Sous la foule des étoiles

Je crois que cette fois je suis vraiment perdu, j'ai beau chercher devant moi ce dresse le même paysage; des arbres, des herbes seiches, des pierres, des rochers et du sable à l'infini, pas une hutte ou un être vivant à l’horizon.

Après être parti du chantier hier soir je suis resté dans mon lit à bouder comme dit mon père, j'ai fini par m'endormir toujours fâché et dans l'idée de me tirer. Quand l'aube c'est pointé je suis sortie avec un seul souhait mettre autant de distance possible entre mon père et moi. Alors que je commençais à marcher j'ai vue Zarif sortir de la tante de ses parents, j'y ai vue l'occasion de partir.

Je l'ai suivie en douce pour pas qu'il ne me dissuade de venir avec lui, j'ai laissais une centaines de mètres entre nous, parc-que trop prés je me faisait repérer et trop loin je le perdait de vue.

Seulement j'ignorais que le climat en cette saison pouvais nous offrir des averses soudaine, je perdis d'abord quelque mètre sur Zarif pour finalement le perdre complètement de vue quand il s'est mit à l'abri.

Je ne savais ni ou ni même vers où le chercher à cause de la force de l'eau sur mon visage je ne voyais plus rien.

J'ai malgré tout continuais à marcher sans même voir ou j'allais et en me disant que c'est pas quelque goûte de pluie qui va m'empêcherais de marcher. Au bout d'une heure la pluie se calma, jusqu'à ce qu'elle cesse complètement de me mouiller, mais je mettais totalement éloigner de tout ce que je pouvais reconnaître. Maintenant je ne trouve toujours aucune trace de Zarif ni d'aucun autre être humain. Bien que perdu je continue avec l'espoir de trouver un être vivant.

La pluie à laisser un peu de quoi me désaltérer dans le creux des feuilles mais la chaleur revient vite. Au bout d'une nouvelle heure de marche,il n'y plus d'eau pour me sauver de ce desert. Alors je marches, marches encore et encore à plus en finir sous le soleil écrasant de la savane, puis fini par m'évanouir de fatigue au beau milieu du grand rien.

• Hey bien celui là il ferais pas un bon guerrier dit une vois.

Je sens des goûtes d'eaux au bord de mes lèvres, je revient peu à peu à moi pour en avaler quelques une. Je vois les grand yeux noir de zi au dessus de moi et entends la voix inquiète de mon père qui dit

• Jacob, oh mon dieu comment il va.
• Sa va papa, je suis un peu fatiguer et déshydraté mais avec un peu d'eau je me sens déjà mieux.
• Enfin te revoilà parmi nous, mais qu'est qui t'a pris de partir seul.
• J'étais pas seul je suivait Zarif, puis je l'ai perdu à cause de la pluie.
• Tu aurais du lui demander si tu pouvais rester avec lui.
• Il n'aurais pas voulue de ma compagnie.
• Lui as tu au moins parler ?
• Non, je voulais savoir ou il partait sans le déranger comme tu m'a dit.
• Mmm bien quand tu sera remis sur pied, crois moi que je vais te punir.
• Tu me fais travailler depuis un mois et j'ai faillis mourir c'est pas suffisant comme punissions.
• Ben non puisque tu continue à faire des bêtises.
• Je m'éloignerais plus seul ça c'est sur.
• Oh ça il y a intérêt, bon repose toi pour la fin de la journée, si tu a besoin de quelque chose Zarif est à coté a faire ses devoirs.

Dans des temps anciens les jeunes garçons des tribus traverser la savane à la recherche de lion à affronter. Les plus fort qui revenez devenaient les guerrier de la tribu c'est ainsi que les enfants passer à l'age adulte.

Encore aujourd'hui dans certaines tribus au Kenya il existe toujours des épreuves pour prouvais la bravoure de ces jeunes garçon. Il ne font bien-sur plus face au grand prédateur de la savane mais affronte des dangers tout aussi impressionnant.

Plus il y a de guerriers dans une tribu plus la chance de survivre est grande même au temps nouveau du sédentarisme.