Jojo's Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused.

Note de l’auteur : Notre procédé d'écriture sortant de l'ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d'éviter toute confusion dans la lecture.

Pour rappel :

Paragraphes en italique : Le narrateur est l'un des personnages. (Inconnu)

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S'applique aussi dans les dialogues.

Dans les dialogues :

Phrase entre des astérisque : exemple * J'ai l'impression qu'on m'observe * : Le personnage réfléchit ou pense.

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons des à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages. 

L’équipe Brotherhood Corp.

Prologue.

Date : ???, Année : ???, Lieu : Abbaye, Pays : États-Unis d'Amérique.

Au centre d'une pièce se dresse un rituel macabre qui est accompagné d’appellation, orchestré par un groupe mystérieux. Devant eux, un autel de sacrifice a été dressé.

Groupe de fidèles : Vengeance et mort !... Vengeance et mort !...

Sur cet autel, un évêque se débat en vain, enchaîné par des cordes épaisses qui lui coupent les poignets et les chevilles. Ses vêtements sont en lambeaux, son visage est couvert de sueur et ses yeux sont remplis de terreur.

Évêque : Libéré moi ! « Se débat ». Pitié… je le jure devant dieu… je… je ne faisait pas partie de leur groupe… !

Le maître de cérémonies qui ignore l’évêque, affiche un sourire malveillant et des yeux brillants d’excitation. Dans sa main, il tient une étrange dague au pommeau et à la lame ondulée de couleur obsidienne. On peut y apercevoir sur la petite garde, des symboles et des inscriptions incompréhensibles.

Imperturbable, l’homme s’approche de l’évêque enchaîné. D’un geste vif et précis, il plante la lame dans le cœur de sa victime, qui pousse un dernier cri avant de rendre l’âme.

Le maître de cérémonie retire lentement l’arme du corps de l’évêque, et au moment où la pointe quitte la plaie, une étrange aura rougeâtre s’en échappe. L’aura flotte un instant dans l’air avant de se concentrer dans la dague, qui semble briller d’une lueur surnaturelle.

Le visage du bourreau affiche un sourire satisfait du succès du rituel. Il essuie le sang de la dague avec un chiffon noir, puis brandit l'arme devant ses fidèles.

Maître de cérémonie : Mes amis, ceci n’est que le début de notre vengeance ! Cette dague sacrée ne sera pas seulement notre rétribution, mais elle sera également transmise à nos générations futures. Ils poursuivront ce que nous avons commencé, et cette lame insatiable continuera à se nourrir de ceux qui nous ont jugés !

Le temps viendra où cette dague « Redescend la dague et la range dans son étui » sera rassasié, qu’elle aura pris suffisamment de vies, que nos descendants pourront l’utiliser pour obtenir un pouvoir qui dépasse notre imagination. Que cette dague sacrée soit notre symbole de force et de justice !

En octobre 1993, un historien dont le nom restera confidentiel pour préserver son anonymat, s’est récemment installé dans une ville aux États-Unis. Il découvre par un pur hasard une boîte noire cachée dans un renfoncement du grenier de sa nouvelle maison. Intrigué par la présence de cette boîte, il décide donc de l’ouvrir, et il y découvre des documents de ces événements sordides qui se sont déroulé en fin 17ème et début 18ème siècle. Les papiers ont été rédigé par une main inconnue. Cet individu a écrit tous leurs méfaits dans les moindres détails, mais a subitement arrêté d’écrire.

Ses descendants ont-ils arrêté cette tradition ? Le groupe de ritualiste a-t-il disparu, rayée de la carte de l’histoire ?

Pourquoi !? Que sont-ils devenus ?

Quelle est cette étrange dague sacrée ? Quel pouvoir referme-t-elle ?

Beaucoup de questions restent en suspens.