amis. Décidément, cette journée commençait bien.
(lundi 28 décembre 2008 : 12h45)
A l'autre bout de la ville, dans un restaurant assez chic de Tokyo, trois personnes passaient également un bon moment.
- Vous êtes vraiment très gentil jeune homme. Pour que Hinata m'en parle et me supplie de vous voir, vous devez être exceptionnel.
- Mais il l'est papa.
Naruto essayait de se détendre et de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler pour ne pas dire une bêtise. Mais, pour l'instant il faisait un sans faute. Pourvu que ça dur.
- Dîtes moi jeune homme, qu'est ce que vous voulez faire plus tard ?
La question qui tuait. Il s'arrêta de couper sa viande et releva la tête vers Hiashi. Hinata était nerveuse, et regardait son petit copain, qui après avoir eu une réaction de surprise, étira ses lèvres.
- Et bien, normalement, après le lycée, je vais aller à la fac et après je reprends l'entreprise de mon père.
- Oh !! Et c'est laquelle ?
- Uzumaki Compagnie bien sûr.
- Oh oui !! Elle est en train de progresser, après quelques années un peu infructueuse... Euh désolé, j'ai promis à Hinata de ne pas parler ''travail''.
Les deux jeunes lycéens se souriaient. De son côté, Hinata avait obtenu satisfaction et avait présenté son père à son petit ami. Si elle avait su que cela se passerait comme ça, elle l'aurait fait depuis longtemps. Elle avait sous-estimé Naruto et elle s'en voulait. C'était 100 % de sa faute.
Pov Shikamaru (lundi 28 décembre 2008 : 13h00)
Pour la première fois depuis des semaines, je passais un très, très bon moment. Non loin de là que je m'ennuyais avec mes amis, mais ils n'étaient pas Temari. A elle seule, elle était capable de me faire rire continuellement et à remplir mon cœur de chaleur qu'une personne amoureuse pouvait ressentir.
Est ce que cela signifiait que j'étais amoureux ? Peut être, probablement, sûrement. Est ce qu'elle avait les mêmes sentiments à mon égard ? Certes, on communiquait par ordinateur tous les jours, on se racontait notre journée, mais à aucun cas, on s'était avoué nos sentiments.
- Bon, je vais aller chercher le gâteau que j'ai fait, vous allez m'en dire des nouvelles, déclara Temari en se levant.
Alors qu'elle entrait dans la cuisine, Sakura se leva et commençait à débarrasser. Une force, qui m'était inconnu jusque là, m'obligea à me lever.
- Laisse, je vais le faire, lâchais-je en prenant le lot d'assiettes qu'elle tenait dans ses mains.
- Euh..... d'accord, disait Sakura encore plus surprise que moi.
Je franchissais la porte de la cuisine et vis Temari de dos, saupoudrer son gâteau au chocolat de sucre glace.
- Je crois que tout le monde va l'aimer, Sakura. Même Shikamaru, lui qui n'aime pas trop les gâteaux.
Je m'approchais d'elle à petit pas et entourais mes bras autour de sa taille. Elle sursauta, laissant échapper du sucre glace de son emballage.
- Pour toi, je le mangerais tout entier.
- Shikamaru !! Tu... tu m'as fais peur.
Je posais mes lèvres sur son épaule et je la sentais frissonner. D'ailleurs, la chair de poule commençait à se répandre sur sa peau. Elle laissa échapper un gémissement et elle se retourna. Je l'embrassais alors fougueusement et à ma plus grande joie, elle y répondit ardemment. Ses lèvres m'avaient tant manqué. Elle mit ses mains sur mon torse et celles-ci devenaient de plus en plus baladeuses. On se séparait par manque d'air et elle était toute rouge.
- Temari, commençais je en la regardant dans les yeux. J'ai beaucoup réfléchis depuis que tu es partis et je voudrais te demander quelque chose... Je... je voudrais essayer, même si la distance nous sépare.
- Moi aussi, je voudrais bien, disait-elle avec le sourire.
- Vraiment?
- Oui, essayons.
On s'embrassait encore et encore puis nous sortions de la cuisine pour annoncer la bonne nouvelle. On passait devant eux et s'arrêtait pour leur faire face. Sakura avait le sourire alors que Sasuke haussa un sourcil.
- On voudrait vous annoncer une bonne nouvelle, débuta Temari.
- Laissez nous deviner, la coupa Sakura. Vous sortez ensemble.
- Qu'est ce qui te fait croire ça ?
- Et bien, vu le temps que vous avez mis dans la cuisine, et les traces de mains sur les fesses de Shikamaru, j'en conclus que...
Alors là, il ne devait pas avoir plus rouge que moi dans ce vaste monde. Je me frottais pour enlever le sucre glace et m'asseyait la tête baissé. J'entendis soudain Sakura qui commençait à exploser de rire, suivit de Temari et de Sasuke. Je relevais la tête et partis dans leur délire.
Pov Sasuke (lundi 28 décembre 2008 : 19h30)
Nous avions passé un bon après midi ensemble. J'étais content pour Shikamaru et Temari. La mère de Sakura était revenu en fin de soirée et je décidais de rentrer à la maison, soit chez Naruto. D'ailleurs, j'avais reçu un texto dans l'après midi, disant qu'il s'était réconcilié avec Hinata et qu'il avait rencontré son père. La prochaine fois, il retiendra cette règle. Toujours écouter Sasuke.
J'embrassais ma rose et lui disait à demain. Je frappais dans la main de Shika puis mis mon casque pour démarrer. Je m'arrêtais avant devant une pizzeria et en pris une, que je partagerais avec Naruto. Ensuite, je roulais jusqu'à destination et mis mon antivol.
A peine je fus à l'intérieur, que j'entendis des gémissements. Ok, alors c'était de bonnes réconciliations. J'allumais la télé et m'installais sur le canapé pour seule compagnie, cette pizza quatre fromages. Ce soir, les rôles étaient inversés, rien qu'à cette pensée, je souriais.
Quelques minutes plus tard, je vis Naruto arriver dans le salon.
- Ah salut Sasuke !! Disait-il en venant vers moi.
- Salut, tu as faim? Vu les calories que tu viens de dépenser, je pense que cela te fera du bien.
- Oh merci, lâchait-il en prenant la boite.
- Alors, comment s'est passé ta rencontre avec le père Hyuga ?
- Très bien, c'est toi qui avait raison Sasuke. J'aurais été un idiot si je n'avais pas été au rendez-vous.
- Tu m'écouteras plus souvent la prochaine fois.
- Oui. Bon il faut que j'y aille, Hinata m'attend. Et merci pour la pizza.
- De rien.
Il sortit du salon et j'éteignis la télé. Bon, un gros dodo me fera le plus grand bien. Maintenant qu'ils avaient finis leurs petites affaires, j'allais pouvoir retourner dans ma chambre.
Pov Temari (jeudi 31 décembre 2008 : 21h00)
Pour la fête du 31 décembre, Ino avait organisé une grande fête chez elle, ses parents étant en voyage d'affaire. J'appréhendais un peu, car s'était l'ex de Shikamaru et la dernière fois que je l'avais vu, elle m'avais jeté un regard noir, du fait que son petit copain m'accompagnait. Espérons que cela se passera bien.
Mon nouveau petit ami était venu me chercher et nous attendions tous Sasuke, qui arriva quelques minutes plus tard. C'était alors vers 21h00 que l'on arrivait devant la demeure des Yamanaka. Shika me prit la main, comprenant mon angoisse de rencontrer son ex. De plus, je ne connaissais pas tous ses amis.
C'était Sasuke qui appuyait sur la sonnette et quelques secondes plus tard, une blonde, que je reconnaissais étant être Ino, apparut devant nous.
- Salut tout le monde, s'écria t-elle avec le sourire.
Puis, elle le perdit lorsque ses yeux s'étaient posés sur moi. Je la fixais, un peu durement je devais l'avouer. Soudain, sans que je ne comprenne son geste, elle me prit dans ses bras.
- Je suis contente de te revoir Temari. Et je suis encore plus contente pour vous deux, ajouta la Yamanaka en se retirant. Il est vrai que notre dernière rencontre a été un peu électrique, mais je tenais ce soir à t'exprimer mon amitié.
- Euh.. et bien merci Ino, bafouillais-je.
- Allez, entrez, la fête a bien commencé. Il y a déjà Naruto et Hinata.
Nous entrions à l'intérieur et le salon devait faire au moins deux fois la taille de chez moi. Quelques personnes, que je ne connaissais pas bien sûr, étaient au milieu, dansant sur une musique entraînante.
- Salut les gars, disait Naruto en arrivant vers nous en compagnie de Hinata.
Après de brèves salutations, je me dirigeais vers le buffet et remplissais mon assiette. Je partis ensuite m'asseoir à une table avec mes amis et un garçon que je n'avais jamais vu. Il se présenta au nom de Suigetsu. Je le saluais et mangeais tranquillement mon assiette. Cette soirée commençait bien.
Pov normal (jeudi 31 décembre 2008 : 22h30)
La fête continuait de bon train, Deidara s'était imposé pour être le DJ de cette soirée qui se passait aussi chez lui. Il mit un slow à la demande de sa sœur et retira ses écouteurs lorsqu'il vit son meilleur ami, dans ses pensées.
Depuis qu'il était arrivé, il n'avait rien fait et était constamment ailleurs. Et pour cause, il avait surpris une conversation au bureau de son père. Cela le tourmentait et aurait beaucoup aimé poser des questions au boss Uchiwa. Mais, d'après ce qu'il avait entendu, ce n'était pas le moment.
- Eh !! L'interpella son ami. Tu rêves ou quoi?
- Hn !!
- Tout le monde s'amuse, sauf toi.
- C'est que j'ai des préoccupations.
- Préoccupe toi plutôt d'Aiko.
- Hein quoi !! disait Itachi en regardant à sa droite. Qu'est ce qu'elle fait là ? C'est toi qui l'a invité ?
- Oui, elle est à Tokyo pour trois jours, chez son père. Je l'ai rencontré dans la rue hier et je crois que, d'après ta tête, j'ai bien fait de l'inviter.
- Je te revaudrais ça Deidara.
Itachi se dirigea vers elle et la belle brune lui offrit un sourire. Il la prit par la main et l'invita à danser.
(jeudi 31 décembre 2008 : 22h35)
Dans la maison du maire, ce dernier était attendu pour une soirée du nouvel an. Il longea les couloirs pour se rendre à la chambre de son fils. Il frappa d'abord à celle-ci avant d'entendre quelques secondes plus tard, un entrez.
- Et bien alors, tu ne sors pas pour la fête du nouvel an, demanda le maire en voyant son rejeton dans son lit, sous les couettes et torse nu.
- Non, j'ai pas la tête à fêter quoi que ce soit, répondit Hoshiro en regardant la télé.
- Mmm, j'aurais cru que tu serais partis avec Suigetsu. Il devait aller à une petite fête chez des amis.
- Ses amis ne sont pas mes amis. Nous n'avons pas du tout les mêmes fréquentations.
Son père souffla d'exaspération et se disait que son fils ne changera donc jamais. Pourtant, il devait quand même prendre du temps avec son fils qu'il ne voyait pas beaucoup.
- Tu ne veux pas venir avec moi.
- Encore moins, tous ces mecs qui te lèchent les bottes pour un permis de construction, non merci, très peu pour moi.
- D'accord, allez à demain.
Il avait abandonner. De toute façon, il n'avait jamais le dernier mot avec son fils. Depuis la mort de sa mère, il n'était plus le même. Il referma la porte et le laissa donc tout seul, à son triste nouvel an.
Pourtant, il n'était pas vraiment tout seul. De l'autre côté de la porte, une touffe rousse sortit de dessous la couette.
- Tu crois qui m'a vu ?
- Non.
- Imagine, il nous aurait surpris.
- Et alors !!
- N'oublies pas que je suis fiancée à Sasuke et...
- Ne prononce pas ce nom en ma présence s'il te plait Karin.
- Oui pardon, j'avais oublié.
- Bon, disait Hoshiro en éteignant la télévision. Reprend ce que tu étais en train de faire.
- Ok, s'écria la demoiselle en allant sous la couette.
Hoshiro se crispa, sentant une sensation au niveau de son entre jambes.
- Oui, je suis bien mieux ici, lâcha le brun en allant lui aussi sous la couette.
(jeudi 31 décembre 2008 : 23h58)
Chez Ino, la fête continuait de bon train. Tout le monde s'amusait. Puis, Ino annonça que minuit sera dans à peine deux minutes. Sasuke et Sakura s'étaient mis un peu de côté. Ne voulant pas trop se faire remarquer. Temari était sur les genoux de son chéri et Sai attendit l'arrivé de sa tendre pour la mettre lui aussi sur ses genoux.
- Plus que quelques secondes, disait Ino toute excité.
- Calme toi ma puce.
- ATTENTION, intervenait Kiba au milieu de salon. 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1 BONNE ANNEE.
Tout le monde cria et les couples s'embrassèrent.
- Et j'embrasse qui moi, disait Kiba qui se retrouvait tout seul au milieu de la pièce l'air dépité.
- Moi je veux bien, disait Tamaki en l'attrapant et en l'embrassant.
- Et bien l'année commence bien pour lui on dirait. Ben, où est ma petite rose, disait Lee en la cherchant du regard.
Derrière des rideaux bordeaux, la rose embrassait tendrement son brun, puis il se séparait par manque de souffle.
- Bonne année ma chérie.
- Bonne année.
- Sakura, je voulais aussi te dire que je vais tout faire pour ne pas me marier avec Karin. Je te jure Sakura.
Ne pouvant pas s'en empêcher, et fragile en ce moment, Sakura fondit en larmes dans les bras de son amour. Il la réconforta du mieux qu'il le pouvait. Cette année sera une année décisif pour eux.
Pov Shikamaru(Vendredi 01 janvier : 02h15)
Je montais à l'étage et parcourais les couloirs de cette maison que je connaissais par cœur alors que Temari me suivait sans hésitations. Puis, je la plaquais contre la porte et la regardais dans les yeux.
- C'est ici, elle me la réservait toujours pour moi.
- Tu l'as déjà fait ?
- Jamais. Tu es sûr que tu le veux Temari?
- Oui Shika, je veux que ce soit toi.
- Ok, disais-je en ouvrant la porte et en la refermant à clef juste derrière.
A peine avais-je fermé, que Temari me plaqua à son tour contre la porte et m'embrassa fougueusement. J'approfondissais le baiser et la soulevais pour la déposer sur le lit. Légèrement sur elle, je continuais à l'embrasser et en profitais pour lui caressais son ventre en soulevant son pull. Mais d'un coup, elle se crispa. J'interrompais le baiser et la regardais dans les yeux. Elle était gênée. Elle tourna son regard, voulant fuir le mien.
- Temari... si tu n'es pas prête... je... je peux attendre.
- C'est pas ça, répondit-elle. C'est que... comme aucun homme ne m'a touché comme ça avant toi... cela fait bizarre, ajoutait-elle en retournant ses yeux vers les miens.
Je lui souriais et lui disais que je la comprenais. Il était vrai que j'avais eu une petite liaison avec Ino. Mais à part quelques caresses et quelques baisers, nous n'étions pas allés plus loin.
- Je serais le plus doux possible. Et s'il y a quelque chose que tu n'aimes pas ou qui te gênes, dis le moi et j'arrêterais.
Début lemon
Les yeux de Temari brillaient et elle fut d'accord. On s'embrassait et elle se détendit un peu. Je recommençais à la caresser. Elle me stoppa, se redressa et ôta elle-même son pull puis son débardeur se retrouvant en soutien gorge. Elle était vraiment maintenant très entreprenante. Elle mit sa main derrière ma nuque et m'emmena à ses lèvres que je goutais avidement. Mes mains se trouvaient sur son ventre puis sur le sous vêtement.
Je sentis également ses doigts se faufiler sous mon haut et s'attarder sur mes abdominaux. Je frissonnais et cette fois ci c'était moi qui me redressait et qui ôtait mon haut. Elle rougissait et j'en souriais. Je me recouchais sur elle l'embrassant à pleine bouche, mon torse écrasant légèrement sa poitrine. Puis, je déviais vers son cou et l'entendis pousser un petit gémissement de bien être.
Je poursuivais donc et me retrouvais devant un obstacle. Je mis mon visage au-dessus du sien, ma main droite dans son dos et lorsque je dégrafais le vêtement, elle m'offrait un visage rouge de gêne. Mais il ne fallait pas, non !! Surtout pas avec cette généreuse poitrine qu'était la sienne. A peine avais-je posé ma langue sur l'un de ses tétons, que ce dernier se dressa d'un seul coup et que Temari balançait sa tête en arrière.
Je dévorais littéralement sa poitrine sous les gémissements de plaisir de ma belle. Je me stoppais ensuite, et remis ma tête au dessus de la sienne. Je l'embrassais, toujours avec cette même passion puis dirigeais ma main gauche sur son ventre avant de m'arrêter sur les boutons de son jean. J'en enlevais un et la sentis sursauter. J'arrêtais le baiser et la regardais dans les yeux, cherchant le moindre soucis, mais elle me souriait et emprisonnait mes lèvres.
Je continuais donc petit à petit et j'entrepris de glisser ma main dans sa culotte. Rien, elle se laissait faire. Je caressais ce petit bourgeon qui faisait réagir les filles. Quand je repensais au cour d'éducation sexuelle que j'avais eu avec Naruto et Sasuke, j'en rougissais encore. Mais cela fonctionnait, car elle commençait à gémir contre ma bouche. J'accélérais mes mouvements en même temps qu'elle accélérait ses gémissements. Puis pour la préparer, j'osais et insérais un de mes doigts dans son antre chaud et humide.
- Shika... Shikamaruuuuuu....
Je la regardais prendre du plaisir. Ses yeux à demi-clos, ses joues rosies et ses lèvres entrouvertes étaient un spectacle exaltant. J'osais encore plus et entreprit d'en mettre un deuxième. Là, elle ouvrit en grand la bouche et ses yeux, puis cria son plaisir. Elle resserra ses cuisses sur ma main mais je n'arrêtais par pour autant et continuais même plus vite et plus fort. Elle posa sa main sur la mienne et je la scrutais du regard.
- Tu as mal ? Demandais-je en continuant mon action plus doucement.
- Non, au contraire... c'est bon... Continue... oh mon dieu !!
Elle ouvrit en grand sa bouche et hurla en mettant sa tête en arrière. Mes doigts étaient trempés et je sentais qu'elle venait d'avoir son premier orgasme. Pendant qu'elle reprenait ses esprits, je me retirais, enlevais son jean et sa culotte toute mouillée puis fis de même avec le reste de mes vêtements. Je pris le préservatif qui était dans ma poche de jean et l'enfilais assez rapidement. A présent nus tous les deux, une petite gêne s'installa entre nous. Surtout en sentant nos deux corps collés l'un à l'autre.
- Temari, ça va ?
- Oui.
On se regardait dans les yeux et à l'aide de ma main droite, dirigeait mon membre devant son intimité. Je m'y introduisais petit à petit scrutant toujours du regard, l'expression de ma petite amie. C'était étroit, chaud et humide, lubrifiant un peu mon passage.
- Je continue ?
- Oui, vas-y, cela passera.
Elle grimaça alors que j'allais de plus en plus profond. Une barrière m'arrêta et je l'embrassais donnant par la même occasion un coup sec pour briser sa virginité et la mienne en même temps. Elle enleva ses lèvres et cria sa douleur avant de planter ses dents sur mon épaule. Aie !!
- Te... Temari, retire tes dents, ça..ça fait mal !!
- On... on est deux comme ça !! continuait-elle à mordre mon épaule.
- Temari, criais-je plus fort.
Elle obéissait cette fois ci, remettant sa tête sur son oreiller. Je restais encore un peu en elle sentant une vive douleur à l'épaule. Elle n'y était pas allé de mains mortes.
- Désolée, gémissait elle avant que je ne l'embrasse tendrement.
N'y tenant plus, je commençais à bouger en elle, commençant par de long et très lent vas et viens. Elle serrait les dents et m'incitait quand même à continuer. Je me redressais un peu et poursuivais mon action plus vite. Je l'entendais pousser de petits gémissements, non de douleur mais de plaisir. D'ailleurs, lorsque mes yeux s'étaient posés sur elle, son visage avait changé d'expression, elle était moins crispé et affichait même un fin sourire sur ses lèvres.
Je l'embrassais pour lui exprimer tout mon amour et continuais mes immixtion de plus en plus vite. Cette sensation était plaisante, puissante. Je n'aurais jamais cru à quel point c'était bon. Elle cria son ravissement alors que je me rallongeais sur elle, embrassant son cou et sortant des râles de plaisirs aux creux de son oreille. Ses mains derrière mon dos, elle enfonça ses ongles donnant encore plus à mon pauvre corps des blessures qui se verront pendant plusieurs jours.
Je lui pris ses mains, les plaquant au dessus de sa tête et la regardant dans les yeux, je lui donnais quelques petits coups de reins plus puissants que les précédents. Ses cris raisonnèrent dans la pièce et lorsque je commençais à sentir la jouissance venir, et ne voulant pas jouir sans elle, je dirigeais ma main vers son clitoris et le massais vivement. Elle hurlait mon prénom et je pouvais alors constater que je pouvais me lâcher sous un son très rauque. Oh bon sang, quel pied !!
Fin du lemon
Fin de la saison 1