MARVEL DC Comics Tome 1: Ultimate War

Chapitre 8 : Le Daily Bugle

3317 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 04/05/2023 17:20

Il était quatorze heures, Peter, habillé comme tout le monde, marcha dans une rue de New York bondée de personnes marchant eux aussi et dont certaines parlaient au téléphone. Il y' a deux jours, Peter avait interviewé Wilson Fisk alias le Caïd, il espérait en savoir un peu plus sur ses projets qui seraient certainement vicieux. Mais Peter a menti en disant qu'il était reporter, c'était le seul moyen d'approcher Fisk ! À présent, cet article doit paraître dans le journal comme il l'avait laissé entendre avant-hier ! Si cet article ne figure pas dans le journal au plus vite, Fisk aura des doutes, à moins qu'il ne lise pas le journal, mais Peter y pensait déjà avant-hier !

Pire encore, si il ne voit pas l'article, il se rendra compte que Peter aura menti, et il le recherchera dans toute la ville. Sa tante sera alors en danger.

Peter avait pris son sac de cours, la dite interview se trouvait dans le sac, avec en plus quelques cahiers qu'il avait oublié d'enlever après les cours. Peter ne risquait pas de jouer les héros aujourd'hui, voilà deux jours que le calme règne à New York, plus de vols, d'agressions,....

Il ne se posait pas du tout de questions, n'eut aucun doute du tout. Il avait la paix pour une fois. Il n'avait pas besoin de marcher vite, il prenait tout son temps.

Il arriva devant un grand immeuble bordé de fenêtres rectangulaires, dont la plupart était grande ouverte. Au dessus de ces fenêtres, au niveau du dernier étage de l'immeuble figuraient en grand et en rouge des grandes lettres en rouge et en majuscule. Ces lettres rouges donnaient un mot, d'où l'on pouvait le lire au loin: « DAILY BUGLE ».

Peter entra dans l'immeuble, il longea un long couloir avec des dizaines de portes sur les cotés ainsi que des portes d'ascenseurs. Il prit le premier ascenseur qui se trouvait sur sa gauche. Une fois dans la cabine, il regarda le tableau de bord et appuya sur le bouton 20: le dernier étage de l'immeuble où se trouvait forcément le bureau du Bugle. Il attendit quelques secondes avant d'arriver en haut. Puis la porte s'ouvrit et Peter se trouvait dans un autre couloir un peu plus petit avec, lui aussi, des dizaines de couloirs. Au fond du couloir se trouvait une porte qui était la seule à avoir un écriteau dessus. C'était marqué: Journal du DAILY BUGLE. Peter ne se donnait pas la peine de frapper, il entra directement dans une grande pièce où regorgeaient des dizaines de bureaux. Tous équipés d'ordinateurs, de téléphones, quelques petites décorations comme une fleur à parfum, et des tonnes de papiers entassés les uns sur les autres ainsi qu'une poubelle se trouvant à coté. À chaque bureau se trouvaient des employés, hommes et femmes, dont la tenue était identique pour tous: une chemise blanche, bleue, violette ou autres couleurs dont les manches étaient retroussées et la chemise rentrée dans le pantalon. Tous avaient le pantalon marron clair (une jupe d'affaire pour les femmes) et des chaussures de ville très élégantes (chaussures à talon élégantes pour les femmes). Ils portaient tous un petit gilet marron sur la chemise. Une cravate venait compléter l'élégance des travailleurs. Ce sont les employés du Daily Bugle, en train de ranger des papiers, parler, écrire, téléphoner,...Quoi qu'ils faisaient, ils étaient en train de travailler.

La pièce comportait quelques plantes vertes et cinq fenêtres rectangulaires d'où l'on pouvait certainement voir la rue d'où Peter venait d'arriver.

Un homme à la peau noire et aux cheveux blancs très court se dirigea vers Peter. Comparé aux autres, il portait, à la place d'un gilet, des bretelles vertes au dessus d'une chemise bleue claire à rayures bleues foncées. Rentrée dans un pantalon marron accompagné de chaussures de villes noires.

«-Bonjour, Peter ! Comment vas tu ? Lança l'homme noir.

-Très bien, Robbie, merci ! Puis-je voir Monsieur Jameson, s'il te plaît ?

-Pour des photos de Spider-Man, je présume ?

-Pas exactement ! Répondit Peter timidement, c'est pour autre chose !

-Bon, dans ce cas, va voir mademoiselle Brant, la secrétaire de Jameson ! Dit Robbie en montrant un bureau regorgeant de papiers et éloigné des autres où se tenait une jeune femme à la vingtaine d'années aux cheveux bruns mi-longs et très raides.

De loin, on aurait dit la reine d’Égypte Cléopâtre en personne étant donné qu'elle était très belle, très jolie, très charmeuse, c'était probablement la plus belle femme du bureau. Mais pour Peter, la plus belle femme restera Mary-Jane.

Elle était comme les autres femmes se trouvant dans le bureau: tenue de femme d'affaire. Elle, portait une chemise bleue marine avec une cravate rouge. Peter arriva devant elle, elle avait le nez dans ses affaires; elle triait, rangeait ses papiers. Derrière-elle se trouvait une autre porte fermée dont l'écriteau indiquait: « John Jonah Jameson, directeur du Daily Bugle.»

«-Bonjour, Peter ! Dit la jeune femme à la voix si douce. Tu es venu voir monsieur Jameson ?

-Oui, répondit Peter, j'ai quelque chose d'important à lui montrer !

-Très bien, il n'est pas occupé pour l'instant ! Mais je vais quand même le prévenir !

-Merci Betty !»

Betty Brant prit un téléphone de bureau qui se trouvait à coté d'elle et appuya sur une seule touche. Une seconde après, elle parle au téléphone sans attendre que le destinataire réponde:

«-Monsieur Jameson, Parker voudrait vous montrer quelque chose !....Des photos ? ( Peter fit non de la tête)...Non, c'est pour autre chose. Il peut venir vous voir ?...Très bien ! Je le lui dis !»

Betty raccroche ensuite le téléphone:

«-C'est bon, monsieur Jameson accepte de te voir ! Tu peux entrer !

-Merci beaucoup Betty !»

Peter s'avança vers la porte, frappa une fois et entra sans attendre de réponse.

La pièce du directeur était petite avec deux fenêtres fermées; des étagères, quelques plantes vertes, un bureau avec un ordinateur, une pile de papiers, et un téléphone de bureau, identique à celui de Betty Brant. Au bureau était assis un homme âgé dans les 50 ans. Ses cheveux étaient gris et courts.

Ils étaient bien taillés, bien coiffés. Une petite moustache grise et une chemise blanche avec les manches retroussées, un petit gilet et un pantalon marron, des chaussures de ville très élégantes.

Il fumait un cigare, on l'aurait deviné tout de suite étant donné que la pièce sent le tabac. Il ne doit pas ouvrir ses fenêtres très souvent pour aérer vu que l'odeur de la pièce est à moitié irrespirable. Comment fait-il pour supporter cette odeur pestilentielle se demandait Peter. On voyait nettement quelques fumées dans la pièce, il doit entamer son huitième cigare de la journée. D'ailleurs, on pourrait les compter car il doit jeter ses cigares finis dans la poubelle à coté du bureau !

Quand Peter arriva devant lui, le directeur enleva son cigare de la bouche et le jeta dans la poubelle, alors qu'il n'était même pas fini. En plus, il semblait mécontent, comme d'habitude, tous les jours il avait cet air grognon.

«-Parker, que voulez vous ? Vous avez un truc à me montrer ?

-Oui, monsieur Jameson, j'ai ça pour vous !»

Peter sortit de son sac l'interview de Fisk et la tendit à Jameson qui l'arrache direct de sa main.

«-Qu'est-ce que c'est, Parker ? Demanda Jameson en commençant à la lire.

-J'ai fait une interview à Wilson Fisk, il a accepté de répondre à quelques-unes de mes questions.

-Ça alors, s'étonna Jameson, comment avez vous réussis à avoir un entretien avec lui ? Il ne parle jamais à des étudiants d'habitude !

-Je me suis débrouillé par mes propres arguments, dit Peter en repensant à son propre mensonge d'avant-hier.

-C'est vraiment ses réponses à lui ? Se douta le directeur du Bugle.

-Monsieur Jameson, je vous garantis que c'est le seul et l'unique Wilson Fisk qui a répondu à mes questions, jura Peter en levant la main droite.»

J.J Jameson le crut, bien sur ! Peter n'est pas un menteur, il a même une bonne réputation au Daily Bugle. Vu qu'il est le seul à prendre des photos de Spider-Man, ou plutôt de lui-même ! Jameson sait que Peter ne ment pas, il ne ment presque jamais, sauf pour son secret de super-héros, et hier où il disait qu'il était reporter. Mais c'était exceptionnel, c'était bien le seul moyen de savoir ce que préparait Fisk (ou au moins d'en avoir une idée).

«-Bien, cet interview paraîtra demain à la huitième page du journal ! Ça tombe bien, remarque ! Il ne se passe pas beaucoup de choses ici ! On pourra au moins raconter ça !»

Peter fut rassuré, la dite interview sera dans le journal, comme il l'avait prédit à Fisk. Il se sentit déjà un peu mieux.

«-Mais j'aurais préféré que vous m'apportiez des photos de l'insecte ! Dit Jameson en faisant référence à Spider-Man. Je comptais parler de lui en première page !

-Ce n'est pas la première fois que vous le mettez à la une du journal pour l'attaquer ! Pour une fois, vous pourriez pas parler de Fisk en première page et de Spider-Man en huitième page ! Supplie Peter.

-Hors de question ! Répondit sèchement Jameson. J'ai déjà le titre en tête qui va permettre à la ville de découvrir quel criminel se cache en lui !»

John Jonah Jameson haïssait Spider-Man, Peter se demandait beaucoup pourquoi ! Spider-Man est un héros qui lutte contre le mal ! La ville admirait beaucoup Spider-Man, seul Jameson ne pouvait pas le voir en peinture ! Chaque fois, dans le journal, la première page avec une photo de Spider-Man en gros plan (prise par Peter) montrait un titre mensonger comme: Spider-Man attaque une banque avec des bandits ( alors qu'il arrêtait ces bandits !), Spider-Man pactise avec le Grizzly et Rhino ( alors qu'ils se sont alliés pour combattre Spider-Man !). Peter ne lui a pourtant rien fait, il lui a même sauvé la vie à plusieurs reprises, surtout contre le Scorpion et le docteur Octopus ! Et voilà comment il me remercie, se plaint Peter, en montant toute la ville contre moi ! Heureusement, bien que Jameson attaque tous les jours Spider-Man en racontant des calomnies, la ville continuait à l'aimer, à l'admirer. Il avait même des fans qui marchaient dans les rues en portant ses couleurs tous les jours. Ils ne devaient pas croire tous les mensonges de Jameson ! Ce qui soulagea Peter et l’empêcha de voir Jameson quand il est Spider-Man afin de contester devant lui ! Mais si jamais Jameson apprenait que lui et Spider-Man ne font qu'un, il va renvoyer Peter, déjà ! Alors qu'il a besoin d'argent pour sa tante. Et il publierait au journal (en première page) la véritable identité de Spider-Man ! Ce qui mettraient, lui, sa tante, et pire, Mary-Jane, en danger ! Les super-vilains s'en prendront alors à elles.

«-Monsieur Jameson, qu'est-ce que Spider-Man vous a fait exactement ?

-Ça fait cent fois que vous me posez la question, Parker ! Cette araignée n'est pas un héros, c'est un mercenaire, un ennemi public ! Il doit travailler pour le compte d'un chef criminel. Je le sais ! Un jour, je le démasquerai !»

Le directeur prit le téléphone, appuya sur une seule touche comme Betty Brant et demanda :

«-Mademoiselle Brant, voulez vous dire à Robbie Robertson de venir dans mon bureau !...Parfait !»

Jameson raccroche le téléphone. Lui et Peter attendaient quelques secondes, quand quelqu’un frappa à la porte. L'homme entra: c'était Robbie.

«-Vous vouliez me voir, Jonah ?

-Oui, Robbie, entrez !»

Robbie était certainement le seul employé à appeler le directeur du Bugle « Jonah », tandis que tous les autres l'appelaient « monsieur Jameson ». Il faut dire que John Jonah et Robbie se connaissent depuis longtemps, bien qu'ils se vouvoient encore ! Ils se sont rencontrés quand Jonah est entré au Bugle comme journaliste; dont il devint ensuite le propriétaire.

Robbie est maintenant son bras droit.

«-Tenez ! Dit Jameson en tendant l'interview sur Fisk à Robbie. Mettez ça à la huitième page du journal de demain !

-Et pour la une ? Demanda Robbie.»

Jameson prononça le titre haut et fort tout en bougeant son bras levé de gauche à droite, comme pour présenter une phrase:

«-Spider-Man mobilise les pègres des grandes villes, panique aux États-Unis !

-Qui vous dit que c'est Spider-Man qui est à l'origine de cela ? Conteste Robbie.»

Contrairement à Jameson, Robbie adorait Spider-Man, il le voyait comme le grand héros du jour et essayait souvent de le défendre, même si cela risquait de lui coûter sa place.

«-Je sais de quoi je parle, Robbie ! Dit calmement Jameson. Allez ! Mettez vous au travail.»

Mais Jameson n'était pas très susceptible lorsqu'on lui fait une remarque sur ses titres ou ses idées. Il trouve toujours de bons arguments (souvent sortis de son imagination) pour se défendre. Parfois, toujours les mêmes: c'est un bandit ! Il est toujours sur les lieux du crime ! Il fuit comme un bandit !

Il porte toujours un masque !

Étant donné que c'est lui le patron du Bugle, il ne fallait pas trop discuter !

Mais Peter s'interrogea plus sur le titre évoqué par le directeur, « mobilise les pègres des grandes villes.», d'habitude, les titres de Jameson sortent de son imagination et sont tous mensongers pour Peter. Il le laissait faire, même ! Mais les mots « pègres » et « mobilise » ne viennent pas de lui, il n'oserait jamais inventer ça. C'est sûrement rapport à un événement récent !

«-Attendez une minute ! C'est quoi cette histoire de mobilisation ? Pourquoi Spider-Man mobiliserait-il des pègres ?

-Parker, les pègres ont tous désertées de leurs villes ! Plus aucun bandit n'a été aperçu pendant deux jours !

-C'est vrai, rajoute Robbie, des témoins affirment que dans la nuit, des centaines de silhouettes inquiétantes, avec des mitrailleuses et autres armes, sont parties dans la nuit. On ignore où ! Ils l'ont annoncés à la radio, hier !

-Le FBI, la CIA et INTERPOL ont alors menés leurs propres enquêtes et ont découvert par la suite que Washington, Boston, Gotham City, Metropolis, Atlanta, Chicago, Baltimore, Richmond, Colombus, et Pittsburgh n'avaient plus aucun bandit le lendemain.

-Et nous venons d'apprendre, avant ton arrivée, que Kansas City n'avait plus de pègre aussi, dit Robbie.

-Les polices s'inquiètent, dit Jameson, toutes ces villes se trouvent à l'Est du pays. Certains pensent que la désertion de la pègre risque de se propager vers l'Ouest.

-Que pensez vous qu'ils préparent ? Demanda Peter très intéressé.

-Le FBI craint un coup d’État; mais INTERPOL pense plus à une simple révolte ! Répondit Robbie.

-En tout cas, quoi que ce soit, je pourrai faire porter le chapeau à ce maudit tisseur ! Se satisfait Jameson.

-Comment voulez vous qu'il rassemble des pègres venant des villes lointaines aussi rapidement et aussi facilement ? S'indigna Peter.

-Parker, vous faites vos photos, et moi, mes unes ! D'accord ?»

Peter ne devait pas discuter. C'est Jameson le patron, et il a besoin d'argent pour aider sa tante. Il n'a pas d'autre choix que d'accepter ce titre; il répond avec hésitation « oui »!

«-Parfait ! Robbie, mettez ce titre à la une !

-Mais on n'a pas de photos, dit Robbie en dévisageant Peter.

-Utilisez une des vieilles photos de Parker que nous lui avons achetés dernièrement !»

Robbie sort de la pièce avec l'interview en main et le titre en tête, laissant Peter et Jameson seul à seul:

«-150 dollars pour l'interview ! Ça vous va ?

-Il me faudrait 300 dollars, monsieur Jameson !

-220 ! C'est mon dernier mot !»

Jameson lui tendit les 220 dollars, Peter devait les accepter, surtout pour sa tante ! Jameson était un peu radin sur les bords, il achetait toujours les photos de Peter au prix le plus bas. Mais Peter devait se contenter de ça. Le Daily Bugle serait le meilleur journal de New York d'après une étude. Les autres journaux de la ville n'embauchent jamais de simples photographes, même si ce photographe prend les photos de l'homme araignée. Ils recherchent des personnes plus qualifiées pour des postes importants. D'autant plus que Jameson est le seul directeur à vouloir parler de Spider-Man sans arrêt dans son journal, et qu'il garde Peter uniquement pour ses bonnes photos.

«-Au revoir Parker ! Lança Jameson. Et n'oubliez pas d’amener des photos de Spider-Man la prochaine fois !

-Compris, monsieur Jameson !»

Peter sortit du bureau de Jameson avec son sac à dos. Il ferma la porte derrière lui, dit au revoir à Betty, quitte le bureau du Bugle. Il prend l'ascenseur. Puis il s'en va de l'immeuble du Bugle et marche tranquillement dans la rue.

Peter était à la fois soulagé et contrarié; soulagé d'avoir donné l'interview qui figurera à la huitième page du journal de demain, et contrarié à l'idée de cette mobilisation des pègres. En repensant à ce que lui avait dit Fisk, Peter comprit un peu mieux sur son soi-disant projet: rassembler des pègres afin de constituer une armée pour prendre le pouvoir aux États-Unis. Comme l'a dit Jameson, la désertion s'étend vers l'Ouest du pays. Il aura une armée de plus de 3 000 000 de bandits armés jusqu'aux dents. Peter sait qu'il ne pourra pas les arrêter tout seul, il devait trouver de l'aide le plus vite possible. Sinon, son armée sèmera le chaos et la destruction dans tout le pays.

Mais comment ? Les États-Unis sont vastes, il peut-être n'importe-où. Et surtout, il doit avoir beaucoup de complices et d'espions.

Peter marchait un peu plus vite, il se dirigea vers une petite ruelle sombre, une impasse. Là, il se déshabilla pour laisser place à Spider-Man. Il rangea ses vêtements dans son sac, puis le mit sur son dos. Il met son masque rouge et rampa sur un des murs pour arriver au sommet. Cela lui prit quelques secondes étant donné qu'il rampait vite, comme une araignée.

Une fois arrivée là-haut, il fut surpris de voir une jeune femme sur le toit, assise comme si elle attendait quelqu'un.

Elle avait la chevelure longue et très blanche, une femme aux lèvres rouges avec un petit masque noir autour des yeux. On voyait que les yeux étaient bleus clairs, elle était en combinaison d'espionne noire (gants noires, bottes à talons noires), une ceinture noire où était accroché un grappin. C'était une jeune et très belle femme, elle avait l'âge de Peter. Celui-ci ne saurait dire quelle fille est la plus jolie entre elle et Betty Brant, après Mary-Jane évidemment !

«-Salut tisseur ! Dit-elle à voix douce.

-Chatte Noire ? Lança Spider-Man. Que fais-tu ici ? Tu viens pour voler quelque chose, encore ?

-Pas du tout ! Rigole-t-elle. Je viens de la part du colonel Fury, il m'a chargée de te ramener à l'héliporter. Il a besoin de toi !

-Ça tombe bien ! J'ai justement besoin de bandeau noir, moi aussi ! Mais pourquoi lui a besoin de moi ?

-Je t'expliquerai en route ! Pour l'instant, je peux seulement dire que toi et moi, nous serons les acteurs d'une guerre qui menace d'éclater. Et que le projet est sur le point de se former !

-Quel projet ?

-Celui de la ligue des super-héros !

-La ligue des super-héros ? S’interrogea Spider-Man.»

Il allait partir avec la Chatte Noire, rejoindre le colonel Fury, le SHIELD, les quatre Fantastiques, Daredevil et les vengeurs afin de se préparer au projet et à la sombre et terrifiante guerre interstellaire qui menace d'éclater au grand jour.






















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