Survy

Chapitre 17

Après presque un an de voyage sens bute Valérya s’arrêta enfin dans un petit village d’une centaine d’habitant. S’était un petit village prospère entouré de chant. Tout le monde se connaissez dans ce village et l’arrivez de Valérya ne passa pas inaperçu. Elle s’installa dans la petite auberge du village qui ne devait pas avoir plus de trois chambres pour accueillir des étrangers. Les villageois n’était pas bien riche mais il était très heureux, leur village était magnifiquement bien entretenu et décoré de nombreuse fleure, ce qui étonna beaucoup Valérya car ce genre de décoration coute très cher à entretenir. Elle apprit par la suite que ses fleure était un cadeau d’un noble qui ne vivais pas très loin du village. Il avait épousé une des filles du village et c’était mariée dans le village, ses pourquoi il avait aménagé toute ses fleurs et que aujourd’hui il continu à entretenir le village avec sa fortune. Cette homme paru intriguer beaucoup la jeune femme sens qu’elle ne sache pourquoi.

Les jours passais et Valérya pensez sérieusement à rester dans ce village si paisible ou personne ne la connaissez, quitte à ne repartir que dans une dizaine d’année quand les gens commencerai a se posé des questions sur sa jeunesse éternelle. Pour mieux se faire accepter elle prétendit n’avoir que 20 ans pour lui laisser d’avantage de marge et restez le plus longtemps possible. L’aubergiste lui indiça alors les différentes maisons inoccupé du village, mais il lui expliqua que si elle désirait rester elle devrait payez une taxe sur sa future maison au près du fameux noble dont on lui avait déjà parlez, et surtout il fallait que les villageois accepte quelle reste vivre dans leur village. Valérya ne fit pas trop attention à sa dernière remarque et se contenta de partir visiter les maisons qu’il lui avait indiquées.

La première était une maison vraiment très délabré, elle avait brulé quelle que année auparavant et ne restais que les murs de pied noirci par la cendre. Valérya marcha dans la maison en regardants de partout, mais le paysage de désolation face à elle ne la fit pas changer d’expression et elle marchait sur les objets de famille et autre jouet comme si il ni avais rien. Elle se rendit ensuite à la maison suivent, selle la était très petite entièrement dévoré par la végétation, les racines avais envahi le sol, le lierre recouvrai tous les murs et les arbres avais traversez le toit. Elle être la plus vielle maison du village voir même elle devait avoir plusieurs siècle. Elle visita encore trois maison, une assez grande qui pouvais accueillir presque 10 personne, une autre très joli mais trop au centre de la ville pour la jeune femme et enfin la dernière, il s’agissait une maison en brique blanche a l’extérieure du village installer juste accoter d’un petit ruisseau et entouré par la forêt, a l’intérieure s’était dans un était des plus convenable malgré la poussière, et en plus elle était déjà meubler ce qui satisfaisais parfaitement la jeune immortel.

Une fois décider elle demanda à un des fils de l’aubergiste de l’accompagner contre quelle que pièce a la maison de ce fameux noble. Le voyage durant presque une heure à pied, avants d’enfin voir les portes en fer de la maison. Le garçon n’osa pas s’approche plus près et a pêne Valérya eu tel toucher le grand portail qu’il prit la fuite, sous l’incompréhension de la jeune femme. Elle regard alors au travers des grille et vu la grande maison, elle était de style gothique et assez effrayent, mais Valérya poussa la grille et entra sens aucune hésitation.

Elle frappa ensuite à la porte, et après plusieurs secondes un homme habillez comme un esclave vient lui ouvrir. Il cachait la plus grande parti de son corps derrière la porte et ne laissez paraître que la moitié de son visage et une de ses mains. « Ses pour ? » demanda-t-il d’une vois tremblante. « J’aimerai vivre dans le village et on m’a dit que ses auprès du mètre de se château que je devais venir » répondit elle d’un ton totalement nidifièrent. L’esclave lui demanda de patienter et referma la porte. Les portes s’ouvrir en grand après plusieurs minutes et elle fut contus dans le grand bureau. Un homme assez grand aux longs cheveux d’argent et au vêtement dans les tons de bleu très noble. Il était assis à un grand bureau avec plusieurs parchemins dessus. Il se leva et marcha quelle que seconde autour de la jeune femme « alors comme sa vous voudriez vivre dans notre petit village ? » demanda-t-il pour confirmer ce qu’on lui avait dit. Elle répondit par un « oui » sent émotion et ne regarda même pas le noble qui se plaça face à elle. « Quelle est votre nom ? » finit-il lui demandez quand leur regard se croisèrent enfin. « Valérya » lança telle toujours sur le même ton. Le noble fronça alors les sourcils comme si il avait déjà entendu ce nom, mais se contenta de retourner à son bureau. Au moment où il allait enfin lui annoncer sa réponse un enfant entra en hurlants « papa » et sauta dans les bras du noble qu’il changea d’un seul coup son expression sérieuse pour un visage joyeux. Une femme entra à son tour et s’approcha des deux hommes, il avait l’aire vraiment heureux, mais se spectacle n’u aucun impact sur Valérya qui n’esquissa même pas un sourire.

Le jeune garçon se tourna alors face à la jeune femme et s’approcha doucement d’elle « bonjour, vous ait une ami de mon papa ? » demanda-t-il de sa petite voix. « Non » répondit telle en affichant un doux sourire, elle ne ressentait rien mais savais très bien comme faire bonne figure. Le jeune garçon lui rendit son sourira vans de reprendre la parole « moi je m’appelle Nintoram et toi ? », mais avants quelle ne suis répond son père lui ordonna de partir avec sa mère, le jeune garçon grimaça et parti a contre a cœur avec sa mère une fois que cette dernière eu embrassez son mari.

Puis le noble se rassois et commença a lui posez plusieurs question, dois vient-elle ? Qui l’accompagne ? Combien de temps va telle rester ? Quelle maison veux telle occuper ? Et tout un tas d’autre question. Valérya se contenta de dire quelle avais perdu son mari et son fils e cherchais un endroit où elle pourrait oublier ses atroce évènement, puis elle lui parla de ses différente visite de quelle préférais vivre dans la petite maison près du ruisseau. Le noble n’i vi aucun inconvénient et lui expliqua les modalités de paiement, une fois par moi elle payait en céréale, or ou autre money quelle possédais, comme si elle était el location, et le jour où il ne pourrait pas payer elle serait mis dehors sens préavis. Valérya accepte toute les conditions sens bronché et Lhomme le fils donc s’approchez pour qu’elle signe un parchemin qui sellait leur contrat. Sur ce parchemin il était noté « devra payer au propriétaire des terre Monsieur Logaster EterLen », s’était un nom étrange même pur elle et ne put s’empêchez de le lire a voix haute, le noble laissa apparaitre un léger sourire en coin et la repris « juste Logalen ses plus rapide ». Elle répondit a son sourire et signa le parchemin avants de quitter la maison.

Une nouvelle ville, une nouvelle maison, de nouvelle personne, elle pourra enfin tout recommencez et peut être même réussir à oublier.