Sous la foule des étoiles

Chapitre 12 : Père et fils

801 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 15/09/2021 09:35



  • Heureusement que les parents de Zarif t’ont vu partir avec lui ce matin, sinon j'allais partir à ta recherche tant j'étais inquiet.
  • Ah bon je m'attendais plutôt à te voir arriver avec l'armée pour me retrouver dis-je en riant.
  • Ce n'ai pas amusant Jacob, tu sais que je m’inquiète pour toi, je suis ton père c'est une chose normal.
  • Désoler je ne voulais pas que tu te fasse du soucie comme ça, mais j'avais besoin d'une pause dans la maçonnerie.
  • Ça je peux comprendre, tu aurais pus me le dire ou laisse un petit mots pour ton pauvre père.
  • Encore une fois désoler, je ne pensais pas partir si longtemps et si loin surtout.
  • Et vous étés partie où ?
  • A son école figure toi.
  • Toi dans une école c'est bien la meilleur et comment c'était.
  • L’établissement en lui même est une école des plus ordinaires c'était pas aussi impressionnant que le chemin qu'on à du parcourir pour y arriver.
  • C'est sur qu'ici tu as plus d'un trottoir à traverser pour y être.
  • Justement alors que nous nous cachions des éléphants dans la bout je repensais à ce que tu avais dis avant notre départ de juste traverser la rue pour être a mon lycée tu as raison j'ai de la chance.
  • Du coup ça ta manquais de traverser les rue pour....
  • Je ne dirais pas ça le coup-je.
  • Mais ça t'as changé tu semble un peux plus ouvert, rien que le fait que nous discutons sans se disputer.
  • Ce trajet vers l'école Nurma ma ouvert les yeux et m'a confirmé ce que je veux faire de ma vie.
  • Tu veux dire que ça ta conforté dans ta vocation de réalisateur ?
  • Oui, attends tu viens de dire vocation, tu crois en moi dis-je avec une légère vibration dans la voie ?
  • J'ai su que tu as ce talent, depuis le jours où tu nous as fait à ta mère et moi un spectacle comment tu l'avais nommé déjà.
  • Rêve fort, j'en reviens pas que tu t'en souvienne encore.
  • Oui parce-que malgré le maque de moral à la fin,je me suis dit quel jolie histoire et tu y avais mis tant de passion.
  • Tu as vu une chose que j'avais pas encore réaliser moi même.
  • Je ne crois pas, tu savais déjà très bien que tu raconterais des histoires, tu ne savais pas encore sous quelle forme, en grandissant tu as appris et compris comment tes exprimer.
  • Papa je t'aime .
  • Je t'aime aussi fiston viens là.


Il me prends dans ses bras et je me surprends à laisser échapper une larme, je sais maintenant que mon père est fière de moi.


Après quelques seconds de câlin il me dit.


  • Tu as fait quoi d'autre là bas.
  • Eh bien ce qu'on fait dans une école, apprendre de nouvelle chose, pour moi il en avait énormément à commencer par la discipline.
  • C'est un grand changement pour toi de suivre des cours dans le calme et le respect c'est certain.
  • C'est pas tout je peux compté jusqu'à cent en chinois et j'ai revissée mon anglais avec tout les camarades de Zarif. Si tu les voyaient ils ont une tel envie d'apprendre et de partager ce savoir, cela en est contagieux.
  • Je vois ça tu bouillonnes d’excitation, tu y retourneras.
  • Sûrement mais pas tout de suite, là je n'ai qu'une envie c'est de raconter tout ce que j'ai vue dans mon journal.
  • Donc ta mère avait raison.
  • C'est vrai que ces lieu sont très inspirant.



Il existe quelque part dans le monde une prairie magique, mon grand-père comme beaucoup d'hommes avant lui c'est perdu dans un sommeil éternel en son sien.

Ma grand-mère me raconte souvent cette histoire en hommage à l'homme qu'elle aimait.

Imagine mon garçon, un jardin où nous aurions semé des fleurs, des bleus, des rouges, des blanches, des jaunes toutes plus éclatantes les unes que les autres.

C'était comme si un million de jardins s’étendait devant lui, en s’enfonçant dans la prairie il a disparut un instant parmi les milliers de fleures.

Elle ressemblaient à des Lys avec leur pétales de sois mais elle était humide, comme si on venait de les peindre .

Quand il réapparus devant moi il en avait cueillie une et la portait à ses narines il me crias qu'elle sentais à la fois la cannelle et la fraise, je l’entendit dire ensuite qu'il avait retrouvais son alliance qu'on lui avait volé il y a des années au part-avant. Le temps de faire quelque pas, je le vis s'écroulait dans une chute de pétale pour s'endormir à jamais dans ses souvenirs.


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