[Fnaf 4] juste les bruits des tic tac

Chapitre 3 : Idée de surprises

759 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 18/10/2024 17:32

Michael se trouvait en compagnie de ses amis Frédéric, Mark et Simon, ces derniers ayant pour habitude de se moquer des autres. Cependant, avec l'anniversaire de son petit frère qui approchait ce samedi, ils eurent l'idée d'organiser une fête mémorable, une célébration qu'il n'oublierait jamais. Placer la tête d'Evan dans la gueule de Fredbear pour l'effrayer et se moquer de lui, voilà une idée qui ne plaisait pas à Mark. Il savait que la mâchoire pouvait se refermer à tout instant, entraînant un accident potentiellement grave. La majorité de ses amis n'étaient pas en accord avec les affirmations de Mark, soutenant qu'aucun incident n'avait jamais eu lieu avec les animatroniques auparavant. 


La cloche du Lycée retentit, provoquant un soupir de dégoût chez les garçons. Ils avancent dans le couloir, se dirigeant vers leurs salles de classe, tout en se permettant de bousculer les autres par simple amusement. À peine installé sur sa chaise, Michael s'est déjà laissé emporter par le sommeil. Les autres ne peuvent s'empêcher de rire de lui, même Jeremy, assis à ses côtés, s'amuse à dessiner une moustache sur son visage. La prof, quant à elle, semble indifférente à leur amusement et préfère se concentrer sur les élèves studieux de la classe. Le jeune garçon, plongé dans un sommeil profond, se met à ronfler bruyamment, provoquant encore plus de rires parmi ses camarades. Son ami, amusé, lui donne un coup de coude pour le réveiller, et il se fait alors réprimander. La professeure, exaspérée par le comportement de Michael, décide de l'envoyer chez la directrice.


Il était donc installé sur un banc, juste en face du bureau, affichant une indifférence manifeste. Il semblait privilégier le divertissement au travail, au grand désespoir de son père et des enseignants de l'établissement. La porte s'ouvre, laissant échapper une jeune fille en larmes. La directrice appelle le suivant. Michael se lève et pénètre dans la salle, où se dresse un vaste bureau occupé par la directrice. Comme à son habitude, elle aborde des sujets variés, énonçant les règles de vie. Le garçon acquiesce d'un hochement de tête, indifférent à ses paroles.


 Du côté d'Evan, à l'école primaire, la situation est tout autre. Ce n'est pas lui qui harcèle, mais plutôt celui qui est harcelé. Il préfère demeurer dans son coin, serrant sa peluche contre lui. Bien que d'autres enfants l'invitent à se joindre à leurs jeux pour éviter qu'il ne soit isolé, il refuse systématiquement. Les enseignants s'inquiètent, car il devrait normalement être en train de jouer au football ou de courir avec ses camarades, plutôt que de rester isolé. Pourtant, il excelle dans ses études.

Au crépuscule, Evan s'adonnait à un jeu de poupées avec sa petite sœur, lorsque Michael fit irruption, un sourire moqueur aux lèvres.

 

-Alors, tu t'amuses avec tes poupées, espèce de loser, lança-t-il, sa voix résonnant comme un écho.


Elysabeth se lève alors et donne un coup à Michael, en s'exclamant :


 -Ne parle pas ainsi à Evan, il a le droit de jouer avec moi aux poupées.


Evan se tenait derrière sa sœur, les larmes aux yeux, accablé par la querelle. Il décida alors de rejoindre son père pour lui raconter ce qui s'était passé, avant de faire irruption dans la chambre de sa sœur avec William 


- Michael, retourne dans ta chambre. Tu as 16 ans, concentre-toi sur tes études, au mieux t'embêter tes frères

 

L'aînée de la famille pousse un soupir, se dirige vers sa chambre et claque la porte derrière lui, tandis qu'Evan lui offre un câlin en signe de gratitude à son père. Pourtant, cette nuit promet d'être cauchemardesque, car le père de la famille est décidé à passer la nuit dans sa pizzeria plutôt qu'à la maison. À chaque instant, une foule de créatures obscures pourrait faire irruption. Evan, tourmenté, imagine les pires scénarios qui s'entrelacent dans son esprit. Sa sœur aînée connaissait les terreurs qui hantaient Evan, car leur lien était si fort qu'aucun secret ne pouvait les séparer. Elle prononça des paroles apaisantes, cherchant à rassurer son frère, bien que cette nuit s'annonçât tout aussi sinistre...



À suivre


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