Survy

Chapitre 8 : retour a la maison

2086 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/11/2016 01:41

 

Chapitre 8 : 

 

Valérya a aujourd’hui 30 ans même si son corps a arrêté de vieillir deux ans plutôt. Elle se sentait désormais prête a faire face a son ancien maître et a retourné au prés de Héron. Depuis son passé d’esclave Valérya avais beaucoup changé tant physiquement que mentalement. Elle était désormais une vrai femme, avec une beauté comme nul autre. Ses cheveux avant gras et lise avais désormais de beau volume et des ondulation parfaite. Quand a ses yeux d’or il allais a merveille avec son regard insensible et son petit sourire en coin quelle arborai en permanence. De plus elle avais désormais un statu presque noble, même si elle n’avais pas encore remboursé sa dette a Eugène, il n’en restai qu’il lui avais donné son nom et son rang.

Valérya arriva donc a Athène dans ses beau habit noble accompagner d’Eugène qui se présentait comme son frère, car désormais il n’avais plus que 10 ans d’écart la ou il aurai pus être son père lorsqu’il se son rencontré.

Le cœur de Valérya battait extrêmement vite elle était si impatiente de le revoir. Elle ne mie pas longtemps a atteindre la maison de Héron. Une domestique viens alors lui ouvrir, Valérya ne la reconnus pas mais comme elle était la plus jeune de la maison, et que plus de 20 ans on passé se n’était pas très surprenants, espérance de vie n’était pas aussi longue que de nos jour. Elle se présenta sous le nom de Valérya et précisa quelle voulais s’entretenir avec Héron. Mais au moment ou la domestique alla pour prévenir son maître une femme extrêmement belle et au regard supérieur arriva derrière elle « ses inutile mon cher maris es occuper, ses moi qui vais recevoir notre inviter ». Son maris avais telle dit, ses mot eure l’effet d’un cou de poignard pour Valérya. Même si elle se doutait que sa arriverai le voir réaliser la faisais énormément souffrire.

Valérya accepta donc de discuter avec son épouse dans le grand salon qui lui n’avais pas changer et était semblable a ses souvenir. Les deux femme discutèrent plusieurs minute de tout et de rien avant qu’un esclave ne s’approche elle avec de petite collation. Valérya le reconnu tout de suite jamais elle n’aurai pu oublier le visage de celui qui lui a tout fais perdre, Caoran. Mais se dernier était légèrement différent il portai un bandeau sur son œil gauche signe qu »on lui avais arrachez pour le punire, et il avais beaucoup plus de cicatrise que dans son souvenir, se qui rendis en parti le sourire a la jeune femme. Héron avais du lui faire payez mille fois sa traîtrise et cela la réconfortai un peu. Caoran avais toujours la tête baisé ne regardants aucune des deux femme dans les yeux se qui arrangeais Valérya car de cette façon elle ne pouvais pas être reconnu.

Mais alors quelle avais retrouvé un semblant de sourire se dernier disparus lorsque 5 enfant qui avais entre 15 et 5 ans entrèrent dans la pièce en criants maman. Se fut comme un autre cous de poignard pour elle, comprenant quelle était arriver trop tard, 15 ans trop tard. Elle décida donc de parti au plus vite supportent de moins en moins la situation, elle pris alors ses affaire et se dirigea vers la porte quand une vois masculine se fit entendre dans le pièce et que les enfant se mire a crier papa. Elle savais quelle ne devais pas se retourné mais se fus plus fort quelle. Et elle se retrouva alors face a Héron, plus vieux et plus beau que dans son souvenir. Elle resta immobile a le regardez plusieurs minute avons qu’il ne la remarque et qu’il s’approche d’elle en sourient. « bonjour je suis le maître de cette maison, vous devez être une amie de ma femme je suis enchanter de vous rencontré ». se fut comme une bombe pour elle, l’homme quelle avais aimé et qu’il lui avais juré de l’attendre l’avais oublier. Elle en resta pétrifier sur place se qui surpris tout le monde dans l’assistance. Elle finit par sourire et le saluer convenablement sens dire qu’il elle était, puis elle parti.

Il lui fallut plusieurs heure pour sens remettre et arrêter ses larme. Puis lorsque le soleil fut tomber elle y retourna, elle vérifia que tout le monde dormais avant de s’approcher du bureau de Héron qui travaillais encore a cette heure aussi tardive. Elle s’approcha doucement de son bureau sens qu’il ne prenne la penne de relever la tete pour la regardez. « que faite vous encore ici ? » lança t’il sur un ton extrêmement ford. « je suis venu tenir une promesse faite a un ami » lança telle « ou plutôt a un amans ». Héron s’arrêta net et regarda la jeune fille de haute en bas avant d’enfin comprendre qu’il elle était, il s’approcha alors d’elle et l’embrassa avec passion comme il le faisais a l’époque. « Survy, jetait persuadé que je ne te reverrai plus » finit t’il par dire d’une vois douce qui réchauffa le cœur de Valérya. « je tien toujours mes promesse Héron désormais on peu être ensemble ». elle le sera alors dans ses bras mais Héron la repoussa doucement après cette frase « qui a t’il demanda tel ? ». Héron la regarda de haut en bas avant de répondre « je ne peu pas partir avec toi j’ai des responsabilité, une femme qui m’aime et des enfant adorable, si tu veut que l’on sois ensemble ses a toi de rester et de redevenir mon esclave ». cette proposition ne surpris pas la jeune femme qui si attendais un peu elle lui expliqua donc quelle ne pouvais pas sens pressiez pourquoi se qui fit radicalement changer l’expression de Héron qui se mis a la regardez de haut. « je ne perdrai pas tout se que j’ai durement gagner pour une amourette de jeunesse qui plus ais avec une simple esclave ». le regard de Valérya se vida face a cette déclaration, elle tenta de lui faire changer d’avis en lui parlants de son amour pour lui et des épreuve quelle avait traversez mais rien ne l’atteignais il resta intransigeant et termina de l’achever par ses mot « de toute façon il na jamais été envisageable que je face ma vie avec toi, j’aurai beaucoup trop a y perdre ».

Valérya baissa alors la tête et une larme coula de sur sa joue sous le regard intransigeant de Héron « maintenant disparais de ma vus » termina t’il avais un ton froid et sec avant de retourné a son bureau.

Il lui fallu plusieurs seconde avant d’enfin pouvoir se dépassez et s’approchez de la porte mais au lieu de sortir elle la bloqua avec un statu non loin et se tourna face a Héron le regard noir, mais l’homme trop concentré sur ses conte ne fit pas attention a la jeune femme au cœur meurtri qui s’approchais d’elle d’un pas décidez. Elle sorti un dague de sous sa robe et se plaça derrière Héron, elle lui attrapa le cou avec son bras et commença a l’étouffer. L’homme commença a se débattre mais rien a faire le bras de Valérya ne bougea pas. Elle lui planta alors sa dague en plein cœur sens aucun état d’âme. Héron poussa alors un hurlement d’agoni, alors que le jeune femme ressorti sa lame et la planta a nouveau dans le corps de son ex amans jusqu'à se qu’il se taise. Alors elle le lâcha et le laissa agoniser lentement « maintenant tu ses se que je ressens » lui dit elle a son oreille d’une vois douce, comme une derrière caresse avant la mort. Mais ses cri avais alerter sa famille qui accourre aussitôt, mais la porte étant bloqué il ne pure que frapper dessus sens réussire a la faire bougez. Valérya sorti alors par la fenêtre et alla dans les chambre des enfin les plus jeune qui ne s’était pas réveillez, et tout comme pour leur père elle les poignarda un par un sens éprouver le moindre sentiment, avant de redescendre. La femme de Héron était en panique elle hurlais sur Caoran d’ouvrire ma porte sens grand résulta jusqu'à se qu’une vois se face entendre derrière elle « ses inutile il est deja trop tard pour lui… et pour vous ». elle disparus quelle que seconde avant de réapparaître juste devant la jeune femme, elle la poignarda violemment avant de lui chuchoter a l’oreille « désormais vous serré tout ensemble mais pas dans mon monde ». puis elle retira sa lame et se tourna face a Caoran qui lorsqu’elle entra dans la lumière la reconnus de suite « Survy… ses impossible comment ? pourquoi ? ». Elle s’agenouilla accoter de l’esclave en lui sourient sadiquement « car je ne suis plus selle que j’était et que je veux faire disparaître toute trace de se passez inavouable » un sourire sadique apparus sur ses lèvre « toi y compris ». Elle lui coupa la tête et parti d’un pas calme reprenne petit a petit un visage inexpressif. Elle sorti de la maison ou Eugène l’attendais avec des chevaux « tant a mis du temps » lança til en lui tendais les raine de son cheval « désoler je voulais faire sa bien » répondis telle en souriant avant de montez sur son cheval et de partir au coter de son nouveau maître. Désormais Survy était morte avec tout s’eux de son passez il ne restais plus que Valérya.

 

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