Annastasia et les fleurs du mal

Chapitre 17 : Trop c'est trop

3196 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 09/07/2020 17:24

La première semaine du retour des vacances se passa rapidement. Tous les Gryffondor ne parlait que de l'attaque du chemin de traverse. Plusieurs personnes, comme Seamus, Dean et Neville, étaient au courant que Tracy Hawell avait crier le nom d'Anna en la maudissant. Anna les ignora tous, ne souhaitent pas en parler davantage. Harry et Ron envoyaient promener tout ceux qui insistait trop. Hermione, elle, semblait très inquiète de cela.

Anna n'avait plus trop la tête à suivre les cours et Rogue lui enleva des points pour son innatention. Le professeur Mc Gonagall dû la ramener à l'ordre également et Anna avait bien hâte que la fin de semaine arrive. Harry avait recommencé à faire des rêves étranges, toujours avec le serpent.

Anna et Harry ne savaient pas si Padfoot avait parlé avec Laura, mais ils décidèrent de ne pas s'en mêler. Ils observèrent néanmoins qu'ils ne semblaient plus autant se parler qu'avant.

La fin de semaine arriva et Anna avait passé une nuit plutôt mouvementé.

Anna se réveilla le lendemain matin avec une mauvaise impression. C’était samedi et Hermione était déjà réveillée. Elles allèrent rejoindre Harry et Ron dans la salle commune. Harry avait une mine épouvantable et se trottait les yeux, assis sur un des divans devant la cheminée. 


- Ça va, Harry ? Demanda Hermione, soucieuse. 

- Pas vraiment, répondit Harry à voix basse. 

- Le serpent ? Demanda Anna. 

- Ouais… cette fois, j'ai vu Voldemort. 

- Quoi ? S'étrangla Ron. 

- C’était où ? Demanda Anna.

- Tu crois encore que ses rêves sont réelles ? Demanda Hermione. 

- Oui, affirma Anna. 

- Je ne connais pas l’endroit… Voldemort était assis sur un genre de trône, répondit Harry.

- Harry, dit alors Anna, montre moi l’endroit. Penses y et je lirais dans tes pensées. 


Anna était bien décidé à savoir si son sentiment était vrai.


- Tu peux faire ça ? S’étonna Ron. 


Mais Anna ne répondit pas. Elle fixa Harry, qui la fixait en retour. Des images lui apparurent alors et elle constata que le serpent était vraiment effrayant. Il rampait sur un plancher de bois franc et le décor était plutôt sombre. Anna reconnu aussitôt l'endroit ; c’était bel et bien le château des Hawell. 


- Alors ? Demanda Harry. Tu reconnais l'endroit ? 

- Non, mentit Anna, son coeur battant la chamade.

- Ces rêves ne mèneront à rien, déclara Hermione. J'ai eu une idée à propos des fruits empoisonnés… 

- Quoi ? Demanda Ron. 

- Il faut encore que je fasse des recherches… répondit vaguement Hermione. 

- On va déjeuner ? Demanda soudainement Anna. 

- Ouais…


Ils se rendirent tous les quatre dans la Grande Salle en silence. L'atmosphère était plutôt tendue depuis que les Mangemorts s’étaient échappés. Revenir à Poudlard sembla ramener la réalité de plein fouet sur eux. Harry avait de plus en plus mal à sa cicatrice. Ils déjeunèrent rapidement et allèrent s'installer dans un couloir désert, comme ils avaient prit l'habitude de passer leur temps libre pour ne pas être dérangés. 


- C’est quoi, ton idée, Hermione ? Demanda Anna. A propos des fruits… 

- Je pense que lorsqu’on voit le fruit, on est obligé de le manger. Je veux dire, le fruit a peut-être un pouvoir de persuasion. Il faut seulement tester ma théorie… 

- Comment la tester ? Demanda Ron. 

- Je ne sais pas encore, répondit Hermione en soupirant. Il faudrait un cobaye… 

- Qu'est-ce que ça va rapporter, de savoir cela ? Demanda Harry. 

- Et bien, répondit Hermione, nous saurons alors qu'il est possible que quelqu’un puisse en cueillir un sans le manger. Il suffirait de trouver un moyen de contrer son pouvoir persuasif. Mais tout cela n'est qu'une théorie… Je me demandais juste pourquoi deux personnes avaient décidés de manger un fruit trouvé par terre. 

- C’est vrai que c’est étrange, approuva Ron. 

- Tu ne peux pas être la cobaye, Hermione, dit alors Anna. 

- Je sais, répondit Hermione. Ne t’inquiète pas, je ne ferais rien. 


Anna n’en était pas très certaine mais ne fit aucun commentaire. Ils entendirent soudainement des bruits de pas et se tournèrent vers la source du bruit. Le professeur Rogue s'approcha d'eux avec son air suffisant. 


- Que faites-vous seuls dans ce couloir ? Grogna t’il. 

- On parle, répondit Anna. 

- Je trouve cela vraiment étrange que quatre Gryffondor comme vous se cache pour discuter. Que préparez-vous ? 

- Rien du tout, répliqua Harry d’un air agacé. 

- Changez de ton, monsieur Potter, rétorqua Rogue d'un air mauvais. Déguerpissez d’ici et allez plutôt profiter de l'air frais. 

- On a le droit d’être ici, répliqua Anna. 


Hermione se releva cependant et leur fit signe d'en faire de même. Elle ne voulait pas perdre de point pour une raison aussi futile. Anna et les autres la suivirent en soupirant. Rogue tourna les talons dans l’autre sens. Les quatre amis allèrent plutôt dans leur salle commune. 

La journée passa rapidement. Ils passèrent leur temps à jouer à des jeux pour se changer les idées, mais Anna voyait bien qu’Harry était ailleurs. Elle se demanda s'il faudrait en parler au directeur… Toute cette histoire de rêve était bien étrange et Anna croyait vraiment que Voldemort voulait que Harry voit tout cela. Pourquoi il était dans le château des Hawell ? 

Le soir venu, ils venaient de souper et ils allèrent rendre visite à Padfoot. Hermione avait souhaité aller à la bibliothèque et, après l’avoir escorté, Anna, Harry et Ron allèrent voir Padfoot. Celui-ci s’étonna de l’absence d'Hermione. 


- Rien ne peut arriver dans une bibliothèque, déclara Ron. Et elle est la moins bête de nous quatre… 

- Parle pour toi, lâcha Anna. 

- Elle va nous rejoindre ici, après, dit Harry. 

- Hermione pense que les fruits ont un pouvoir persuasif, expliqua Anna à son père. Elle trouve ça bizarre que les élèves mangent des fruits qui apparaissent de nulle part. Sa théorie peut s'avérer vrai. 

- En effet, répondit Padfoot. Laura et Pomfresh se sont déjà penchés sur la question. 


Anna et Harry firent des grimaces, comme à chaque fois que Padfoot prononçait le nom de Laura. 


- Anna a aussi une théorie par rapport aux rêves de Harry, déclara alors Ron. 

- Oh, Ron, soupira Anna. Pas besoin d'en parler. 

- Qu’est ce qui se passe ? Demanda Padfoot. 

- Anna pense que les rêves sont vrais. Que Voldemort veut me montrer ces chose là… expliqua Harry. 

- Ça se peut, dit Anna. 

- Ça se peut, dit Padfoot, mais c’est peu probable. Comment ferait-il pour faire cela à distance ?

- Je ne sais pas, soupira Anna. Dis, papa… Est-ce que le château des Hawell est toujours sous surveillance ? 

- Pourquoi cette question ? Se surprit Padfoot. 

- Juste comme ça, dit Anna. Pour savoir…

- Oui, il y a un auror qui surveille à tous les jours, répondit Padfoot. 

- D’accord… 


Au bout d'un heure, Hermione n’était toujours pas revenue. Ron se mit à paniquer et ils décidèrent tous d'aller voir à la bibliothèque. Padfoot les suivit mais Hermione n’était pas là. Harry se précipita alors dans son dortoir pour mettre la main sur la carte du maraudeur. Le nom d'Hermione se trouvait à l'infirmerie. 


- Qu'est-ce qu'elle fait à l'infirmerie ? Glapit Ron  

- Oh, non… fit Anna, consterné. Peut-être qu’elle a voulu tester sa théorie… Elle savait qu’il fallait qu’elle soit seule pour qu’un fruit apparaisse. 


Ils s’échangèrent tous un regard et se mirent à courir en direction de l'infirmerie. Anna pria le ciel pour qu'Hermione n'aille pas été contaminée. Mais son souhait ne fut pas exaucé lorsqu’ils entrèrent en trombe à l’infirmerie. Hermione était couchée dans un lit, les yeux fermés. Laura et madame Pomfresh étaient à son chevet en compagnie de Mc Gonagall et Dumbledore. Anna n'en croyait pas ses yeux... Hermione était maintenant dans le coma à cause de Voldemort.


- Non ! Cria Ron en courant vers elle. 

- Hermione ! S'exclama Harry. 

- Non, non, non, pesta Anna.


Anna s'avança vers elle, comme dans un autre monde. Elle ne pouvait pas y croire… Hermione s’était fait avoir. Allait elle rester dans le coma pour toujours ? Ses yeux se remplirent de larmes tandis que Ron laissait libre cours à sa peine. Mc Gonagall flatta son dos, les lèvres pincées. C'était assez pour Anna...


- Que s'est-il passé ? Demanda Padfoot d’une voix blanche. 

- Une autre victime, répondit Laura. Les même symptômes… C'est un élève de Pouffsouffle, Diggory, qui l'a trouvé. 

- Nous avons trouvé un mot froissé dans sa main, dit doucement Dumbledore. Miss Granger savait ce qu'elle faisait… 


Il tendit un bout de papier à Padfoot et Anna et Harry allèrent le lire avec lui. 


Si je suis atteinte du poison, c’est que le fruit à bel et bien un pouvoir de persuasion. J’ai été obligé de le manger. 


- Que pouvez-vous nous dire à propos de cela ? Demanda Dumbledore. 


Harry expliqua rapidement le raisonnement d'Hermione. 


- Est-ce qu’on peut l'aider ? Demanda t'il ensuite. 

- Trouver une façon de neutraliser cet effet sera plus facile que de trouver un remède, déclara Laura. 

- Je sais comment, dit alors Anna. 


Elle était la persuasion en personne et elle était certaine d'arriver à neutraliser l'effet elle même.


- Mais tu n'es pas née moldu ! Répliqua Harry. Ça ne marchera pas. 

- De quoi parle tu, Anna ? Demanda Laura. 

- Laissez tomber ! Répliqua Anna. Je me comprends… 

- Anna, tu ne feras rien, déclara alors Padfoot. 

- Mais Hermione… 

- Hermione ne mourra pas, dit calmement Dumbledore. Les deux autres non plus, je vous le promets. Maintenant, si vous avez d'autres informations utiles à nous donner… 

- Non, nous ne savons rien d’autre, répondit Anna d'une voix blanche. 


Elle devait faire quelque chose. La seule manière de sauver Hermione, selon elle, était de se rendre à Voldemort. Tout cela provenait de lui, elle le savait. Elle s'imprégna du visage d'Hermione pour lui donner de la force et se promit de la ramener à l'état conscient. Elle refusait de perdre une autre amie.


- Retournez dans mes appartements, tous les trois, ordonna alors Padfoot…

- Et Hermione ? Pleura Ron. 

- Vous ne pouvez rien faire pour elle en ce moment, répondit doucement Padfoot. 


Harry tira Ron avec lui et se dirigea vers la porte. Anna jeta un regard douloureux à son père. 


- Je ne veux pas qu’elle ait fait ça pour rien, dit-elle. Je pense qu'il faut aller à la source… 

- Que veux-tu dire ? Demanda Padfoot. 

- Voldemort… dit-elle à voix basse. 

- Personne ne sait où il se cache, répondit Padfoot. 


Il n’aimait pas le regard qu’avait sa fille en ce moment ; un regard douloureux et remplie de haine. Elle tourna les talons pour suivre ses amis. Ron avait arrêté de pleurer et pestait maintenant contre Hermione. Arrivé devant la porte de Padfoot, Anna s’arrêta brusquement. 


- Écoutez, dit-elle, j'ai une idée pour la sauver. Le remède doit se trouver à l’endroit où le mal se fait… 

- Quoi ? Fit Harry. Où ? 

- À l'endroit où Voldemort se trouve, répondit Anna. 

- Mais on ne sait pas… 

- Si, je le sais, moi, répondit alors Anna. Vous devez rester ici. 

- Et toi, alors ? Fit Ron. 

- Je vais le trouver, déclara Anna. 

- Quoi ? Mais non ! S'exclama Harry. 

- Restez ici, ordonna alors Anna d'une voix grave. 


Les garçons entrèrent dans les appartements de Padfoot sans un mot. Anna sentit son cœur se serrer. Hermione était la personne de trop, victime des plans de Voldemort. Anna savait où se il se trouvait et comptait bien l’affronter. Elle courut en direction de l’extérieur, oubliant même de prendre un manteau. Elle savait que ce qu'elle allait faire était stupide, mais Hermione avait elle-même courut un grand risque pour aider les victimes. Anna devait faire quelque chose. 

Elle se rendit dans la forêt interdite, là où, elle espérait, se trouvait toujours Buck, l'hyppogriffe de Hagrid qu'elle avait monté avec son père l’année passée. La bête était toujours là et elle le salua poliment. 


- Salut, Buck, murmura-t-elle. Tu veux m'aider ? 

- Anna ! S'exclama alors une voix derrière elle. 


Elle le reconnu tout de suite. C’était Taylor. 


- Mais que fait tu ici ? Demanda-t-elle. 

- C’est plutôt à moi de te poser cette question, répliqua Taylor. 

- C’est personnel. Comment m'as-tu trouvé, à la fin ? 

- Cela n'a aucune importance… 

- Si, ça en a ! Je veux savoir la vérité, maintenant. 

- La vérité… répéta Taylor. Je te la dirais si tu me dis ce que tu comptes faire.

- Je veux sauver Hermione, c’est ce que je veux faire ! Répliqua Anna. 

- Hermione ? 

- Elle a mangé un fruit, elle aussi. 

- Oh, je suis désolé… 

- Je vais retrouver l'auteur de ces crimes, Taylor. J'en ai assez. 

- Et comment tu vas faire ? 

- J'ai mon idée. Tu dois t'en aller. 

- Je viens avec toi… 

- Non ! Cria brusquement Anna. 

- Mais Anna… 

- La dernière fois que quelqu’un est venue avec moi, elle est morte ! 

- Je ne peux pas te laisser t’enfuir comme ça... 

- Si, tu peux. Tu n'as pas le choix. 


Elle monta alors sur Buck et regarda Taylor avec défi. 


- C’est l’occasion ou jamais de me dire la vérité, maintenant, dit-elle. 

- Descends, je t'en prie, Anna. 

- Non… Je n'accepte pas qu'Hermione soit dans le coma. Trop, c'est trop...

- Annastasia… Je tiens trop à toi. 

- Dis-moi comment tu m'as encore trouvé. 

- Descend et je te le dirais. 


Anna obtempéra alors en poussant un soupir. Elle croisa les bras. 


- Tout a commencé au début de l’année, dit alors Taylor. Mon père voulait que je prouve à Dumbledore que j’étais quelqu’un de bien. J'ai bien sûr accepté… Il avait besoin de quelqu’un pour te surveiller de près. Toi et Harry. Un élève qui pourrait être votre ami… 

- Quoi ? Fit Anna d’une voix blanche. 

- Dumbledore a ensorcelé des bagues pour que vous les portiez. Il m'a lié à elles… Ainsi que ton père. 

- Mon père était au courant ? 

- Non… 

- Alors, c’est pour ça que tu t'es intéressé à moi ? Cria Anna. Parce que Dumbledore te l’avait demandé ? 

- Oui, au début, Anna… Mais je… disons que je me suis beaucoup trop impliqué. Dès que je t'ai vu, j'ai ressenti quelque chose d’étrange. Tu me fascinais. 

- Je m'en fiche complètement, répliqua Anna. Tu m’as dupé ! Tu m'as fait croire que…


Anna se sentait complètement trahis. Taylor avait agi comme cela avec elle tout ce temps sous les ordres de Dumbledore. Elle retira brusquement sa bague et la lança le plus loin possible avec rage. Dumbledore aussi lui avait joué dans le dos... Elle chevaucha de nouveau Buck. 


- Anna, non ! S'exclama Taylor. Ne fais pas ça !

- Je n'ai plus rien à te dire, Taylor. 

- Ne m'en veux pas, je t'en supplie. J'aurais voulu être ton ami même si tout ça ne serait pas arrivé. 

- Pas moi, répliqua sèchement Anna. Au revoir, Taylor. 


Elle sentait une haine froide l'envahir à la vue de ce garçon. Comment avait-elle pu être berné si facilement ? C’était elle qui contrôlait les gens, d’habitude, pas le contraire. Harry avait raison, finalement. Serpentard et bon ne pouvaient pas se trouver dans la même phrase. Elle s’envola avec Buck avec une détermination féroce. Taylor jura brusquement et partit en courant avertir Padfoot et le directeur. 

Padfoot était de retour dans ses appartements et constata l'absence de sa fille. 


- Elle nous a ordonné de rester ici, expliqua Harry, dans tous ses états. Je n’avais pas le choix… 

- Mais putain de merde ! Cria Padfoot. Où est-elle allée ? 

- Trouver Voldemort, répondit Harry d'une voix glacial. Elle dit qu'elle sait où il est… Je pense qu’elle a deviné l’endroit de mon rêve, Padfoot.

- Quoi ? 

- Elle ne m'a pas dit où c’était… Dit Harry d'une voix catastrophé. Padfoot, il faut la retrouver ! 


Quelqu’un cogna brusquement à la porte et Padfoot alla ouvrir. Taylor entra. Il était d'une pâleur extrême. 


- Anna est partit avec l'hyppogriffe, dit il d'une voix blanche. 

- Quoi ? S’insurgea Padfoot.

- Elle dit qu'elle veut sauver Hermione… Je n’ai rien pu faire pour la retenir, je suis désolé. 

- Tu sais où exactement elle est allée ? Demanda Padfoot. 

- Non… Elle a enlevé sa bague. 

- Merde ! Comment tu es au courant pour la bague ? 

- Peu importe, répondit Taylor. Il faut faire vite. 


Anna vola dans le ciel avec Buck pendant des heures. Son cœur battait la chamade. Elle devait mettre fin à tout cela. C’était assez. Elle sentait la colère gronder en elle comme un monstre qui tentait de sortir. Elle utiliserait son pouvoir contre Voldemort, contre les Mangemorts et contre tout ceux qui se mettrait sur son chemin. Elle espérait seulement que Voldemort se trouvait bel et bien au château des Hawell. Elle le forcerait à lui avouer quel était le remède… Et cette fois, personne ne mourra par sa faute. Elle était seule. Et elle était bien déterminée. 


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