Jojo's Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused.

Note de l’auteur : Notre procédé d'écriture sortant de l'ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d'éviter toute confusion dans la lecture.

Pour rappel :

Paragraphes en italique : Le narrateur est l'un des personnages. (le plus souvent Joe)

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S'applique aussi dans les dialogues.

Dans les dialogues :

Phrase entre des astérisque : exemple * J'ai l'impression qu'on m'observe * : Le personnage réfléchit ou pense.

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Petra Windelize (téléphone) : donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Petra parle au téléphone.

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons des à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.

L’équipe Brotherhood Corp.

Jojo's Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused.

Chapitre XIII. Panic Station 2ème partie, fin de la fanfiction 1ère partie.

Joe Joestar, maniant le volant du fourgon, serpentait adroitement à travers une épaisse forêt, un dédale d'arbres imposants.

Les roues du véhicule glissaient habilement entre les obstacles naturels, évitant de justesse les branches et les rochers dissimulés sous la végétation.

Grâce à Perfect Crime, chaque virage était calculé, chaque mouvement du volant était fluide entre l’adresse du conducteur couplet à son stand.

Joe Joestar : « Esquive les arbres ». C’est l’agent d’accueil…

Amadeus Davies : L’agent d’accueil ?!

Joe Joestar : C’est lui le manieur… et je pense que ma théorie est la bonne…

Amadeus Davies : Je vous écoute.

Petra Windelize : Attention Jojo !

Joe Joestar : Merci Petra. « Esquive l’arbre ». Pas facile de circuler ici !... Alors mon idée est la suivante, et je pense que je peux me tromper. Pour transmettre, la peur, l’anxiété, le stress, il faut être en contact avec la victime. Et les seules personnes dans ce cas-là, son moi et l’agent ici présent. Mais je me rends compte qu’il peut maintenir une certaine pression à distance.

Alphonse Reed : Votre théorie est vraie. L’agent d’accueil a touché votre épaule et celui de notre collègue hmhm. Le hic Joe, c’est comment il a su pour l’itinéraire.

Amadeus Davies : Maintenant, que vous le dites… bordel une taupe au DIP merde… Si c’est le cas, toutes nos infos confidentielles… l’ennemi connaît tout de ce que nous faisons ! Quelle négligence de ma part !

Joe Joestar : Amadeus, Cult Of Personality vous auriez dû vous en servir sur tout le monde !

Amadeus Davies : Non ! Je me suis juré de ne plus l’utiliser… ATTENTION JOE !

Brutalement, Panic Station surgit de l’ombre de la forêt, fonçant à une vitesse effarante et percute d’une violence inouïe le fourgon.

Le véhicule se mit à faire plusieurs tonneaux, se déversant sur plusieurs mètres détruisant les arbres sur son sillage.

Mais l’atmosphère changea, le temps sembla ralentir. Dans ce moment suspendu, Alphonse eut le temps et le réflexe de faire appel à son stand.

Grâce à ce précieux laps de temps offert par History, Alphonse parvient à extraire les quatre passagers du véhicule. Les membres de l’organisation furent délicatement mis en sécurité.

Peu à peu, le ralentissement prend fin et reprend son cours normal.

Lenny Bishop (Panic Station) : Toi l’historien ! Tu vas être ma victime prioritaire ! Tu crois qu’une colline et des arbres vont m’arrêter !! « Fait demi-tour ».

Plus loin.

Alphonse Reed : Ils sont tous inconscients.

Joe Joestar : N…non, je suis encore… conscient…

Alphonse Reed : Non non, reste ici Jojo oui.

Lenny Bishop (Panic Station) : « Cri au loin ». Où es-tu ?!

Alphonse s’avance d’un pas déterminé vers son adversaire, plantant son regard droit dans le sien.

Lenny Bishop (Panic Station) : Ah te voilà ! « Fait gronder le moteur ».

D’un geste assuré, Reed remet correctement le col de sa chemise tout en plongeant sa main dans la poche de son pantalon.

Alphonse Reed : Hmhm, je vois que je reprends mes bonnes vieilles habitudes que j’ai mis tant de mal à arrêter…« Sort une cigarette et un briquet à essence ». Ah la jeunesse « Inspire et expire la fumée de cigarette tout en observant le stand ennemi ». * Hum, une souche d’arbre en dessous de la cabine du camion * History !

Alphonse, invoquant son Stand, lance History.

Le Stand, poing prêt à frapper, fonce en direction de Panic Station. Cependant, au dernier moment, History évite de frapper de front et se déplace sous son adversaire, visant plutôt la souche d’arbre.

À ce moment précis, le coup de History atteint la souche qui, par un effet inattendu, reprend sa forme passée, redevenant un arbre massif.

Le tronc, reprenant soudainement sa structure d’antan, propulse sa masse en direction du bas de caisse de la cabine de Panic Station, envoyant le véhicule dans les airs dans une violente secousse.

Lenny Bishop (Panic Station) : Je t’avouerais que je suis surpris de ta créativité l’antiquité, mais ça ne change rien à ta situation hahaha ! Bullets Of Oil !

Panic Station, dans un mouvement rapide, ouvre l'avant de son moteur, déclenchant une série de tirs de balles d'huile en direction de l'Historien.

Voyant l'attaque imminente, ce dernier réagit en ralentissant le temps entre chaque balle, créant une pause temporelle entre les tirs successifs.

Les balles d'huile, lancées avec une vélocité effrayante, semblent ralentir progressivement dans leur trajectoire, créant une suspension visuelle dans l'air.

Alphonse Reed : « Jette sa cigarette ».*Je ne pourrais pas tenir ma cadence aussi longtemps, je dois l’admettre oui. « Reprend son souffle ». Les salves de son stand sont beaucoup plus rapides que tout à l’heure hmhm.*

Lenny Bishop (Panic Station) : « Tombe au sol ». Alors on faiblie ! Est-ce que tu sens la panique monter progressivement en toi hahaha. Je ne vais pas te laisser de répit ! Oh ça non ! Tu as remarqué papy ? Ça brûle, n’est-ce pas ? Tes vêtements commencent à se dégrader hahaha !

Alphonse Reed : « Regarde ses vêtements ». *J’ai été tellement préoccuper par les balles d’huile moteur que je n’ai pas fait attention aux éclaboussures hm oui. Les impacts de brûlure s’étendent…sur mon corps, mais j’ai une idée *

Alphonse retourne History contre lui-même, ciblant chaque marque de brûlure et frappant du doigt pour ralentir la propagation de l'effet.

Lenny Bishop (Panic Station) : Oh ! Ce combat est tellement excitant !! Hahaha. Mode Gatling !

Panic Station abaisse son pot-d’échappement, ouvre la gueule et tire des salves de balle d’huile sur l’homme d’histoire.

Pour sa survie, Alphonse ralentie une nouvelle fois le temps et par se réfugier derrière un arbre massif encore debout.

Alphonse Reed : « Touche son nez ». Du sang ?!... je ne tiendrais pas longtemps…j’ai beau avoir rajeuni, avoir retrouvé ma forme d’avant, je reste fragile à cause de cette capacité que j’ai perdue et m’a vidé toute mon énergie… je n’ai pas assez récupéré… « Regarde son ennemi d’un coin de l’arbre ». Je dois en finir maintenant avant que cet arbre ne soit plus en état hmhm oui.

En prenant un grand bol d’air, Alphonse se précipita vers Panic Station malgré les tirés dévastatrice de goutte d’huile qui jaillissent du monstre mécanique.

Reed, déploie toutes les capacités temporelles de son stand à ralentir le temps pendant quelques secondes et remonte le temps sur les souches d’arbres en leur redonnant leur apparence initiale afin de les utiliser comme rempart naturel.

Hélas, à force d’utiliser le ralentissement temporel, Alphonse saigne des oreilles et du nez et faiblie petit à petit.

Alphonse Reed : « Reprend son souffle ». Hmhm cet arbre et le dernier… C’est sans doute ma dernière attaque oui…oui… « Regarde ses mains ». Merci Jojo de m’avoir permis de ressentir le goût très rapide serte… Le goût de l’aventure et de l’histoire. Je… je ne pourrais en fin de compte pas finir mes recherches sur ce groupe funeste hmhm. Personne ne me croyait… personne… « Sert ses poings ».

Alphonse, dans un ultime assaut se remémore un souvenir pendant que son ennemi fonce à toute allure sur l’historien.

**Flash Back**

Année 1980, Boston Muséum, Boston Massachusetts.

Historien : Vous êtes encore avec cette histoire Reed ! C’est la vieillesse qui tape votre tête !

Voilà… voilà ce genre de phrase que je prenais en plein dans mon moral et mon amour pour ma profession hmhm.

Je ne me suis pas présenté, je suis

Alphonse Reed, le Alphonse âgée oui.

J’étais un historien et explorateur de renommée aux États-Unis.

Je parle au passé, car ma réputation a chuté à cause des récits de procès de Salem, une spécialisation sur laquelle, j’avais bâti en grande partie ma carrière hmhm.

Durant, un déménagement et par un hasard où peut-être pas oui. J’ai découvert, une boîte noire contenant des documents datant de plusieurs siècles d’un après-procès.

Une histoire de vengeance par un groupe énigmatique.

Au cœur de mes enquêtes, ce groupe a fini par me kidnapper, me laissant pour mort car ma curiosité avait dépassé les limites. Du moins, c’est ce qu’ils pensaient oui…

Ils ont cru m’avoir tué par leur fameuse dague de rituel. J’ai acquis grâce à cette arme, mon stand History. Ces capacités me permettent de voyager dans le temps, une aubaine pour tout historien qui se respecte. J’ai donc poursuivit mes recherches sur ce groupe.

Cependant, malgré mes efforts, mes recherches n'ont pas porté leurs fruits. J’ai donc pris la décision de partager mes découvertes avec mes collègues. C’est à partir de ce moment que ma chute a commencé.

Mes collègues et amis m’ont traité de charlatan de menteur oui. Refusant de me croire en ce que je racontais.

**Fin du flash back**

Alphonse Reed : * Mais depuis, j’ai rencontré Joe Joestar, je le connais que très récemment hm oui, mais il m’a permis de reprendre mes recherches… Merci du fond du cœur. * HISTORY ralentissement du temps 95% ! « Crache du sang ».

History/Alphonse Reed : DIE ! DIE ! DIE ! DIE !

History frappe en série de coups-de-poing toute la carrosserie du camion et de sa citerne. Puis le temps reprend son court.

Panic Station qui semble n’avoir rien subi en dégâts fonce toujours vers l’homme d’histoire qui peine à se relever.

Alphonse Reed : « Se relève péniblement ». Tu es… mort hm « Tousse ». Hm oui, tu as disparu de l’histoire. « Tousse et crache du sang ». Bon sang …

Lenny Bishop (Panic Station) : « Accélère de plus en plus ». Il a pété un plomb haha ! Je vais t’écraser encore et encore ensuite, je passerais à tes amies ! MEURT DE PANIQUE !!!

Alphonse l’homme d’histoire pointe son doigt vers l'avant, atteignant le capot du camion lancé pour l'anéantir.

Lenny Bishop (Panic Station) : Il a vraiment perdu la tête ! Meu…

En un claquement de doigts de façon brutale, Panic Station, ainsi que son manieur, succombent, se réduisant en poussière.

Alphonse Reed : L’histoire. « baisse son bras ». L’histoire de l’humanité a été écrite par le sang, la tienne, c’est finit… en poussière… « S’écroule au sol »...Ce fut… une aventure rapide. Hmhm oui…

Conclusion :

Colline boisée à proximité de l'autoroute Boston / Salem.

Combat : Alphonse Reed / History Vs Lenny Bishop / Panic Station.

Victoire : Alphonse Reed / History

Statut des personnages :

Alphonse Reed : Statut inconnu.

Lenny Bishop : Statut Décédé. Corps en poussière.

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Description des statistiques actuelles du Stand (Mise à jour): History.

Classification : Stand Artificiel Humanoïde.

Type de Stand : Stand courte portée, Soutien.

Manieur : Alphonse Reed.

Référence : Michael Jackson.

Capacité perdu :

Rajeunissement : History était capable de rajeunir son manieur en échange d'énergie.

Statistiques :

Note : A = Excellent, B = Bon, C = Moyen, D = Mauvais, E = Très mauvais.

Force : B, Vitesse : A, Portée : C , Précision : B, Potentiel : A

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Fin du chapitre XIII Panic Station 2ème partie et de la Fanfiction 1ère partie.