Sous la foule des étoiles

Chapitre 13 : L'eau c'est la vie.

1953 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 17/09/2021 10:40



Jacob, hey Jacob réveille toi me hurle Zarif penché au dessus de mes épaules alors que je me suis endormis la tête dans mon carnet et la main cramponné à un stylo.


  • Qu'est qu'il ce passe murmure-je encore somnolant.
  • Tu m'accompagnes chercher de l'eau ?
  • Euh mmm je croyais que c'était ta sœur et ta mère qui s'en occupais .
  • C'est vrai, mais elles sont entrain de faire accoucher une femme de la tribu, donc c'est à moi de le faire, je ne peux pas porté quatre seau d'eau à moi tout seul.
  • Je met mes chaussures sans passé par la case petit déjeuner je suppose.
  • Pas le temps.
  • Alors je suis prêt dit-je en lui montrant mes basket nouer mais les yeux encore mis clos d'un sommeil interrompus.
  • Prends sa dit-il en me donnant deux petit seaux vide, quand j'y plonge le nez j'y sens l'odeur de rouille. Je peux presque sentir l'eau stagner dans ces récipients et j'imagine asse bien le nombre de litres qui y ont était transporté à travers la savane. La savane justement est encore envahie par l’obscurité de la nuit, seul les cris d'une femme déchire le silence de la tribu encore endormi. Je regarde Zarif avancé comme toujours a vive allure devant moi et lui dit
  • C'est pas un peu bonheur pour que tu me tire de mon sommeil.
  • C'est sur que trois heure du matin pour un gars de la ville c'est encore trop tôt . Mais comme tu sais je doit partir à l'école à six heure. Donc pour faire l'aller retour vers le village de Tui pour ensuite partir à l'école je suis obligé de me lever si tôt comme tu dit.
  • Tu n'ai jamais fatiguer ?
  • Mon grand-père et mon père encore aujourd'hui me répète que la fatigue est une force que l'on puise dans son esprit.
  • Une force ????
  • Oui c'est à toi de décider de la laisser t'affaiblir ou de la transformer en force.
  • Tu peux m'apprendre, parc-que dés que je fais un effort la seul chose que j'ai envie de faire après c'est dormir.
  • C'est une question d'habitude et c'est sur que si tu te répète que je suis fatiguer tu le sera forcement alors que si tu te dis je suis fort rien ne m’arrêtera aujourd'hui alors tu n'aura plus envie de dormir.
  • Juste en disant ça?
  • Tu peux l'associé à des gestes que je te montrerais plus trad en attendant avance plus vite tu es toujours aussi lent.
  • Pourquoi toujours, c'est ma façon de marcher.
  • J'aurais pensais que le chemin de mon école que nous avons fait ensemble aurais un peu changer l'avis que tu as sur notre façon de vivre.
  • Mon avis sur vous à changer, tu ne peux pas me demander de changer ce que je suis vraiment.
  • Je ne veux pas te changer je te demande de rester toujours vigilent quand on s'éloigne du camp de la tribu.
  • Parce-que l'on y plus en sécurité ?
  • Le camp reste en terre de savane mais c'est plus sur, il y a toujours des guerriers qui servent d'éclaireur et ils font fuir les animaux les plus dangereux.
  • C'est vos sentinelles comme dans les châteaux avant.
  • Les quoi ?
  • Des sentinelles ce sont des gens installer spécialement pour surveiller les alentours, on ne t'apprends pas cela dans ton école.
  • Non, on nous parle pas de châteaux, les professeurs reste sur les matière principale.
  • Alors c'est moi qui ferais ton éducation pour le reste.
  • Comme je le fais avec toi sur mon monde .
  • Justement j'ai une question qui me trotte dans la tête.
  • Sur notre mode de vie ?
  • Le tiens, celui de ta famille, de la tribu.
  • Va-y je te dirais tout ce que je sais.
  • C'est cool même si tu m'en déjà dit pas mal, je me demander si cela vous arriver de manger du lion ou autre animaux sauvage ?
  • Du lion jamais, c'est un animal bien que dangereux pour les hommes sacré pour notre tribut. Mes frères élèves des moutons, des chèvres et des lamas.
  • Des lamas c'est pas les animaux qui te crache dessus.
  • Seulement si tu les embêtes. Mes frères les élevés pour leurs coton qu'ils vendrons ou échangerons.
  • Échangerons contre quoi ?
  • Ce que l'on à besoin sur le moment.
  • J'aime bien le troc, l'argent on en veux toujours plus alors que la tu échange ce que tu à contre ce qu'il te faut et pas plus.
  • C'est comme ça que les hommes vivais bien avant nous et ....
  • Et cela toujours bien marcher le coup-je en souriant.


Je vois bien dans son regard se poser sur moi qu'il y a quelque chose qui le gène .


  • Qu'est qu'il y a pourquoi tu me regard comme ça ? reprend-je
  • Rien c'est juste que le petit homme de la ville que tu es me surprends chaque jour. Tu ne t'en rend pas compte ou tu n'en as pas envie mais tu es comme ton père. Tu es un gars bien Jacob dit-il en me donnant une tape amical dans le dos.
  • Ça me touche surtout venant de toi mais tu devrais le dire à ma mère. Elle me traite d’idiot et de fainéant.
  • Si tu était fainéant tu ne serais pas là avec moi ou venus à mon école la dernier fois. Tu devrais peut être écris une lettre à ta mère ou tu lui parle de tout ce que tu fais ici.
  • Pas la peine j'écris un journal de-bord ou je décrit tout ce que j'ai vue et fait depuis que je suis arrivé tout en détail. J'ai même décrit la position géographique de la tribu.
  • Tu vois encore une preuve que tu n’es pas un fainéant ni un idiot
  • Je me dit finalement que ce voyage aura peut être servie à montré à mes parents que je ne suis pas un bon a rien et que j'ai des objectifs dans la vie.
  • On n'a tous un but sur cette terre, tout comme chaque animaux ou végétal à un rôle important pour que tout reste en symbiose.
  • Sauvé une biche est but honorable pour toi dit-je ne lui montrant droit devant nous l'animal blessé.


Tout en marchant plus lentement il murmure.

  • On dirait un Impala c'est un herbivore, il a du croiser le chemin d'un animal bien plus carnivore que lui.
  • Et bien plus fort aussi murmure-je à mon tour en marchant d'un pas plus léger pour éviter de faire le moindre bruit qui pourrait faire peur à l'animal.
  • N'importe quelle carnivore qui à faim à pu faire ça.
  • Tu pense que tu pourrais le sauver dit-je m'approchant un peu plus prés de l'impala.
  • Oh non c'est bien ce que je pensait dit-il, les larmes yeux.
  • Il est trop gravement blessé ?
  • Non ça devrais aller, nous allons le soigné mais le truc c'est que cette espace d'antilope vivent plutôt dans des coins boiser.
  • Et ici c'est carrément le désert à ce niveau là dis-je inquiet.
  • Oui, puis regarde dans sa blessure.


Je regarde de plus prés la plaît ensanglanté en me retenant de vomir, beaucoup moins de pleurer en voyant une balle enfoncée dans la chair de l'animal.


  • C'est un homme qui à fait ça et pas un animal carnivore fini-je par dire la voix enrouer de colère.
  • Pas n'importe qu'elle homme des braconniers.
  • C'est pas interdit ?
  • Oh oui ça fait des années que notre tribu s'associe à d'autre tribu pour les arrêtés.
  • Euh euh oui mais pourquoi l'avoir laissé là après lui avoir chassé.
  • Sûrement parce-qu'elle à du tomber de leur camions déjà bien remplie, j'en ai vue une fois avec un amas d’animaux pas toujours mort, c'était horrible.
  • Eh eh t'en fait pas, celui-ci tu va la sauvé, tu as besoin de quoi ? Dis-je en lui posant une main sur l'épaule.
  • Nous, nous allons le sauver, il faut d'abord soigné sa plaît en retirant la balle.
  • Bien, il y a rien pour t'aider ici, a part trois buisson et euh....
  • Pendant que je retire la balle avec mes doigts tu va me chercher toutes l'herbes possible même si elle est sèche et euh...prend moi toutes les feuilles que tu peux de cette arbre là bas au loin me coupe-il calmement en me montrant ce qui ressemble à un Baobabs.


Je me précipite vers l’arbre, lui prends ses plus belles feuilles et des herbes sèchent qui traîne sa et là dans les alentours.

En me rapprochant de Zarif, les mains bien chargées de feuillage je vois les siennes ensanglantés avec au bout des doigts la balle brillante dans le lever du soleil.


  • Tu as réussie dit-je tout excité.
  • Tu me donne trois feuilles de Baobabs, je vais m'y essuyer les mains et tu va devoir en mâchouiller six autres pour la blessure dit-il en montrant l'animal qui ne bouge plus.
  • Euh ok et le reste d'herbe séché.
  • Fait d'abord ce que je te dit, le reste servira d'onguent.
  • Ok mm murmure-je en m'exécutant, trois premiers feuilles dans la bouche.
  • Bien crache déjà sa, encore trois et la mixture sera parfaite. Tu sais que notre salive à un petit effet cicatrisant. Me dit-il en rassemblant la mixture d'herbe dans un morceau de son tee-shirt qu'il a déchiré pour fabriqué ce pansement.
  • Euh eurf peuh non je savais pas dit-je en évacuant quelques morceaux resté coller entre mes dents.
  • Euh bien les herbes plus ta salive vont aider cette impala dit-il en posant l'onguent bien humide sur la plaît, suivie d'herbes sèche qui vienne ce coller et fermer le tout.
  • Mmm c'est surtout grâce à ton savoir, sans sa je n'aurais pas su quoi faire.
  • C'est un travail d'équipe, tient regard il ré-ouvre les yeux.
  • Yes murmure-je pour ne pas effrayer l'animal.
  • Il semble en vie, mieux vos s'éloigner pour le laisser ce reposer et pour qu'il parte en sécurité.
  • Avec cette histoire tu va être en-retard à l'école et nous avons toujours pas d'eau.
  • Nous sommes plus très loin du village, tient regarde une premier maison apparaît tu la vois.
  • Ah oui et hey c'est qu'il y en a pas mal on dirait.


Au bout de quelques métrés parcourus j'aperçois le puy, construit au milieu du village, c'est un simple trou creuser dans la terre ni brique ni bois pour le solidifier.

Zarif s'en approche avec délicatesse et respect, je le vois fermer les yeux, murmurer des mots hors de ma compréhension avant de faire descendre le long d'une corde le premier saut.

Je lui demande simplement.


  • Tu viens de t'adresser au puy j'ai pas rêver.
  • Non, à la terre, notre mère Nature c'est en elle que nous croyons dans la tribu Zia.



Notre mère la terre à constamment pour nous des messages, le plus souvent ce sont les nuages qui nous les transmet. Quelque part sur terre un jeune peuple à vue le ciel s'enflammer de nuages de cuivre, s'en suivre un orage nourrissant de son eaux leurs terres sèchent et cela durant des jours.

D'autre fois il suffis d'une bourrasque de vent glacial pour savoir qu'une tempête portée par des nuages de plomb arrive et risque de tout détruire sur son passage.

La nature nous survivra, bien après des millions d'années, ce n'ai donc pas la peine de la détruire, il restera toujours de la terre, de l'eau, des arbres et du vents pour recouvrir nos traces.



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