Meilleurs ennemis

Chapitre 22 : Meilleurs ennemis

6753 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 11/03/2024 09:24



Vendredi 15 juillet / 22h30

Bowling Akatsuki. 

Konoha / Japon



Itachi et Sasori étaient de corvées ce soir, étant absent samedi soir. Les pistes étaient pratiquement toutes occupées, et les gens s'amusaient pleinement. Surtout à la piste 5, où deux hommes se livraient à un combat sans merci. 



- Strike! Tu as vu ça Atame! 


- Je vais en faire un aussi, tu vas voir Goro! 



Mais le blond fit tomber que 9 quilles, sous la rage de ce dernier et les rires de son acolyte. Atame prit la deuxième boule, la lançait, mais la manquait, la frôlant au passage. 



- Mais c'est pas possible ! Elle est collée ou quoi cette maudite quille. 


- Tu as perdu! Tu payes la prochaine partie! 


- Bon sang! Cela doit être mon poignée, il n'est pas encore guérie, cela m'handicape. 


- Arrête tes excuses, cela fait longtemps qu'il va bien! 


- Mouais! 


- Le perdant de la prochaine partie, paye une tournée. 


- Quoi ? C'est pas juste! 


- Tu n'as qu'à gagner alors. 



Râlant, Atame allait vers le comptoir, où l'Uchiwa s'y trouvait. 



- Chef, une autre partie, s'il te plaît! Avec deux bières. 



Au même moment, une personne entrait dans le bowling et se dirigeait vers le comptoir. Les yeux rivés sur cette silhouette, le blond bavait devant la jeune femme brune qui venait dans sa direction. 



- Bonsoir Itachi, lâchait cette dernière. 


- Bonsoir Toru! 


- Sasori est là ? 


- Oui, il est là-haut, il arrive! 



Itachi posait les deux bières devant Atame, mais ce dernier fixait Toru, avec un sourire en coin. Au lieu de les prendre, il fit deux pas, se rapprochant de la demoiselle. 



- Alors ton petit nom est Toru! 



Cette dernière tournait vivement la tête et fixait cet individu qu'elle avait croisé au supermarché. Oh non! Encore ce dragueur pervers.  



- Je le savais que c'était le destin de nous revoir, tu es encore plus belle avec cette robe. 



Toru reculait, et Itachi intervenait en plaquant sa main sur le torse de l'homme qui s'était trop rapproché de la petite amie de Sasori.  



- Eh ! Tes bières sont prêtes, alors prends les et va t'amuser. 


- Ohhh! J'ai bien le droit de draguer quand même. 


- Elle est déjà prise, alors dégage! 


- Je lui ai déjà dit l'autre jour que je n'étais pas jaloux. 



Alors que Toru et Itachi allaient ouvrir la bouche, une voix se fit entendre derrière eux. 



- Oui, mais moi je le suis ! Alors tu as intérêt à dégager si tu ne veux pas prendre une raclée. 



Sasori avait vu la scène de loin et s'était précipité vers eux. Il se mit devant sa chérie, et défiait du regard ce dragueur de pacotille. Goro, ayant vu également la scène, se précipitait vers son ami, car il savait qu'en ce moment, Atame était à cran et qu'un rien pouvait partir en bagarre. Et il ne le fallait pas, ils devaient rester discret. 



- Atame, lâchait Goro en faisant reculer son ami. Arrête ! Tu sais bien que... 


- Oui, mais ce connard m'a menacé. 


- C'est qui le connard ? Lâchait Sasori en colère et en faisant deux pas en avant. 



Cette fois-ci, Itachi intervenait en sortant du bar, alors que Toru essayait de faire reculer son petit ami, et que Goro fit de même avec son ami. 



- Bon les gars, vous prenez vos bières et vous allez à votre piste! 


- Ouais chef, désolé, disait Goro en emmenant son ami à la piste 5, prenant au passage les deux bières. 



Encore fulminant, Atame s'asseyait violemment sur la chaise, maudissant ce roux!  



- Encore une fois, il faut toujours que tu te fasses remarquer. 


- Oh ça va ! J'ai plus le droit de parler à une fille maintenant ?


- Tu les choisis mal! 


- Je te jure que si on ne devait pas se faire discret, je l'aurais éclaté cet enfoiré. 


- Maintenant, tu te calmes et tu te défoules sur les quilles. 



Résigné, Atame prit la boule et la lançait sur les quilles, qui tombaient les unes après les autres. De son côté, Sasori s'était calmé, surtout quand sa chérie l'avait embrassé, lui disant que ce type n'en valait pas la peine.  



- Remplace moi au bar Sasori, je vais faire le service. 


- C'est une bonne idée, approuvait Toru en s'asseyant sur un tabouret. Comme ça, je pourrais te regarder toute la soirée. 



Lui offrant un large sourire, Sasori prit avidement les lèvres de sa copine, avant de prendre place derrière le comptoir. Au loin, il pouvait apercevoir le con faire un strike, avant que ce dernier le regarde haineusement.  



- Il m'a énervé ce con. 


- C'est un imbécile ! 


- Pourquoi d'ailleurs il a dit "Je lui ai déjà dit l'autre jour que je n'étais pas jaloux " ? Tu l'as déjà vu ? 


- Oui, mercredi midi dans un supermarché! On s'est rentrés dedans et il commençait à déballer sa drague à deux balles. J'ai eu du mal à ce qu'il me lâche le bras. 


- Il te tenait le bras ? s'énervait le roux en mettant ses deux mains sur le comptoir. 


- Sasori, c'est rien! Il m'a lâché et je suis partie. 


- Il a de la chance que l'on soit au bowling, dans la rue, je le fume! 


- Tu sais que tu es encore plus beau lorsque tu es en colère, disait la demoiselle en se penchant vers lui, l'embrassant tendrement. Au fait, tu savais que Deidara avait invité Aiko ce soir ? 


- Oui, tu aurais vu la tête d'Itachi. 


- S'il a un faible pour Aiko, pourquoi il ne lui dit pas? 


- Tu ne le connais pas, mais sous ses airs de beau gosse, c'est un grand timide! 


- De toute façon, il ne se passera rien entre eux. Deidara n'est pas son genre de mec. Enfin, intellectuellement!  


- Aie! J'espère qu'elle va vite le lui dire, car Deidara s'attache facilement à une personne, et je n'aimerai pas qu'Aiko, même si je l'aime bien, lui fasse de faux espoirs.


- Alors, de quoi vous parlez ? Demandait Itachi en arrivant avec un plat de verres vides.  



Notre jeune couple ne répondait pas et soudain, deux jeunes gens entraient dans le bowling. Ils furent assez surpris de voir débarquer Deidara en compagnie d'Aiko, qui rigolaient. Sasori tournait instinctivement sa tête vers Itachi, et ce dernier n'avait pas l'air ravi de les voir ensemble, mais surtout, en train de rire.  



- Bonsoir les amis! Disait le blond en arrivant à leur hauteur. 


- Bonsoir! Répondait Toru. Et bien, cela se passe bien entre vous deux ! 


- Très bien! Répondait le blond. On a d'abord mangé des sushis et on est allés après au cinéma. 


- Oui et on a décidé de finir par une partie de bowling, continuait Aiko. 


- Je vais aller chercher mes chaussures, tu fais du combien Aiko ? 


- 38 ! 


- Tu joues avec nous Toru ? 


- Pourquoi pas ! 38 aussi, s'il te plaît. 



Deidara allait derrière le comptoir, pour aller chercher les chaussures. 



- Bonsoir Itachi, tu vas bien ? Demandait l'amie de Toru en se tournant vers le brun. 


- Oui ! Lâchait ce dernier assez sèchement, avant de se retourner et de partir vers ses occupations. 



Surprise, mais aussi déçue de son comportement, Aiko fit la moue avant de se concentrer sur Deidara qui revenait avec leurs chaussures. Elle lui offrit un sourire et enfilait les pompes. Mais, elle avait ce petit pincement au cœur. Itachi lui en voulait d'être sortit avec Deidara ? 



- Allons-y les filles! Lâchait le blond en les emmenant vers la piste 9. 



Samedi 15 juillet / 10h30

Rue de Konoha

Konoha / Japon



Hanabi Hyuga faisait des courses dans la petite supérette, pas très loin de la librairie. Elle avait prit juste quelques produits d'hygiène et des friandises. Elle s'était refermée sur elle-même et restait le soir dans sa chambre. Surtout depuis qu'elle avait apprit que Neji avait trompé Sasuke et Hinata! Elle ne lui parlait pas et du coup, elle se réfugiait dans sa chambre, devant la télévision, en train de s'empiffrer de sucreries. 



C'était les vacances et elle n'avait rien prévu... En fait, elle avait prévu avant, de passer quelques jours avec Konoha-maru, mais le destin en avait décidé autrement! Elle l'avait croisé plusieurs fois, mais ils ne s'étaient pas reparlés. Elle sortait de la supérette et tombait nez à nez avec Konoha-maru. Pour une surprise, ce fut une grande surprise pour les deux anciens amants! Elle voulait passer sur la droite, mais il lui barrait le chemin. 



- Laisse moi passer Konoha-maru! 


- Hanabi, je... 


- Quoi encore? Lâchait-elle dépitée et fatiguée de toute cette histoire. 


- Je... Je... tu vas bien ? 


- Ecoute Konoha-maru, je crois que l'on ferait mieux de ne pas se parler... Tu sais bien que cela me fait trop de mal. 


- Je suis désolé, mais... 


- Mais quoi ? C'est finit entre nous, on a mit fin à notre relation, point final! 


- Non, c'est toi qui a mit fin à notre relation, pas moi. 


- Et qu'est ce que tu voulais que je fasse ? 


- Que tu me fasses confiance! 


- Konoha-maru, s'il te plaît! Tu sais très bien que ton grand-père allait te déshériter. 


- Et alors! J'en ai que faire de son argent, tu vaux plus que tout les millions qu'il possède. Je pourrais trouvé un travail quelconque, du moment que je suis avec toi! 


- Tu n'as pas le droit de dire ça! S'énervait-elle soudain. C'est l'héritage de tes parents, ils ont travaillé dur pour toi et tu as également travaillé dur à l'université. Alors ne gâche pas ton avenir à cause de moi. 


- Mais Hanabi ! 



Elle ne devait pas céder, même s'il était toujours aussi beau et qu'elle avait toujours de l'amour à son égard! Elle devait y mettre un terme. 



- Non, c'est irrévocable, c'est définitivement finit entre nous. 


- Alors, tout ce que l'on a vécu ensemble, cela ne compte pas pour toi ? 


- Ce n'est pas ça, arrête, s'il te plaît, laisse moi tranquille. 


- Tu sors avec quelqu'un d'autre ? C'est ça ? 


- Quoi ? 


 - C'est ce con de Roy ? 


- Tu dis n'importe quoi! 


- Il te suit comme un toutou et vous êtes pratiquement collés ensemble! 


- Il n'y a rien entre lui et moi. Et je pourrais en dire autant pour ton ex Tania! Vous êtes aussi collés ensemble. 


- C'est elle qui me suit, je n'y suis pour rien! s'emportait à son tour le jeune Sarutobi. 


- Ecoute, on va pas se prendre la tête! On n'est plus ensemble et on a de compte à rendre à personne. 


- Si c'est ce que tu penses! Alors d'accord, se vexait Konoha-maru. Désolé d'avoir espéré! 



Il la laissait et continuait son chemin! Cette fois ci, il l'avait bel et bien perdu! Son cœur lui faisait mal, très mal! 



Samedi 16 juillet / 19h15

Maison Uchiwa

Konoha / Japon



Mikoto Uchiwa était en train de finir de préparer la table dont 7 assiettes étaient installées. 



- Maman, je vais chercher Sakura, lâchait son fils cadet en descendant les escaliers. 


- D'accord! Que penses-tu de ma table ? 


- Très bien, comme d'habitude. 



Sasuke enfilait ses chaussures, et au moment où il ouvrait la porte, il tombait nez à nez avec Misaki Masashi. Les deux hommes se regardaient quelques secondes, avant que le père de Toru dise le premier mot. 



- Bonsoir ! 


- Bonsoir, répondait le jeune homme poliment. 


- Vas-y, passe! 



Misaki se décalait et Sasuke pouvait passer pour se diriger vers sa voiture. Le nouveau petit ami de Mikoto fermait la porte, alors que cette dernière arrivait vers elle, lui tendant un bouquet de fleur. Il l'embrassait tendrement et enfilait des chaussons.   



- Je sens qu'avec ton fils cadet, cela va être plus dur que je ne le pensais. 


- Il m'a dit qu'il ferait un effort, laisse lui du temps. 


- En tout cas, ta table est magnifique. 


- Merci! Je vais mettre les fleurs dans un vase. 



Elle allait dans la cuisine et sous les yeux de Misaki, mit de l'eau dans un vase.  



Samedi 16 juillet / 19h25

Maison Uzumaki

Konoha / Japon



Sakura était en train de se préparer. Elle était assez nerveuse, elle appréhendait un peu de se retrouver en face de Mikoto Uchiwa. La dernière fois, cela s'était mal passé et les deux femmes s'étaient méchamment pris le bec. La rose avait planté un couteau de rage dans la planche à découper. Cela avait calmé la mère de Sasuke, frôlant la peur. 



Depuis ce jour, elles ne s'étaient jamais reparlées, juste croisées dans le couloir, alors qu'elle sortait de la chambre de son chéri. Elles s'étaient regardées, mais n'avaient échangé aucun mot. Cependant, de l'eau avait coulé sous les ponts et la matriarche Uchiwa s'était calmée et avait même décidé d'enterrer la hache de guerre pour le plus grand bonheur de Sasuke. Et pour lui, elle ferait de même.



 La rose sortait de sa chambre et lorsqu'elle descendait les escaliers, elle vit sa tante se diriger vers elle. 



- Ouah ! Tu es magnifique Sakura! 


- Merci ma tante. 


- Cette robe noire te va à merveille. 


- Merci, rougissait cette fois la demoiselle. 


- Et bien, qu'est ce que je vois ? Tu es très sexy Sakura, lâchait Minato en arrivant vers elles. Un peu trop pour cette petite soirée je pense, continuait-il. 


- Voyons, Minato! Le disputait sa femme. 



Soudain, un bruit de moteur se faisait entendre et le blond allait ouvrir la porte. Sasuke sortait de sa voiture et montait le perron pour se retrouver devant le maire. Il le saluait en signe de respect, alors que sa petite amie marchait vers lui. L'Uchiwa avait des étoiles dans les yeux en la voyant dans cette tenue. 



- Tu es sublime Sakura. 


- Merci. 



Elle prit son sac et le suivit sous les yeux des Uzumaki. 



- Bonne soirée ! Leur disait Kushina. 



Le petit couple la remerciait et la rousse refermait la porte. Minato allait dans le salon pour se servir un verre de Saké. 



- Qu'est ce qu'il t'arrive ? 


- De quoi tu parles ? 


- Le "un peu trop pour cette petite soirée". 


- Tu sais très bien que je ne suis pas un fan de la famille Uchiwa. 


- Je croyais que tu aimais bien Sasuke ? 


- Ce n'est pas lui, mais ton ancienne meilleure amie que je n'aime pas. Savoir ma nièce cotoyer cette... 


- Minato! Elle veut enterrer la hache de guerre avec Sakura. Je sais qu'avec moi, c'est finit, mais je veux au moins qu'avec Sakura, cela se passe bien. 



Minato reposait son verre et secouait la tête, pas convaincu. 



- Ne te voile pas la face Kushina, tu te dis que tu pourrais te rapprocher d'elle en te servant de ta nièce. 


- Quoi ? 


- Tu te dis que Sakura pourrait glisser des mots gentils sur toi à Mikoto et qu'elle pourrait vous rapprocher. 


- Comment peux-tu dire de telles calomnies? Jamais je ne me servirai de Sakura pour me réconcilier avec Mikoto. Tu me déçoit énormément Minato. 



Furieuse, la rousse sortait du salon en bousculant son fils au passage. 



- Oh là! Qu'est ce qui se passe ? 


- Demande à ton père. 



La mère de Naruto montait les escaliers très en colère alors que ce dernier pénétrait dans le salon en voyant son père se servir un autre verre de saké. 



- Qu'est ce que tu lui as dit ? 


- La vérité, lançait le maire avant d'avaler d'un trait, le contenu de son verre. 



Samedi 16 juillet / 19h30

Maison Sarutobi

Konoha / Japon



Konoha-maru était allongé sur son transat, la musique à fond dans ses oreilles. Depuis le début des vacances, il n'avait pratiquement pas bougé de la maison. Il n'avait pas reparlé à son grand-père. Même pour les repas, ils ne se parlaient pas! Son projet de vacances avec Hanabi tombé à l'eau, il était resté du coup à Konoha. De toute façon, il n'avait pas le moral à faire la fête. 



Soudain, il sentit une main sur son épaule, et après avoir légèrement sursauté, il se retourna pour apercevoir un mirage. Il enleva ses lunettes de soleil pour confirmer son mirage, mais non, elle était bien là, Hanabi Hyuga. Il se leva d'un trait, assez excité de la voir devant lui. Mais il déchanta vite lorsqu'il aperçut un carton dans les mains de la jeune fille. 

 


- Hanabi ? 


- Bonsoir Konoha-maru. 


- Qu'est ce que... 


- Je suis venu te rapporter tes affaires qui étaient dans ma chambre. Après notre discussion de tout à l'heure, je crois que c'est la meilleure chose à faire. 



Elle lui tendait le carton et le cœur du Sarutobi éclata en miettes. 



- Alors c'est définitivement fini ? 


- J'en ai bien peur! 



La tristesse qu'il avait en lui, avait laissé place à la colère. 



- Ok, si c'est ce que tu veux vraiment, alors à mon tour! 



Hanabi fronçait les sourcils et le vit se diriger vers la porte vitrée de la chambre du jeune homme. Elle le suivait et l'aperçut vider le contenu du carton sur le bureau. Elle entrait dans la chambre et l'observait mettre des objets dans la boite. 



- Konoha-maru! Je... tu peux les garder. 


- Pourquoi ? Puisque tu me donnes les tiens, pour définitivement tirer un trait sur nous. 


- Kono... 


- C'est finit entre nous, c'est bien ce que tu m'as dit, non ? 


- C'est juste que l'on a pas le choix! Disait-elle en le regardant tristement. 


- Tu ne m'aimes plus alors? 


- Idiot! Tu sais bien que je t'aime encore, mais... 


- Hanabi... 


- C'est juste trop dur! Je n'arrive pas à ne plus penser à toi, alors j'ai cru que ramener tes affaires, m'aiderait à... à... 



Il n'y avait plus de colère dans les yeux du jeune homme, mais de la mélancolie. Les larmes montaient dans les yeux de la Hyuga, elle était en train de craquer. Il s'approchait d'elle et la prenait dans ses bras. Elle pleurait! Il lui caressait son dos tendrement, une béatitude s'installa entre eux et ils se regardaient dans les yeux. Ils étaient toujours envoûtés par leur regard respectif. 



Il caressa de son doigt, les lèvres rosées de son ex petite amie. Elles étaient toujours aussi douces et une envie le submergeait. Il se penchait et les capturait entre les siennes. Ce baiser était doux et sensuel! Il l'approfondissait et une chose en entraînant une autre, il la fit basculer sur le lit. Elle ne le repoussait pas, bien au contraire. De toute façon, elle en était incapable. 



- Je t'aime Hanabi, lui chuchotait-il à l'oreille avant de lui embrasser le cou. 



Début lemon


Elle soupirait de bien-être et le laissait baisser les fines bretelles de sa robe. Tout doucement, il lui embrassait sa poitrine, jouait avec son téton, et descendait encore plus bas. Sa peau était douce et il était heureux de la retrouver. Il continuait plus bas et glissait la petite culotte bleue de la brune le long de ses cuisses.



Elle poussait un gémissement et savourait ce moment. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas sentit cette sensation, le jour où ils avaient fait l'amour dans la chambre d'université de Konoha-maru, plus précisément, le jour où tout avait basculé. Il y avait 1 mois! 



- Oh Konoha-maru! 



Il n'avait pas hésité une seconde avant d'explorer cet endroit. Passant sa langue dans ses moindres replis, il en profitait pour retirer le reste de ses vêtements. 



- Oh mon dieu... je... je viens... je viens... JE VIENS... 



Elle avait crié sa jouissance, se cambrant et se cramponnant au drap. Toute grogie, la jeune Hyuga sentit des lèvres remonter son corps et arriver sur les siennes. Après un baiser fougueux, il entrait en elle, lui donnant encore du plaisir. Les coups de reins étaient rapides et forts, puis il ralentissait la cadence, lui faisant perdre la tête. Elle aimait lorsqu'il changeait de rythme, elle aimait lorsqu'il lui faisait l'amour de cette façon. Elle l'aimait, tout simplement. Il accélérait encore la cadence, la faisant crier, la faisant une nouvelle fois jouir. Après lui avoir fait longuement l'amour, il s'écroulait sur elle, reprenant d'une fulgurante jouissance. 



Ils se regardaient dans les yeux, ne disant rien, mais ils se connaissaient par cœur, alors pourquoi parler. Après tout, il venait de la même école primaire de Konoha, où ils se sont rencontrés pour la première fois. Elle était au fond de la cour et elle pleurait. 



Flash back


- Pourquoi tu pleures ? avait lâché un jeune enfant en s'approchant d'elle. 


- Je me suis fait mal, lâchait-elle en lui montrant son bras. 


- Oh ce n'est pas grave! Viens avec moi, on va aller à l'infirmerie. 



Il lui prenait la main et l'accompagnait vers ce lieu. Lorsqu'ils furent arrivé, une dame en blouse blanche prit en charge la petite fille. Mais elle refusait de lâchait la main du jeune garçon. Compréhensif, il ne la quittait pas durant l'intervention. Un pansement sur son bras, et la demoiselle ne pleurait plus. La sonnette retentissait et tout le monde se rangeait devant leur classe respectif. 



- Merci beaucoup, je m'appelle Hanabi Hyuga, et je suis en CP ? 


- Moi c'est Konoha-maru Sarutobi et je suis en CE1! A plus! 



Elle le voyait s'éloigner pour se ranger avec ses camarades. Depuis ce jour là, ils étaient devenus amis! Et quelques années plus tard, amants. 


Fin du flash back



Il l'embrassait tendrement et une chose en entraînant une autre, elle se retrouvait sur lui. Ils se caressaient, s'embrassaient et d'un geste vif, il la pénétrait de nouveau. Sa tête en arrière, elle poussait un gémissement de plaisir. Assise sur lui, elle se déhanchait doucement, puis plus rapidement. Il l'aidait de ses mains sur les hanches et l'amenait ensuite à lui pour lui voler un baiser, lui caressant son dos et ses fesses. A ce moment là, plus rien ne compter à présent qu'eux deux. 


Fin du lemon


Mais, ce qu'ils ne savaient pas, c'était qu'une personne les espionner par la porte vitrée qui était restée ouverte. Il avait entendu du bruit et avait fait le tour, marchant doucement et discrètement. Et Il les avait vu ! Il était à la fois déçu et en colère contre son petit-fils. N'avait-il pas été assez clair? Que fallait-il qu'il fasse pour que ces deux là ne se voient plus? Tant pis pour eux, il allait employer la manière dont il n'aurait pas voulu employer!  



Samedi 16 juillet / 19h30

Maison Uchiwa

Konoha / Japon



La sonnette de l'entrée retentissait et Mikoto allait ouvrir pour découvrir son fils ainé devant elle. 



- Itachi ! 


- Bonsoir maman. 



Elle lui fit la bise et le laissait entrer avant de prendre un bouquet de fleurs dans les mains. Encore un ! Itachi mit des chaussons et lorsqu'il entrait dans le salon, il apercevait Misaki. Ce dernier allait dans sa direction en lui tendant la main. L'ainé de Mikoto n'hésitait pas et la lui serrait. 



- Bonsoir Itachi ! 


- Bonsoir Monsieur Masashi. 


- Appelez moi Misaki. 


- D'accord... Misaki. 



Les deux hommes s'installaient dans le salon, alors que la sonnerie de l'entrée retentissait encore une fois. Itachi se proposait d'ouvrir, et découvrit son pote Sasori, avec Toru à ses côtés. Ils se tapaient dans la main, alors qu'il fit la bise à la brune. 



- Sasori, disait Mikoto en allant vers le roux. Comment vas-tu mon petit ? 


- Très bien, merci, et toi ? 


- Bien ! 


- Maman, disait Itachi. Il n'est plus un enfant. 


- Tu sais bien que je l'ai connu alors qu'il avait à peine 10 ans! 



Elle lui fit la bise et décalait ses yeux vers la silhouette derrière lui. 



- Bonsoir Toru ! 


- Bonsoir Mikoto ! 



Elles se regardaient dans les yeux, il n'y avait pas de tension, pas d'animosité, juste une observation entre elles, entre future belle-fille et belle-mère. En voyant son père venir vers la bande, la demoiselle coupait cet échange en lui tendant un bouquet de fleurs. Et de 3! La remerciant, Mikoto allait vite les mettre dans un vase. Heureusement qu'elle en avait plein! 



- Papa ! Souriait Toru en allant dans ses bras. 


- Bonsoir ma chérie! Disait-il en lui faisant un bisou sur le front. Sasori ! 


- Bonsoir monsieur! 



Ils se serraient la main, et tout le monde allait dans le salon.  



- Il ne manque plus que Sasuke et Sakura! Lâchait la maitresse de maison en amenant un plateau de petits fours. 



Au même moment, la voiture de Sasuke se garait devant la maison. Il coupait le moteur et regardait sa rose qui était assez nerveuse. 



- Ça va aller Sakura ? Disait-il en mettant sa main sur les siennes. 


- Ouais! Tout va bien ! 



Ils sortaient de la voiture et alors qu'ils marchaient jusqu'à la porte, la fleur s'arrêtait d'un coup. 



- Qu'est ce qu'il y a ? 


- Je... tu crois que... que je vais lui plaire ? 


- Mais oui ! Ne t'inquiète pas. 


- La dernière fois que l'on s'est parlées, je lui ai planté un couteau sur sa planche à découper. 


- La planche à découper va bien ! Essayait-il de plaisanter pour la détendre. 



Elle esquivait un sourire et il lui prit la main avant de la regarder dans les yeux. 



- Tout va bien se passer ! D'accord ?



Elle acquiesçait de la tête et il l'accompagnait jusqu'à la porte. Il l'ouvrit, et ils entraient à l'intérieur.  



- Ah! Les voici ! Entendaient-il du salon. 



Mikoto marchait dans leur direction et leur offrit un sourire. Les deux femmes se regardaient et la rose voyait bien qu'il n'y avait pas de haine, ni de colère dans les yeux de la mère de Sasuke. 



- Je... je vous ai apporté des chocolats, disait la rose en lui tendant un sac. 


- Merci beaucoup Sakura! Venez vous asseoir. 



La demoiselle se dirigeait vers le petit groupe, qui était déjà installé au salon. 



- Bonsoir! Lâchait-elle alors que tout le monde se levait. 



Elle fit la bise à Itachi, qu'elle connaissait assez peu, Sasori, qu'elle connaissait encore moins et Toru, qu'elle connaissait mieux, du fait qu'elle allait dans son institut pour se faire épiler. Puis, un homme se présentait devant elle, c'était le père de Toru et le nouveau compagnon de Mikoto. 



- Enchanté mademoiselle! Vous êtes ravissante. 


- Merci beaucoup, rougissait la rose. 



Misaki fit un sourire et lorsque ses yeux déviaient vers la droite, ils tombaient sur ceux de Sasuke. Il avait le même regard que tout à l'heure et il n'arrivait pas vraiment à le déchiffrer, même pour un juge. 



- Rebonsoir Sasuke, disait le juge en tendant sa main. 



Il devait faire des efforts, il l'avait promis à sa mère. Elle avait bien accueillit Sakura tout à l'heure, alors il devait en faire autant. 



- Rebonsoir, lâchait finalement le brun en lui serrant la main. 



Mikoto avait retenu son souffle, d'ailleurs tout le monde les avait regardé, espérant que cela se passe bien. 



- Tiens Misaki, ouvre la bouteille de champagne, disait la maitresse de maison. 


- D'accord! 



Sasuke allait s'asseoir sur le canapé, à côté de sa rose, et de Toru. Il prit le verre que lui tendait gentiment Misaki. Il le remerciait et en but une petite gorgée. 



- Je voudrais porter un toast, disait Mikoto devant toute son assemblée. Je suis contente que l'on soit tous réunis ce soir. Il est vraiment important pour moi de vous avoir tous auprès de moi. Il est vrai que l'on a eu beaucoup de tension ces temps ci et j'espère que le plus dur est derrière nous. Alors, je lève mon verre à l'avenir, même si on ne sait pas de quoi il est fait. J'espère seulement, qu'il y aura plein d'autres dîners comme celui de ce soir. A l'avenir, finissait-elle en levant son verre.  


- A l'avenir, répétaient les autres convives. 


- Allez-y, servez-vous en petits fours. 


- Tu nous gâtes trop maman, disait Itachi en avalant un.



Heureusement qu'elle pouvait toujours compter sur son fils ainé, qui l'avait soutenu ces derniers jours. C'était d'ailleurs en partie grâce à lui qu'elle s'était reconciliée avec Sasuke. 



 Samedi 16 juillet / 20h00

Maison de Hataru

Nagano / Japon



Hataru Hatake était allongé dans son lit et il pleurait. Cela devait être le jour où son père devait le prendre en vacance, mais hélas, ce dernier avait une grosse affaire sur les bras et ne pouvait donc pas s'occuper de lui cette semaine. Et pour couronner le tout, sa mère était partie en week-end avec son beau-père et était sous la responsabilité de son idiot de demi-frère. Sa demi-sœur était avec sa vrai mère pour les vacances. Un cauchemar! 



Son ventre criant famine, il se levait pour aller se préparer à manger. Il passait devant le salon, où la télévision était allumé, Takechi était installé sur le canapé, avec sa petite amie à ses côtés. 



- Eh ducon! Lâchait ce dernier en voyant son demi-frère. Tu fais quoi là ? 


- Je... je vais me chercher à manger. 


- Dépêche toi et retourne dans ta chambre. 


- Voyons Takechi, ne sois pas trop dur avec lui! 


- Il m'a pourri mon week-end ce morveux. Il devait aller chez son père, mais ce flic de merde n'a pas pu et le résultat des courses, je me le coltine. 


- Il est pourtant gentil ton frère. 


- C'est un petit con et ce n'est pas mon frère... 


- Oh Takechi! 



Hataru entrait dans la cuisine avec la rage au ventre. Il le détestait, il aurait voulu lui dire sa façon de penser, mais il ne faisait pas le poid face à cette brute. Il se préparait tranquillement un sandwich et au moment où il avait fini, Takechi entrait et prenait l'assiette. 



- Mais... 


- Tais toi! 


- Si tu as faim, tu n'as qu'à t'en faire un! 



Le fils de Kakashi voulait lui reprendre, mais son demi-frère l'attrapait par le poignée et lui serrait très fort. 



- N'oublie pas que tu es sous ma responsabilité, alors tu dois m'obéir! 



Il reçut une énorme gifle et tombait à la renverse, se cognant contre le marbre. 



- Tu as intérêt à t'en souvenir. Morveux! 



Furieux, la grosse brute sortait de la cuisine, laissant ce pauvre Hataru sur le sol. L'adolescent se relevait non sans mal et poussait un cri de douleur. Il avait mal à son poignée. De plus, lorsqu'il passait sa main sur son visage, il découvrait celle-ci en sang. Une panique s'emparait de lui et cette fois-ci, s'en était de trop. Il ne voulait plus rester dans cette maison. Échafaudant un plan, il se refit un sandwich et sortait de la cuisine. 



- Eh microbe! Lâchait encore ce gros rustre en se tournant vers lui. File dans ta chambre et restes-y! 


- Oui oui, je vais aller bientôt dormir! 


- Très bien ! Pour une fois que je suis satisfait de ta réponse. 


- Bonne nuit Hataru, lâchait la demoiselle. 


- Bonne nuit Maïka! 



La petite amie de Takechi était très gentille, contrairement à cet idiot. Il se demandait souvent pourquoi elle sortait avec lui. Il passait devant l'entrée, le jeune homme aperçut son moyen de transport et avec le sourire, pénétrait dans sa chambre. Il préparait quelques affaires, et sortait avec une grande précaution. 



A petit pas, il se dirigeait vers l'entrée, où il entendit les tourtereaux, ils étaient allongés sur le canapé, s'embrassant et plus encore! Il profitait de ce moment, pour fouiller dans la veste de Takechi et découvrit des billets qu'il prit sans remords. Il attrapait les clefs et le casque du scooter de Maïka, qu'elle avait reçu récemment pour son anniversaire.



 Il enfilait ses chaussures et ouvrait délicatement la porte, faisant le moins de bruit possible. Pour ne pas les alarmer, il poussait le deux roues, de couleur rouge, plusieurs rues plus loin. Lorsqu'il fut à bonne distance, il alluma le moteur et prit la direction de Konoha, malgré sa blessure à son poignée et à sa tête. 



Samedi 16 juillet / 21h00

Maison de Hataru

Nagano/Japon



La petite amie de Takechi s'était assoupie dans ses bras, alors qu'il regardait une émission à la télévision. Puis, elle se réveillait doucement, avant de lui sourire. 



- J'ai faim, lâchait-elle en baillant. 


- Je vais te faire un superbe sandwich, le même que le mien.


- Attention, je ne mets pas n'importe quoi dans mon sandwich. 


- Et bien, me feriez-vous l'honneur de me suivre à la cuisine? 



Ils se levaient et se dirigeaient vers la cuisine. Alors qu'elle allait le suivre dans cette pièce, elle regardait dans l'entrée et s'apercevait que des objets manquaient à l'appel. 



- Tu as mis mes clefs et mon casque autre part ? 


- Quoi ? Lâchait Takechi en venant vers elle. 


- J'avais posé mon casque et mes clefs sur ce meuble. 


- Je n'ai rien touché! 


- C'est peut-être Hataru ? 



Furieux, Takechi se ruait vers la chambre du fond et y pénétrait avec fracas. Il alluma la lumière et découvrit une bosse dans le lit. 



- Hataru, criait-il. Tu as touché au casque et aux clefs de Maïka ? 



Rien, pas de réponse, Takechi allait vers le lit, et relevait la couverture pour y découvrit des coussins. 



- Oh le salopard ! 



Le petit couple allait à l'extérieur, mais ne vit aucun scooter. 



- Mon scooter! Paniquait la demoiselle. 


- Il va me le payer ce petit con! 


- Où peut-il aller à cette heure-ci ? 


- Je suis sûr qu'il est allé chez son père! 


- Tu es sûr ? 


- Où veux-tu qu'il soit allé à cette heure-ci ? 


- Peut-être chez un copain. 


- Non, il m'a dit que tous ses potes étaient partit en vacance. Non, je suis certain que c'est chez son père. Ce ne sera pas la première fois qu'il part tout seul là-bas. 


- Qu'est ce que tu comptes faire ? 


- Appeler Kendo ! 


- Pourquoi appelles-tu mon frère ? 



Il ne répondait pas, et rentrait à l'intérieur de la maison. 



- Salut Kendo, c'est Takeshi, tu peux me donner le numéro de ton pote à Konoha. 



Sa petite amie le regardait interrogativement. Elle n'aimait pas la tournure que prenait les évènements. 



- Oui c'est ça, Atame! J'ai un service à lui demander... Merci. 



Takechi notait sur un bout de papier un numéro de téléphone. Puis il raccrochait et composait d'autres chiffres. 



- Qu'est ce que tu fais Takechi ? Et c'est qui cet Atame?


- L'ami de ton frère, il habite Konoha et j'aimerai qu'il m'épingle Hataru avec ton scooter. 


- Il est peut-être déjà arrivé ? 


- Non, pas en une heure de temps, surtout en scooter.


- Ou il s'est peut-être fait arrêté. 


- J'espère pas! 


- Pourquoi ? Il ne risque rien, mon scooter est en règle! 


 - Il m'a prit aussi du fric, découvrit-il en fouillant sa veste ignorant la dernière phrase de sa petite amie. Je te jure que dès que je le revois, il aura à faire à moi. 



Samedi 16 juillet / 21h40

Appartement d'Atame et Goro

Konoha/Japon



- Mais c'est pas vrai! Criait le blond au téléphone. Tu savais pourtant que ce scooter ne devait pas revenir à Konoha. 


- Ce n'est pas ma faute, s'expliquait à son tour son interlocuteur. C'est mon... demi-frère, continuait-il avec dégoût. Il est partit retrouvé son père à Konoha derrière mon dos! 


- Ok ok... donne moi le nom et l'adresse du père, et on va essayer de l'alpaguer. 



A l'entente du nom, Atame fronçait les sourcils. 



- Tu plaisantes j'espère? C'est le capitaine de la gendarmerie ! 


- Je sais, s'énervait Takechi. C'est pour ça qu'il faut le retrouver avant qu'il n'arrive chez son père, ou à la gendarmerie. 


- J'espère qu'il ne se fera pas contrôler avant. 


- Il est en règle je te signale. 


- Oui, mais s'il fouille plus, on est foutu! 


- C'est pour ça qu'il faut le retrouver avant. 


- Ok, on va se poster aux deux extrémités de la route qui mènent à la gendarmerie et le domicile du père. 



Il raccrochait et jurait! Les deux complices s'habillaient et prenaient leur voiture respective. 



Samedi 16 juillet / 22h50

Rue de Konoha

Konoha/Japon



Atame était dans sa voiture, cela faisait une heure qu'il poireautait. Il n'espérait plus et craignait que le môme s'était fait attrapé. 



- Goro? Tu as quelque chose ? Disait le brun dans un talkie-walkie. 


- Non rien! 


- Bon sang! Cela ne sent pas bon! 



Mais, quelques minutes plus tard, un bruit de scooter se fit entendre et des phares étaient visibles au loin. Il attrapait ses jumelles et reconnut le deux roues rouge. 



- Goro, il arrive, rejoins-moi. 


- Ok Atame, j'arrive! 


- On va l'alpaguer ce petit con! 



Hataru Hatake arrivait presque dans la rue et se disait qu'il était enfin arrivé à destination. Mais, ce qu'il ne savait pas, c'était qu'un comité d'accueil l'attendait! 



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