Sous la foule des étoiles

Chapitre 15 : Sous la foule des étoiles

1205 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 21/09/2021 10:18



Le soleil se lève à peine quand nous sommes enfin de retour dans le tribu, Zarif est très fatigué mais il est en vie.

Je l'ai trouvé après trois heures de marches, allongé sous un arbre caressant un impala. Un peut déshydraté et en début d’hypothermie il ma dit :


  • J'ai trouvé notre petit protéger.
  • A quelle prix lui dit-je en lui donnant de l'eau, un pulls et une couverture.


Au bout d'un moment il retrouva sa couleur chocolat que je lui connais et que j'aimais voir sur son visage. Quand il fus en état de marcher, il lança un dernier regard vers l'animal et nous nous sommes mise en route pour rentrer chez nous. Ce pays que j'ai appris à connaître et à aimé grâce à Zarif est devenus une partie de moi et un second foyer.

Fixant le ciel et la lune je sais que je suis chanceux de voir ses astres, ils nous montrent et nous éclairent le chemin pour nous protéger. Je regard Zarif un instant il est fatiguer mais sous la foule des étoiles il est heureux. Finalement une question s'échappe de ma bouche.


  • Tu connais l'histoire de la création de l’univers ?
  • Nos professeurs nous en parle parfois, surtout de la théorie du Big Bang mais cela ne correspond pas vraiment avec nos croyance sur la nature.
  • Non, non rien avoir avec la science ou la religion. Quand j'étais petit j’écoutais une musique comme maintenant à la belle étoile avec ma grand-mère. Et elle ma dit qu'elle aimé l'idée de cette chanson. Sauf qu'a l'époque je ne parler pas bien l' anglais, ma grand-mère ne voulais pas me mâcher le travail alors elle me laissa avec comme seul réponse cette chanson parle de l'univers.
  • He he la coquine et maintenant que tu comprends la chanson ça change tout dit Zarif en continuant à marcher .
  • Ça à changer ma vision du monde et c'est vrai que moi aussi j'aime l'idée que les étoiles que l'on vois et l'univers au quel elles appartiennent existe seulement pour être vu par nos yeux.
  • Elle doit vraiment être magnifique cette chanson, il faudra que tu me la face écouter quand nous aurons retrouvé la tribu.
  • Mmmm tu l'écoutera seul, depuis que ma grand-mère à rejoint les étoiles je ne peux plus l'écouter sans pleuré et j'ai pas envie que tu me vois ainsi.
  • Tu ma sauvé la vie cette nuit donc tu peux bien me montré quelques larmes. Surtout que c'est celle qui sont donner pour un être cher qui sont les plus belle.
  • Mon père aussi dit un truc comme cela, euh mince comment il dit déjà.
  • Mm ça va te revenir, hey regard une étoile filante s’écrit il.


Je ferme les yeux et fais un vœux que même mon cœur ignorait jusqu'à maintenant, celui de ne pas être séparer de Zarif.

En ouvrant les yeux je me souvient ce que disait mon père, dans ce silence pareille à une cathédrale je cris c'est mots


  • Les larmes offerte à un ami fortifie cette amitié.




***


A présent bien installer et au chaud dans la tante de zi, après quelque heures de sommeil, un écouteur chacun dans une oreille je lui offre mes larmes.

Il me souri sûrement pour me remercier, me sert la main sûrement pour me réconforter et pleure aussi sûrement émus par la chanson.

C'est Zi qui vient nous interrompre et nous demande de rejoindre tout le monde dehors.


À l'extérieur nous attends en effet tous les membres de la tribu Zia. Zarif semble avoir l'habitude d’être le centre de l'attention et d’être entouré de tout ce monde, C'est sa famille après tout, moi j'ai les joues qui rougie d’être fixé par tout ce monde.


Lorsque Zi prend la parole tous les regards ce tourne vers lui :



  • En cette après-midi offerte par notre mère nature, nous allons accueillir deux nouveaux membres de notre famille, ils vont devenir des hommes. Dit-il à haute voix pour ce faire entendre de tous. Puis il ce tourne vers nous et dit


  • Zarif, Jacob il est temps pour vous de finir le rite de passage vers l'age adulte.


Zarif semble étonner et il dit


  • Euh chef nous avons même pas commencé le rite.


Dans ma tête j' hurle quoi non, il ne doit pas commencer du tout, pas pour moi en tout je ne suis pas un membre de la tribu et certainement pas prés à être un homme. Je suis sur le point d'intervenir mais Zi reprend son discours.


  • Jacob tu as sauvé la vie de Zarif quand il a fuguer, Zarif mon grand je suis fière de toi tu as risquer ta vie pour t'assurer que la vie d'un animal ne soit plus en danger. Tout les deux vous avez préserver la vie comme nous le demande notre mère nature, c'était donc la premier étape du rite.


Mon esprit est en ébullition je ne sais plus quoi penser ni même dire, ils me voient comme un membre à part entière de leur tribu et de leur famille même titre que Zarif.

Alors que Zi continue de parler, c'est un coup de coude venant de Zarif qui me sort de mes pensés, il faut que je reste attentive à ce qui ce passe sous mes yeux. Je reporte mon attention sur les mots de Zi.


  • Aujourd'hui vous allez devoir affronter la dernière et la plus importante des étapes de ce rite. Nous allons partir avec un petit groupe de la tribu pour vous conduire sur le lieux de ce passage.... eh biens de votre passage d'enfant à l'homme que vous resterez tout votre vie.


Zarif et moi marchons main dans la main, une main serrée et je lui demande inquiet.


  • Ce rituelle va nous tuer ?
  • Quoi non pas du-tout, c'est va nous rendre plus fort physiquement et mentalement comme tout ce qu'on à déjà vécu ensemble.
  • Euh il consiste en quoi ce rite ?
  • Euh je sais pas trop, ce n'ai jamais pareille, mon arrière grand-père à rapporter la tête d'un lion, son fils a grimpé un arbres de 20 mètres et mon père quant à lui .....
  • Ça va j'ai compris c'est différent à chaque fois mais tout aussi dangereux à ce qu'on dirait le coupe-je en fixant l'endroit ou nous nous sommes arrêter.


Je ferme un instant les yeux pensant que je suis en plein rêve, mais non, non je suis bien sur le point de devenir un guerrier de la tribu de Zia enfin si je survie à ce troupeaux d'éléphants qui ce trouve devant nous.


Les éléphants sont des animaux qui dans les légendes ce battent contre des tigres, se servent de leur grosses pâtes pour les écraser. Ils utilisent des infrasons pour communiquer entre eux, même à des kilométrés les uns des autres. On raconte que la musique les stimulent avant leur ébat amoureux. Et dans d'autre contré très lointaines certain les on vue voler pour aller toucher les étoiles.



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