hawaï 5.0 : Stella

L'équipe est sur une enquête de meurtre. Une mère de famille s'est fait assassiner tandis que sa fille faisait une soirée pyjama chez la voisine. Au fur et à mesure de l'enquête, l'équipe découvre que cette dame est la femme de Gabriel Waincroft, et que, donc la fillette est la nièce de Malia. Chin, lui l'apprend de la bouche de la fillette avec laquelle il se trouve actuellement, car elle lui dit qu'il est son oncle. L'équipe met donc la fillette, Sara, sous protection policière. Chin décide d'escorter la police.

Pendant le transfert, le reste de l'équipe découvre que le responsable de ce carnage est Michelle Shioma. Elle veut venger la mort de son père, Hiro, tué dans l'ambulance par Gabriel, il y a de ça, plusieurs mois. Elle souhaite le faire quitter son trou pour le tuer en touchant aux personnes qu'il aime le plus, sa famille.

Pendant l'escorte, le véhicule se fait braquer. Les hommes tuent les policiers, kidnappent la fillette et blessent gravement Chin. Le 5.0 se rend rapidement sur place. Avant son départ pour les urgences, Chin leur dit de chercher le bracelet GPS de l'enfant.

L'équipe localise donc le bracelet. Une fois qu'elle ait trouvé dans quelle société est inscrite Sara, toute l'équipe, sauf Chin qui se trouve aux urgences, se rend sur les lieux pour la sauver. Quand ils sont prêts à intervenir, l'équipe voit Chin débarquer, c'est sa nièce, il veut participer. L'équipe tue les hommes et sauve la fillette.

Pendant ce temps, Stella est au sous-sol du QG. Elle surveille son père de temps à autre via le GPS téléphonique de son père, mais pas par les caméras de la ville. Elle a autre chose en tête : elle reprend doucement des forces en s'entraînant. Elle se prépare à combattre Adrien pour le jour de leur rencontre...

Le soir, Steve et sa fille discutent de l'enquête du jour. Elle s'est renseignée vite fait des événements de l'enquête, avant son retour. Elle veut cacher ces entraînements à son père et pour ce faire, il faut qu'elle fasse comme à son habitude : suivre les enquêtes en cours, même si son père en a horreur pour le submerger de questions le soir, au moment du coucher.

« Tu penses que Chin va devenir le papa de Sara ?

- Non, il ne peut pas, c'est son oncle.

- Oui, peut-être, mais il s'est pris une balle pour elle. Il l'aime.

- Ah ! Je vois où tu veux en venir. Tu veux savoir s'il va l'adopter !

- C'est ça.

- Je ne sais pas. Pour le moment, elle est en foyer avec les services sociaux.

- Et c'est bien là-bas ?

- Je ne sais pas, sûrement. Stella, tu dois savoir que Sara avait un bracelet GPS. J'aimerais t'en mettre un, tu en penses quoi ?

- Que j'ai assez avec ce téléphone, dernière génération. Encore merci pour ça ! Tu n'aurais pas dû, ils ne font même pas un an mes mobiles, mais c'est contre mon gré !

- Stop ! Marche arrière ! Play ! Que penses-tu de cette idée ?

- Mais quelle idée ? Elle n'y était pas cette phrase précédemment !

- Je suis sérieux, ma puce.

- Je n'en veux pas. Tu as toujours dit que l'on devait vivre normalement, avec Wo Fat, et ce n'est pas maintenant, que ça va changer.

- Sauf que je n'aurais pas dû faire comme ça, pour toi. Tu en as eu de graves séquelles.

- Je boite légèrement. Ça ne se voit pas pour ceux qui ne le savent pas, sauf quand je suis super crevée. Et c'est un gros inconvénient, car du coup, tu le sais. Arrête de stresser pour rien. Adrien, ce n'est rien, par rapport à Wo Fat.

- Plus le temps passe, plus il est en colère et tu le sais, tu l'as dit toi-même.

- Et porter ce truc, qu'est-ce que ça changera ? Rien.

- On a retrouvé une petite fille, en vie, aujourd'hui.

- On est d'accord, une petite fille. Moi, je ne suis plus une petite fille.

- Oh ! Tu es encore une petite fille à mes yeux. Tu as juste grandi trop vite, par obligation.

- Alors, c'est quoi le truc ? Tu me laisses le choix ou pas ? Ou c'était juste une discussion juste pour apaiser les choses avant que tu me donnes ce bracelet ?

- On le reçoit dans deux jours et tu le mettras.

- Si tu veux, mais je pourrais le désactiver et tu le sais.

- Mais tu ne le feras pas, car je te l'interdis. »