Jojo's Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused.
Chapitre 1 : Une réputation de Sherlock Holmes.
3812 mots, Catégorie: T
Dernière mise à jour 05/03/2023 12:09
Note de l’auteur : Notre procédé d'écriture sortant de l'ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d'éviter toute confusion dans la lecture.
Pour rappel :
Paragraphes en italique : Le narrateur est l'un des personnages. (le plus souvent Joe)
Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S'applique aussi dans les dialogues.
Dans les dialogues :
Phrase entre des astérisque : exemple * J'ai l'impression qu'on m'observe * : Le personnage réfléchit ou pense.
Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.
Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Joe Joestar (téléphone) : donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Joe parle au téléphone.
Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons des à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.
L’équipe Brotherhood Corp.
Jojo's Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused.
Chapitre I. Une réputation de Sherlock Holmes
Lundi 20 Décembre 2016. 10 h 00. Dans un café à Convent Garden, Londres, Angleterre.
Dans une rue de Londres, un jeune homme d’environ vingt-quatre ans pénètre dans un café. Il est vêtu d’une veste grise effet cape, partiellement ouvert, laissant entrevoir un gilet sans manches noir et une cravate assortie. Sur sa tête, un béret casquette en lin, également gris, est orné d’initiales JOJO. Il porte un pantalon noir et des chaussures de ville du même coloris que son pantalon.
Barman : Ah ! Mon client régulier. « Frotte une tasse avec un chiffon » Bonjour !
??? : Brrr… Il ne fait pas chaud, mais c’est vivifiant pour aller travailler. Bonjour Silas ! « Dit-il en le saluant avec son béret ».
Silas : Comme d’habitude ?
??? : Exactement
Silas : Je vous prépare ça. Installez-vous.
Le jeune homme s’installe au fond de la salle à côté d’une fenêtre retirant son béret qui laisse apparaître ses cheveux de couleur brun à la coiffure style Middle Part avec un léger dégrader sur les côtés puis quelques minutes plus tard le gérant du café arrive avec un café et un croissant chaud.
Silas : Tenez votre café et votre croissant chaud comme d’habitude « Pose les deux soucoupes ». Vous avez lu le journal de ce matin Jojo ? Vous faites encore parler de vous. « Déclare-t-il en montrant le journal ». Vous devenez célèbre.
??? : Ah oui tien donc montrez-moi ça. « Lit l’article de journal ». (Notre Sherlock Holmes des temps modernes, monsieur Joe Joestar à une nouvelle fois élucider une enquête, il s’agit de l’affaire Erin qui était classé sans suite pour manques de preuves. Cela fait dix ans que la jeune femme a disparue….) « Pose le journal ». Les médias le savent déjà incroyable… Silas vous savez que la célébrité, la gloire et l’argent ne m’intéressent pas. « Prend une gorgée de son café ».
Silas : Oui, mais on parle de vous. Voyez le bon côté des choses Joe, certes la célébrité ne vous intéresse pas, mais votre réputation grandit… Oh tient des clients ! Bon je vous laisse, j’ai du travail appeler moi si vous désirez autre chose.
Le gérant retourne derrière son comptoir à servir d’autres clients quant à l’inspecteur, il savoure son petit déjeuner le tout en réfléchissant.
Joe Joestar : « Regarde par la fenêtre du café tasse en main » * Il n’a pas tout à fait tort cette réputation grandie et cela pourrait me faire connaître dans le monde entier, m’ouvrir d’autres portes qui sait, mais…*
Joe Joestar remarque et entend trois jeunes femmes qui semblent être des étudiantes en train de lire le fameux journal.
Jeune femme 1 : Tien regarder, c’est cet article que je vous parlais tout à l’heure. « Montre du doigt le passage en question ».
Jeune Femme 2 : Oui ! Ouah ! Il est beau gosse en plus hihi ! Si seulement on pouvait le voir !
Jeune femme 1 : Tu m’étonnes ! Aller, on va boire un café…. « Tourne son regard vers la vitre ». Non mais !!! C’est lui !
Jeune femme 3 : Tu es sérieuse là !
Jeune femme 2 : Hein tu ri…. Hiiiiii !
Joe Joestar : Oh merde… ça commence ! « Dit-il en se levant rapidement ». Désolé Silas ! « Paie la note ». Je n’ai pas le temps !
Silas : Mais, vous venez de vous installer…
Joe Joestar : Encore désolé Silas !
Silas observe avec surprise l’arrivée fracassante de trois jeunes femmes qui pénètrent en trombe dans son bar, poursuivant Joe.
Silas : Je comprends maintenant pourquoi il était pressé haha. Mais ce n’est pas une raison de passer par mon bar Mesdemoiselles pour poursuivre mon client ! Pff les jeunes de nos jours.
Joe Joestar qui est sortie par l’arrière du bar commence à marcher rapidement dans une petite ruelle, pensant avoir semé les jeunes filles qui le poursuivaient. Cependant, il entend bientôt des voix derrière lui et se retourne pour voir les trois jeunes filles courir vers lui en riant.
Joe accélère immédiatement et se met à courir à travers la ruelle étroite, en évitant de justesse les poubelles et autres obstacles qui se dressent sur son chemin. Les filles le suivent de près, criant et riant de plus belle.
L'inspecteur saute par-dessus un mur bas et atterrit dans une petite cour, où il trouve une vieille échelle rouillée qui mène au toit d’un petit bâtiment. Sans hésiter, il grimpe sur l’échelle, tandis que les filles arrivent dans la cour quelques secondes plus tard. Elles voient le garçon monter sur le toit et commencent à chercher un moyen de le suivre. L’une d’elles repère une autre échelle à proximité et décide de l’utiliser pour atteindre le toit. L’autre fille trouve une caisse en bois et l’utilise pour se hisser sur un rebord de fenêtre, avant de sauter sur le toit.
Le jeune homme court à travers les toits, en évitant les cheminées et les lucarnes, tout en essayant de semer les filles. Cependant, elles sont déterminées à le rattraper et continuent de le poursuivre, sautant habilement d’un toit à l’autre. Finalement, Joe se retrouve acculé au bord d’un toit, avec nulle part où aller. Les filles le rejoignent, souriantes et essoufflées.
Joe Joestar : Très bien « Essouffler ». Vous m’avez eu… Mais ce n’est que partie remise. « Dit-il en riant, avant de se laisser tomber dans un conteneur à sacs-poubelle en contrebas ».
Jeune femme 1 : Oh non ! Il a sauté !
Jeune femme 2 : « S’approche du bord du toit ». Il a atterri dans un conteneur à sacs-poubelle !
Jeune femme 3 : Le pauvre, il a dû se faire mal non ?
Jeune femme 2 : Tout va bien !? « Cria-t-elle ». Les filles, je crois qu’on est allé trop loin.
Joe émerge du conteneur à sacs-poubelle, en secouant la poussière de ses vêtements avant de jeter un coup d’œil à sa montre.
Joe Joestar : Mince bientôt onze heures, à cause de cette course-poursuite je suis en retard « Se gratte l’arrière de sa nuque ». Tien ma casquette où est-elle ? « Regarde autour de lui ». La voilà ! « Dit-il en la ramassant ». Désoler mesdames, mais je dois y aller, je vous souhaite bonne journée. « Les saluts avec un geste de la casquette ».
Jeune femme 1, 2 et 3 : JOJO NON !!! REVIENT !!!
11 h 25. Scotland Yard, Cité de Westminster, Grand Londres, Angleterre.
Commissaire Hall : Inspecteur Joestar ! Vous êtes en retard !
Joe Joestar : J’ai été retenu… « Se gratte la nuque ».
Commissaire Hall : Hum, laisser-moi deviner, vous étiez retenu par une enquête en cours de chemin, hein ? Vous ne pouvez vraiment pas vous empêcher de vous impliquer.
Joe Joestar : Hehe… c'est que... en faite.... « Se racle la gorge ».
Commissaire Hall : « Soupir » Je passe l’éponge pour cette fois inspecteur parce que vous êtes un bon élément. Bon, venez dans mon bureau, j’ai quelque chose à vous dire, c'est très important.
Le commissaire Hall et Joe empruntent un couloir pour rejoindre le bureau de son supérieur.
Joey Joestar : Qu'est-ce que vous voulez me dire Commissaire ? « Referme la porte derrière lui ».
Commissaire Hall : « S'assoie sur sa chaise de bureau ». C'est une nouvelle vous concernant... Je suis désolé Joe...
Joe Joestar : Désolé ? Désolé de quoi ? Que ce passe-t-il Monsieur !?
Commissaire Hall : J'ai reçu une lettre du gouvernement ce matin, annonçant que vous serez transféré dans un autre service. Je n'ai pas plus d'informations à ce sujet. « Dit-il en posant la lettre sur la table ».
Joe Joestar : Un.. un transfère...je ne comprends pas. « Répond-il perplexe et confus ». C'est si soudain... Un jour ou l'autre ça devait arriver... Quel est ce service ?
Commissaire Hall : Je ne sais absolument pas inspecteur. Tout ce que je sais, c'est qu'un homme du nom d'Amadeus Davies appartenant à votre nouveau service, vous attend dans l'une des salles d'interrogatoire du commissariat.
Joe Joestar : Et qu'en est-il de ma mutation, commissaire ? Quand est-ce que cela aura lieu ?
Commissaire Hall : Vous partez dès maintenant, Joe. Allez rencontrer cet homme et il vous donnera toutes les informations dont vous avez besoin.
Joe Joestar : Ils ne perdent pas de temps. Bon très bien, commissaire.
Joe saisit la poignée de la porte du bureau et commence à partir, lorsque le commissaire l'interpelle de nouveau.
Commissaire Hall : Joe, saisissait cette opportunité, ne la refusez pas. Vous êtes un excellent enquêteur ne gâcher pas votre jeune carrière.
Joe quitte le bureau du commissaire et se dirige vers la salle d'interrogatoire, se demandant ce qui l'attend. La mission secrète et l'homme mystérieux qui l'attendent semblent être le début d'une aventure qui pourrait changer sa vie pour toujours.
En entrant dans la salle d’interrogatoire, le jeune homme aperçoit un individu en costume assis sur une chaise face à la table.
Joe Joestar : Pourquoi une salle d’interrogatoire pour une entrevue ? Ce n'est pas les salles qui manque ici... « Soupir ».
Amadeus Davies : Vous voilà, asseyez-vous s’il vous plaît inspecteur « Joins ses mains ».
Joe Joestar : Hmm, merci. « Retire sa veste et son béret casquette puis s'assoie ».
Amadeus Davies : Vous semblez confus ?
Joe Joestar : Et bien oui, une mutation sans me demander ça prête à confusion, mais je m'y attendais, je ne pensais pas que cela arriverait maintenant.
Amadeus Davies : Je suis désolé que cela arrive maintenant, je vous assure et je comprends votre réaction. Vous avez le droit de refuser cette offre cela va de soi, mais ça serait une erreur de votre part.
Joe Joestar : Très bien, je vous écoute monsieur.
Amadeus Davies : Bien, je me présente, je m’appelle Amadeus Davies chef du DIP : Département Investigation Paranormal affaire inexpliqué et non résolu au niveau international. « Tourne des pages ». Joe Joestar 24 ans née en 1992 à Londres. Fils de Jacob Joestar capitaine de la Britich Army et Héloïse Everseau écrivain célèbre. Votre réputation vous précède ! Le plus jeune inspecteur de Londres, des articles de journaux sur vos enquêtes etc. Vous êtes un sacré phénomène monsieur Joestar. D’ailleurs, pouvez-vous me raconter l’affaire Erin que vous avez résolue hier.
Joe Joestar : « Croise les bras ». Vous avez le rapport sous vos yeux, vous avez cas le regarder.
Amadeus Davies : Certes, mais je veux l’entendre de votre bouche.
Joe Joestar : Humpf… très bien, si vous insistez.
Début du flash back.
Dimanche 19 décembre 2016. 14 h 43. Brooks Green, Hammersmith Angleterre.
Joe Joestar : [ J’ai résolu cette affaire en 1 jour à 15 h 15 et 15 secondes précisément. ]
Policier 1 : « Toc à la porte ». Police de Scotland Yard ! Veuillez nous ouvrir monsieur !
Policier 2 : Il en met du temps… « Regarde sa montre ».
Joe Joestar : En effet… Mais il est bien présent chez lui. Croyez-moi. * Qu’est-ce qui le retient pour mettre autant de temps pour nous ouvrir ?*
??? : « Ouvre la porte ». Excusez-moi messieurs, j’étais au petit coin haha. « Dit-il gêné ». Que puis-je pour vous messieurs ?
Joe Joestar : Bonjour monsieur Clover, je suis l’inspecteur Joe Joestar « Montre sa plaque ». Nous avons un mandat de perquisition pour fouiller votre domicile dans le cadre de l’affaire Erin.
Mr Clover : « Soupir ». Vous avez déjà fouillé ma maison et vous n’avez rien trouvé et ça remonte à dix ans…
Policier 2 : Nous avons un mandat de perquisition monsieur laisser nous entrer s’il vous plaît.
Mr Clover : Très bien, très bien… entrer.
Joe Joestar : [ Pendant que mes deux collègues interrogeaient Monsieur Clover, j’ai parcouru méticuleusement toutes les pièces de son domicile à la recherche de tout élément suspect. Malheureusement, je n’ai rien trouvé d’inquiétant jusqu’à ce que j’arrive dans le salon où se trouver mes collègues ainsi que le suspect. C’est là que j’ai entendu un léger bruit sourd venant du sol, comme un toc sur un mur de béton. Intrigué, j’ai posé mon oreille sur le sol et j’ai commencé à toquer sur différentes parties du plancher à la recherche d’une éventuelle entrée secrète.]
Mr Clover : Qu’est-ce qui fait ? Il est bizarre…
Joe Joestar : Pas plus bizarre que vous monsieur, je vous assure. « Dit-il en continuant de toquer au sol ». * Le toc sourd semble me diriger vers un endroit précis *
Mr Clover : Moi… hehe…bizarre vous rigolez…
Joe Joestar : « Toc sur le sol ». * Ça sonne creux ici…* Messieurs « Pose ses mains sur ses genoux ». L’affaire de la petite Erin est résolue !
D’un geste vif, Jojo retire le tapis du salon, provoquant la chute de la table basse. Il y découvre une trappe dissimulée à même le sol.
Soudainement, monsieur Clover profite du moment d’inattention des policiers et tente de fuir du salon par la porte d’entrée de sa maison, cependant, celui-ci n’a pas eu de chance, car en ouvrant la porte, il tombe nez à nez avec trois autres agents de police qui attendaient à l’extérieur.
Amadeus Davies : [Ensuite, que s'est-il passé ?]
Joe Joestar : [Pendant que mes collègue qui étaient avec moi dans le salon rattrape l’individu, j’ai ouvert la trappe cachée sous le tapis et sans perdre un instant, j’ai emprunté l’escalier qui menait au sous-sol.]
Joe Joestar : Il fait noir la dedans. « Dit-il en sortant sa lampe de poche de sa ceinture ». Hum, l’air est frais et humide… C’est de pire en pire, il y a une odeur de moisissure oppressante.
Au bout de quelques instants, le jeune inspecteur arrive devant une porte en bois vermoulu, qui était verrouillée. Jojo sort son arme et fait sauter le verrou d’un coup de feu bien ajusté. Celui-ci entre dans la pièce, éclairée par une faible lueur. Au fond de la pièce, Erin était assis à même le sol
Joe Joestar : « Range son arme et sa lampe ». Tout va bien Erin, je suis l’inspecteur Joe Joestar de Scotland Yard. « Chuchote-t-il en marchant doucement vers la victime ». Je suis ici pour te sortir de là et te ramener chez toi. « Fait un geste des bras pour la prendre dans ses bras ».
La jeune femme désormais âgée de 24 ans se dirige en courant et se jette dans les bras de son sauveur. Joe l’a immédiatement enlacée pour la réconforter, lui assurant qu’elle était en sécurité maintenant et que tout allait bien se passer. Il a senti ses larmes couler sur son épaule alors qu’elle le remerciait de l’avoir sauvée.
Joe Joestar : Ça va aller. * Elle est en état de choc total à cause de ces dix longues années de captivité. Elle présente des blessures physiques, telles que des ecchymoses un peu partout sur son corps, signe de maltraitance. Vu sa condition physique, elle est très affaiblie, dénutrition et certainement une déshydratation. Personne ne devrait subir une telle chose...* Très bien Erin nous allons remonter au salon et tu seras libre d'accord ?
La jeune femme acquiesce avec un signe de la tête.
Joe et Erin remontent enfin au salon, après que les policiers ont fini de rassembler les preuves et de sécuriser les lieux.
Joe Joestar : Agent, prenez-la avec vous. Est-ce que l'ambulance est arrivée ?
Policier 1 : Oui inspecteur. Venez mademoiselle. « La prend dans ses bras ». Je vais vous emmener à l'ambulance.
L'inspecteur s'avance vers monsieur Clover qui est menotté et qui présente un regard hagard.
Joe Joestar : Monsieur Clover, Vous avez le droit de garder le silence. Si vous renoncez à ce droit, tout ce que vous direz pourra être et sera utilisé contre vous devant une cour de justice. Vous avez le droit à un avocat et d'avoir un avocat présent lors de l'interrogatoire.
Fin du Flash Back.
Joe Joestar : Monsieur Clover a été arrêté pour enlèvement, séquestration de mineur, viol, et bien d’autres charges, comme en témoigne le rapport d’arrestation, qui s’appuie sur l’âge d’Erin lors de son enlèvement pour démontrer la gravité de ses actes. Voilà monsieur vous savez tout.
Amadeus Davies : Excellent travail inspecteur ! Une enquête rudement menée. Et pour qu'elle raison Clover a-t-il agit ainsi ?
Joe Joestar : Par jalousie. Clover, qui était un bon ami des parents d'Erin, a enlevé leur fille unique pour leur faire du mal, car il était jaloux de leur richesse, de leur réussite dans les affaires.
Amadeus Davies : Et cela a duré dix ans... je n'en reviens pas...
Joe Joestar : J’ai une question pour vous ?
Amadeus Davies : Je vous écoute.
Joe Joestar : Qu’est-ce que une personne comme vous fait ici et juste pour me voir. Je suis qu'un détective comme les autres.
Amadeus Davies : « Ferme le dossier Joestar ». Non vous n’êtes pas un simple détective. Vous avez résolu beaucoup d’enquêtes pour votre jeune âge, Cela n’est pas arrivé depuis des années, on vous prend même pour une réincarnation de Sherlock Holmes.
Joe Joestar : Tss, j’idolâtre ce grand homme, mais de là à me comparer à lui….
Amadeus Davies : On vous a recommandé tout simplement et je cherche des personnes comme vous monsieur Joestar. On m’a contacté pour des affaires qui ce passe à Boston dans le Massachusetts. La capitale de cet État vit ces temps-ci des enlèvements et séries de meurtres.
Joe Joestar : Comme partout dans le monde malheureusement.
Amadeus Davies : Certes, vous avez raison monsieur Joestar, mais ces affaires ont été classé sans suite. « Dit-il d’un air sérieux » Je vous montre.
Le chef du DIP sort deux autres dossiers de sa sacoche, dont l’un qu’il dissimule sur ses genoux et l’autre qu’il fait glisser sur la table en direction de Joe. Ce dernier le saisit et examine son contenu.
Joe Joestar : « Tourne les pages ». Hum des affaires banales. Donc on me change de service pour des affaires que n'importe quel policier peut résoudre sans aucun problème. Désolé monsieur Davies, mais ça ne m’intéresse pas. Les policiers de Boston peuvent se débrouiller sans moi et sont bien formés pour résoudre ce genre d’affaire mineur. « Se lève de sa chaise ». Je préfère être à mon compte, voir même rester ici à Scotland Yard ! Je vous souhaite bon retour chez vous monsieur.
Bien décider à quitter la pièce de réunion, Amadeus réplique aussitôt.
Amadeus Davies : Hum vous me décevez inspecteur Joestar, mais j’ai encore une carte à jouer. Si vous voulez bien, vous réinstallez sur votre siège.
Le mystérieux chef du DIP fait glisser le dossier qu’il avait caché sur ses genoux et le fait glisser sur la table.
Amadeus Davies : Il s’agit de la dernière victime en date. Pouvez-vous me décrire ce qu'elle a subis ?
Par la force de la curiosité, Jojo se remet sur sa chaise et consulte le dossier.
Joe Joestar : C’est une jeune femme d’une vingtaine d’années… Hum… pour être précis vingt ans . Elle vient d’une école prestigieuse de Boston, la bague ici « Le montre du doigt » le prouve. Université de Boston donc une étudiante. Son corps présente des lacérations au niveau de ses poignets et aux chevilles, une plaie béante à sa poitrine côtés cœur. Son visage montre une expression de peur, une peur très violente, bouche ouverte et les yeux ronds…
Amadeus Davies : Vous en concluez quoi de ces photos ?
Joe Joestar : Cette jeune femme a été torturer puis tuer, cela pourrait expliquer les traces de lacérations aux poignées et chevilles. Cette plaie ici « Montre du doigt » c’est une plaie faite par un poignard. Et pour expliquer l’expression de son visage hum… comme si que son essence vitale a été aspirer ou absorber par quelque chose…
Amadeus Davies : Je suis du même avis que vous monsieur Joestar.
Joe Joestar : Hum, je dois admettre que c'est très curieux, j'aimerais en savoir plus. Est-ce… est ce que il y a d’autres personnes dans le même cas que cette jeune femme ?
Amadeus Davies : J’ai piqué votre curiosité n’est ce pas haha. J’espérais que vous me demandiez ça. Il y a une chemise dans ce second dossier. Regarder donc.
Joe Joestar ouvre la chemise du second dossier et examine son contenu. À travers ses yeux, il découvre toutes les photos des victimes, tous les cas similaires à la première photo qu’il a analysée.
Joe Joestar : Nom de… dieu ! « Se lève de sa chaise ». Il… il y a même des enf… Ils sont une dizaine voir plus dans le même cas.
Amadeus Davies : « S’approche de Joe ». Inspecteur, voilà pourquoi j’ai besoin de vous. Toutes ces affaires sont classées sans suite car manque de preuves ou personne ne veulent sans occuper. Les policiers de Boston ne si intéressent pas. Acceptez-vous de me rejoindre et de travailler sur ces affaires ?
La photographie de cette femme décédé dans des circonstances inexpliquée à scellé mon destin d’enquêteur.
Fin du chapitre I. Une réputation de Sherlock Holmes.