That Time I Got Reincarnated As Minato In Naruto World

Chapitre 2 : Mes Premiers Pas 1

3504 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 15/08/2022 04:33

La vie, non, je veux dire, la manière don’t l’univers en général fonctionne de manière si étrange et imprévisible. Si on m’avait dit un jour que je vivrais ce que je suis en train de vivre actuellement, il est certain que j’aurais ris au nez de ces gens et peut-être même traité de fou. Mais voilà, les faits sont là.

Si mon horloge interne fonctionne bien, qu’est-ce que je raconte, il est évident qu’elle est cassée depuis longtemps. Alors bref. Bien que je ne puisse pas dire depuis combien de temps, je peux au moins affirmer que je suis, en ce moment, dans l’utérus de celle qui sera ma future mère. Bon l’appeler « future mère » ne serait pas exact, vu qu’en réalité, je n’ai encore jamais eu de mère. C’est une chose encore cruelle pour moi de le savoir, mais c’est la stricte vérité. Donc, le terme « ma mère » tout court suffit. Comme je disais, je suis dans le ventre de ma mère. Comment je peux en être sûr ? Eh bien...

Ah! Je viens de me rappeler que ma vie est en train d’être narré en ce moment. Cet auteur m’a dit qu’il écrira à la première personne, donc logiquement, mes pensées doivent être en train d’être transcrit. Vu comment c’est le foutoir dans ma tête, il doit peiner à la tâche le pauvre. Ok, pour toi auteur, à cause de la chance que tu m’as accordé, je vais faire attention à mes pensées à partir de maintenant. Bien sûr je ne garantis rien, mais au moins je veillerai à ne pas trop fanfaronner pour rien. Oh! Je ne sais pas si tu vas aussi écrire cela, mais je tenais à saluer mes futurs lecteurs. Salut, je suis ce que vous appellerez le héros de ce fan fiction. Mes aventures n’ont pas encore réellement débuté, mais je veux vous assurer que je ne résignerai sur aucun moyen pour vivre cette vie qui m’est offerte pleinement. Alors veuillez suivre mes aventures avec grands intérêts, car je peux déjà vous dire qu’elles seront des plus palpitantes. Surtout, soutenez l’auteur, sinon il déprimera et arrêterai l’histoire, ce qui serait préjudiciable pour vous comme pour moi. Je ne sais si je continuerai à mener mon existence s’il abandonne l’histoire, et vous n’aurez plus des nouvelles de mes aventures. Bien, message terminé. Au cas où tu as autorisé cette partie, je te remercie auteur. Maintenant revenons à nos mots et tons.

Où en étais-je déjà ?... Ah, oui ! Qu’est-ce qui me certifie que je suis dans un utérus ? Eh bien, il y a plusieurs facteurs. Premièrement, contrairement à mon état d’avant, je me sens posséder un corps. Je sais cela, car j’ai toujours, comme convenu avec l’auteur, les souvenirs de celui pour qui j’étais la conscience. Donc, c’est ce qu’il m’assure que j’ai effectivement un corps. Les sensations ne sont pas fluides et seul le sens du toucher semble fonctionner, mais c’est le deuxième facteur qui me confirme que je suis dans un utérus. J’ai un corps, il est comme incomplet, mais il est aussi en perpétuel croissance. La sensation au toucher est celle de nager dans un liquide. Si on assemble tout cela de bout en bout, cela ressemble à ce que pourrait ressentir les fœtus. Et il y a aussi le troisième facteur, le plus important d’ailleurs. Si je ne l’ai pas énoncé en premier c’est parce qu’en le faisant les deux premiers n’auraient plus besoin d’être. Et ce sont les paroles de l’auteur. Il a dit que je naîtrai dans son monde. Comment naissent les humains ? Par accouchement. Et où reste-t-il avant cela ? Dans l’utérus de leurs mères. Argument imbattable, n’est-ce pas ?

Ceci dit, quelque chose me dérange. Si on s’en tient au fait que je ne suis que pour le moment un fœtus, un être qui n’a pas encore toutes ces attributs qui feront de lui un humain à part entière, alors comment se fait-il que j’arrive à penser de la sorte. Mon cerveau ne devrait-il pas être encore trop faible pour supporter une telle quantité d’information ? Étrange, n’est-ce pas ? Je pensais au départ que mes souvenirs d’antan me reviendrai plutard, soit quand mon cerveau serait assez développé, soit après un certain choc physique ou émotionnel. Mais on dirait que ce n’est pas le cas. Est-ce réellement possible ou juste le caractère « fiction » de ce monde ? J’étais la conscience d’un enseignant en mathématiques ; mes connaissances en biologie humaine ne sont que superficielles, donc je ne saurai répondre à cette question. Cependant, cela ne peut que m’arranger. Cela veut dire que je peux dès maintenant réfléchir à mes plans futurs quand je serai né, et aussi commencer ma culture du chakra. Est-ce même possible dans le ventre ? Essayons.

J’ai dit essayons, mais la vérité est que je ne sais même pas comment m’y prendre. Selon les souvenirs que j’ai, le chakra est définit comme une énergie. Une énergie provenant conjointement du corps et de l’esprit. C’est un peu vague, mais ce qui en ressort pour moi, est le fait que le chakra ne dépendant pas d’élément externe. Ce qui dans mon cas m’arrange, vu que je ne suis pas encore né. Bien, une énergie qui provient du corps et de l’esprit. Je suppose d’abord que c’est un attribut propre à ce monde, alors il suffit peut-être de méditer. Hum, essayons. J’essaie de concentrer mon esprit, mais aussi de ressentir la totalité de mon être. Si le chakra provient du corps et de l’esprit, on peut peut-être le voir comme une fusion entre son corps et son esprit. Être en parfaite harmonie avec soi-même. Cela ressemble à une notion de yoga. Mon identité s’y adonnait des fois. Ma pensée doit être en accord avec mon corps, un peu comme dire ce qu’on pense ou penser ce qu’on dit. C’est dans ce canevas là que j’essaie de sentir le chakra qui est en moi.

Dire ce qu’on pense. Penser ce qu’on dit. Dire ce qu’on pense. Penser ce qu’on dit. Dire ce qu’on pense. Penser ce qu’on dit. Dire ce qu’on pense. Penser ce qu’on dit. Dire ce qu’on pense. Penser ce qu’on dit. Dire ce qu’on pense. Penser ce qu’on dit. Dire ce qu’on pense. Penser ce qu’on dit...

Je mets réellement tout mon énergie dans la parfaite synchronisation de mon être avec mon esprit. Après je ne sais combien de temps, mes pupilles fermées s’éclaircissent légèrement, et pendant un moment j’ai cru que c’était mon chakra qui se manifestait. Cependant, j’ai très vite renoncé à cette idée quand une certaine pression a accompagné la lumière. On dirait que c’est le moment que je naisse. Dommage, je ne suis pas arrivé à éveiller mon chakra. Pas grave, j’ai toujours le temps pour y arriver. Bien, disons maintenant bonjour à ce monde.

J’aurais aimé vous épargner les détails, mais cela ne tiens pas de mon ressort. C’est extrêmement douloureux. J’ai toujours pensé que c’était uniquement la mère qui souffrait dans cette affaire, et que le bébé pleurait juste à cause de l’oxygène qui pénétrait dans ses poumons, mais je me leurrais gravement. C’est vrai que la sensation de l’oxygène, qui s’infiltre dans les voies respiratoires pour la première fois, est douloureuse, mais la vraie torture c’est la pression qui te tire hors de l’orifice vaginal. Ah ça, c’est comme si on te tirait de force à travers un conduit très étroit et cela avec une poussée arrière qui comprime ton corps telle un trèpe. Je suis tellement en souffrance que je veux crier, mais pas possible, ma bouche ne sait pas encore réellement jouer son rôle de bouche encore. ! Que cela finisse vite ! C’est encore ce qui est terrible, c’est lent. On dira peut-être que j’exagère, mais pour moi ce serait comme si on te pelait ta peau très lentement tout en étant éveillé. Et on s’étonne qu’il ait des mort-nés. Ce qui est plutôt étonnant c’est que leur nombre n’est pas si grand. Attendez un peu. La douleur, je ne la ressens plus. Le travail se poursuit pourtant. Je peux toujours sentir la pression, mais elle ne me nuit plus. C’est comme si mon corps répondait au souhait de mon esprit. Oui, c’est ça ! Dire ce qu’on pense ! C’est ça le chakra ? Plutôt agréable. J’ai envie de plus. Vas-y inonde moi totalement...

Euh... qu’est-ce que je peux dire ? Beuh, que je suis déjà né. En fait, j’ai été tellement absorbé par cette nouvelle énergie qui s’est réveillé en moi que je me suis complètement évadé. Je peux entendre plus sereinement les bruits autour de moi maintenant, mais mes yeux ne peuvent pas encore... Hein ? En fait si, je peux ouvrir mes yeux. Ne me demandez pas comment c’est possible. Sinon je pense que le chakra a quelque chose y voir là-dedans.

Bon voyons voir mon nouvel environnement. Hum, ma vision s’accommode à la lumière. Patientons un peu. Voilà. De ce que je peux voir, je suis porté par des bras. Bien que je l’aie déjà senti, je peux maintenant voir qui est mon porteur, ou dans ce cas, ma porteuse. C’est une femme, de par son visage, je lui donne dans la cinquantaine, mais je peux me tromper, elle peut être plus vieille que cela vu que le chakra peut aussi de ralentir le vieillissement. Nos regards se croisent. Si mon jugement est bon, elle semble surprise de me voir les yeux ouverts. Donc même dans ce monde c’est étrange ? Elle tourne son regard ailleurs et s’adresse à une autre personne.

Il faut noter que je ne comprends pas le langage, mais je sais que c’est du japonais, ce qui est normal vu le monde. Merde, j’aurai dû demander à l’auteur de me permettre de comprendre et d’écrire de manière innée la langue. Quand je pense que je vais devoir encore passer par l’apprentissage linguistique. On dit que les bébés apprennent vite, on verra.

Revenons. Curieux, je me tourne pour voir son interlocuteur. C’est aussi une femme. Elle est allongée sur un lit. Ses cheveux bruns cachent la plupart des traits de son visage. Mais, il ne faut pas être un génie pour savoir qui elle est. La sage-femme me tend vers elle. Maintenant dans les bras de ma « mère », je ressens une différence. Dans les bras de la sage-femme, la sensation était neutre, mais dans ses bras à elle, c’est comme s’il avait une connexion. C’est comme s’imprégner d’une douce sensation, un peu comme ce que j’ai ressenti avec le chakra, mais à petite dose. Est-ce la raison pour laquelle les bébés étaient attirés par leur mère ? Une sensation pas très désagréable...

Je peux apercevoir son sourire à travers sa chevelure tombante. Elle semble me dire quelque chose. Bon sang ! J’ai tellement envie d’entendre ce qu’elle. En y pensant, je suis capable de voir. Est-ce que je peux parler ? Voyons voir un peu.

     « Maman. »

Pleurage! J’en suis capable. Incroyable, vive le chakra !

Quoi ? Vous vous dîtes que cela n’est pas sage de ma part montrer que peut parler ? Du calme, il n’y a pas de quoi paniqué. J’ai parlé en anglais, et à moins que je ne me trompe, dans ce monde, ce n’est pas une langue. Cela a dû ressembler un léger bruitage de nourrisson. Vous voyez, j’ai raison. Ma mère a réagi à cela avec un sourire et me caresse le visage avec sa joue. Ne t’arrête surtout pas, continue de me dorloter maman.... Bourdonner? Non, pourquoi tu arrêtes ?! Après seulement quelques secondes, ma mère me remet à la sage-femme. Pourquoi ? On était pourtant bien là, non ? Attendez une minute, selon mes souvenirs, Minato était orphelin. On ne sait s’il l’a été au tout début ou l’est devenu après. Merde ! Prenant compte de cela, je regarde cette fois-ci, avec plus d’attention, le visage de ma mère. Hum, son sourire est plutôt authentique. Est-ce qu’elle fait semblant pour clamser après ? Non, même si je ne comprends pas encore la langue, son ton tout à l’heure n’avait au signe de tristesse. Bizarre. Il y a aussi un point qui me préoccupe. Pour une femme qui vient juste d’accoucher, sa mine est trop bonne. Est-ce juste une impression ?

Bourdonner? Où amènes-tu toi ? Alors que je pensais à ces choses, la sage-femme quelque part. Non, non, je veux rester avec ma maman !

« Hé ! Maman, tu n’as pas intérêt à mourir ! Tu m’as bien compris ? »

Même si je sais que mes mots ne seront pas compris, à l’instant, cela n’avait aucune importance. Reste en vie maman, s’il te plaît.

Bien qu’intrigué au début, je viens de comprendre pourquoi et où on m’amène. Ce n’est pas hors de la pièce, juste vers une bassine remplit d’eau dans un coin. Oh, je vois. C’est plutôt logique. Je viens juste de naître, donc je dois encore avoir la crasse qui vient avec. Ouf, ce n’était donc pas que ma mère a eu une crise quelque chose du genre. Merci seigneur, je veux dire auteur. La sage-femme me donne à une autre de ses collègues. Celle-ci est plus jeune, et, matez-moi ce pare-chocs ! Quoi ? N’oubliez pas que bien que je sois un bébé actuellement, j’ai les souvenirs d’un homme d’âge mûr. Et heureusement, sinon je n’aurai pas la chance de profiter d’un tel spectacle en première loge ; ma mère a aussi une bonne paire, mais mon cerveau l’a déjà effacé de la liste de femme sexuellement attirable à mes yeux. Allez, touchons un peu ça pour voir, ha ha ha. Quelle sensation moelleuse. , heureusement que je sois un bébé sans hormones sexuels pour l’instant, ha ha. Elle naïve, elle me sourit, ce que je fais dois ressembler à un bébé qui s’est pris d’affection pour elle. Ha ha ha ha ! Je suis en train d’abuser de toi, ha ha ha !

Merde ! Auteur, tu n’es pas en train de relater de telles pensées, n’est-ce pas ? Évidemment que non. Le lectorat d’un fan fiction est généralement tout public, donc les scènes sexuelles sont à proscrire. Cependant, j’émets des réserves. Au cas où je me trompe, c’est à peu près le monde entier, qui lira et verra ce côté pervers de ma personne. Euh, en fait je blaguais, ok ? Je voulais juste vous exciter un peu ? Ha ha ha. , qui va croire en ça ? C’est évidemment que c’est un mensonge.

Bien, reprends-toi, tu n’es pas une si vilaine personne. C’est mal d’abuser de quelqu’un, même si cette dernière l’ignore. Hein ? C’est elle qui va me laver ?

Bon chers lecteurs, comment le voyez-vous ? N’ai-je pas le droit cette fois-ci de sombrer dans la perversité ? Désolé pour ceux d’entre vous qui êtes des saints, moi, dans ce genre de situation, une seule pensée me vient, et ce n’est pas approprié de la transcrire. À tous les autres, je sais que vous voulez être à ma place, mais je veux vous dire que ce n’est pas vraiment si enviable que cela. C’est comme si on te donnait une friandise, et tu peux l’admirer, la toucher, même la mettre dans ta bouche, mais tu es dans l’incapable de la savourer. L’auteur est bien cruel pour me faire vivre cela.

La séance de lavage est terminée. Je me sens propre à l’extérieur, mais complètement meurtri à l’intérieur. Elle vient d’explorer tout mon corps dans le sens propre du terme, c’est franchement frustrant de ne pas pouvoir lui rendre la pareille. Ça ressemble plus à un viol qu’à autre chose. Après m’avoir essuyé, un acte tout aussi troublant, mais toujours agréable que le lavage, mon premier Crunch dans ce monde me donne à la sage-femme qui à son tour me redonne à ma mère. Encore cette sensation si adoucissante et si apaisante.

Alors que j’allais me laisser bercer dans les bras chaleureux de ma mère, mes oreilles notent l’arrivée d’une nouvelle personne dans la pièce. Je peux entendre ma mère et le nouveau venu discuter. Une connaissance ? Il doit être très proche pour qu’on le laisse entrer ici. Peu importe, cela ne me concerne pas. Hmm, douce chaleur, elle me berce... Hé! Qu’est-ce que... Ma mère me donne subitement à ce dernier. Merde, c’est vrai que je vais devoir m’habituer à être porter de bras à bras pendant une période.

Je peux maintenant voir la personne. C’est ? Comment dire, dès que mes yeux se sont posés sur lui, j’ai immédiatement su qui il est. C’est plus une évidence que de l’intuition. C’est le portrait de Minato. Bien sûr, il y a quelques différences, comme le fait que c’est une version plus réelle que manga et qu’au lieu de la coupe de cheveux libre du Minato du manga, il a opté pour une coupe en queue de cheval. Mais à part cela, tout est identique, la couleur de cheveux, le teint et les yeux. Et vu que je sais que c’est moi qui incarne Minato dans ce monde, alors il ne reste qu’une seule possibilité. C’est mon père. Je ne ressens aucun présence de chakra émanant de lui, donc c’est bien un civil comme maman. Je suis plutôt content. Sachant que Minato était un orphelin, je m’attendais pas à avoir une famille au complet dès ma naissance. Cela dit, je sais que rien ne garantit que cela changera plutard, et que je me retrouverai orphelin, mais une chose est sûre, tant que cela sera en mon pouvoir, je ne laisserai pas cela se faire.

Oh! Hé! Doucement avec la marchandise ! À peine m’a-t-il reçu dans ses bras que mon père me soulève dans les airs avec ses bras. Hé le vieux, je sais que tu es content d’avoir un fils, mais du calme, d’accord ? J’ai vu ma vie défiler là. Sinon, en regardant son visage si énergétique et plein de joie, je ne peux que me sentir tout aussi heureux. L’identité que je représentais n’a pas connu son père, donc c’est la toute première fois que j’ai un père. Après m’avoir fait pivoter, je sais combien de fois dans les airs, il me remet finalement à ma mère, et s’assoit juste près de nous.

Mon regard est posé sur ces deux personnes chez qui je vivre la plupart de mon enfance. Je ne connais pas encore leur nom, mais je les apprendrai bien assez tôt. Voici donc où commencent mes premiers pas dans ce monde. Le tout début de mon aventure. Premier objectif, apprendre la langue de ce monde....

Ah, j’ai sommeil tout à coup. C’est bizarre dans le ventre, je ne le ressentais pas. Je vois, vu que j’étais pour ainsi dire complètement inactif, je ne ressentais pas cela. Tout doucement, je me laisse bercer sous le regard admiratif et chaleureux de mes deux parents...

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