Survy

Chapitre 16 : l'Abandon

1756 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 09/10/2015 10:13

Chapitre 16

 

Les jours passais et Valérya ne quittais pas son alliance des yeux. Elle était totalement déconnectez de la réalité et ne faisais même plus attention a son propre fils. Delfire se sentait déjà comme orphelin, son père était mort et sa mère ne le voyais plus, pour lui ce n’était qu’une question de temps avants quel ne l’abandonne définitivement. Il tentait tout ce qu’il pouvait pour attirer l’attention de sa mère mais rien ne marchais, il est même jusqu'à se planter l’épée de son père en plein cœur devant ses yeux mais rien à faire, elle restait assise sur son fauteuil le regard vide.

Finalement après près d’un mois sens bouger elle se leva enfin. Delfire était heureux et se jeta sur elle pour la prendre dans ses bras. Mais elle ne remarqua même pas sa présence et le repoussa assez violement. Delfire en resta sous le choc, sa mère, la femme qu’il lui avait tout donné, elle ne ressentait désormais plus rien pour son enfant qui était désormais un membre du décor. Delfire lui hurla dessus pour quelle réagisse, au moins quelle se retourne pour le regardez, mais rien.

Valérya pris un lambeau de cuire de la largueur de deux phalange et le coupa de sorte qu’il sonis juste assez long pour faire le tour de son cous. Puis elle cousu son alliance au cuire et le mis en collier pour être sur de toujours lavoir sur elle.

Après cela elle commença a mètre quelle que affaire dans un sac et se dirigea vers la porte.  Delfire compris de suite se quelle contait faire et se mis devant la porte pour l’empêchez de partir, mais il apprit a ses dépend qu’il était impossible d’arrêter un Invulnéra. Valérya parti en abandonnant son fils à son triste sort sens jamais se retourner, comme si elle l’avait déjà oublier. Eugene s’approcha alors de l’enfant en pleure et le pris dans ses bras. « Moi je serai toujours la » lança-t-il d’une voix douce alors que Delfire essayais temps bien que mal de calmez ses larme.

Eugene et Valérya ont beau avoir le même pouvoir leur façon de l’utilisé et très différente. Eugene a vécu plus longtemps que la jeune femme et a donc plus d’expérience sur son pouvoir, en amour il n’a connu que le bonheur avec une seul femme et lorsqu’il la perdu il s’est juré de l’aimé à jamais, donc de ne jamais se laissez submergé par son pouvoir jusqu'à en perdre toute émotion. Au contraire de Valérya qui a toujours souffert de ses sentiment et qui même quand elle trouve le bonheur on lui arrache, même si elle aime Eldios elle refuse de souffrir d’avantage de son absence, ses pourquoi elle fait en sorte qu’il soit toujours à ses coté en emprisonnent son âme, quitte à lui empêcher d’atteindre le repo éternelle, elle est prête à se laisser submerger par son pouvoir pour ne plus souffrir et a abandonnez son fils pour ne plus pensé à sa vie entant que femme marié.

Une fois parti, la première destination de Valérya fus le château, elle devait venger son mari pour pouvoir passez a autre chose. Elle avait gardé la flèche qui avais tué Eldios et la compara au différente flèche quelle trouvais dans le château. Elle finit par découvrir qu’elle appartenait à l’un des généraux, il ne lui en fallu pas plus pour aller chez lui en défonces sa porte. Mais à l’intérieur il ni avais qu’une seul assez âgé vivants seul, elle avait la peau toute ridé, les yeux noir qui avais l’aire de méprisé tout ce qu’il voyait, elle portait un grande robe noir et se déplacez grâce à une canne en boit verni incrusté de diamant et avec un manche en or. « Qui ait vous et que fait vous chez moi petit impertinente » hurla telle en pintent Valérya de sa canne. « Je me nomme Valérya » elle lui montra la flèche « reconnaissez-vous ceci ». La femme s’approcha de la jeune femme  et pris la flèche, elle l’observa plusieurs minute et un sourire apparus sur ses lèvre « bien sûr, ses la flèche que j’ai utilisé sur la monstre a la cour du roi, nommé un être pareille généraux non mais franchement dans quelle époque vi ton, il n’a eu que ce qu’il méritait ». Ses mots furent comme un coup de poignard pour la jeune femme qui donna un coup de poing à la vielle femme sens aucune retenu. Sa force était tel que son crane explosa comme une pastèque le sang gicla sur tous les murs de la maison et les vêtements de Valérya. Elle regarda qu’elle que instant le cadavre de la femme avants de se retournez pour partir.

Mais un homme était la derrière elle, Valérya ne l’avais pas entendu entrer. L’homme avait de longs cheveux d’or, de magnifiques yeux bleus et une peau d’un blanc immaculé il portait juste une tunique ressemblant à celle d’un moine. Il regarda le cadavre de la vielle femme puis regarda à nouveau Valérya. « Tu as pèche en autant la vie de cette femme ton âme et souillez par la mort, je peux t’aider à te faire pardonnez » lança t’il en tendant sa main à la jeune femme. « Sens façon ses pas mon genre de me soumettre a un être que je peux égalez » répondit-elle, elle pensé que ses mot serai suffisent pour se débarrassez de ce type qui avais tout l’aire d’être un clair, mais a sa grande surpris il lui sourit « je suis tout à fait d’accord avec toi, moi non plus je ne me soumets pas mais ceux que le fon me permette de rester en vie ». Ses paroles troublèrent la jeune femme, resté en vis par les croyances des autres ? Qui était se tipe ? Et surtout qu’es qu’il était ? « Je me nomme Valérya et toi ? » lança telle dans l’espoir d’avoir quelle que réponse. « Valérya ? Ses donc toi l’immortel femelle, enchanté de te rencontrer j’ai beaucoup entendu parlez de toi, je me nomme Gabriel et je suis un Angélus ». Cette réponse laissa Valérya de marbre on lui avait déjà parlez de ses être angélique qui ne nourrissais des croyants ou des peurs des hommes.

 

Valérya : s’était une de tes fidèle se ça ?

Gabriel : oui je dois donc la remplacez, de toute façon elle était déjà trop vielle même si sa fois était sens faille

Valérya : un peu trop peut-être… elle a tué l’homme que j’aimais

Gabriel ; je comprends mieux s’était de la vengeance, je ne peux pas tant vouloir s’est le propre des hommes et des fantacin, vous ait née pour etre violent

Valérya : tu vas me laissez partir sens rien dire ?

Gabriel ; je ne suis pas là pour punir, les Angélus ne sont pas sensé interféré avec le monde des hommes tout ce que l’on fait est observez et faire en sorte que tout le monde croit en nous, ses pour cela que l’on se sert des religions, si un jour plus personne ne venais a croire on mourrait tous

Valérya : comme si sa pouvais réellement arriver, mais en attendant les hommes son persuadez par votre faut que ses nous l’ennemi

Gabriel : j’en suis navrez mais je ne peux rien faire pour aller contre cela… bon je dois te laissez j’ai encore beaucoup de chose à faire

 

Il s’approcha du corps de la vielle femme et la porta jusqu'à l’extérieure de la maison, la-il retira le haut de sa tunique et déploya de magnifique aile blanche puis après avoir souri une dernière fois à Valérya il s’envola toujours en portent le cadavre.

Valérya le regarda partir puis lorsqu’il quitta son chan de vision elle ramassa son sac et parti à la découverte du monde, pour la première fois seul.

 

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