Survy

Chapitre 15 : La guerre et la mort

2386 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/11/2016 03:03

Chapitre 15

 

Eldios et Delfire fut au début très surpris. Il savait qu’un conflit régnais avec le pays voisin mais de la a leur déclaré la guerre. Eldios regarda plusieurs seconde les deux convocations l’aire hésitant. « Tu n’es pas obliger d’y allez » lança alors Valérya dont les mains et la vois tremblait de ce qui pouvais arrivez. « Si je n’y vais pas je serai considéré comme un lâche » lança t’il en tournant le dos à sa femme pour lui cacher sa peur et son angoisse. Il savait que personne ne revenais jamais en bonne santé du champ de bataille, ses mot firent mal à la jeune femme qui baissa la tête pour cacher ses larme. Eugene s’approcha doucement et posa sa main sur l’épaule de Delfire qui regardais la scène sens rien dire « quand devez-vous partir ? » finit-il par demandez. Eldios regarda la convocation et sera son point « demain matin… le rassemblement est à midi au château et il faut bien plusieurs heure de marche pour l’atteindre ». Il parlait d’une vois tremblante et n’osais regardez personne dans les yeux. « Vous prendrez les chevaux sa ira plus vite et vous pourrez rester ici le plus longtemps possible » répondit Eugene sur un ton très neutre comme si il était le seul à ne pas être toucher par la situation. Puis Eugene s’éloigna en entrainant avec lui Delfire, le jeune garçon n’avais pas peur de mourir il savait qu’il reviendra des mort quoi qu’il arrive mais son père s’est une autre histoire, sens conté qu’il n’ait plus aussi fort que dans sa jeunesse, et ses ce que tout le monde redoutait.

Après un long silence Eldios posa sa main sur la joue de Valérya lui régressent le visage, il la regarda dans les yeux plusieurs seconde avants de l’embrassez comme il ne l’avait jamais fait auparavant. Valérya pouvais sentir son amour sa tristesse et sa rage dans se baisez, elle versa encore une larme avants de se décidez à profiter jusqu’aux bous de ce qui pourrai s’être leur dernière nuis ensemble.

Le lendemain Eldios et Valérya était encore au lit bien après que le soleil sois lever. Aucun des deux ne voulais se lever et encore moins s’habillez. Valérya était collez à son mari la tête posé sur son torse, quand a Eldios il la tenait fermement dans ses bras en lui caressants doucement les cheveux. Il aurait voulu que le temps s’arrête et qu’il puisse rester ainsi pour toujours. Mais l’heure fut venu pour Eldios de partir et il lâcha la jeune femme à contre cœur et s’éloigna pour se préparé.

Lorsqu’Eldios et Delfire furent tous les deux près au départ, ils enfourchèrent leurs chevaux et regardèrent une dernière fois Valérya dont le visage était rempli de larme. Eldios posa sa main sur la joue de la jeune femme lui promettent de revenir, puis il partit avec son fils sous le regard de la jeune Immortel.

Comme il l’avait prévu ils arrivèrent après plusieurs heure de chevauché. Il s’agissait d’un grand camp ou on pouvait voir les soldats s’entrainer et les généraux préparé les stratégies de bataille. Il y avait plusieurs tentes, une par famille de soldat, Eldios resta donc avec son fils a son grand soulagement. Les premiers jours était assez calme, les deux rois était en pour parler et les soldats se contentai de faire bon figure en s’entrainent et faisais passez le temps le soir en jouant a diffèrent jeu. A ce moment la Eldios s’était dit qu’il sent était peut-être fais pour rien et qu’il ni aurai peut-être même pas de guerre, se fut là son erreur. Au cinquième soir des centaines de flèche enflammez tombèrent du ciel sur le camp, les tente prirent toute feu et les soldats furent brutalement tiré de leur sommeille par les hurlements de douleur de certain de leur camarade. Eldios et Delfire prirent alors les arme avec d’autre soldat près à défendre leur position pendants que d’autre tentais d’arrêter le feu ou de soigner les blessez. L’armez ennemi fonça alors sur eux de tout coté, il était bien plus nombreux et bien mieux préparé. Plus de la moitié de leur troupe furent décimez en quelle que minute.

Eldios se bâtais temps bien que mal et même si il se faisait touché il continuait de se battre de plus belle. Delfire surveillais les arrière de son père pour être sur qu’il survive a cette nuit de l’horreur. Mais alors que le roi adverse se voyait déjà gagnant, l’un des soldats transperça le cœur de Delfire avec son épée sous les yeux de son père impuissant. Le jeune homme s’effondra et son âme alla dans le monde des morts, de là il se mit à hurlez sur la mort pour qu’elle le renvoi sur terre au plus vite, mais ça ne dépendais pas d’elle. Delfire ne pouvais que attendre que son pouvoir le ramène à la vie et regardez son père seul face à tous ses ennemi.

Mais il n’aurait jamais pu prévoir se qui allais se passez. Eldios savais que son fils n’était pas vraiment mort, mais il avait reçu un tel choc de le voir se prendre un cout d’épée qu’il en perdit le contrôle et laissa éclater sa rage comme il ne l’avait pas fait depuis 12 ans. Sa force était égale a celle d’un lion et sa vitesse a selle du guépard, il s’était affaibli mais ses justement parce qu’il était faible que lorsqu’il devenait son propre opposé il devenait sur puissent. A lui seul il massacra plus de la moitié des soldats ennemi ce qui permit aux autres soldats de reprendre l’avantage sur l’ennemi et de les faire battre en retraite. Eldios était épuisez mais alors qu’il reprenait doucement son souffle et désactivais son pouvoir un soldat ennemi qui s’était cachez sous les cadavres de ses ami sorti et l’attaqua épée en avants près a le transpercez. Eldios n’avais pas le temps de réagir et n’en avais pas la force non plus. Mais alors qu’il voyait déjà la fin arrivez, la tête du type face à lui se détacha de son corps et venu roulez jusqu’à ses pied. Eldios regarda alors autour de lui et finit par voir Delfire épée en main derrière le soldat ennemi « et voilà le travail ? » lança t’il en se retournant face à Eldios. Le jeune homme resta plusieurs seconde sous le choc avants d’enfin hurlez « DELFIRE ! Non mais qu’es qui ta pris tu n’as que 12 ans a 12 ans on ne décapite pas les gens et on en est encore moins fière ! ». Il continua à lui faire la moral encore plusieurs minute sens se rendre compte que tous les soldats alliez s’était mis autour d’eux et les observais bizarrement. Lorsque Eldios le remarqua un long silence s’installa, jusqu'à ce que le roi s’avance vers lui et se mette a applaudir, puis il fut accompagné des autres soldats et des cris de joies furent entendu il avait gagné et tout sa grâce à Eldios. Personne ne lui avais reprochez d’être un monstre bien au contraire sens sa il savait qu’il n’aurait jamais pu gagner.

Il rentraire au château en héros et furent acclamez par la foule à leur arriver. Le roi décida de décorez Eldios et son fils et de les anoblir pour tout ce qu’il avait fait pour leur pays. Ce jour la Eldios et Delfire était agenouillez face à son roi qui tenais une épée entre les mains. Il posa sa lame sur chacun des épaules des deux jeunes hommes et annonça à tout le monde qu’il était désormais de véritable noble de la cour. Mais au moment où Eldios se releva et se tourna face à l’assemblez il se prit une flèche en plein cœur. Tout le monde resta sous le choc personne n’avais vu le tireur. Delfire se précipita sur le corps de son père dont il ne sentait déjà plus le pou. Son visage se décomposa et avants même que le roi n’ai eu le temps d’appeler ses médecin Delfire disparu dans un nuage de fumé noir et réapparu dans la cuisine de sa maison. Il hurla « maman ! » plusieurs fois dans l’espoir que elle puisse faire qu’elle que chose pour le sauver. Valérya accouru et lorsqu’elle vus la flèche dans le cœur de Eldios, elle s’effondra en pleure sur le cor de son maris. Elle hurlait de douleur mais rien aucune réaction s’était déjà trop tard, et Valérya ne le compris que lorsqu’elle vit son alliance reprendre petit à petit sa taille d’origine.

Puis la mort apparu derrière la jeune femme puis refusais de lâchez le corps de l’homme qu’elle aime. « S’il te plait aide nous » demanda Delfire a son ami, mais la mort baissa la tête lui faisant comprendre que même elle ne pouvait rien faire.

Valérya lâcha après plusieurs minute de corps d’Eldios et demanda a Delfire se qui s’était passez. Le jeune garçon lui raconta tout et une fois qu’il eut terminez Valérya pris la main de Eldios et plia l’annulaire qu’elle posa contre de pousse avants de placez sa main sur son cœur comme il l’avait fait pour Firel 12 ans plutôt. La mort s’approcha ensuite du cadavre et plaça sa main au-dessus du cadavre. Un prisme transparent qui reflétait la lumière tel un diamant sorti alors du corps du jeune homme. « Qu’es que sais » demanda Delfire d’une vois tremblante de tristesse. « Il s’agit de l’âme de ton père » lui répondit telle « je vais désormais l’emmener et il choisira entre les deux porte comme je te lai expliquer ». Elle leur tourna ensuite le dos et s’éloigna mais fut soudain arrêté par la voix de Valérya « es que je peux la gardez ? ». La mort se retourna surprise de cette demande « ses impossible a moi d’emprisonnez l’âme dans un objet ou un autre corps et elle ne peut pas rester dans votre monde » lui répondit telle. Valérya se releva et lui montra alors son alliance qui continuais de grandir doucement « alors mettez la, la dedans… s’il vous plaît je refus de le perdre ». La mort hésita longtemps mais finit par seder a sa requête et plaça l’âme d’Eldios dans l’anneau qui arrêta instantanément de grandir.

Puis la mort disparu dans un nuage de fumée. Valérya sera fort l’anneau dans ses main, elle pouvait sentir l’âme du jeune homme comme si il s’agissait un petit cœur bâtent faiblement, désormais même si Eldios n’était plus de ce monde il resterait a jamais avec Valérya.

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