Sous la foule des étoiles

Chapitre 10 : un peu d'ombre

1032 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 13/09/2021 13:02



  • Tu es sur qu'aucun lion ne nous poursuit cris-je à Zarif en courant.
  • Oui sur, continues de courir, je te promet que nous pourrons souffler une fois passé la cheminée aux ombres. Cris-il à son tour un peu essoufflé.
  • Je ne sens presque plus mes pieds,j'ai besoin d'un peu de repos pour ça .
  • Si tu veux, pas trop longtemps il nous reste du chemin.
  • Encore, on n'en vois pas la fin de cette route.


Je t'avais prévenus, vingt trois kilomètres c'est pas juste une sortie en ville comme chez toi.


  • Je suis très loin de chez moi c'est claire et d'un coté ça me plaît d’être ici.
  • Tu es hors de ta zone de confort ici dit-il en passant de la course au pas, pour finalement s’arrêter.
  • Pourquoi tu t’arrête lui dis-je étonné en m’arrêtant à mon tour.
  • Regards où nous sommes, tu n'as pas pris le temps d'observer autour de toi, tiens on s’assoit ici dit-il en montrant un amas de pierres à l'ombre d’arbres.
  • Ah super dis-je en m’écroulant prés d'un arbre .


Au bout d'un long moment de silence, Zarif le comble en criant.


  • Ne t'en dort surtout pas, maintenant que nous sommes déshydratés.
  • Je euh....dormait pas du-tout dit-jeen sursautant.
  • Alors tu es prés pour continuer notre aventure.
  • Carrément dis-je en me relevant.
  • Bien, il n'y aura plus de surprise et tu sera récompensé avec de l'eau dés que nous arriverons à l'école.
  • Qu'est qu'on attends alors dis-je en marchant d'un bon pas devant Zarif.
  • Je te suis puisque tu semble savoir ou nous allons dit-il en courant pour rattraper son retard sur moi.
  • Ah ah tu es marrant toi dis-je en ralentissant pour qu'il me rattrape.
  • Seulement avec mes amis.
  • Nous sommes ami alors ?
  • Après ce que nous venons de vivre ensemble nous ne pouvons que l’être tu ne crois pas ?
  • Oui et c'est que le début.
  • Tu vois la colline au bout, là suis mon doigt.
  • Je vois bien, un mont qui sort de terre.
  • Hey bien c'est la haut qu'est l'arrivé et l'école.
  • Il nous reste juste à traverser encore bout de savane et à grimper ce que tu appelle une colline dit-je avec ironie.


Nous reprenons notre marche à travers ce même paysage sauvage à perte de vue, des arbres épart si et là nous donnant un peu d'ombre. Nous devons être à mis chemin de la colline quand je lui demande, une chose que j'aurais du faire dés notre départ.


  • A quelle heure est ton premier cour enfaîte ?
  • Huit heure trente pourquoi tu va à l'école à quel heure chez toi en France.
  • Mmm dans c'est eaux là, quand je ne sèches pas.
  • Sécher ça veux dire quoi, je ne connais pas cette expression.
  • Ah c'est à moi de t’apprendre quelque chose, sécher c'est louper les cours juste parc qu’on à envie, on peut même faire autre chose, moi je vais au cinéma à la place.
  • Je vois, je crois que ton père en parler au miens en disant faire l'école buissonnière.
  • Voilà c'est ça, il y a que les vieux pour parler comme ça ?
  • J'aime bien ta façon de dire même si j'aime pas l'idée.
  • Ça je m'en doute, vus tout le mal que tu te donne pour y aller.
  • Je te l'ai dis c'est important pour nous.
  • Oui c'est votre façon de resté parmi la société. Je suis désoler si je te met en retard.
  • Ne nous le sommes pas, pas encore en tout cas, puis ça serais pas la premier fois tu sais.
  • Ah bon toi un garçon si sérieux en retard à l'école.
  • Sa m'arrive oui, vu que tout ce que je fait pour y aller, les professeurs on l'habitude puis j'ai pas à me plaindre.
  • Comment ça ?
  • Tu crois que le chemin que l'on fait est dure, attends de découvrir ou passe mon ami Jackson et tu trouvera ceci facile.
  • Ah oui à ce point là .
  • Oui , tu verras si il est la aujourd'hui je lui demanderais de te raconter.
  • Ok dit-je en regardant où mes pieds ce posent, puis regardant le paysage au tour de moi, je me demande comment la nature peux se développer dans de tel condition avec si peux de pluie. Je n'ai même pas vue de puy depuis notre départ. Pourtant mon père et Zarif m'ont dit que les femmes parte chercher de l'eau. Je me demande où, quand Zarif pousse un soupire me sortant de mes pensées, j’aperçois alors s'élever la colline devant moi.
  • Nous voilà déjà au pied de la colline dit-je, avant de rajouter, elle a un nom ?
  • Non, enfin pas que je le sache.
  • Comment on fait pour arriver au sommet je vois pas de sentier.
  • Il n'y en as pas.
  • Tu veux dire qu'on doit grimper, en posant nos pieds au hasard en espérant ne pas tomber.
  • Ce n'ai pas si raide qu'a ce qu'il paraît, tu verra c'est de la terre, nos pieds seront assez stable pour s'y cramponné.
  • Oui bien-sur c'est de-suite plus rassurant, finger in the noz comme on dit.
  • Tu passes devant comme ça si tu glisses je suis pas loin pour te rattraper



Dans les temps ancien vivait loin de toute tribu Ja un jeune homme qu'aucune corruption humaine avait atteint. C'était l’être le plus pure que le monde n'avais jamais connus, on l’appelais le prince de la pluie, où qu'il ai la pluie le suivait . L'eau si précieuse dans se pays été convoitait par de nombreuse tribu, chacune voulais que ce jeune homme puis vivre parmi eux pour leur amener abondance et richesse.

Ja était sage, il avait appris de son père de ne jamais ce mêlé des affaires des autres et il a appris aussi qu'en tant qu' Homme nous sommes tous égaux.

Il décida de parcourir les différents territoires que renferme le Kenya pour amener la pluie dans les différentes tribu et la paix dans le monde.



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