Sasari Uchiwa

Chapitre 43 : L'investigation

3344 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 09/06/2018 06:46

[La horde de ninja fonça directement, sans hésitation, sur Sasari, Mifuyi et Kumiko, en brandissant leurs armes pour les finir suite au massacre qu'ils avaient fait sur les deux autres navires. Mais, tout à coup, l'une des filles s'avança devant le petite groupe et une grande incarnation au couleur violette, squelettique et brandissant une épée, apparut autour d'elle.

 

Étrangement, la vitesse des ninjas diminua. Leurs sourires confiant disparurent aussitôt en un regard méfiant et angoissé. Certains détournaient le regard vers Daigaku qui était toujours derrière avec son épée électrifié.]


Daigaku : Qu'est-ce que c'est que cette chose? Allez, bande de fainéants, ne vous laissez pas impressionner par cette technique, attaquez les, qu'ils disparaissent de ce monde!


Mifuyi (Ébahie, terrifiée) : * Tombe au sol, assit * C'est donc ça le Susanô?! Quelle technique terrifiante, mon cœur bat si vite, mais pourtant…

 

Kumiko, respirant très fort, elle fonça vers la vingtaine de ninja! Son incarnation leva son épée et d'un coup rapide, elle balaya tous les ninjas qui fonçaient vers elle ne se doutant pas de la puissance de cette incarnation. Debout, il ne restait que Daigaku.


Daigaku : Quoi?! Sont-ils morts? Morts, par cette fille!!? Vous le regretterez, pauvre idiots! C’est moi qui vous finirez!


Le ninja de Kiri pointa son épée vers Kumiko et une vive éclaire en sortit pour venir frapper celle-ci. Mais elle n'eut pratiquement aucun effet, l'éclaire s'était complètement dissipé à son contact.

 

Daigaku commençait à avoir une certaine frayeur à son tour, alors qu'il était si confiant il y a quelques instants. Rapidement, il tenta de reprendre Gôshi qui était couché inconscient au sol et le prit à nouveau en otage.


Daigaku (Effrayé) : Si … si vous ne me faite pas partir sain et sauf, je … je tue votre acolyte, cessez cette technique...


Mifuyi : Je vais devoir intervenir… Allez-y, faite le! Transpercé donc lui le ventre!


Kumiko (Surprise, intriguée): Quoi!? * Se retourne, étonnement, sourit * Oui, allez-y transpercé lui son ventre, nous en avons rien à faire d'euhhhh * s’évanouie *


Kumiko tomba inconsciente, à nouveau, au sol, dû à l'épuisement de cette dernière technique. Naturellement, le Susanô disparût également. Mifuyi, quant à elle, elle était toujours assise concentré à voir ce qu'allait faire Daigaku.


Daigaku : Elle est tombée inconsciente? Peu importe, tant pis pour elle, je n'hésiterai pas à le lui transpercer. Allez, prend ça!

 

Daigaku pris son élan avec son épée et transperça en plein ventre, depuis le dos, Gôshi. Mais Mifuyi en sourie.


Daigaku : La folie s'est emparée d'elle avec ce grand sourire ... je crois qu'elle s'est rendu compte que c'était inutile de riposter. Je vais en finir avec eux une bonne fois pour * Étonnement * … qu'est-ce que … j'ai si … mal. * Crache du sang * Que … que


Mifuyi: Aramitama.

 

Daigaku (Souffrant): C'est comme … c'est comme si elle m'avait transpercé d'une épée au loin … mais comment * tombe au sol toujours conscient, étonnement * je … non, comment est-ce possible … le ventre du marin! Il est intact!

 

Mifuyi s'approchait, pas à pas, vers Daigaku qui était au sol ayant mal au ventre.


Mifuyi : C'est bêtes, il y a à peine peu de temps, nous nous étions promis de ne plus jamais utiliser notre Mangekyô Sharingan et voilà qu'on vient tout juste de détruire cette promesse en un rien de temps.


Daigaku : Ne m'approche pas, éloigne-toi de moi … si tu me tues, si tu me tues...


Mifuyi : Si je te tue, il m'arrivera quoi?


Daigaku : Mon … mon frère Daichïro me vengera et vous tuera!


Mifuyi (Étonnée): Tu es le frère de Daichïro?


* Étonnement de Daigaku *


Mifuyi : Je comprends mieux pourquoi tu as cette envie folle de nous tuer sans raison… Navré pour toi, mais ton frère, il est mort… J’aurais cru que la Mizukage ou d’autres te l’aurais dit depuis le temps…


Daigaku : Quoi!? C'est impossible… comment pourriez-vous savoir ça de toute manière, vous ne le connaissez même pas …


Mifuyi : Il était à l'examen chunnin, son comportement l'a mené à sa propre mort. Cette haine et ce désir de faire souffrir tout le monde jusqu'à les tuer, peu on apprécier ses façons de penser.


Daigaku : Vous mentez! Vous dites n'importe quoi!


Mifuyi : Il était accompagné d'un certain Lekazu et d'un Atsu… qu’il a lui-même éliminé.


Daigaku (Confus, ému) : Non ...non … mon frère... J'étais si fière de lui, je croyais tellement qu'il allait devenir le meilleur des ninjas, même meilleur que moi, il était tout pour moi… Il n'est plus de ce monde, je ne le reverrai plus jamais. Il ne pourra jamais me venger…


Mifuyi fit soudainement un peu empathique en vers Daigaku. Elle n'arrivait pas à finir ce ninja, elle avait trop de pitié envers lui. Soudain, Daigaku se relèva sur ses genoux avec difficulté et prit son épée. Mifuyi se remit sur ses gardes et se mit entre lui et Gôshi.

 

Mais, tout à coup, contre toutes ses attentes, Daigaku se transperça lui-même à nouveau pour mettre fin à ses souffrances… mais les quelles?


[Mifuyi, même si elle était un peu épuisée, alla en direction du bateau, y monter pour aller libérer l'équipage de Gôshi qui était enfermé dans la cale.

 

Après un moment ils sortirent enfin à la surface pour prendre l'air et voir dans quel état était leur capitaine qui s'était éveillé entre temps et pour savoir aussi l'état de leurs sauveurs.]


Heizô : Est-ce que ça va aller?


Mifuyi (Sourit) : Oui, je crois seulement que mes amis auront besoin de beaucoup de sommeil … et moi aussi d'ailleurs. * Se tient l’œil gauche ayant plutôt mal *


Heizô : Nous allons bientôt repartir vite fait, il ne faut pas rester ici. Nous allons prendre leur navire pour se diriger vers Kiri et enfin finir ce cauchemar. Vous aurez tout le temps de vous reposer dans le bateau, nous vous devons au moins cela, vous avez été épatant!


Shigeo : Des ninjas qui protège Gôshi, ça ce n'est encore jamais vue à ce point. Vous avez carrément éliminé trois des flottes de Kiri.


Mifuyi : Ce n’était pas vraiment une partie de plaisir à vrai dire. Nous en reparlerons plus tard si ça ne vous dérange pas. Je m'occupe de mes amis.


[Les membres de l'équipage de Gôshi firent l'inventaire de ce qu'ils avaient dans le bateau dans lequel ils avaient été pris en otage et aussi dans les deux autres bateaux pour être certain de ne rien manquer. Certain marins cachait les corps des ninjas de Kiri qui étaient sur l'île. Quant à Mifuyi, elle coucha ses deux amis dans une chambre de ce bateau et elle se coucha rapidement elle aussi, très épuisée.

 

Les heures passèrent, l'équipage avait décidé de prendre un autre capte et de ne pas accoster là où ils devaient aller au départ pour éviter les embrouilles et les soupçons… Un autre port serait peut-être moins susceptible de les accuser pour la destruction de trois des équipages de Kiri.

 

Avec tout cela, il ne resta plus que trois jours à Furûtsu pour retrouver Sasuke dans le village qui avait été attaqué.

 

Les trois ninjas se réveillèrent pratiquement tous en même temps, Sasari et Kumiko étaient très surpris, croyant qu'ils avaient été capturé, mais Mifuyi expliqua la vrai version des faits qui les surpris, surtout Sasari en pensant à Kumiko qui avait réutilisé de le Susanô une seconde fois, ça l’impressionna.]


Kumiko : Le Susanô n'est rien à comparer à l'abus que tu as fait avec ton œil droit.


Sasari : C’était la seule solution pour que tu te sortes de cette blessure…


Mifuyi : Peu importe la situation, on utilise plus se Dojutsu, compris? Il ne fait qu'empirer les choses et ça pourrait gravement nous nuire, si on se concentrait en s'entraidant, nous arriverions au même résultat, non?


Gôshi : * Entre dans la pièce * Ah, vous êtes réveillé, enfin. Venez sur pont, allez, venez!


[Intrigué, ils ne se posèrent pas de questions et suivirent Gôshi qui était plutôt enthousiasme à l'idée de les emmener sur le pont.

 

Rendu sur place, les marins avaient placé plusieurs caisses pour faire carrément une table de banquet pour remercier les trois ninjas.]


L'équipage : * Autour de la table, heureux * Ta dam!


Gôshi : Vous nous avez enlevé une sacré épine du pied les gamines, et à beaucoup d'autres capitaines de navires. La flotte 66 est reconnus comme l’une des plus redoutable, même d’autres flottes de Kiri n’étaient pas tout à fait d’accord de la façon dont Daigaku procédait. Nous voulions vous remercier pour cette paix que vous nous avez apportée. C'est pas grand-chose, mais voilà, un bon repas. * Dit-il avec le grand sourire *


Mifuyi : Vraiment… C'est réellement sympathique de votre part, j'ai si faim en plus, ç'a l'air délicieux.


[Tout à coup, une grande vague frappa le côté du bateau pour le faire pencher légèrement. Les caisses glissèrent ou * hop * elles passèrent par-dessus bord. L'équipage et Gôshi étaient bouche bée, certain tombèrent en dépression soudaine. Ils avaient tant travaillé pour faire une bel présentation et faire quelque chose de mangeable.]


Gôshi : Bande d’incompétent! Vous ne pouviez pas fixer ses caisses, bon sang!? * s'adressant au jeune * Je suis vraiment désolé …


Kumiko (Empathique, Sourit embarrassée) : Ce n'est rien voyons …


Sasari : Dite moi Gôshi …


Gôshi (Déçu): Oui?


Sasari : Votre village qui a été détruit, où se trouve-t-il?


Gôshi : Mon village? Pourquoi voudriez-vous aller à mon village, il n'y a plus rien à y faire, il est complètement brulé...


Sasari : Ce nous serait très important de le savoir, il faut s'y rendre… pour des raisons personnelles…


Gôshi : Vous allez vous débarrasser de ceux qui ont causé cette attaque, c'est ça?


Sasari : En quelque sorte …


Gôshi : Très bien, je vais vous montrez où c'est. Venez avec moi.


[Ils se dirigèrent dans la pièce privée de Gôshi pour qu'il leur montre sur une carte où se trouve son village dans Kiri.]


Gôshi : Voilà, Le village de Dakuryû se trouve tout à l'est du pays, c'est à l'opposé d'où nous étions censé accoster. De ce même point, cela vous prendrais environ une journée.


[Les trois ninjas se regardèrent, ils comprirent que s'ils partirent du point de départ à l'opposé du village de Dakuryû, il n'aurait même pas le temps pour commencer les recherches pour trouver Sasuke.]


Gôshi : Mais …


* Intrigue des trois jeunes *


Gôshi : Si nous passons par ce fleuve qui passe à travers Kiri, nous arriverions un peu plus rapidement vers le village, cela ne vous prendrais moins de temps pour vous y rendre. Par contre, le fleuve n'est pas sans risque et cela pourrait réellement nous nuire.


Kumiko : Qu'a de particulier se fleuve?


Gôshi : Il converge vers la capitale, alors naturellement, il est bien gardé. Si le moindre truc cloche, ils nous arrêteront sur le champ pour fouiller le bateau. J'ai déjà emprunté ce chemin quelques fois, jamais auparavant je ne me suis fait arrêter.


Sasari : C'est décidé dans ce cas, nous prenons le risque de passer par ce fleuve. Nous devons être au plus vite à ce village.


Gôshi : Hmm, entendu.


[Gôshi sortit immédiatement de sa cabine et ordonna qu'on prenne le chemin vers le fleuve. L'équipage s’exécuta en un instant.

 

Le trajet jusqu'au fleuve pris prêt de quatre heures, tout c'était passé sans embrouille… ce qui était presque une première.

 

Furûtsu avait eu enfin le temps de manger un peu et de se reposer. Il restait maintenant le plus dur; ce fameux fleuve. Il y avait beaucoup d'autres navires de tout genre qui y étaient, soit de marchandises, de transports ou de guerres.

 

Ils essayèrent de se faire le plus discret possible. Heureusement, le bateau qu'ils avaient ''emprunté'' n'était pas à n'importe qui, les plus cultivé savaient qu'il s'agissait de la flotte de Daigaku. Ce qui était intriguant, par contre, était le pourquoi il était là?

 

Ils arrivèrent au point convergeant entre la capitale et les villages de l'est.]


Gôshi : C'est pas vrai … il y a une collision dans le chemin pour Dakuryû.


Sasari : Quel est le problème?


Gôshi : Ils vont faire arrêter tous les bateaux qui passe par-là et dès qu'ils verront que nous ne sommes pas Daigaku, c'est certain, ils nous arrêteront pour de bon. Nous ne sommes pas de taille pour se mesurer à eux.


Mifuyi : Combien de temps estimeriez-vous le trajet à la course à partir d'ici?


Gôshi : Quoi, vous voulez dire que … Hé bien … je dirais une demi-journée peut-être, nous avons déjà fait le plus grand chemin en bateau et ça nous a pris moins d’une demi-journée.


Sasari : Très bien, rebroussez chemin dans ce cas, nous y allons sans vous. Nous ne prendrons pas ce risque.


Gôshi (Étonné) … Hum, très bien … je comprends. Dans ce cas, bonne chance à vous les gamines, on vous doit une fière chandelle, passez nous voir quand vous voudrez si vous avez besoin d'un transport. Je regrette ce que j’ai pu dire… On vous remercie encore pour ce que vous avez fait, alors que nous nous connaissions à peine…


Kumiko : Nous vous sommes aussi reconnaissants de nous avoir fait confiance. N'ayez plus autant de crainte envers les ninjas, cela peut avoir du bon parfois. * Sourit *


Gôshi : J’essaierai …


Sasari : On y-va.


[L'équipe Furûtsu profita de l'attention des gardes qui n'était porté que sur la collision pour passer subtilement dans les forêts autour et aller tout droit en direction est.

 

Gôshi le marin, quant à lui, rebroussa visiblement chemin comme il lui avait été conseillé, puis de toute manière le navire dans lequel ils étaient pouvait être à double tranchant. Il avait la capacité de passer sans qu’on le dérange, mais si on venait qu’à regarder s’il s’agissait du bon équipage, valait mieux être bien armé.]


En chemin pour Dakuryû


Mifuyi : Vous croyez qu'on lui a imposé trop de choses? Je veux dire, il est maintenant dans ce pétrin avec ce fleuve… j'espère qu'il s'en sortira.


Kumiko : Je crois qu’il s’en sortira... Il avait l’air plus malin qu’il ne le laissait croire.


Sasari : Oui, n'y pensons plus, restons concentré sur notre objectif. Il ne nous restera plus qu'une journée pour tenter de trouver Sasuke prêt de ce village.


[Déterminé plus que jamais, ils accélérèrent le pas en direction du village. Ils ne se souciaient pas ce qu'il pouvait y avoir autour, rien ne les perturbait.

 

Plus ils approchaient de l'endroit indiqué par Gôshi, plus le paysage devenait… mort. Quelques arbres avaient été incendié, des corps de ninja de Kiri jonchaient toujours le sol, des armes ninjas étaient planté un peu partout également. Le chemin était bel et bien le bon, il était claire qu'une attaque s'était produit dans les environs, il n'y avait personne, c'était fantôme.]


Kumiko : J'aperçois enfin des maisons au loin, on arrive enfin… Tout est en ruine et brûlé, quel massacre, heureusement que Gôshi a pu sauver ces pauvres villageois.


Mifuyi : Ça fait des gêneurs en moins dans notre recherche. * Sourit * Par où commence-t-on?


Sasari : Le paysage est complètement dévasté, ce ne devrait pas être très dur de trouver quelque chose de suspect faisant penser à un repaire. Allons, commençons. Surtout, si vous trouvez Sasuke, n'enlevé pas votre chapeau.


Mifuyi : Parle surtout pour toi.


[Sasari fit un mudra et tout de suite après, il se déforma en des milliers de cartes et chacune d'elles prirent une direction respective pour commencer la recherche. Quant à Kumiko et Mifuyi, elles activèrent leur Sharingan et …]


Mifuyi et Kumiko: Kage Bunshin no jutsu!

 

[Elles invoquèrent chacun neuf clones qui prirent chacun une direction pour faire les recherches d'un certain repaire possible.

 

Ils cherchèrent minutieusement chaque indice qui pourrait leur donner une piste pour trouver le chemin vers le repaire. Il y avait plusieurs traces de pas au sol, récentes. Elles ne dataient certainement pas d'il y a une semaine. Elles allaient dans pratiquement toutes les directions, il y avait tout de même plus de traces qui se dirigeait vers l'Ouest. Du côté d'un des clones de Mifuyi, il trouva un morceau de tissu noir avec un coin légèrement rouge.]


Mifuyi : Ce n'est pourtant pas les couleurs des ninjas d'Oto ni de ceux de Kiri, ça ne peut qu’être qu’un paysan… merde.


[Quant à un des clones de Kumiko, il trouva, très étonnement, un bras fait de bois!]


Kumiko : Qu'est-ce que c'est… ça me dit vaguement quelque chose ce bras… C'est le premier que je trouve, mais pourtant, je n'ai jamais vue Orochimaru utiliser de modèle fait de bois. Ils ont toujours été vivant…


[Elle ne s'attarda pas sur ce bras et continua ses recherches, mais, tout à coup, l'un de ses clones disparu.]


Kumiko (Étonnée) : Encore l'un de ses membres en bois? Il était piégé lui par contre... C'est peut-être un faux village remplie de pantins… quelle perte de temps de faire un si gros village remplie de mannequin piégé.


[Sasari se recomposa devant Kumiko, soudainement.]


Sasari : Je crois avoir trouvé quelques choses. Suis-moi.


Kumiko : Parfait. * Fait un mudra pour désinvoquer ses clones *


[Comme de fait, Kumiko suivi Sasari qui le guida vers un endroit un peu plus écarté du village, vers l'ouest. Ils virent Mifuyi qui suivait elle aussi un clone de Sasari composé de carte. Ils arrivèrent là où était le vrai Sasari.]


Mifuyi : Alors, qu'as-tu trouvé?


Sasari : Vous l'avez sûrement vue aussi, mais il y a ces traces de pas qui partent dans tous les sens.


Kumiko : Oui, j'ai remarqué aussi, elles sont plutôt fraîches. Elles ne datent pas d'une semaine, c'est certain. Elles sont probablement là depuis après cette fameuse attaque.


Sasari : Oui, et si ce sont des traces de personnes qui se battaient, je trouve ça étrange que la distance entre les pas ne soit pas plus grande, quand on s'affronte, on court impérativement et nous faisons ainsi de plus grand pas.


Mifuyi : Oui, là, on dirait que les villageois étaient là il y a quelques instants et qu'ils marchaient un peu partout dans le village.


Kumiko : Donc, c'est quelqu'un qui brouille ses pistes. Orochimaru saurait que nous le cherchons, mais comment?


Sasari : J'ai remarqué autre chose également avec ses traces de pas. Chaque pair de pas converge toujours vers une direction différente, il n’y a pas deux pairs, voire plus, qui se suivent cote à cote.

Mise à part deux paires que voici, elles se suivent l’une l’autre constamment * Pointe les traces *


Mifuyi (Contente): C'est donc par-là qu'ils sont partit! T'es génial Sasari!

 

Sasari : Je dois dire merci au Sharingan, je n'aurais jamais trouvé aussi rapidement la solution sans mes yeux. Il reste à savoir si c'est bien le cas.


Kumiko : Ne perdons pas de temps ici, suivons ces traces!


Fin du chapitre 43

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