Jojo's Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused.

Note de l’auteur : Notre procédé d'écriture sortant de l'ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d'éviter toute confusion dans la lecture.

Pour rappel :

Paragraphes en italique : Le narrateur est l'un des personnages. (le plus souvent Joe)

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S'applique aussi dans les dialogues.

Dans les dialogues :

Phrase entre des astérisque : exemple * J'ai l'impression qu'on m'observe * : Le personnage réfléchit ou pense.

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Petra Windelize (téléphone) : donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Petra parle au téléphone.

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons des à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages. 

L’équipe Brotherhood Corp.

Jojo’s Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused

Chapitre III Perfect Crime.

Légende :

Texte avec *Texte* : Le personnage parle dans sa tête.

Situé au littoral de l’océan Atlantique au nord-est des États-Unis d’Amérique, la ville de Boston est la capitale administrative et une ville principale de l'État du Massachusetts.

La ville de Boston est connue pour ses excellentes universités.

Un endroit où il fait bon vivre, charger d'histoire et qui regorge d’activités diverses et variées. Visité Faneuil Hall et Quincy Market, l'un des tout premiers centre commerciaux où la Old North Church, université d'Harvard, partir en escapade en plein air au Public Garden (Parc fleuri) et bien plus encore.

Mais tout ce beau panorama cache autre chose. Quelque chose de beaucoup plus sombre qui entache cette belle ville. Des crimes inexpliqués qui assombrissent de plus en plus la capitale du Massachusetts depuis quelques mois.

Comme cet appel émis par un témoin. Voici les détails du rapport d’appel rédigé par un opérateur du DIP :

Un randonneur et son chien ont une routine tout à fait normale, chaque matin, le randonneur et son animal de compagnie emprunte un chemin de promenade en passant devant un saule pleureur, un arbre majestueux et imposant qui a toujours attiré leur attention.

Mais, un matin celui-ci constate que l’arbre a disparu. L’homme trouvait ça très étrange. Il y avait aucune trace d’éventuels bûcherons qui auraient coupé l’arbre, absolument aucune trace.

Deux jours après la disparition de l’arbre, le randonneur et son chien passent de nouveau devant l’emplacement du saule pleureur et cette fois-ci l’arbre était bel et bien là. Mais quelque chose d’étrange a changé. Le propriétaire du chien remarque rapidement trois cadavres pendus aux branches de l’arbre, ce qui donna une sensation de terreur. Il est choqué et se demanda, comment une chose pareille a pu se produire.

Le randonneur décide d’appeler les autorités locales, mais les autorités de Boston ne le prennent pas au sérieux et pensent que c’est un illuminé, mais ils ont tout de même transféré son appel au Département Investigation Paranormal et affaire non résolu fraîchement arrivé à la capitale du Massachusetts.

Vendredi 23 décembre 2016, 9 h 27. Chemin de randonné à proximité de Boston dans le Massachusetts.

Amadeus Davies : « Ferme son carnet ». Très bien monsieur, avez-vous vu autre chose d’anormale ?

Randonneur : Non du tout, je vous ai tout raconté.

Amadeus Davies : Je vous remercie de votre coopération, vous pouvez partir. Cet agent vous escortera à la sortie du périmètre de sécurité. Au cas où nous aurions d’autres questions, nous vous contacterons.

Randonneur : Bien sûr, monsieur. Merci.

Pendant que l’agent du DIP escorte le randonneur à la sortie, Amadeus rejoint le groupe logistique qui sont en charge de décrocher les corps avec leurs nacelles.

Amadeus Davies : Avez-vous vu Joestar dans le coin ?

Agent du DIP 2 : Eh bien, il se trouve derrière l’arbre chef. Ça doit bien faire 1 heure qu’il ne bouge pas.

Amadeus Davies : 1 heure qu’il ne bouge pas ! Hum, je vais voir ça merci agent.

Le chef du DIP fait le tour du saule pleureur et aperçoit Joe Joestar immobile en proie à une grande réflexion.

Amadeus Davies : « Racle sa gorge ». Joestar, quelque chose ne va pas ? « Demanda-t-il ».

Joe Joestar :… J’en ai vu des choses anormales, bizarre ou même étrange, mais alors ça… ça sort de l’ordinaire.

Amadeus Davies : Qu’est-ce que vous avez vu ?

Joe Joestar : Vous ne voyez pas ? L’arbre, il a une sorte d’aura blanchâtre autour de lui.

Amadeus Davies : Une aura ? « Observe l’arbre ». Je ne vois rien inspecteur.

Joe Joestar : Sérieusement ! C’est pourtant là ! « Cria-t-il en croisant les bras ».

Amadeus Davies : Non, je ne vois pas votre aura. Hum, dites-moi, vous avez posé combien de fois la question ?

Joe Joestar : J’ai posé la question 36 fois, aux 35 agents dont vous inclut et au randonneur donc 36 fois.

Amadeus Davies : Hum, je pense que vous subissez les contrecoups de votre malaise. Du repos, vous fera pas de mal.

Joe Joestar : Non, je vous remercie, je vais bien. Je dois trouver la solution à ce que je vois.

Agent du DIP 2 : Monsieur ! Chef ! Les corps ont été retirés des branches de l’arbre. Quels sont vos ordres ?

Amadeus Davies : Emmener les au QG pour analyse par notre légiste et…

Joe Joestar : Je souhaite les analyser personnellement ! « Répliqua-t-il en coupent la parole ».

Amadeus Davies : Pardon ?

L’inspecteur s’avance en direction de son chef mains dans les poches.

Joe Joestar : Je souhaite les analyser monsieur. Cette aura se trouve aussi sur les corps des victimes et je veux savoir ce que c’est et pourquoi est-elle présente.

Amadeus Davies : Et bien… oui, c’est d’accord inspecteur…

Joe Joestar : C’est tout bonnement fascinant, j’aime bien quand l’enquête commence avec de la difficulté, moi qui pensais m’ennuyer. « Se dirige vers la sortie du chemin de randonnée ».

Agent du DIP 2 : Il est… spécial non ?

Amadeus Davies : « Soupir ». Même moi qui cerne les gens rapidement, je crois que j’ai pas du tout fini avec cet homme.

Vendredi 23 décembre 2016, 13 h 30. QG du DIP, Salle d’autopsie, Boston, Massachusetts.

Dans la salle d’autopsie toute neuve aux murs blancs et aux sols couverts de carrelage, se trouve Jojo qui se tient à côté de trois tables en acier inoxydable où sont disposés les trois corps retrouvés au chemin de randonnée qui sont enveloppés dans des draps blancs.

Munie d’une blouse blanche et de gants en latex, Joe s’apprête à faire l’analyse des corps.

Joe Joestar : « Retire tous les draps blancs ». Voilà qui est mieux.

- Les trois corps présentent, des lacérations sur les chevilles et les poignets.

- Présence d’une plaie au niveau du cœur.

- Et leurs visages sont figés par la peur.

Exactement comme les premières photos que j’ai vues, mais maintenant que j’ai trois cadavres sous les yeux et non des photos, je vais pousser mon analyse.

Joe se dirige en direction de l’un des corps afin de faire un diagnostic visuel plus précis. Mais quelque chose cloche, la vision de l’inspecteur est trouble.

Joe Joestar : Non de… je vois… « Passe sa main devant ses yeux ». Je.. je vois à travers ma main… même à travers le corps sur la table… Qu’est-ce qui m’arrive depuis ce matin ? Je vois les articulations, les muscles, les organes, le sang qui circule dans ma main et cette fameuse aura blanchâtre autour des corps…

Joe perplexe, se frotte les yeux, mais hélas rien ne change.

Joe Joestar : C’est comme si que j’avais un scanner comme dans ce jeu vidéo de l'homme chauve-souris, la vision détective. « Regarde ses mains ». C’est bizarre, mais à la fois fascinant. Cela, c’est manifester quand je suis concentré. Je vais essayer de nouveau cet étrange don sur le corps de ce pauvre homme.

Le jeune inspecteur refait donc son analyse visuelle en se concentrant, sa vue est de nouveau troublée par cet étrange don. Quelque chose apparaît sur l’œil droit de Jojo, une loupe de détective, ce qui ne semble pas préoccupé Joe qui ne le remarque pas.

Joe Joestar : Cet homme présente une fracture du col du fémur, des vis et des plaques sont présents, mais cela ne m’intéresse pas. « Dirige son regard vers le torse de la victime ». Par contre ça, c’est intéressant. Son cœur a été complètement desséché. L’arme utilisée pour mettre fin à sa vie doit être la cause de l’état de son cœurs. Je vais vérifier sur les autres corps.

En examinant les deux autres corps, Joe constate que leurs cœur est aussi dessécher. Pousser par la curiosité dont fait preuve Jojo, il décide d’appeler un médecin légiste afin qu’il ouvre la zone du cœur des trois cadavres à l’aide des outils à disposition tels que des ciseaux, scalpel dans le but d’examinés l’organe vital des victimes.

Médecin légiste : Je n’ai jamais vu rien de tel ! Comment on va l’extraire ?

Joe Joestar : On ne va pas l’extraire, le cœur est comme une feuille-morte fragile. C’est impossible de le retirer, on risque de l’endommager, voir le détruire.

Joe se concentre de nouveau afin d’utiliser à nouveau son don.

Joe Joestar : L’ arme utilisée est une dague à lame courbée, taille de la lame 21 cm.

Médecin légiste : Comment… comment vous le savez ?

Joe Joestar : Hum, et bien une simple estimation. Dites-moi, leurs vêtements sont toujours disponibles ?

Médecin légiste : Oui monsieur, je vous rapporte ça.

Le médecin légiste rapporte trois sacs à l’inspecteur du DIP. Celui-ci les ouvre puis étale les vêtements sur la table.

Médecin légiste : Si vous avez besoin de moi, je suis juste à côté inspecteur.

Joe Joestar : Merci. * L’ aura est présente aussi sur les vêtements. Hum, peut-être que je trouverai des indices.

Joe scrute minutieusement les vêtements de chaque victime. Tous avec cette étrange aura blanche, mais malheureusement Joe ne découvre rien.

Joe Joestar : « Pose sa main sur son menton ». Et si cette aura blanche était la marque déposée par l’assassin ? Il faut que je retourne sur la scène de crime pour en être sûr, le don que j'ai pourrait mettre utile.

Vendredi 23 décembre 2016, 16 h 03. Chemin de randonné à proximité de Boston. Massachusetts.

De retour sur le lieu du crime, Joe se met immédiatement au travail en inspectant minutieusement chaque recoin à la recherche du moindre indice ou trace oublié.

Joe Joestar : « Regarde le ciel ». Hum, le ciel commence à s’assombrir de plus en plus des flocon de neige commence à tomber légèrement. Aller ne perdons pas de temps.

L’inspecteur du DIP se concentre pour faire réapparaître son étrange pouvoir et cela fonctionne, la grande aura blanchâtre réapparaît sur l’arbre.

Joe Joestar : L’aura de l’arbre est toujours présente, mais elle semble moins intense que ce matin. Si mon hypothèse est la bonne, l’aura et s’en doute un lien avec le suspect. Une sorte de trace d’ADN et qu’au fur et à mesure que le temps passe la trace disparaît.

Joe Joestar pose un genou au sol et observe le sol.

Joe Joestar : Il y a aucune trace de pas… Comment le suspect a pu déplacer les corps et les mettre sur les branches ? C’est impossible sans laisser de traces dans la logique. « Se remet debout ». L’hypothèse dite paranormale serait que le suspect soit invisible, qu’il est la faculté de faire disparaître cet arbre temporairement aux yeux de tous… je ne vois que ça comme solution…

??? : Tu es un petit malin toi… En même temps de la part d’un inspecteur, cela ne m’étonne pas. Un inspecteur qui pense très fort même…

Joe Joestar : « Regarde autour de lui ». Le suspect revient toujours sur la scène de crime. C’est élémentaire.

??? : Tss, épargne-moi ton monologue de détective. Je t’ai observé, tu sais. Et tu vas être un véritable problème. Si je t’élimine ici et maintenant, tu ne manqueras à personne.

Joe Joestar : * Tss, c’est de pire en pire, me voilà coincé. Il peut m’attaquer de n’importe où et n’importe quand. *

Sans que Jojo ne s'en aperçoive, quelque chose d’invisible écarte légèrement la veste effet cape et s’empare ensuite du 9 mm de service de l’inspecteur avant de le pointer en direction de Joe.

??? : Meurs inspecteur !!

Joe Joestar : * Merde !! Mon arme de fonction, il me la prit sans que je ne m’en rend compte ! Je suis fichu fuir ne servira à rien… j’ai tant de choses à découvrir. Je ne peux pas mourir comme ça !! *

La chose invisible tire sur Joe, le bruit du coup de feu résonne sur un large périmètre, ce qui fait s’envoler les oiseaux à proximité.

La neige commence à tomber lentement sur Boston sous un silence total, plus un bruit ne se fait entendre.

??? : Tu n’es pas mort !! « Observe Joe ». Je vois toi aussi…

Joe Joestar : C'est… c’est quoi cette main qui sort de mon torse ? Elle a stoppé la balle du 9 mm !

??? : Tu es donc toi aussi un manieur de Stand ? * Il ne doit pas le maîtriser contrairement à moi. « Rigole ». Parfait.*

Joe Joestar : « Récupère la balle de la main de son Stand ». Un stand, dis-tu ?

??? : Un stand est une personnification de l’énergie vitale de son manieur, dont les capacités de celui-ci prennent une forme visuelle. Le manieur doit donner un nom à son Stand pour l’appeler.

Joe Joestar : Je vois… je pourrais te battre et t’envoyer en prison avec mon Stand.

??? : Haha, tu es drôle toi. N’y pense même pas.

Joe Joestar exécute une pose en pointant son doigt en face de lui et en tenant son béret casquette.

Joe Joestar : Je ne sais pas où tu te caches où tu te trouves : devant moi, à gauche, à droite, en haut ou en bas. Mais une chose est sûre, ton crime aurait pu passer inaperçu et tu ne serais pas retrouvé si tu n’étais pas tombé sur moi. J’aurais vraiment aimé tomber sur un crime qui me donnerait du fil à retordre. Mon ambition la plus grande est de résoudre un crime parfait. C’est pour cela que je nomme mon Stand Perfect Crime !

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Description des statistiques actuelles du Stand (Mise à jour plus tard) : Perfect Crime

Classification : Humanoïde naturel.

Type de Stand : Stand de Proximité. (Corps à Corps).

Manieur : Joe Joestar.

Référence : Gun N' Roses

Perfect Crime est un Stand de corps-à-corps unique comme (Stone Free de Jolyne Kujo). Il peut fournir à Joe de nombreuse capacité extérieur, comme par exemple une loupe qui lui permet de voir à travers les corps et d'apercevoir tous les mécanismes du corps humain.

Statistiques :

Note : A = Excellent, B = Bon, C = Moyen, D = Mauvais, E = Très mauvais.

Force : A, Vitesse : A, Portée : C, Précision : A, Potentiel : D

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Fin du chapitre III Perfect Crime.