• Zarif m'écris-je rouler en boule au milieu du vacarme des éléphantes sauvages. Qu'est qu'on doit faire maintenant continue-je en relevant un peux la tête pour le chercher.

• Tu n'as pas écouter ce qu'a dit Zi, dans un baobabs il y a un objet qui appartient à la tribu, cris t-il à son tour, seulement il semble le faire plus par énervement en vers moi que de vouloir couvrir le bruit au tour de nous.

Toujours en criant je lui dit :

• On doit ramener cette objet sans ce faire piétiner, écraser, aplatir ou je ne sait quoi d'autre.
• Oui et le plus important c'est qu'il faut le faire ensemble, en s'entraidant c'est un principe majeur de la vie d'adulte et de....
• De votre vie ici le coup-je.
• Oui en effet, tu es bien l'un des notre à n'en pas douter.
• Merci mais c'est pas le moment de s'envoyer de fleurs donc je paris que tu as réfléchie à un plan pour nous sortir de ce cauchemar éléphantesque dis-je en riant.
• Mmmm euh c'est ….
• Quoi j'aime pas quand tu réfléchie comme ça avant de trouver tes mots.
• J'ai bien un plan mais je ne suis pas sur qu'il te plaise.
• Ok je vais faire diversion dit-je beaucoup moins amuser d'un coup.
• Comment tu sais que c'est ce que j’allai proposer.
• Je connais ta façon de penser maintenant et puis tu as dit qu'il fallait s'entraider. Tu na va donc pas tout faire tout seul non.
• En effet, tu es prés à courir dans le sens opposer à cette arbre dit-il en montrant un baobabs non loin de lui.
• C'est quand tu veux, je ne tient pas à ce que l'on s'éterniser ici.

***

• Nous avons réussi s’écrit Zarif, alors que des cris de joies couvre sa voix et que des mains l’entraîne loin de moi.

Oui me dis-je nous avons réussie, nous sommes tout les deux en vie. Nous allons pouvoir profiter des festivité organisé pour nous maintenant que le plus dur est fait.

Je me revois courir entre cette dizaine d'éléphantes pour les détourner de Zarif pendant qu'il grimper dans un arbre. Puis je le revois lui aussi les éloigner de moi et même trébucher. A ce moment là j'ai crus qu'il était fini, mais ce petit bon homme à toujours pleine de ressource, alors qu'un éléphantes s'approcher dangereusement vite de lui et qu'il était au sol. Zarif à tendu une main ferme et pointé un regard sévère vers l'animal, celui-ci c'est arrêter. Enfin arrêter suffisamment longtemps pour que Zarfi puis ce relever et ce remette à courir comme un fou.

Moi pendant ce temps là je chercher en vain un objet sortant de l'ordinaire dans l'arbre que j'ai eu du mal à escalader.

D'abord parc-que j'ai était stressé de savoir que pas loin mon ami risquer sa vie, puis je repensait à ce qu'avais dit Zi avant de nous jette dans l’araine aux éléphantes.

« Si vous respecter la nature elle vous le rendra et tout ce que vous ferais ici sera bien plus facile pour vous.»

• Oui nous l'avons fait dit-je enfin, alors qu'il était de nouveau à mes cotés.
• Tu as été incroyable dans cette arbre.
• Et toi tu pourrais être dresseur d'éléphantes. Lui dit-je avant de sentir une main m'arracher à la foule, en regardant de plus prés je vois que c'est mon père, il semble heureux lui aussi et il me dit une fois que nous somme à l'écart de tout le monde.
• Je suis si fière de toi fiston, tu as vécu beaucoup de chose ici et j'ai l'impression que tu es différents .
• Je suis un guerrier dit-je en bombant le torse et amuser.
• Tu as mûrie c'est sur mais cela bien avant toute cette histoire de rite de passage.
• Tu crois et à quelle moment ?
• J'ai aperçu un changement quand tu es revenus la premier fois du chemin de l'école avec Zarif.
• Mmm non seulement cela ma endurci mais j'ai aussi compris a quelle point c'est important d'aller à l'école surtout quand l’accès y est si facile comme pour moi.
• Tu sais je n'en espérer pas autant en te forcent à venir ici, j’étais sur que....
• que je resterait dans mon coin à bouder le coup-je.
• Oui j'avoue que c'est ce que je pensé, j'étais sur que tu t'isolerais, puis je t'ai vue t’intégrai à la vie en communauté de cette tribu.
• C'est grâce à Zarif, il pourrait être un super avocat en France plutôt qu'ici.
• Quoi attend tu ne crois quand-même pas que Zarif va laissé sa vie ici ?