Survy

Chapitre 35 : La peste

1588 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/11/2016 02:21

 

1665, fantacin est créé depuis plus d’un siècle, mais les fantacin rester sur terre son martyriser par un nouveau groupe d’homme à la solde de l’ange Gabriel, on les surnomme les Idole. Cette organisation est constituée d’homme et de femme de tous les peuples et de toutes les religions qui ont en commun leur fanatisme et leur adoration de Gabriel. Il traque les fantacin et les élimine un par un quitte a massacré leur famille si nécessaire, même si cette dernière est humaine. Ses dans ce contexte que Valérya tente d’aider son peuple sens trouver de réelle solution. Même si son pouvoir la rend invincible elle reste impuissante face à leur nombre et leur organisation. Delfire lui avais dit que seul elle n’arriverait a rien mais comme à chaque fois elle ne l’écoutait pas et le nombre de mort se contait désormais en millier de personne.

Delfire quand à lui vivais au coter de la mort bien décider à ne plus retournez sur terre, mais cette dernière n’était pas assez présente a son gout. Plus les fantacin mourrai et plus elle avait de travaille. Delfire se sentait a nouveau délaissez et après des années il finit par lui posez une question qui changera a jamais son comportement.

« Qu’es qui est le plus importent pour toi ? Mon amour ou ton travaille ? » La mort ne répondit pas tout de suite il lui fallut plusieurs mois pour trouver la réponse approprier. « Mon amour pour to est pure et infini mais ma mission reste ma raison de vivre ». Cette réponse brisa a jamais le cœur du jeune homme, même la mort le faisais passez au second plan. Delfire pris donc la décision de partir et surtout de la faire souffrir.

Il se rendit dans une des une des maisons close de Londres et profita de chacune des femmes qui si trouvais. La mort l’appris presque immédiatement, elle ne voulait pas le croire, jusqu'à se quel voile de ses yeux l’homme qu’elle aimait coucher avec une humaine.

Elle les observait dans le coin de la pièce, son cœur lui faisais atrocement souffrir, sa cape blanche, passa doucement par toute les tinte de gris avant de devenir aussi noir que la nuit. Delfire s’arrêta et la regarda d’un air accusateur, toute en continuant ses actes obscènes. « Comment a tu osé !je t’avais donné mn cœur et tu me la arracher ! » hurla tel. Les vitre de la pièce se brisèrent et plusieurs éclat de verre s’enfoncèrent dans la peau du jeune homme qui n’en ressenti même pas la douleur. « Tu te sens trahi pourtant je suis humain j’ai des besoins naturel que je ne peux pas assouvir avec toi, tu aurais dû ti attendre » lança-t-il d’un ton sarcastique. La mort hurla à nouveau de rage, une immense faux noir apparu dans un nuage de fumée, puis elle attaqua Delfire qui esquiva sens difficulté, mais pas la prostituer qui fut traversez par la faux. La fille de joies devin alors très pale et s’effondra sur son lit incapable de bouger mais bin vivante. « Que lui a tu fais ? » demanda t’il intriguer. « Je lui es injecter la peste, d’ici quelque jour tout Londres sera toucher puis l’humanité, tu les as choisi alors regarde les mourir ». Puis elle disparut dans un nuage de fumée.

Comme elle l’avait prédit la peste se rependit assez vite dans la ville, Delfire et Valérya tentais tout ce qu’il pouvait pour arrêter l’épidémie mais elle était trop virulente pour réussir seul. Mais alors que tout semblais perdu Valérya entendu parlez d’un homme qui par on ne sait quel miracle pouvais soigner les malade de la peste. L’homme en question était un vielle homme d’une cinquantaine d’année, il avait l’aire d’encore plus malade que ses patient et portent il faisait des miracles. Valérya le rencontra dans son bureau et compris presque immédiatement en le voyant, c’était un Absora,  il avait la capacité d’absorber l’énergie, la vie ou même la maladie d’un autre corps. Il se servait de son pouvoir pour absorber la peste de ses patients, mais à chaque opération il mourrait un peu plus. Valérya fut toucher par le geste de se fantacin près à se sacrifier pour l’humanité. Elle alla lui parlez pour connaître les raison de ses acte pourquoi se sacrifier pour des hommes qu’il ne connaît même pas. Le vieux homme lui expliqua qu’il n’absorbait que la maladie des enfants ou des femmes enceinte, il avait perdu toute sa famille dans un accident quel que année auparavant et voyais dans toute les personne qu’il a sauvé une partie de sa famille disparu. Valérya comprenais la façon de penser du veille homme et respecter son choix, elle aussi d’une certaine façon voulais aider son peuple car s’était la seul famille qui lui restait et la seul chose qui donnais un sens à son existence.

Mais alors que le veille homme continuais d’aidé les malheureux Valérya aperçu un homme étrange rodé autour d’eux. L’immortel le suivi et lorsqu’il fut seul, l’étranger se tourna vers elles révèlent son identité. Il s’agissait de Mamuro mais il était diffèrent, ses vêtement était très chic tel un noble anglais, il tenait une canne en bois travaillez et laquer avec un manche en or. Plus d’un siècle s’était écouler depuis la dernière fois qu’il s’était vu et pourtant il n’avait pas vieilli au contraire il paressait en meilleur forme. « Que fais-tu ici Mamuro ? » demanda telle d’un ton sec.

 

Mamuro : non, non, non, pas Mamuro aujourd’hui on ne nom le conte, et ce que je fais ici ne te concerne en rien

Valérya : le conte tu as dit… j’en ai entendu parlez, c’est une sorte de marchants qui vente son aide, ses service ou des renseignements en échange d’année de vie ou de puissance ou de pouvoir, cela explique ta longueviter mais pas ce que tu fais ici

Mamuro : tu es perspicace, ce que je veus ses toute la peste que le veille homme a pu récolter

Valérya : dans quel but ?

Mamuro : pour en faire une arme tu n’imagines pas tout ce que les gens son près a donnez pour une maladie aussi meurtrière

Valérya : comment tu conte ti prendre ? Ta magie est vraiment capable de retiré une maladie mortel de son propriétaire ?

Mamuro : bien entendu ne me sous estiment pas je te pris

Valérya : qu’arrivera-t-il au vielle homme ?

Mamuro : il ne sera plus malade, mais il sera toujours aussi vieux

Valérya : que lui donnera tu en échange ? Car ses comme ça que ça marche non ?

Mamuro : lui je lui donne la santé mais à toi je vais te donnez un conseil, dans ce monde une personne seul ne peut rien faire surtout si cette personne est limité par un corps unique, si tu veux mener à bien ton projet et aidez les tien le mieux serai de t’allier a d’autre fantacin, et telle une mère tu les élèveras a le classe 5 et tu les dirigeras pour veiller sur ce monde, et la seulement tu pourras rivaliser avec Gabriel

 

Sur ses mots il partit en direction du vieux homme, Valérya resta seul et repensa a ce qu’il avait dit. Mamuro avais raison son seul pouvoir ne peut rien faire mais avec d’autre elle pourrait sauver les sien, le choix est donc simple elle doit former une équipe ou plutôt une Milice Fantacine.

 

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