Le calme a repris au sein de la tribu, Zarif ce précipite dans sa hutte, en ressorti aussi tôt avec son sac sur le doc et parti pour l'école, il me planta là.

Ce n'ai pas que je veux de nouveau me joindre à lui j'ai bien des choses à faire de mon coté mais il aurais pus avoir un petit mot de remerciement pour moi. Je l'ai aider et cela même avant huit heures du matin.

Il me reste quelques heures avant de rejoindre mon père sur le chantier je vais en profiter pour écrire quelques lignes dans mon carnet. Depuis mon arrivé il ce remplie petit à petit, plus les jours passé plus les idées fuses dans mon esprit.

J'imagine même certain de mes comédiens préférés dans des personnages bien précis.

Je me dit que si ma mère me voyait elle ne me reconnaîtrait probablement pas, mais elle continuerait à me dire de laissé tomber mes sottises de réalisateur, je vais continuais à écouter ce que me dicte mon cœur.

Il me dit que c'est le destin qui ma amené ci, il faillait que je vois la vie de ce peuple pour en écris l'histoire, une histoire qui faut partager.

Le reste de la journée passe vite et sans encombre jusqu'à ce que mon père et zi viennent me voir. Ils semblent tous les deux très angoisser voir énerver, ils n'ont encore rien dit que je leur demande.

• J'ai fait quelque chose de mal
• Non Jacob, Zarif n'ai pas rentrée ce qui en soit n'ai pas encore inquiétant ce qu'il l'ai en revanche c'est qu'il n'était pas à l'école de tout la journée.
• Quoi c'est pas possible, il ne pensait cas cela quand nous sommes aller chercher l'eau ce matin, il a même dit que rien ne l’empêcherait jamais d'y aller, quand nous sommes rentrée il a pris son cartable et il est partie à l'heure malgré les prob.....
• Les quoi Jacob ?
• Sur la route du village de Tui, nous avons trouver un impala blessé, ensemble nous l'avons soigné.
• Et
• Zarif semblé malgré tout très inquiet pour cette animal, peut être a t-il...
• Voulus le retrouver au lieu d'aller à l'école me coup mon père.
• Oui mais c'est de la folie, l'animal peut se trouver n'importe où à l'heure qu'il l'est non.
• Tout comme Zarif repend calmement le Zi.
• Vous devriez envoyer des guerriers le chercher dit mon père en le fixant zi.
• C'est trop risquer la nuit s'apprête à montré son visage répond le chef.
• Ce sont des combattant ils ont l'habitude du danger, Zarif n'ai encore qu'un ados dit-je énerver.
• Que sait tu, toi l'étranger des dangers qu'ont à affronter mes guerriers ou ce qui attend Zarif dit zi avec une pointe de colère.
• Je sais ce que m'a racontait Zarif et je suis partie faire le chemin de son école, vous vous souvenez dit-je encore plus énervez.

Les mots d’excuse reste coincé dans ma gorge, je sens que j'ai offenser le chef de cette tribu seulement moi aussi je suis blessé. Il ma traiter d'étranger après tout ce temps passé auprès d'eux et de son fils il me voit encore comme un ado prétentieux et capricieux. Dans les yeux de mon père ce dessine une expression de colère et il cherche à ce que je m'excuse auprès de zi au lieux de ça je leur dit :

• Je vais me coucher pendant que vous laisser Zarif à son sort.

***

Deux heure plus tard la nuit à déposé son mentaux d'obscurité et un froid glacial sur le Kenya.

Au moins cette fois je suis équipé car j'ai emporté mon sac à dos avec de quoi boire, de quoi manger, de quoi me réchauffer et la carte approximative que j'ai faite des lieux. Oui cette fois il me semble que je suis beaucoup moins perdu que lors de ma premier balade seul en terre sauvage.

Je suis quand même très loin d'avoir trouvé Zarif, je sais où il peu être mais c'est comme chercher une goûte d'eau dans l’océan. Un océan obscure, silencieux où je me sens à la fois seul et observer. Un océan de sable, de bêtes féroce tapis dans l'ombre de la nuit prête à me dévorer tout crus. Enfaîte je suis encore plus en danger que la premier fois que je me suis éloigner de la tribu. Cette fois j'ai un but moins égoïste, je sais que je cherche un coin de désert qui ne le serait pas totalement. Je cherche un lieu où les arbres sont nombreux, trouver des arbres et je retrouverais Zarif et l'impala que nous avons sauvé.

Je continue à posé des pas délicats comme il me là appris pour aller vers un endroit dont j'ignore l'exacte position mais que j'ai repérer lorsqu'on était en chemin pour chercher de l'eau. Sur le moment j'avais trouvé cela extraordinaire et très beau, maintenant je ne souhaite qu'une seule chose que cela ne soit plus trop loin. J’espère que Zarif y sera, ce serait bien de profité de ce ciel étoilé avec un amis.

Quand je l'ai aperçus la premier fois il dansait au rythme des tambours de sa tribu, ses yeux était fermé il avait les mains tendu vers le ciel je me suis dit qu'il ne faisait qu'un avec la musique.

De ne jours, il n'est plus sur terre depuis longtemps, pourtant au sein de son peuple quand la musique ce résonner il réapparaît comme un fantôme pour offrir ses meilleurs pas de danse à ceux qu'il aimait.