My Klaine story

J’avais patienté pendant plusieurs heure tout en envoyant des texto à Blaine et Kurt qui ne pouvaient s’empêcher de s’inquiété pour moi mais depuis de Aaron m’avait embrassé- enfin que je l’avais embrassé- je me sentais beaucoup mieux.   Quand son dernier patient de la matinée quitta son cabinet, il vint s’assoir à côté de moi et posa ses pieds sur la table basse qui nous faisait face. Je finis l’article que je lisais puis il me demanda si j’avais faim, à vrai dire j’étais affamée. Il me sourit puis retourna dans son bureau et nous ramena une grande boite dans laquelle était préparé du poulet et deux fourchettes. Nous avons partagé le repas en riant et discutant mais nous fûmes dérangés par l’appel d’un Blaine très inquiet.

-Driz ? Comment tu vas ?

-Je vais mieux Blaine, ne t’inquiète pas pour moi.

-Mais bien sûr que je m’inquiète pour toi ! Kurt m’appel paniqué se matin il me dit que tu viens de t’effondré dans le couloir et que tu pleures. Il a été obligé de collé le téléphone à ton oreille parce que tu n’avais pas la force de bouger, je te parlais et tu ne me répondais pas tout ce que j’entendais c’était ta respiration saccadée et paniquée ! Et tu veux que je ne m’inquiète pas ?! S’énerva-t-il.

-Je suis désolée de t’avoir fait peur comme ça, je suis allée à l’infirmerie et le Docteur Bells est venu me chercher et il m’a ramené à son cabinet, contre mon gré d’ailleurs, je fis un clin d’œil au médecin qui posa sa main sur mon genou avec un sourire en coin,et j’y suis toujours, je vais passer la journée là et il me ramènera quand il aura fini.

- Attend…qu’est-ce que tu fais chez le docteur Bells ?

Je soupirai tandis qu’Aaron faisait lentement remonter sa main le long de ma cuisse.

-L’infermière ne voulait pas me laisser partir sans qu’une personne majeure ne signe des papiers alors je l’ai appelé.

-Bon je dois retourner en cours mais je te rappelle tantôt.

-Pas besoin, je t’aime bisous à ce soir.

-Moi aussi, dit-il un sourire dans la voix.

Je déposais mon téléphone sur la table et arrêtais la main de mon amant avant qu’il n’atteigne mon entre jambe. Je fis glisser ma main le long de son bras et  penchais mes lèvres vers les siennes. Il glissa ses mains dans mon dos et m’attira vers lui, il allait m’allonger quand la sonnette retenti. Il gardait ses lèvres collées aux miennes encore quelques secondes et quand il m’abandonna enfin, il me lança un regard désolé et alla ouvrir la porte et laissa entrer son patient. Le reste de l’après- midi fus chargée pour le psychiatre, les patients se succédaient et j’avais lu tous les magazines disponibles  m’arrêtant par moment pour répondre aux texto de Blaine ou Kurt. Le dernier patient quitta le cabinet du médecin plus tôt que prévu et Aaron revint s’assoir à côté de moi. Je me callais entre ses bras et il me dit de son ton sérieux :

-Je crois que tu devrais vraiment me parler.

Je me tournais vers lui et posais ma tête sur son torse, il posa ses bras autour de moi et me serra légèrement.

-Tout se mélange dans ma tête, j’ai l’impression de ne plus rien comprendre.

Il passa sa main dans ses cheveux  et me prit la main.

-Développes.

-D’abord Blaine, c’est mon meilleur ami et on est très proche on se comprend sans se parler on est tout l’un pour l’autre mais depuis que Charlie me porte plus d’intérêt j’ai l’impression qu’on se s’éloigne. Kurt le rend plus heureux que moi et je n’ai pas envie de les séparer j’ai envie de le voir heureux mais je voudrais tellement participer à ce bonheur.

J’étouffais un sanglot et il resserra son étreinte, m’invitant à continuer.

-Je ne veux pas le perdre c’est Blaine, c’est mon Blaine et…

Je laissais les larmes couler le long de mes joues et Aaron  me serra dans ses bras et essuya mes joues. Je me tus n’ayant plus la force de parler et fermais les yeux. Je me réveillais une demi-heure plus tard toujours dans ses bras il me proposa de me raccompagner, j’acceptais. Il ferma la porte de son cabinet à double tour puis nous descendîmes au parking. Il me fit monter dans une Ford Thunderbird de 1962, bleu ciel, il me reconduit à la maison selon mes indications. Une fois arrivé je lui proposais de rentré boire un verre, il accepta directement. Par chance la maison était vide ce soir, Finn était retourné chez sa mère et Kurt & Blaine étaient de sortie. Je le fis entrer dans la cuisine, je posais deux verres de vin sur la table puis j’allais à la cave chercher notre meilleure bouteille de vin, un Châteauneuf  du pape. Il déboucha la bouteille et nous servi un verre. Il dégusta le premier en silence puis se resservit et me prit par la main m’incitant à me lever, ce que je fis. Nos visages étaient tellement proche que je pouvais sentir son souffle sur mes lèvres, il mit ses bras autour de ma taille et approcha encore un peu plus sa bouche de la mienne. Quand nos lèvres se touchèrent, je mis une main dans ses cheveux et resserrais notre étreinte. Il passa une de ses main dans mon dos puis m’enleva mon t-shirt, je m’écartais légèrement pour lui enlever le siens à son tour. Il dévoila un torse plus musclé que ce que l’on pourrait croire. Je me jetais dans ses bras et il recommença à m’embrasser tout en me soulevant. Il nous emmena dans ma chambre et me laissa tomber sur le lit. Il se tenait debout à mes pied, j’eu le temps d’admirer son corps, c’est vrai qu’il n’était pas très grand mais il était bien bâtit. Il enleva son pantalon lentement puis il monta sur le lit. Il s’avança, embrassa mon nombril et remonta lentement jusqu’à ma poitrine, son nez entre mes seins. Il détacha mon pantalon tout en me couvrant de baiser. Nous étions maintenant complètement nu, il pressa ses lèvres contre les mienne et m’attira à lui.  Ne deux corps ne faisaient plus qu’un et c’était vraiment exceptionnel.  Au début il était très délicat puis il s’est révélé  beaucoup plus torride. Il était au-dessus de moi, je l’entourais de mes jambes nous serrant un peu plus l’un à l’autre et je passais mes bras dans son dos. D’un coup sec, je le fis tomber et je me retrouvais au-dessus ce qui le fit sourire. Je m’assis sur lui et il posa ses mains sur ma taille puis remonta jusqu’à mon cou et m’attira à lui pour un nouveau baiser. Il me fit pivoter pour me dominer une nouvelle fois. Je pense que nous avons dû nous tourner et retourner une bonne cinquantaine de fois. Je me sentais fondre sous ses caresses et ses baisers mais revivre  à chaque seconde. En un instant je me serais à lui et enfonçais mes ongles dans son dos et je dû étouffer un cri de plaisir. Il m’embrassa une dernière fois mais plus passionnément que les précédentes puis il s’allongea à côté de moi et me pris dans ses bras. Après quelques minutes il déposa un baiser sur ma joue. Il se leva, remit son pantalon, retourna à la cuisine, fini la bouteille de vin et enfila son t-shirt avant de sortir et de remonter dans sa voiture.