Dieux et Déesses

Chapitre 2 : D'étranges choses m'arrivent ...

Catégorie: G

Dernière mise à jour 08/11/2016 13:28

Le deuxième jour, M. Turner, il enseigne le grec ancien, une des matières ou je suis la plus forte et que j'aime beaucoup. A coté de moi, assurement, John on parlait quand M. Turner demanda:

_ Sabrina, pouvez répéter ce que je viens de dire?

Et moi, je ne l'avait point entendu, je continue de parler de rire et il repète:

_Sabrina! Pou-vez-vous-ré-pé-ter-ce-que-je-viens-de-dire????!

Jo remarque qu'il m'adressais la parole et il me le fit comprendre le professeur. Je me rendis compte qu'il était rouge de colère et qu'il allait exploser c'est à ce moment la que je répondis:

_Ah , euhh, oui ,je , je vais vous le dire. Vous disiez qu'Héracles avait une épée de bronze céleste, qu'il avait obtenu de la peau de Lion en en tuant un, et... je crois que c'est tout.

Je me demandais d'ou tout ça me venait mais je savais exactement ce qu'il avait dis quelque minutes plus tôt , or je n'avais pas écouter un traitre mot de ce qu'il avait dit.

Tout le monde me regardais avec de gros yeux,comme si j'avais dis une phrase qui allait changer le monde. Et M. Turner reprit comme si rien ne s'était passer, il me donnait de moins en moins envie de faire du grec. Mais juste après avoir repri son cours, j'entendis quelque chose. Des insultes, plus précisément en grec ancien, d'un homme qui avait une voix grave qui grinçait telle une couteau sur de la roche volcanique. Alors, je regardais autour de moi. Tout les autres élèves reprennaient leur activités et personne ne me donnait l'impression d'entendre ce que j'entendais. Même pas Jo...

Puis, mes yeux se sont posés sur le diabolique M.Turner. Droit dans les yeux, je vis le regard de cet homme, et il n'avait rien d'humain. Des flammes y brulaient, ce qui m'a arracher un hoquet de surprise. Je croiyais que je devenais folle. Il n'y a que moi qui entendais ce genre de choses, qui voiyais ce genre de choses et qui ressentais cette peur mélangé à de la surprise. Jo, en voyant ma respiration s'accélérer et , sans doute , mes yeux apeurés, me demanda:

_ Sabrina, ça va?

_ Oui, T'inquiète pas, ai-je bafouiées en essayant de masquer tout sentiments capables de dire le contraire.

Arrivée chez moi, je m'alonge tellement que je suis fatigué . Sur la route du retour, j'eus l'impression que quelqu'un ou quelque chose me suivait. Je rentrais à pied en plus. Et seule. J'ai envie d'appeler Lena et de tout lui raconter mais je ne peux. Elle va surement me prendre pour une dégénérée du cerveau. Et Jo, ne me croyerais pas , malgré notre complicité. Framboise me regarderais avec son sourire hébété et Carter ne prenderait me pas la peine de m'écouter.

Il me restait ma mère. On s'est disputé hier soir. Elle ne veut que je traîne John sous prétexte qu'elle le trouve bizarre. J'ai 16 ans et bientôt 3 mois (et née le 5 mai 1996), je trouve donc que je suis assez grande pour choisir mes amis, tout de même. Mais elle ne le comprend pas. Elle ne comprend rien … Maman a changé.

Laisser un commentaire ?