Kingdom Hearts : Link By Destiny (PARTIE 1)

Chapitre 6 : La porte.

Mes amis et moi ne bougons plus d’un pouce, fixant le couloir. Il y a eu un bruit. Dans toute autre situation, j’aurai trouver ça normal. Mais pas ici. Pas dans cet endroit. 

- Euh… c’était quoi, ça ? Fit Lucky, tremblant déjà. 

- Sans doute un morceau de plafond qui s’est détaché. Dit Liang. C’est un vrai gruyère, ici. 

Lucky semble rassuré, mais seulement pour quelques secondes. Un autre bruit sourd se fit entendre, cette fois plus fort, et on se lève tous comme si quelque chose allait nous attaquer. 

- Ca, c’était pas un morceau de plafond ! S’écria Lucky. 

- Vous croyez quand même pas que c’était… ? Je commence. 

- Lex, n’y pense même pas !

- Peut-étre qu’ils sont venus finir le boulot !

- Liang, pitié, rassure moi et dis moi que c’est pas ça !

- Je veux pas trop m’avancer, mais il y a une chance pour que ce soit ça. 

- C’est ça, ta façon de me rassurer ?! 

Lucky cria lorsqu’un claquement se fit entendre. On reste tous figer sur place, ne sachant pas comment réagir, avant que Liang n’attrape un vieux tuyau en fer qui trainait par terre. 

- Sérieux, tu crois que ça va les impressionner ? Dis-je. 

- C’est mieux que rien ! On ne peut pas rester ici éternellement, alors allons voir. 

- Oh, super. Allons tous vers le bruit bizarre pour bien nous faire trucider ! Dit Lucky. 

Liang s’avance lentement vers la porte, avant de sauter dans le couloir comme un ninja et regarder partout autour de lui. Il nous fait signe que la vois est libre, et on ne tarde pas à le rejoindre. 

Tandis que nous avançons dans la maison, je me rend à peine compte que je sers le magnétophone dans ma main. Pour moi, c’est un peu comme si Daisy était avec nous. Et elle me rassure. 

- On va tous mourir, on va tous mourir, on va tous… Murmure Lucky, me tenant fermement le bras. 

- Arrête, Lucky. Il ne va rien nous arriver. 

- Et qu’est-ce que t’en sais, d’abord ?! 

On entend un autre bruit, et c’est limite si Lucky frôle la crise cardiaque. On arrive dans le hall d’entrée, mais à première vue, il n’y a rien d’anormal. Sauf une chose. 

- J’ai trouvé ce qui fait le claquement. Dit Liang. 

On s’approche de lui, et je fis de grands yeux en découvrant la porte menant à la cave grande ouverte. Quand nous sommes arrivés, elle était barricadé avec des planches. Qui les a enlever ?! 

- Ok, là j’panique. 

- Super, quelqu’un a décidé de nous jouer un mauvais tour. Dit Lucky. Hé bien qu’il aille se faire foutre ! Moi, j’vais chercher nos vélos et on se casse d’ici ! 

- Lucky, ce n’est peut-être pas… Commence Liang. 

Mais trop tard, Lucky se précipite dehors. D’un coté, je comprend sa panique. Mais de l’autre, j’ai envie de comprendre. Est-ce que quelqu’un nous aurai suivi ? Pourquoi ouvrir la porte du sous-sol ? 

Tandis que Liang part chercher Lucky, j’observe l’escalier plongeant tout droit vers les ténèbres. Je ne sais pas pourquoi, mais… je sens que quelque chose m’appelle. Quelque chose m’incite à aller dans ce sous-sol. 

Inconsciemment, je me dirige vers l’escalier. Je me souviens que je détestai y descendre quand j’étais petit. On s’amusait à descendre et remonter en vitesse, comme si on était poursuivi par le diable en personne. 

J’arrive devant l’ouverture, et mon première réflexe est d’allumé la lumière. Je fus surpris de découvrir que la lampe fonctionne toujours après tout ce temps. Et même qu’il y ai toujours une lampe. 

- Voilà, j’ai les vélos ! Dit Lucky en revenant avec Liang. Maintenant, on déguerpi d’ici en vitesse !

- Est-ce que tu peux te calmer ? Dit Liang. 

- Je me calmerai quand on sera parti d’ici ! Lex, tu viens ? 

- Je… je dois aller voir ce qui se trouve là dedans. 

- Quoi ? Mais… !

Je n’attend pas et décide de descendre les escaliers. Au fond de moi, j’attend toujours d’obtenir des réponses. Et peut-être que ces réponses se trouvent quelque part là dedans. 

- Lex, attend nous ! Fit Liang, descendant à son tour. 

- Hé, vous foutez quoi ?! Cria Lucky. Vous voulez vous faire tuer, c’est ça ?! 

- Lucky, c’est juste le sous-sol. Dit Lex. A part des araignées, rien ne va venir t’attaquer. 

- Peu importe, j’veux pas descendre là dedans ! Alors maintenant, vous remontez avant qu’une grosse bestiole vous attaque et… 

Un craquement soudain se fit entendre sous nos pieds. Je baisse les yeux, et me tourne vers Liang… juste avant que l’escalier ne se brise et qu’on tombe tout les deux dans le sous-sol. 

- Ah ! 

Je gémis de douleur lorsque je heurte le sol, une vive douleur me parcourant le corps. Nous ne sommes pas tombé de haut, mais je ne m’y attendais pas. Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits. 

- C’est pas vrai, vous allez bien ?! Cria Lucky. Vous êtes toujours vivants ?! 

- Aie… o-on est vivants, Lucky… Dis-je, essayant de me relever. 

- Oh, dieu merci. J’arrive, bougez pas !

Tandis que Lucky essaye tant bien que mal de nous rejoindre, je me relève et me tourne vers Liang. Il semble aller bien, mais je vois qu’il se tient douloureusement le bras. La chute a été plus sévère pour lui. 

- Est-ce que… est-ce que tu vas bien ? 

- Oui, je crois. Mais j’ai mal au bras. Je n’arrive pas à le bouger. 

- Quoi ? Merde, fait moi voir !

Je m’approche de lui, alors que Lucky saute pour nous rejoindre, manquant de s’étaler par terre. Lorsque je prend le bras de Liang, ce dernier gémit de douleur. 

- Oh non… t’inquiète pas, j’suis sur que c’est rien de grave !

- Dis-moi Liang, tu sais pédaler à vélo avec une seule main ? Demanda Lucky, presque d'un ton décontracté.

- Lucky ! 

- Bah quoi ?! Va bien falloir qu’on quitte cet endroit ! 

- Ca va, je saurai me débrouillé. Dit Liang. 

- Quand même, tu t’es peut-être cassé le bras ! Dis-je. 

- C’est pas toi qui vient de dire que c’était rien de grave ? 

Je lui souris maladroitement, mais le perd aussitot lorsqu’il grimaça de douleur. Je pense qu’il s’agit d’une simple entorse, mais je ne veux pas faire comme s’il n’avait rien. 

Je prend mon sac et fouille dedans pour trouver quelque chose pouvant maintenir son bras, lorsque je vis du coin de l’œil Lucky s’aventurer dans le sous-sol. 

- La vache… 

- Lucky, je sais que c’est flippant, mais ne panique pas maintenant. D’accord ? 

- Non, j’veux dire… vous aviez déjà remarquer à quel point le sous-sol était grand ? 

Je me tourne vers lui, et regarde dans la même direction que lui. Je manque un battement lorsque je découvre un long couloir semblant sans fin devant nous. A la base, c’était juste une petite pièce !

- Qu’est-ce que… ?! D’où il vient, ce couloir ? Je m'écrie, plus que surpris. Ils ont fait des travaux ou quoi ? 

- Je sais pas… mais j’ai une drôle de sensation quand je regarde ce couloir. Fit Lucky en tremblant légèrement. Comme si quelqu’un se tenait tout au bout et m’observait. 

Je ne dis rien pour ne pas le faire paniquer, mais moi aussi, j’ai la même sensation que lui. Nous avons laisser la maison peu de temps après la disparition de Daisy. Qui a bien pu construire ce couloir ? Et où mène-t-il ? 

Je réussi à trouver quelque chose pour maintenir le bras de Liang, et l’aide à se relever avant que nous rejoignons Lucky. Il y eu un long silence durant lequel nous observons le couloir. 

- Ouais, j’veux pas jouer les rabat-joie, mais… moi aussi, j’commence à flipper. Dit Liang. 

- Ah, tu vois ?! J’suis pas le seul ! Me lance Lucky. 

- En même temps, c’est pas difficile de flipper dans un endroit pareil. Dis-je. 

- Dans tout les cas, nous ne pouvons pas remonter par où on vient. Dit Liang. Allons voir ce qui se trouve par là, on trouvera surement quelque chose d’utile. 

- Euh, j’suis pas sur d’avoir bien entendu. Dit Lucky en faisant mine de se déboucher l'oreille. Tu veux qu’on aille dans ce couloir méga glauque, dans lequel se trouve peut-être un tueur en série prêt à nous écharper ? T’es pas un peu malade ?! 

- Tu as une autre idée ? Pour moi, c'est la seule solution pour sortir d’ici. Et qu'est-ce qu'on risque, de toute façon ?

- Lex, t’as pas des antibiotiques ? Me demande Lucky. Parce que j’crois que la douleur est en train de lui faire perdre la tète ! 

- Honnêtement, je pense qu’il a raison. Dis-je. On ne peut pas rester ici indéfiniment, il va bientôt faire nuit. 

- Toi aussi, tu t’es cassé quelque chose ? S'écrit Lucky, presque à bout de nerf. Il est hors de question que j’aille là dedans !

- Fait ce que tu veux. Je réplique. Mais moi, je veux savoir où ça mène. 

Je n’attend pas sa réponse et m’aventure dans le couloir, rapidement suivi par Liang. J’ai été un peu dur avec lui, mais c’est juste une technique pour qu’ils viennent avec nous. 

Lucky ne bouge toujours pas, les bras croisés d’un air déterminé. Mais au premier bruit étrange, il se raidit et tremble de peur, avant de courir pour nous rejoindre. Ca fonctionne à chaque fois !

- Bah alors ? J’croyais que t’avais trop peur pour venir. Dis-je, lui lançant un sourire narquois. 

- Ouais, bah… je préfère mourir avec vous plutôt que tout seul ! 

J’entend Liang rire, et j’avoue que ça m’amuse un peu. Même en étant bloquer dans un sous-sol glauque, dans une maison abandonnée au milieu de nulle part, on réussi quand même à détendre l’atmosphère ! 

- Ta mère avait prévu d’agrandir le sous-sol avant de partir ? Me demande Lucky. 

- Pas que je sache. Et je ne vois pas à quoi ça aurai servi. 

- Mais enfin, qui a bien pu rénover le sous-sol ? Demande Liang. Personne n’habite ici depuis des années. Et même si quelqu’un voulait venir vivre ici, pourquoi ne pas rénover les autres pièces ? 

- Tu lui demandera si jamais on le rencontre ! Dit Lucky. 

- C’est quand même bizarre. Dis-je. Même si je n’habite plus ici, j’aurai forcément été mis au cou- ah !

Une douleur vive dans ma tète me coupa net. J’ai l’impression que quelqu’un tape dedans de toute ses forces avec un marteau ! Qu’est-ce qui m’arrive ? 

Soudain, l’atmosphère autour de moi devint plus pesante. J’entend mes amis m’appeler, mais c’est comme s’ils s’éloignaient de plus en plus. Comme si je devenais sourd. Pourtant… 

- ... la porte... elle s’est ouverte... 

J’arrive à entendre distinctement une voix. Une voix que je ne connais pas. La douleur commence à cesser, et je relève la tète. Mes amis me regardent d’un air paniqués, mais… il n’y a personne d’autre. 

- Lex ! Cria Liang, posant une main sur mon épaule. Tout va bien ? 

- Euh… ou-oui, je crois… 

- Merde, me fait pas flipper comme ça ! S'écria Lucky. J’suis déjà assez stressé comme ça !

- Vous… vous avez entendu ça ? Je demande, sans vraiment faire attention à ce qu'ils disent.

- Quoi donc ? Me demande Liang, haussant un sourcil. 

- Cette voix… j’ai entendu une voix. Celle d'un garçon. 

- Quel voix ? Demanda Lucky, encore plus confus. T'es sur que c'était pas un de nous ?

Je regarde autour de moi, confus. Est-ce que j’ai rêvé ? Ca avait l’air pourtant si réel. Je me tourne vers mes amis, lorsque la douleur revint. Et la voix avec elle. 

- ... la porte s’est ouverte, Sora... on peut aller dans le monde extérieur... !

- Qu’est-ce que tu racontes ?! On doit retrouver Kairi ! 

Là, je suis sur de ne pas avoir rêvé ! Et j’ai entendu une deuxième voix. Qui est-ce ? Pourquoi ai-je l’impression de les avoir déjà entendu ? Finalement, la douleur s’estompe et je respire à nouveau normalement. 

- Je… je crois que c’est passé… Je souffle.

- Non mais sérieux, t’as du te cogné la tète tout à l’heure. Dit Lucky. Vous devez aller voir un médecin ! Tout les deux ! 

- Lucky, tu ne nous aide pas vraiment, là. Répliqua Liang, avant de se tourner vers moi. Qu’est-ce que tu as entendu ? 

- Des voix… deux garçons. Mais je ne les connais pas. Ils ont parlé… d’une porte… 

- Une porte ? 

- Euh, comme celle-là ? Demanda Lucky d'une petite voix. 

On se tourne vers lui, pour le voir pointer du doigts quelque chose. On se retourne, et je manque un battement en découvrant la fin du couloir. Il y a une porte au bout. Une porte très étrange. 

Sans dire un mot, on décide de s’approcher de la porte. C’est comme si elle nous appelait, comme si elle nous avait hypnotisé. Même Lucky ne fit aucun commentaire. 

- ... Sora... 

Tandis que l’on avance, j’entend à nouveau une voix. Celle d’une fille, cette fois. D’où est-ce que ça vient ? Est-ce que j’hallucine ? Comment je peux entendre ces voix aussi distinctement ? 

Le couloir se termine par un petit espace, où se trouve la porte. Ce n’est que maintenant que je remarque qu’elle n’a pas de poignet. Elle est en bois, de forme ovale, et il y a des gravures étranges dorées dessus. 

- Ok… c’est juste moi ou on dirait une porte menant tout droit vers les enfers ? Fit Lucky. 

- Non, c’est pas juste toi. Dit Liang. Cette porte dégage une aura étrange… je n’aime pas ça. 

- Ecoutez, je sais pas ce que tout ça signifie, mais… cette porte, ce couloir… tout me rappel la nuit où ces créatures sont venus et nous ont pris Daisy. Dis-je. 

- Où est-ce que tu veux en venir ? Me demande Lucky, appréhendant ma réponse. 

- Je suis venu ici pour chercher des réponses. Et peut-être que cette porte peut m’y conduire !

- Non mais t’es pas bien ?! S'écria Lucky, manquant de s'arracher les cheveux.

- Lex, ce n'est pas une bonne idée. Dit Liang. On ferait mieux de faire demi-tour. 

- Je ne vais pas rebrousser chemin maintenant ! Je crie. Je veux savoir ce qui est arrivé à Daisy ! 

Sans attendre, je m’approche de la porte. Mais avant que je ne puisse l’atteindre, Liang m’attrape soudain par le bras et me tire vers lui. J’essaie de me libérer, en vain. Même avec un bras, il a plus de force que moi. 

- Est-ce que tu t’entend parler ? C’est la colère qui te fait penser comme ça. 

- Mais je…

- Je sais que tu veux des réponses. Et moi aussi, j'en ai besoin. On veut des réponses, tout les trois. Mais nous devons sortir d’ici. Je sens que si on reste, il nous arrivera quelque chose. Quelque chose de mal.

- J-Je… 

- On reviendra, je te le promet. Mais dans de meilleurs conditions. Pour l’instant, nous devons sortir d'ici et rentrer avant la nuit. Sinon, nous aurons tous de gros problèmes. 

- Liang… (soupir) d’accord. Tu as raison, il faut qu’on sorte d’ici. Et qu’on fasse soigner ton bras. 

Liang me sourit, soulagé que j’ai repris mes esprits. Je veux obtenir des réponses, c’est vrai. Mais la sécurité de mes amis passent avant tout. Je ne veux pas qu’il leur arrive quelque chose. 

Cependant, alors que Liang enlève sa main de mon épaule, je sens l’atmosphère devenir plus pesante. Au début, je cru entendre une autre voix… avant de voir mes amis regarder autour d’eux, perturbé. 

- Qu’est-ce qui se passe ? Fit Liang. Pourquoi j’ai l’impression… d’étre observé ? 

- J-J ’ai eu la même sensation tout à l’heure ! Dis-je, presque soulagé qu'il la ressente aussi. Mais je pensais que c’était uniquement dans ma tète.

- Euh… les gars ? C’est quoi, ça ? Fit Lucky. 

Ce dernier observe le bout du couloir, et on fit de même. Je sursaute en ne découvrant que des ténèbres. Comme si la pièce du fond avait disparu dans le néant ! 

- Comment c’est possible ? Dis-je, surpris. Nous n’avons pas marcher aussi loin !

- Non mais vous voyez pas que ça se rapproche ?! Cria Lucky. 

En effet, en y regardant de plus près, je remarque que les ténèbres s’approchent dangereusement de nous. Comment l’obscurité pourrait-elle s’approcher de nous ?! 

Avant même que l’on comprenne, le vent commença à souffler. Assez fort pour qu’on soit obligé de baisser la tète. Des particules noirs semblent s’échapper de l’obscurité, qui continu de s’approcher de nous. 

- Qu’est-ce qu’on fait ?! Fit Lucky. 

- On ne peut pas rester ici ! Dis-je. On doit ouvrir la porte ! 

- On a aucune idée d’où elle mène ! Dit Liang. Ce sera peut-être encore pire une fois de l’autre coté !

- Tu vois une autre solution ?! 

- Pour une fois, j’suis d’accord avec Lex ! Dit Lucky. J’veux pas savoir ce qui se passera si ce truc arrive jusqu’à nous ! 

Liang regarde partout autour de lui, cherchant une autre solution. Mais on se rend vite à l’évidence. La porte est notre seule moyen d’échapper à ces ténèbres. 

- D’accord, traversons la porte ! Vite !

Liang nous pousse presque, et je me précipite vers la porte pour l’ouvrir. Mais à la seconde où je découvre ce qui se trouve de l’autre coté, je pousse un cri de surprise. 

Je n’ai malheureusement pas le temps d’avertir mes deux amis qu’on se retrouve déjà de l’autre coté. Derrière la porte, il n’y avait que du vide. Le néant total. Et nous tombons tout les trois à l’intérieur. 

Aucun son ne sort de ma bouche. Pas un cri. L’obscurité nous envahis à mesure que nous chutons. Bientôt, Lucky et Liang disparaissent de mon champ de vision. 

Et je perd connaissance.